Cette
page concerne l'année 1105 du
calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année
considérée il ne peut s'agir que d'un survol !
LA
DAME BLANCHE ET LE SAINT CIERGE...
NOTRE DAME DES ARDENTS |
Vers la fin du XIe siècle, sous la connétablie de Roger en 1105, une collégiale est installée sur le site du château : la collégiale Saint Sauveur... 144 malades souffrent d'un mal qui ravage Arras et tout l'Artois, le « Mal des Ardents » et sont recueillis dans la cathédrale d'Arras. La maladie des Ardents fait à Arras de terribles ravages, pas une famille n'est à l'abri de ses atteintes. Aussi, de toute part, les Arrageois lèvent les yeux au ciel et implorent le secours de la Vierge Marie. La cathédrale et son vaste cloître sont encombrés de cette multitude que la mort vient frapper jusque dans ce saint lieu, et les prêtres, continuellement occupés à les secourir, ne peuvent plus suffire à tant de peines.
En
1105 en effet, la peste brûlante sème la terreur parmi les
populations d’Europe. Les malades souffrent d’atroces douleurs et
leurs membres ont un aspect carbonisé... On y voit là le feu de
l’enfer... La chapelle Notre-Dame des Ardents est construite par la
suite pour recevoir le reliquaire en argent niellé de la Sainte
Chandelle, don de la comtesse Mathilde d'Artois. Celui-ci est
maintenant au Musée, parmi les « trésors de la Cathédrale ». A
l’intérieur de la cathédrale, 4 des douze vitraux illustrant le
passé d’Arras sont placés à l’endroit même où les deux
ménestrels ont reçu un cierge miraculeux des mains de la Vierge.
Ce
feu sacré a déferlé en Europe à partir du Xe siècle,
semant la terreur parmi les populations, connu également sous le nom
« d'Ignis
sacer », la peste de feu, le feu infernal, le feu de Saint
Antoine, le mal des ardents (arder: brûler).
Né
à Valenciennes, en 1886, A. Mabille de Poncheville est un poète, un
essayiste, un critique, un historien et un romancier... Il écrit,
entre autres, une « Histoire d'Artois » faisant partie de
la collection « Les vieilles provinces de France » et
publiée en 1935 par les éditions Boivin et Cie (Paris)...
« ...Partout
au Moyen-Âge, on le sait, mais surtout dans la ville où Jean Bodel
et Adam de la Halle vont se manifester, les circonstances notables de
la ville sont embellies par le concours des trouvères et des
ménétriers, leurs frères plus modestes. Ceux-ci, aux festins des
riches, à tous les banquets et à toutes les noces, chantent, en
s'accompagnant sur leur rebec, les antiques histoires de notre
mythologie nationale, Charlemagne et ses 12 pairs, les 4 fils Aymon
qui osèrent lui résister, et comment meurt Roland à
Roncevaux »...
[...
Les successeurs des deux ménétriers disent une vieille chanson du
XIIIe siècle, de celles souvent accompagnées sur leurs violes :
« Mais droict à l'heure de myenuict, Celle qui sur les anges
luict Se est apparue sans séjour En sa main le
chierge maiour Que paravant leur eut promis.
Ce digne chierge fut espris De vraie lumière
éternelle... »]. En vérité, ceux-ci ne méritent-ils pas
aussi d'être nommés « les jongleurs de Notre-Dame » ?
Le
responsable de ce mal, l'ergot du seigle, est un petit champignon
parasite des graminées, le grain parasité est hypertrophié et
recourbé en ergot, d'où son nom, sous forme de minces bâtonnets de
2 à 3 centimètres de long accolés à la tige de l'épi. Il peut se
trouver mêlé au grain et moulu avec lui. Les paysans ne se méfient
pas de ce seigle parasité, il s'agit pour eux d'une variété nommée
le seigle cornu... Cet ergot contient de nombreux alcaloïdes dont
les effets toxiques vont expliquer les diverses formes de la
maladie... Certains malades verront leurs membres se gangrener
(circulation du sang bloquée), devenir noirs et secs, comme brûlés
par le feu, d'autres souffrent de crises de contractures impossibles
à contrôler, les membres révulsés, ils crient, rongés par le feu
intérieur... Le malade succombe dans les premiers jours à une
intoxication majeure, par contre, la guérison peut être très
rapide s'il cesse de manger du pain infecté... Le Feu-Saint-Antoine,
le Feu Sacré, le Mal des Ardents : noms divers donnés à des
épidémies dues à l'ingestion, le plus souvent en temps de disette,
de farines contaminées par l'ergot du seigle.
La
légende du Saint-Cierge commence en 1105, alors que le feu de Saint
Antoine, également appelé « le mal des ardents »,
ravage la population d’Arras. Cette terrible épidémie provient
d’un empoisonnement du pain et se caractérise par des
vomissements, diarrhées, hallucinations pouvant aller jusqu’à la
mort. Afin de contrer ce mal, la population implore et prie la Vierge
Marie... C'est un toxique responsable au cours des temps de
nombreuses épidémies.
Le
« mal des ardents » a sévi à plusieurs reprises sous
forme épidémique dans certaines provinces de France, en Allemagne,
en Espagne et en Sicile, du Xe au XIIe siècle. La dernière
en France a eu lieu voici une trentaine d'années, à Pont Saint
Esprit dans le Gard, en plein XXe siècle.
Maux
de ventre, convulsions, frissons suivis de chaleurs, délire,
prostration, douleurs violentes à la tête et aux reins, indurations
et abcès des glandes axillaires et inguinales, gangrène des
extrémités brûlures internes, se succèdent tandis que se produit
une élévation ou, au contraire, une baisse de tension
artérielle...... Il n'existe pas d'antidote...
L'ordre
religieux des Antonins s'est fait une spécialité de soigner les
malades qui en sont atteints.
RELIQUAIRE |
Cette confrérie qui subsiste encore de nos jours, a perdu son éclat primitif ; elle garde en souvenir un cartulaire manuscrit bien ancien et presque indéchiffrable, qui contient les noms d'un grand nombre de confrères depuis plusieurs siècles. Afin de se remémorer le miracle du Saint-Cierge, une grande procession a lieu chaque année, au cours de laquelle un cierge est rallumé.
On ne tarde pas à appeler le cierge miraculeux de Sainte Chandelle ou « Joyel ». Quelques gouttes de sa cire, répandues dans l'eau, donnent à celle-ci des vertus curatives merveilleuses qui arrêtent l'épidémie du « mal des ardents » Au XIIIe siècle, afin de protéger et de conserver les restes du Saint-Cierge, la confrérie des jongleurs de Notre-Dame-des-Ardents commande un reliquaire... Celui-ci évoque la forme de l’objet qu’il contient, en l’occurrence ici un cierge. La custode est composée du bas vers le haut : d’un socle, d’une première frise représentant des animaux fantastiques, de petites baies permettant d’apercevoir le Saint-Cierge et d’une seconde frise composée d’animaux fantastiques et de végétaux. Vient ensuite la représentation de la Vierge, de l’évêque Lambert de Guînes et des deux ménestrels. Des frises d’argent niellé et d’argent sculpté s’embrassent pour se terminer par le bouton et le nœud.
« Cependant, dit la tradition, la Sainte Chandelle, loin de se consumer et de diminuer de volume par l'usage si fréquent que l'on en fait pour bénir l'eau destinée aux malades, semble, au contraire, comme autrefois l'huile dans les vaisseaux d’Élisée, s'accroître en volume, et de toutes les gouttes versées dans l'eau, ou de celles que l'on a fait tomber à dessein, ont été formés plusieurs cierges dont les villes voisines ont été dotées.
D'ailleurs, d'anciens auteurs prétendent que parfois l'eau sur laquelle sont répandues des gouttes de cette cire se coagule aussi toute entière et, qu'ajoutée à d'autre cire étrangère, elle forme de belles chandelles qui, elles aussi, jouissent souvent des mêmes propriétés que celle d'Arras.
« C'est ainsi que vers 1115, l'évêque Lambert, ancien chantre de Saint-Pierre à Lille, envoie à cette église un des précieux joyaux qui donne bientôt naissance à une Confrérie qui prend un grand développement.
La Sainte Chandelle est ensuite déposée dans l'église Saint-Aubert pendant deux ans, de là on la transfère dans la chapelle de l'hôpital Saint-Nicolas.
En l'an 1215 on construit sur une petite place une célèbre pyramide, par ordre, soins, libéralité, et munificence des comtes d'Artois.
Presqu'en même temps, cette faveur est accordée aux églises de Desvres, de Ruisseauville, de Blandecque, de Fleurbaix et de Bruges. Un siècle plus tard, en 1226, un avènement extraordinaire donne naissance au « Cierge des Petits Ardents d'Arras ». En 1285, un autre est accordé au monastère de Groningue à Courtray, à la prière de Béatrix, duchesse de Brabant.
LA CHAPELLE DU SAINT CIERGE |
A
la suite du miracle, une confrérie des jongleurs de Notre-Dame des
Ardents s'organise à Arras et des gouttes de la chandelle
miraculeuse sont distribuées et conservées dans des « custodes »
(reliquaires en argent, en forme de cierge), véritables « joyaux »
; c' est pourquoi Notre-Dame des Ardents est aussi surnommée
Notre-Dame du Joyel. Le
Ternois possède plusieurs de ces custodes, à Saint-Pol, à
Moncheaux, Œuf, Oblingem, Aire, Pecquencourt,
l'Hôtel-de-Ville et le monastère de Sainte-Catherine de Douai,
Zeninghem, Fauquembergue, Thienne, Wambercourt, Melun, Sangin, etc.,
etc., obtiennent plus tard, et successivement, le bonheur d'en
posséder, et partout se forment de pieuses associations, partout
s’élèvent de riches oratoires qui deviennent célèbres par les
nombreux pèlerinages auxquels ils donnent lieu, et aussi, s'il faut
en croire les chroniques, par les miracles qui s'y opèrent ».
C'est
dans cette pyramide si belle, chef-d'œuvre d'architecture gothique,
et qui, jusqu'à sa démolition en 1791, a toujours fait l'admiration
des étrangers, qu'a été déposé le cierge merveilleux.
En 1130, Saint Bernard est venu exprès à Arras pour voir le Saint Cierge, une croix de fer érigée par les religieux de l'abbaye où il est logé, en mémoire de la joie et satisfaction qu'il a ressenties à l'aspect de ce flambeau céleste, se voit près du mur qui renferme le terrain de l'abbaye de Saint-Waast.
Vers l'an 1320, la comtesse de Bourgogne et d'Artois Mahaut, fait présent d'une riche châsse en argent émaillé, dans laquelle est renfermée la Sainte Chandelle, et, en 1420, Jean Sasquépée fait couvrir cette châsse d'une riche custode de cuivre chargée de sculptures. Le même Sasquépée, mayeur d'Arras, conseiller des ducs de Bourgogne et seigneur de Beaudimont, fait ajouter, en 1422, à cette pyramide, une belle chapelle gothique dans laquelle il fonde une messe quotidienne à perpétuité. Ce monument est remplacé à cause de sa vétusté par un autre tout-à-fait semblable, en 1447...
Cette chapelle, ruinée par une bombe pendant le siège d'Arras, en 1640, est rebâtie en 1656...
Arras (Robespierre en est issu) est une des villes de France qui ont le plus souffert de la révolution de 1793 le torrent dévastateur qui passe sur notre patrie, impose principalement sur elle son cachet destructeur... Elle voit s'écrouler ses plus beaux monuments, elle perd toutes ses églises, une seule exceptée, et la moins belle peut-être... Sa cathédrale avec ses immenses richesses en objets d'art et sculptures est renversée, les monuments même qui par leur magnificence et l'antiquité de leur origine, semblent être doublement intéressants, ne sont pas respectés. La chapelle de la Sainte Chandelle d'Arras, érigée au XIIe siècle, afin de conserver le cierge miraculeux que la « Vierge avait apporté aux Atrébates (tribu Gauloise d'Artois) pour les guérir d'une contagion qui faisait au milieu d'eux un grand nombre de victimes.
En
1789, les révolutionnaires souhaitent fondre le reliquaire mais
celui-ci est caché puis retrouvé dans un puits par les
révolutionnaires. Un Arrageois le sauve de nouveau en le cachant
dans une fausse porte...
L'église Notre Dame des Ardents est reconstruite sur le site de l'ancien Arsenal et achevée en 1876. l’architecte en est Clovis Normand... Mgr Lequette (évêque d'Arras de 1866 à 1882) souhaite un lieu digne de recevoir de façon définitive le reliquaire de la Sainte Chandelle...
Depuis la veille du saint-sacrement jusqu'au dimanche suivant, la ville d'Arras célèbre une fête consacrée au souvenir de cet événement, le conseil et la cour d'Artois, les établissements et bureaux publics prennent vacance, chaque jour on transporte en procession la Sainte Chandelle. On la porte en pompe à la cathédrale, et un vieux tableau peint sur bois nous montre encore l'ordonnance de cette solennité. Pendant ces fêtes, la Sainte Chandelle est allumée deux heures...
Cette
histoire de la Sainte Chandelle qui est gravée dans l'église
Notre-Dame, près de l'autel où la Vierge l'a remise en présence de
l'évêque Lambert de Guînes, a été publiée dès l'an 1153, par
Aluise, évêque d'Arras, Asson, autre évêque, en fait une nouvelle
rédaction en 1341. En 1349, le pape Clément V la fait enregistrer
par les notaires du Saint Siège. Ainsi que Gazet, curé de la
Madeleine, à Arras, vers la fin du XVIIe siècle Tous les
chroniqueurs, tous les auteurs contemporains en font mention. Enfin,
les souverains pontifes Innocent VIII, Clément VIII, Paul V, et plus
tard Innocent X, accordent de nombreuses indulgences aux « confrères
des Ardents » et aux fidèles qui vont visiter la Sainte
Relique. Plusieurs de ces bulles ont été conservées dans de vieux
manuscrits.
La
statue de Notre Dame des Ardents qui surplombe la Ville de Saint Pol
sur Ternoise n'est érigée qu’au XXe siècle, le 17 novembre
1963. Son auteur est le sculpteur De Coëtlogon... Au bas de l’autel,
une pierre du XVIIe siècle provient de l’ancienne église
paroissiale située place Lebel.
Saint-Pol a toujours gardé le souvenir de ce fait, de cet insigne honneur fait à l'un de ses enfants. Autour de 1900, dit-on, une neuvaine très suivie se célèbre chaque année. Cette attention délicate, maternelle de Marie pour un enfant de Saint-Pol mérite de frapper tous les regards. C'est ainsi que naît, vers la fin des années 50, l'idée d'ériger une statue à l'emplacement de la chapelle de l'ancien château de Sant-Pol, sur la motte du Mont...
NOTRE DAME DES ARDENTS |
C'est sous le signe de Notre-Dame des Ardents que sera placée la grande solennité du 15 août 1963 revêtant une ampleur exceptionnelle et attirant à Sant-Pol de nombreux visiteurs. Voilà ce qu'annonçait notre journal. Continuons... « Cette manifestation religieuse débutera à 20 h 30 par une procession aux flambeaux qui parcourra le quartier de la place du Général-Leclerc et de la rue d'Arras. Puis se déroulera, sur la place de l'église, brillamment illuminée et magnifiquement décorée, un grandiose « Son et Lumière » dont les acteurs évolueront sur un vaste podium disposé sur le parvis même de l'église. Une troupe féminine de Saint-Omer interprétera un grand jeu scénique et chorégraphique intitulé « De la Pentecôte à Vatican II ». Ce jeu met en relief la présence de la Reine des Apôtres dans cette nouvelle Pentecôte qu'est le concile œcuménique Vatican II, il tend à contribuer à faire entendre le message adressé au monde par les pères du Concile, message de paix et d'amour destiné à tous les hommes...
La bénédiction de la statue de Notre-Dame des Ardents qui, des hauteurs du Mont, domine toute la ville, donne lieu, le dimanche 17 novembre 1963, à une cérémonie d'une grande simplicité mais émouvante. Une courte procession est organisée de l'église au piédestal de la statue où la cérémonie ne prend que quelques minutes à cause du temps. Auparavant, la grand-messe de 11 h 30 a attiré, pour la circonstance, une foule très nombreuse dont une partie doit prendre place dans les tribunes. L'office est chanté par M. l'abbé Pentel, architecte de la Commission diocésaine d'art sacré. Après l'évangile, les fidèles entendent le sermon de M. le vicaire général Wecxsteen, archidiacre de Saint-Pol, qui met en lumière la signification profonde de l'érection de la statue. Dans le chœur, on note la présence du Révérend Père. Dom Alexis, en résidence à l'Abbaye de Belval, M. le chanoine Mesmacre, archiprêtre de Saint-Pol, M. le chanoine Bridoux, M. l'abbé Bellangez, supérieur de Saint-Louis, M. l'abbé Leleu, vicaire de la paroisse...
LA VIERGE MARIE L’ÉVÊQUE ET LES MÉNESTRELS |
Le Miracle des Ardents - Saint Pol sur Ternoise
huclb.free.fr/ardents.html
Cette
statue de Notre
Dame des Ardents,
située sur le côté du site du ... Au temps où Lambert était
évêque d'Arras, vers l' an 1105,
les habitants de cette ville et ...
www.patrimoine-histoire.fr/.../Arras/Arras-Notre-Dame-des-Ardents.htm
Notre-Dame
des Ardents
a été achevée en 1876. Elle est en style ... En 1105,
144 malades souffrent du Mal des Ardents dans la cathédrale
d'Arras.
21 mai - France. Arras, Notre Dame des Ardents (1105 ...
fr-fr.facebook.com/note.php?note_id=10150891025757092
21
mai - France. Arras, Notre
Dame des Ardents
(1105)
- Notre Dame de Vladimir. 21 mai 2012, 00:08. L'icône de Vladimir
protège la Russie. Trésor de la ...
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06/05/14
Le Miracle des Ardents - Saint Pol sur Ternoise
huclb.free.fr/ardents.html
Cette
statue de Notre
Dame des Ardents,
située sur le côté du site du ... Au temps où Lambert était
évêque d'Arras, vers l' an 1105,
les habitants de cette ville et ...
Le Magasin universel
books.google.fr/books?id=oxPmAAAAMAAJ
1839
La
maladie des Ardents (1) faisait à Arras de terribles ravages ; pas
une famille ... Le 21 mai 1105,
Itier vit en songe une femme d'éclatante beauté, qui lui ... de
Notre-Dame-des-
Ardents
; elle fut approuvée par les bulles du pape Gélase, ...
Ma chère Chantal, je lis avec plaisir les nombreux et très intéressants approfondissements que vous avez soigneusement rassemblés sur cette apparition de Notre Dame des Ardents évoquée aussi par Mireille..
RépondreSupprimerAmitiés
Bonjour Lisa, en effet les hasard de l'histoire m' a fait croiser le récit du notre amie, et j'ai pensé que cela serait complémentaire.
RépondreSupprimeret voilà encore une sottise "m'ont fait croiser"
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