Cette
page concerne l'année 1096
du calendrier julien.
Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne
peut s'agir que d'un survol !
LA
CROISADE DES PAUVRES GENS.
LE SAINT SEPULCRE |
Le 19 août 1071, tout bascule avec la victoire des Turcs sur les armées Byzantines à Malazgerd. L'empereur Byzantin Romain Diogène est fait prisonnier... Les Turcs s'emparent de Jérusalem, jusque là sous l'autorité des Arabes fatimides d'Égypte... En dix ans, tirant parti des dissensions au sein des troupes chrétiennes, les Turcs enlèvent aussi l'Asie mineure aux Byzantins. Constantinople, la capitale de l'empire Byzantin, n'est pas loin de tomber entre leurs mains.
En accourant à l'aide des chrétiens orientaux, les croisés d'Occident vont repousser de 4 siècles la chute de Constantinople.
L'appel du pape tombe à pic et obtient un écho inespéré. C'est que la « chrétienté » (ainsi appelle-t-on alors l'Europe occidentale), encore fragile et fruste, beaucoup moins avancée que les empires Byzantin ou Arabe, garde le souvenir des invasions Hongroises et Sarrasines du siècle précédent. Mais elle déborde d'énergie et commence à se sentir à l'étroit dans ses terres du bout du monde.
En 638, lorsque les musulmans s'emparent de Jérusalem, les pèlerinages continuent comme si de rien n'était... Il est vrai qu'ils assurent des revenus importants aux Orientaux et ceux-ci ont soin de les protéger... Sous le règne des califes abbassides de Bagdad, des monastères relais se multiplient sur les routes des pèlerins pour apporter aide et secours à ceux-ci. L'aspiration au salut éternel pousse tant les nobles que les paysans sur les routes de la Terre Sainte.
L'idée de combattre les infidèles n'est pas nouvelle. Dès l'époque de Charlemagne, 3 siècles plus tôt, les guerriers Francs ont été nombreux à partir combattre les musulmans au-delà des Pyrénées, aux côtés des chrétiens d'Espagne. Vers l'an 880, le pape Jean VIII leur a apporté sa caution en expliquant dans une lettre, en contrepoint à la « Guerre Sainte » pratiquée par les musulmans, que les guerriers morts en combattant les païens ou les infidèles seraient assurés d'accéder à la vie éternelle.
En Europe, la tradition des pèlerinages remonte au lendemain du règne de l'empereur Romain Julien l'Apostat (IVe siècle) : les fidèles désirent se rendre sur les lieux où Jésus a vécu et partent à pied sans se soucier du temps qu'ils mettront ni des souffrances qui les attendent... Ils veulent mettre en pratique les paroles du Christ : « Quiconque abandonnera son père, sa mère, son épouse, ses enfants et ses champs à cause de moi, recevra le centuple et possédera la vie éternelle ».
Dans
l’empire Byzantin l’empereur Constantin a instauré le
christianisme comme religion officielle, et a fait édifier à
Jérusalem, sur le tombeau du Christ, la basilique du Saint Sépulcre.
Jérusalem et le Saint Sépulcre sont ainsi devenus les plus
importants symbole de la chrétienté, attirant tous les pèlerins
vers la Terre Sainte. Au VIIe siècle les musulmans, partis d’Arabie
Saoudite, envahissent toute cette partie du Moyen Orient et occupent
Jérusalem. Ils accordent aux juifs et aux chrétiens le statut de
dhimmi (les protégés) et s’engagent à reconnaître à ces
derniers le droit de pratiquer leur religion, mais sous certaines
conditions, notamment :
Ils
doivent payer une taxe spéciale,
Ils
n’ont pas le droit de construire ou même d’entretenir leurs
lieux de culte
Il
leur est interdit de mettre des selles sur leurs chevaux, de porter
l’épée, de vendre des boissons fermentées.
Ils
doivent tondre le devant de leur tête et s’habiller toujours de la
même manière, etc...
La
discrimination envers les chrétiens et le mauvais état du Saint
Sépulcre, faute d’entretien, initialisent l’idée d’une guerre
pour aller délivrer Jérusalem des musulmans.
PIERRE L'ERMITE |
Le
Saint-Sépulcre (le tombeau du Christ à Jérusalem) a été détruit
en 1009, sur ordre du sultan fatimide d'Égypte El-Hakim, dans un
accès de fanatisme.
En
1054, par exemple, on dénombre 3.000 pèlerins de Picardie et de
Flandre qui n'hésitent pas à affronter les dangers de la route et
les attaques des Bédouins. En 1064, plusieurs centaines de pèlerins
Allemands, moins chanceux, conduits par l'évêque Gunther de
Blamberg, sont massacrés par les Bédouins.Plus gravement encore, la Palestine a été occupée en 1071 par les Turcs Seldjoukides, lesquels empêchent depuis lors les pèlerins d'aller faire leurs dévotions à Jérusalem... De son côté, l'empereur chrétien de Byzance bien qu'en froid avec le pape, attend une aide militaire urgente pour résister à la pression Turque... C'est pour les chrétiens d'Occident autant de raisons de prendre la route de Jérusalem, selon une tradition déjà bien établie.
Personnage énigmatique de cette fin du XIe siècle, personne ne connaît exactement les origines de Pierre l'Ermite... Nous le retrouvons en France en 1095, où il prêche à qui veut bien l'entendre que les Lieux Saints sont en danger, que les chrétiens sont assassinés.
La légende raconte, à son sujet, que lors de son pèlerinage à Jérusalem, le Christ lui est apparu en songe en lui demandant d'aller trouver le Pape pour qu'il organise la délivrance des Lieux Saints.
Suite à l'appel d'Urbain II, les paysans partent les premiers, par milliers, sans autres armes que leur foi. Ils suivent un apôtre d'Amiens quelque peu fanatique, Pierre l'Ermite, et un simple chevalier, Gautier-sans-Avoir.
Ces pèlerins, comme la plupart de leurs contemporains, n'ont guère conscience du temps historique. Ils se figurent le Christ comme à peine antérieur à eux et sont enclins à reconnaître ses meurtriers dans les juifs de rencontre. C'est ainsi que certains égarés, sous la conduite de chefs peu recommandables, se livrent à des massacres de juifs en Rhénanie, malgré la défense des évêques, et commettent des pillages jusqu'en Hongrie.
Avant que le pape n'organise quoique ce soit, voici Pierre l'Ermite entouré de milliers d'hommes, femmes et enfants qui se mettent en marche vers Jérusalem. En Avril 1096, 15 000 pèlerins arrivent en vue de Cologne...
PIERRE L'ERMITE PRÊCHANT |
Ces
troupes, mal organisées et mal encadrées pour constituer une menace
importante sont relativement bien accueillies par le Basileus Alexis
Comnène qui autorise Gauthier Sans Avoir à camper sous les murs de
Constantinople pour attendre l'arrivée de Pierre l'Ermite, parti
vers la mi-avril de Cologne.
Celui-ci traverse également l'Empire et le Royaume de Hongrie où il est régulièrement ravitaillé par les seigneurs Germaniques et le roi Coloman. Mais juste avant d'entrer en territoire Byzantin, la troupe de Pierre l'Ermite prend d'assaut la ville de Semlin, et tue près de 4 000 Hongrois à cause d'un problème d'achat de provisions...
Celui-ci traverse également l'Empire et le Royaume de Hongrie où il est régulièrement ravitaillé par les seigneurs Germaniques et le roi Coloman. Mais juste avant d'entrer en territoire Byzantin, la troupe de Pierre l'Ermite prend d'assaut la ville de Semlin, et tue près de 4 000 Hongrois à cause d'un problème d'achat de provisions...
Le
gouverneur Byzantin Niketas tente de contrôler et de guider cette
troupe encore plus indisciplinée que la précédente, mais n'y
parvenant pas, il se décide à se retirer sur Nish, laissant
Belgrade ouverte au pillage des pèlerins Francs. Au début juillet,
Pierre l'Ermite et sa troupe arrivent devant Nish et Niketas consent
à les ravitailler pour qu'ils s'éloignent le plus rapidement
possible... Malgré les promesses, les pèlerins pillent et saccagent
les faubourgs de la ville.
GAUTHIER SANS AVOIR |
Devant
cet acte odieux, Niketas lève une armée et massacre plusieurs
milliers de pèlerins... Devant Sofia, Pierre l'Ermite rencontre les
envoyés d'Alexis Comnène qui lui imposent des conditions pour
garantir la suite de son voyage. Pierre l'Ermite respecte ces
conditions et arrive devant Constantinople vers le 03 août rejoint
ainsi la troupe de Gautier Sans Avoir qui l'attend depuis près de
trois semaines...
Pour
éviter de nouveaux pillages, Alexis ravitaille cette imposante armée
disparate et consent à lui faire traverser le Bosphore le plus vite
possible. Le 07 août, la flotte Byzantine fait traverser les
pèlerins et Alexis Comnène les assigne à résidence devant la
place forte de Civitot (Kibotos) pour attendre l'arrivée des troupes
commandées par les Barons qui viennent de se mettre en marche.La proximité de la frontière Turque, Nicée n'est qu'à 35 km au sud-est, provoque un attrait irrésistible chez ces pèlerins et, ni Pierre l'Ermite, ni Gautier Sans Avoir, ne peuvent les empêcher d'aller piller les terres appartenant aux Seljûqides... Renaud, un des lieutenants de Gautier Sans Avoir parvient même à enlever aux Seljûqides le château de Xérigordon à la fin du mois de septembre... Les Turcs le reprennent après deux semaines de siège et massacrent tous les occupants chrétiens. Pierre l'Ermite, dans l'impossibilité de contrôler cette troupe, la quitte et revient à Constantinople, près de l'Empereur Alexis Comnène.
Le 21 octobre, les 25 000 pèlerins restant à Civitot se dirigent vers Nicée, encadrés par moins de 500 chevaliers. Quelques kilomètres plus loin, ils sont assaillis et massacrés par les forces de Qilij Arslân ibn Sulaîmân, l'émir d'Anatolie... Moins de 3 000 hommes parviendront à revenir se réfugier dans Civitot qui est aussitôt assiégée par les Sejûqides. Le débarquement de renforts Byzantins commandés par Euphorbenos Katakalon brise le siège et permet l'évacuation des rescapés vers Constantinople.
Durant l'été, le passage des bandes disparates et indisciplinées de Pierre l'Ermite et de Gautier Sans Avoir fait des émules dans l'Empire Germanique. Ainsi, on voit un certain Volkmar se mettre à la tête de quelques milliers de pèlerins brigands traverser l'Empire et arriver à Prague où ils massacrent tous les juifs de la ville. Ils sont à leur tour exterminés à leur arrivée en Hongrie par l'armée de Coloman... Un autre groupe de pèlerins pillards, dirigé par un certain Gottschalk, subit le même destin funeste, ils sont également exterminés par l'armée Hongroise... Le dernier groupe de pillards, dirigé par un chevalier brigand de Rhénanie, Emich de Leisingen, commence sa propre croisade en massacrant les juifs dans toutes les villes Rhénanes qu'il traverse (Mayence, Cologne, Trêves, Worms), même si ceux-ci se mettent sous la protection des prélats catholiques... A nouveau, le roi Coloman met un terme à cette vague de pillage et de meurtre en massacrant impitoyablement les membres de cette troupe.
Un
autre facteur est le fait qu’en 1086 la reconquête par les
chrétiens de l’Espagne est brutalement stoppée par l’armée
musulmane. La chrétienté semble vaincue en Orient et en Occident.
Le
pape commence par faire parler un moine, « Pierre l’Ermite »,
originaire du diocèse d’Amiens, et qui rentre de Terre Sainte. Il
raconte donc ce qu’il a vu au cours de son pèlerinage : les
problèmes qu’y rencontrent les chrétiens, l’état de
déliquescence dans lequel est la Palestine, etc... Tous
s’enthousiasment en entendant ce discours, et il est alors décidé
de monter une expédition à laquelle tous participeront, chevaliers,
paysans, brigands, moines, etc...
Tous
n’ont qu’une idée en tête : combattre les musulmans et
délivrer le tombeau du Christ. L'enthousiasme pour la croisade est
énorme : des dizaines de milliers de personnes, y compris les
femmes, les vieillards, les enfants, se déclarent prêtes à partir
libérer le Saint-Sépulcre. La ferveur religieuse est le moteur
principal de cet immense élan... Mais d'autres facteurs alimentent
aussi l’ enthousiasme. Le pape délivre serviteurs et vassaux de
leur serment de fidélité envers leurs seigneurs durant toute la
période de la croisade... C'est une aubaine pour des centaines de
petits vassaux, mais encore plus pour des milliers de paysans et de
serfs, pour lesquelles la croisade est l'occasion inespérée de
sortir de leur condition et de devenir riches.
L'indulgence
plénière, c'est-à-dire le pardon de tous les péchés qu'ils ont
commis, est en outre accordé aux croisés.
PARCOURS DE LA CROISADE DES PAUVRES GENS |
Des
villages entiers sont partis à pied pour se rendre en Orient. C'est
une croisade populaire de paysans mal armés et peu organisés. A
Constantinople, à l'époque une des plus belles villes du monde, la
population est affolée de voir cette cohorte de misérables venue de
l'autre côté du continent... On ne les laisse pas entrer en ville,
et après avoir franchi le Bosphore ils se font tous massacrer par
les Turcs. On compte 12 000 morts.
La
vraie croisade, celle des nobles et chevaliers, arrive à
Constantinople en mai 1097. Deux ans plus tard ils mettent le siège
devant Jérusalem et réussissent à prendre la cité en juillet
1099...
Ce
petit résumé ne peut rendre justice à l’histoire étonnante,
aujourd’hui presque incroyable, de la première croisade. Il faut
imaginer ce que pouvait représenter, au XIe siècle, un voyage à
pied ou à cheval, depuis l’Auvergne ou la Lorraine jusqu’à la
Palestine... (En librairie on peut trouver de beaux livres sur le
sujet, par exemple « La première croisade » de Jacques
Heers « Poche »).Pendant ce temps le pape d'une part, les grands seigneurs Francs de l'autre, poursuivent l'accomplissement de leurs projets et achèvent leurs préparatifs. Le pape parcourt la Provence le Languedoc l'Aquitaine, il célèbre un concile à Tours au commencement de mars, et après avoir visité Angers, Poitiers, Toulouse, Maguelonne, il en célèbre un autre à Nîmes.
PIERRE L'ERMITE |
Pierre
l'Ermite, parfois appelé Pierre le Petit, Pierre d'Achères ou
Pierre d'Amiens, ascète, fondateur d'un monastère, croisé, et
prédicateur dont l'influence est considérable, on le considère
comme l'un des principaux instigateurs de la première croisade. On
rapporte qu'il se rendit en Terre sainte vers 1093, avant toute
croisade. Lorsque Urbain II proclame la croisade au concile de
Clermont, en novembre 1095, Pierre commence à la prêcher...
Gauthier-Sans
-Avoir, seigneur de Poissy, mort en 1096. Un des chefs de la première
Croisade, succède à son oncle, Gautier de Pexejo, chevalier
Espagnol, mort en Bulgarie, dans le commandement de l'avant-garde de
l'armée de Pierre l'Ermite. Il périt avec tous ses compagnons
devant Nicée, victime d'une entreprise présomptueuse à laquelle il
s'était opposé en vain.
Pierre
l'Ermite, parfois appelé Pierre le Petit, Pierre d'Achères ou
Pierre d'Amiens, ascète, fondateur d'un monastère, croisé, et
prédicateur dont l'influence est considérable, on le considère
comme l'un des principaux instigateurs de la première croisade. On
rapporte qu'il se rendit en Terre sainte vers 1093, avant toute
croisade. Lorsque Urbain II proclame la croisade au concile de
Clermont, en novembre 1095, Pierre commence à la prêcher...
Guillaume
de Tyr désigne Gauthier par le surnom de Sensaveir : Quidam
Gualterus, cognomento Sensaveir, vir nobills et in armis strenuus
(Lib. 1, apud Bongars, p. 642). Les autres historiens emploient pour
le désigner les mots sine habere, sine pecuniâ. Les vieilles
chroniques Françaises l'appellent sens avehor, senz aveir. Il ne
faut pas croire que ce surnom est alors très-rare. Orderic Vital le
donne à un certain Hugues qui se croise en 1106 (Hist. de France, de
Dom Bouquet, t. XII, p. 667). Peut-être c'est là le surnom de tous
ceux qui, n'ayant plus de fief, sont considérés comme « sans
avoir » dans le système féodal. G
CIVITOT |
Pierre
l'Ermite, parfois appelé Pierre le Petit, Pierre d'Achères ou
Pierre d'Amiens, ascète, fondateur d'un monastère, croisé, et
prédicateur dont l'influence est considérable, on le considère
comme l'un des principaux instigateurs de la première croisade. On
rapporte qu'il se rendit en Terre sainte vers 1093, avant toute
croisade. Lorsque Urbain II proclame la croisade au concile de
Clermont, en novembre 1095, Pierre commence à la prêcher...
authier est un gentilhomme
Bourguignon. Quelques historiens disent qu'un oncle de Gauthier Sans
Avoir, a été nommé lieutenant de Pierre l'Ermite, et que Gauthier
n'a reçu le commandement qu'après la mort de son oncle, en entrant
sur le territoire des Bulgares.
Gautier
Sans-Avoir
— Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Gautier_Sans-Avoir
Gautier
Sans-Avoir,
mort en 1096,
est, avec Pierre l'Ermite, un des chefs de la croisade populaire,
partie en avant-garde de la première croisade bien avant la ...
La croisade populaire (1096) - Projet Beaucéant
www.templiers.org/croisadepopulaire.php
La
croisade populaire de Pierre l'Ermite et de Gautier
sans Avoir.
La croisade populaire arrive à Constantinople - 1 août 1096 ...
www.linternaute.com
› ... › La
croisade populaire arrive à Constantinople
La
croisade populaire arrive à Constantinople, le 1 août 1096
: "Guidée par Pierre l'Ermite et Gautier
Sans Avoir,
une foule de croisés issus du peuple atteint les ...
Histoire des Français
books.google.fr/books?id=gYBAAAAAcAAJ
et
un chevalier normand connu sous le nom de 1096.
Gauthier
sans avoir,
se chargèrent de la pénible tâche de conduire à la Terre-Sainte
toute la multitude ...
C'est toujours d'actualité de nos jours mais sous une autre forme ! Voici les réflexions de saint Thomas d'Aquin : "Dieu ne tolère le mal que pour en faire sortir quelque chose de mieux", ou encore il dit ceci également "Aucune souffrance n'est dénuée de sens. Elle est toujours fondée sur la sagesse de Dieu" allez comprendre ! ! Oui les dessins de Dieu sont impénétrables, des mises à l'épreuve ? Voir si les hommes lui sont fidèles ? Je ne sais ! Mais je n'ai pas à choisir je sais
RépondreSupprimerce que je veux et qui je veux suivre aussi bien que possible ! Bonne soirée et merci pour ce long travail. Bien à vous M
Ce qui me gêne le plus dans ces grands mouvements de foule c'est que souvent même si la cause est noble les dessins des "organisateurs" n'est pas toujours si noble que cela, et que les suiveurs et adeptes ne sont pas si "catholique" que cela.... Une fois la meute lancée on ne peut savoir où elle s'arrêtera.
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