Cette
page concerne l'année 1095
du calendrier julien.
Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne
peut s'agir que d'un survol !
LA
VIE ÉDIFIANTE DE
SAINT LADISLAS Ier ROI DE HONGRIE
László,
Lazlo ou Lancelot... Saint-Ladislas Ier Árpád (hongrois né vers
1040 en Pologne) roi de Hongrie de 1077 à 1095 (couronné d'abord en
1077, puis en 1081 avec la Sainte Couronne)... Canonisé par l'Église
Catholique sous le nom de Saint-Ladislas de Hongrie durant le règne
de Béla III.
Sa
famille règne sur la Hongrie du Xe au XIVe siècle, fils de Béla et
frère de Geysa ; André, son oncle qui a la couronne
royale, n'a pas d'enfants. Il fait de Ladislas son héritier.... Plus
tard, André a un fils inattendu, Salomon, la Hongrie connaît alors
5 rois en 17 ans : André, Béla, Salomon, Geysa et enfin
Ladislas. Vont succéder sur le trône, son oncle, son père, son
cousin et son frère.
Saint
Ladislas est appelé sur le trône de Hongrie, en l'an 1080, par la
libre volonté du peuple. Bien différent de la plupart des puissants
de ce monde, qui n'aspirent qu'aux grandeurs passagères, Ladislas ne
recherche que la vraie grandeur, celle que l'on acquiert par la
vertu. Dès sa jeunesse il est admiré de tout le monde pour sa
chasteté, sa modestie, sa piété, sa tendresse envers les pauvres.
Son
règne est relativement calme, en 19 ans, il ajoute à ses États, la
Dalmatie et la Croatie, il fonde des monastères et se montre
le père de son peuple, ami des pauvres, protecteur des malheureux...
Sage et vertueux, juste et magnanime. Il meurt à Waradin le 30 juillet 1095, à 44 ans. Tant aimé de son peuple, qu' il devient, après sa mort, une figure légendaire... Les miracles sur son tombeau le font canoniser en 1198/1199. Le 27 juin est l'anniversaire de la translation de ses reliques....
Sage et vertueux, juste et magnanime. Il meurt à Waradin le 30 juillet 1095, à 44 ans. Tant aimé de son peuple, qu' il devient, après sa mort, une figure légendaire... Les miracles sur son tombeau le font canoniser en 1198/1199. Le 27 juin est l'anniversaire de la translation de ses reliques....
Durant
son règne en rétablissant dans ses États les lois chrétiennes
édictées par Saint Étienne, il corrige les mœurs, donnant
lui-même l’exemple des vertus et, faisant de même pour la Croatie
lorsqu'elle est réunie à la Hongrie... Il disparaît alors qu’il
va réprimer une révolte des Bohèmes...
Il mène une politique de grandeur et d'expansion territoriale en Croatie. Victorieux contre les Petchenègues et les Coumans (en hongrois : kunok), la Slavonie et la Croatie sont conquises et l’évêché de Zagreb est fondé (la Hongrie obtient un accès à l’Adriatique)... Ce grand législateur, promulgue des lois particulièrement sévères contre le vol, (puni de mort)., loi qui seront seront adoucies par son successeur Koloman. De plus, ses lois dirigent le peuple vers les droits Européens, dans la mesure où elles gardent et défendent la propriété privée. Grâce à cette tendance, une migration commence dans le pays vers les territoires moins peuplés... C'est l'un des souverains Hongrois les plus célèbres, avec son ancêtre Saint Étienne Ier... Ce grand roi, Dieu l'a rendu plus illustre encore par d'insignes miracles. On sait peu de chose des vertus chrétiennes qu'il a pratiquées pendant sa vie, suffisamment cependant pour dire que relevé devant Dieu par sa sainteté, il l'a été devant les hommes par le gouvernement exemplaire de ses États.
Bien qu'il ne descend pas en ligne directe de Saint Étienne, roi et apôtre de Hongrie, mais de Ladislas, dit le Chauve, (son cousin-germain), père de Béla, lui même père de Ladislas Ier le Pieux... Béla quelque temps fugitif en Pologne, pour éviter la cruauté de Pierre le Germanique, gendre de Saint Étienne, que les Hongrois ont nommé roi... André, son frère aîné et oncle de Saint Ladislas, étant monté sur le trône, son père rentre au pays, et reprend son titre de duc... En Pologne Béla a épousé, la fille de Mesco, duc de ce royaume, dont il a 2 fils : Geiza, l'aîné, et Ladislas. L'éducation de ces 2 princes, tant en Pologne qu'en Hongrie, est si accomplie, qu'ils donnent, de grands présages des vertus qu'ils auront toute leur vie.
Ladislas voit avec douleur son père monter sur le trône... Celui-ci obtient la couronne en faisant la guerre au roi, son frère... Il est vrai qu'André a attenté à la vie de Béla, pour mieux assurer la couronne de Salomon, son fils, âgé de 12 ans, mais, Ladislas ne pense pas que ce soit un sujet suffisant pour que son prenne les armes contre son souverain... et il croit qu'en cette rencontre il doit faire seulement comme David qui, poursuivi par Saùl, s'est contenté de fuir et de se cacher, sans jamais attenter ni à sa couronne ni à sa vie...
Après
la mort de son père, il ne se laisse nullement aller à l'ambition
de régner, au contraire, il cède très volontiers cet honneur,
premièrement à Salomon, fils d'André, son cousin-germain, et en
second lieu à Geiza II, son frère aîné... l’accession à la
tête du royaume étant élective, il peut y prétendre par la
faveur de tous les gens de bien qui ont une grande affection pour
lui... Geiza ayant chassé Salomon, prince cruel et sanguinaire, qui
a mis tout à feu et à sang dans ses États, et lui-même étant
mort, après à peine 3 ans de règne tous les prélats, les
seigneurs et les magistrats des principales villes de Hongrie,
assemblés pour lui donner un successeur, supplient unanimement
Ladislas d'accepter la couronne et de prendre le gouvernement du
royaume... Il a en effet toutes les qualités du corps et de l'esprit
que l'on peut souhaiter dans un grand prince. Personne dans toute la
Hongrie, n'est plus grand,et n'a un port plus majestueux que lui, il
est capable de régler n'importe quelle affaire, en temps de paix ou
en temps de guerre, et il en supporte aisément toutes les
fatigues... Il reçoit tout le monde avec affabilité, le moindre de
ses vassaux à la liberté de l'approcher et de lui représenter son
droit. Il montre tant de modération dans ses jugements, qu'on le
regarde plutôt comme un père qui accommode quelque différend entre
ses enfants, que comme un prince qui juge souverainement les causes
de ses sujets, ce qui lui a fait donner le surnom de Pieux... La
qualité de fils et de frère de rois, ni celle de duc du premier
duché du royaume, ne l'empêchent pas de se rendre familier avec les
moins considérables de ses sujets, et de donner en toute occasion
des marques d'une humilité vraiment chrétienne...
Dans
tous les besoins de l’État, qui est souvent attaqué par les
barbares, on le voit toujours le premier à cheval pour le défendre,
et, allant lui-même à la tête des armées sans rien craindre, il y
remplit le devoir du plus brave soldat et du plus intrépide
capitaine... Pour épargner le sang humain, il convoque les généraux
des armées ennemies en combats singuliers dont il est toujours sorti
victorieux... Il demeure chaste, malgré les dangers auxquels sa
vertu est exposée dans les cours... pour lui la sobriété est la
compagne inséparable de la continence, et, si sa qualité de prince
l'oblige d'avoir une table bien servie, il n'y prend que ce qui lui
est absolument nécessaire pour vivre. Il jeûne même souvent,
couche sur la dure et fait d'autres mortifications pour dompter son
corps et l'empêcher de se révolter contre son esprit... S'il est si
sévère à l'égard de lui-même, personne n'est plus doux et plus
charitable que lui envers les nécessiteux.
Sa maison passe pour l'asile commun de tous les misérables, et, en effet, pas un n'en sort sans y avoir reçu quelque soulagement à sa misère... Les pauvres montrent de tous côtés les habits dont il les a revêtus et l'argent qu'il leur a donné.
Sa maison passe pour l'asile commun de tous les misérables, et, en effet, pas un n'en sort sans y avoir reçu quelque soulagement à sa misère... Les pauvres montrent de tous côtés les habits dont il les a revêtus et l'argent qu'il leur a donné.
Il
prend soin de la subsistance des veuves, des pupilles et des
orphelins, et leur fait distribuer de grandes aumônes.
Il
marie les pauvres filles qu'il voit en danger de perdre leur honneur.
Il
relève les familles ruinées par de fâcheux accidents.
En
un mot, on trouve auprès de lui secours et réconfort. Les églises
magnifiques qu'il a fait construire après la défaite de Salomon,
sont une marque évidente de sa piété envers Dieu, mais il l'a fait
paraître encore davantage en soutenant constamment par toute la
Hongrie la religion chrétienne, pour laquelle la plus grande partie
du peuple, et surtout des paysans accoutumés à leurs idoles,
n'avaient pas grande inclination...
Ce sont toutes ces précieuses qualités qui obligent les seigneurs Hongrois à lui présenter la couronne avec tant d'insistance... Cependant il leur résiste autant qu'il lui est possible... Il considère, d'un côté, que les rois sont exposés à une infinité de dangers... leurs obligations sont très grandes et les tentations importantes... De plus, il regrette d'avoir à prendre la charge de roi alors que Salomon, son cousin, souverain légitime, est en vie...
Cependant les Hongrois lui démontrent que, ce royaume étant électif ils ont eu le droit de le donner à qui ils veulent et qu'ils ont encore le droit de le préférer à ce prince cruel... Lequel ne peut gouverner sans mettre la Hongrie en combustion...et décident qu'ils n'auront pas d'autre roi que lui, il est donc enfin contraint de se rendre et d'accepter la couronne... gardant toute la modération digne d'un grand prince...
Durant
le reste de la vie de son cousin, il ne veut pas être couronné
montrant par là que, s'il est chargé de l'administration de l’État,
il n'en est pas encore le roi... Dès qu'il a rétabli la paix et la
piété dans le royaume, il n'épargne aucun moyen, ni divin, ni
humain, pour gagner l'esprit de Salomon, et pour lui faire quitter
cette humeur farouche et cruelle qui le fait redouter de tout le
monde ; des pensions suffisantes lui sont allouées pour son
entretient, il lui envoie souvent des prélats et des hommes d’État
qui doivent avoir du crédit sur son esprit, pour essayer de
l'adoucir et de lui faire prendre des inclinations de père pour les
peuples... étant prêt à lui rendre la couronne, à condition qu'il
accepte de changer de mœurs.
Hélas
ce prince, bien loin de correspondre aux saintes inclinations de
Ladislas, fait ce qu'il peut pour le détruire et lui dresse même
des embuscades où, sous prétexte d'un pourparler, il se propose de
le tuer... Cela oblige le roi Ladislas, averti de ses perfidies, de
s'assurer de sa personne... de le mettre en prison à Vizzegrad,
place forte de Hongrie. Mais sur le conseil d'une sainte religieuse
concernant sa décision peu chrétienne il lui rend sa liberté...
En effet celle-ci lui avait déclaré que c'était pour cela que la
pierre du tombeau de Saint Étienne renfermant son corps sacré était
demeurée immobile malgré son désir de faire transférer ses
reliques...
Malgré
tant de bonté ce roi destitué fomente des guerres contre les
princes voisins, se comportant plus en bandit qu'en grand
capitaine... Ayant été défait, il se voit contraint de s'enfuir
tout seul dans une épaisse forêt, d'où il ne revient point.... Les
historiens racontent que touché de l'esprit saint, il y passe
plusieurs années de solitude dans les larmes et les lamentations,
sans avoir d'autre lit que les feuilles, d'autre vêtement qu'un
cilice, quelques peaux de bêtes sauvages, et d'autre nourriture que
des herbes trouvées dans les bois, ou quelques pommes sauvages avec
l'eau croupie des marais... il y meurt dévotement... on l'enterre à
Pola, ville de l'Istrie.
Salomon étant disparu de cette manière, Ladislas peut gouverner ses États et promulguer de bons règlements... Ainsi il fait assembler un synode, où on fait en sa présence plusieurs belles ordonnances pour contenir ses sujets dans la justice et dans l'observance de la loi divine, elles sont rédigées en 3 livres par Bonfinius... Son exemple montre en toutes choses un encouragement aux Hongrois dans leur devoir, il n'ordonne rien qu'il ne fasse le premier, et il est si fidèle observateur de tous les commandements de Dieu et de l’Église, qu'on peut l'appeler « Loi Vivante »... Dans son palais ni jurement, ni blasphème, ni paroles déshonnêtes... les jeûnes ecclésiastiques y sont exactement observés, la vertu et la retenue y règne tant qu'il ressemble plus à une maison religieuse qu'à la cour d'un roi...
Salomon étant disparu de cette manière, Ladislas peut gouverner ses États et promulguer de bons règlements... Ainsi il fait assembler un synode, où on fait en sa présence plusieurs belles ordonnances pour contenir ses sujets dans la justice et dans l'observance de la loi divine, elles sont rédigées en 3 livres par Bonfinius... Son exemple montre en toutes choses un encouragement aux Hongrois dans leur devoir, il n'ordonne rien qu'il ne fasse le premier, et il est si fidèle observateur de tous les commandements de Dieu et de l’Église, qu'on peut l'appeler « Loi Vivante »... Dans son palais ni jurement, ni blasphème, ni paroles déshonnêtes... les jeûnes ecclésiastiques y sont exactement observés, la vertu et la retenue y règne tant qu'il ressemble plus à une maison religieuse qu'à la cour d'un roi...
Il
avait a fait bâtir des églises, où les louanges de Dieu sont
chantées... La plus célèbre la basilique de Notre-Dame de Varadin,
érigée en évêché... Sa miséricorde pour les nécessiteux,
augmentant en même temps que son gouvernement il s'ingénie a ne
pas en faire de nouveaux par la multiplication des impôts et des
subsides... s'appliquant aussi de tout son pouvoir à soulager ceux
qui le sont ou qui le deviennent par le malheur de leurs affaires...
Lors
de sont règne il a à faire face à de nombreux conflits dont les
attaques par : les Huns, les Russes, les Polonais, les
Bohémiens, et d'autres peuples voisins... il parvient à les
repousser et à remporter sur eux de belles victoires, principalement
sur les Huns qu'il défait deux fois, et sur les Polonais, à qui il
prend Cracovie. Avant de partir pour la guerre, il fait faire des
prières publiques et un jeûne de 3 jours, et, malgré la valeur de
ses troupes, il marche en tête et se jette lui-même
courageusement dans la mêlée...
Après tant de généreux exploits, son plus grand désir sera de conduire une armée contre les infidèles, pour leur reprendre la Terre Sainte, et délivrer le tombeau de Notre Seigneur Jésus-Christ... L'espérance qu'il a de répandre son sang pour la gloire de son Maître, et de devenir martyr le pousse à cette expédition.... L'occasion se présente par les prêches du célèbre Pierre l'Ermite et par l'ordre du pape Urbain II... Les princes de France, d'Espagne et d'Angleterre, s'étant croisés, envoient une célèbre ambassade au saint roi, pour le prier d'être le chef de l'armée en préparation, et qui doit compter au moins 300 000 mille hommes... Ladislas reçoit cette offre avec une joie incroyable, et, ayant aussi le duc de Bohême, son neveu, dans une si noble entreprise, il s'y prépare avec toute la diligence possible... mais Sur le point de partir il est rappelé à Dieu... On ne peut exprimer la douleur qui frappe la Hongrie, lorsque la nouvelle de sa mort est connue, chacun le regrette comme le père des pauvres, comme le soutien de l’État, comme le restaurateur de la piété et de la justice, comme le défenseur de la virginité, comme l'appui de l’Église et comme le modèle de toute sainteté... Les Hongrois portent son deuil 3 ans, et, durant tout ce temps, nulle réjouissance ni publique ni particulière n'est célébrée dans le royaume.
Son corps est porté solennellement à Varadin, pour y être enterré dans l'église Notre-Dame, qu'il a fondée... Deux miracles rendent le convoi fort célèbre...
Après tant de généreux exploits, son plus grand désir sera de conduire une armée contre les infidèles, pour leur reprendre la Terre Sainte, et délivrer le tombeau de Notre Seigneur Jésus-Christ... L'espérance qu'il a de répandre son sang pour la gloire de son Maître, et de devenir martyr le pousse à cette expédition.... L'occasion se présente par les prêches du célèbre Pierre l'Ermite et par l'ordre du pape Urbain II... Les princes de France, d'Espagne et d'Angleterre, s'étant croisés, envoient une célèbre ambassade au saint roi, pour le prier d'être le chef de l'armée en préparation, et qui doit compter au moins 300 000 mille hommes... Ladislas reçoit cette offre avec une joie incroyable, et, ayant aussi le duc de Bohême, son neveu, dans une si noble entreprise, il s'y prépare avec toute la diligence possible... mais Sur le point de partir il est rappelé à Dieu... On ne peut exprimer la douleur qui frappe la Hongrie, lorsque la nouvelle de sa mort est connue, chacun le regrette comme le père des pauvres, comme le soutien de l’État, comme le restaurateur de la piété et de la justice, comme le défenseur de la virginité, comme l'appui de l’Église et comme le modèle de toute sainteté... Les Hongrois portent son deuil 3 ans, et, durant tout ce temps, nulle réjouissance ni publique ni particulière n'est célébrée dans le royaume.
Son corps est porté solennellement à Varadin, pour y être enterré dans l'église Notre-Dame, qu'il a fondée... Deux miracles rendent le convoi fort célèbre...
Ceux
qui le conduisent le convoi mortuaire s'endorment si profondément
dans le dernier gîte, qu'il ne se réveille à 3 heures de
l’après-midi alors que le corps du roi est arrivé à Varadin,
sans être traîné par aucun cheval …
Un
participant au cortège ayant menti il est pris d'une déformation de
la mâchoire et d'une paralysie qui ne cesse, que lorsqu'il avoue la
vérité et demande pardon au roi défunt...
Ensuite
il se fit tant de miracles près de son tombeau, que, personne ne
pouvant douter de sa sainteté, le pape Célestin III, ou Innocent
III, son successeur, le canonise l'an 1198/1199... la même année,
Saint Ladislas donne des pieds et des mains à un petit enfant qui
est venu au monde sans avoir aucun de ces membres.... On le
représente avec deux anges à ses côtés ce sont les deux anges
protecteurs que Salomon, (parent du jeune prince), a vu auprès de
Ladislas quand il lui faisait la guerre... On le voit parfois tenant
de la même main son chapelet et son sabre, c'est ainsi qu'il
chargeait l'ennemi... Assez ordinairement on le peint avec l'étendard
Hongrois, pour montrer que sa charité, ses prières et ses
fondations pieuses ne l'empêchent pas d'être un redoutable et
vaillant prince... Des estampes Hongroises le présentent également
faisant jaillir d'une roche abrupte, avec sa lance, une fontaine
d'eau vive dont il désaltère les soldats qu'il conduit à la
guerre... Les artistes ne dédaignent pas de le peindre quelquefois
avec le globe impérial timbré de la croix, parce qu'il a refusé
l'empire que lui offraient les princes Allemands...
27 juin. Saint Ladislas Ier, roi de Hongrie. 1095. : Vie des ...
hodiemecum.hautetfort.com/.../27-juin-saint-ladislas-ier-roi-de-hongrie-...
27
juin 2008 - Saint
Ladislas
Ier, roi de
Hongrie.
1095.
Les Hongrois
l'appellent saint Lazlo. Les Francs l'honorèrent longtemps sous le
nom de saint Lancelot ...
Saint Ladislas de Hongrie
nominis.cef.fr/contenus/saint/1399/Saint-Ladislas-de-Hongrie.html
Roi
de
Hongrie
(✝ 1095).
László, Lazlo ou Lancelot. Sa famille régna sur la Hongrie
du Xe au XIVe siècle. Il était fils de Béla et frère de Geysa.
André, son oncle ...
de HONGRIE Ladislas Ier Arpad
jpvanlooy.be/html_oxy/n101735.htm
de
HONGRIE
""Saint
Ladislas""
Ladislas Ier Arpad (SOSA : 1425172602) ... de
HONGRIE
Sophie Arpad (712586279) (1040 - 1095)
Naissance : Date : autour de ...
Chère Chantal, merci de mettre en valeur un si bel exemple de bonté et de piété..
RépondreSupprimerAinsi, nous reprenons un peu confiance en la nature humaine!!
Parmi les nombreux hauts faits que vous rapportez de St Ladislas, je vous propose le récit de deux miracles de son vivant:
A l'occasion d'une peste dans le pays, on dit qu'il pria pour obtenir la fin du fléau avant de lancer une flèche en l'air, au hasard, la flèche alors frappa l'herbe même qui devait permettre de guérir la maladie.
Une autre fois, il poursuivait une troupe de Petchenègues qui faisait une expédition dans le royaume. Le roi étant sur le point de rattraper les envahisseurs, ils eurent l'idée de jeter derrière eux l'argent qu'ils avaient pillé avant que les Hongrois se missent à les poursuivre. La ruse réussit et les soldats s'arrêtèrent pour prendre l'argent. Le roi alors aurait changé tout cet or en pierres grâce à une prière, lui permettant de remettre son armée en route, de vaincre les envahisseurs et de libérer leurs prisonniers.
Amitiés
Ce roi m'a semblé être en effet un modèle dont nous aurions bien besoin aujourd'hui tant les valeurs humaines font défauts à nos dirigeants... Pour répondre à votre exemple ceux d'aujourd'hui au lieu de changer l'or en pierres, seraient les premiers à en bourrer leur poche.
RépondreSupprimerTrès juste et bien vu Chantal!!
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