29
MAI 2016...
Cette
page concerne l'année 344 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
GUERRES
D'USURES DES PERSES CONTRE LES LÉGIONS
ROMAINES D'ORIENT.
Singara
(en grec : Σίγγαρα τὰ) est un poste fortement fortifié
à l'extrémité nord de la Mésopotamie, qui pendant un certain
temps, comme il ressort de nombreuses pièces de monnaie retrouvées
à notre époque, a été occupé par les Romains comme une colonie
avancée contre les Perses. C'est le camp de la Ière Légion
« Parthica ».
Sa
position, au Sud-Est de Nisibe, n'a pas été clairement établie par
les auteurs anciens, Stéphane de Byzance la décrit comme une ville
arabe, près d'Edesse, et Ptolémée la place sur le Tigre. Il ne
fait cependant aucun doute qu'elle, ainsi que la montagne près
d'elle, appelée par Ptolémée "ὸ Σίγγαρας ὄρος",
correspondent aujourd'hui au district de Sinjâr (en kurde Şengal )
dans l'Irak actuel...
Singara
a d'abord été prise par les Romains au cours des campagnes
Orientales de Trajan, lorsque le général Lusius Quietus s'empare de
la ville sans combat au cours de l'hiver 114. Quoiqu'elle soit
abandonnée après le retrait Romain de Mésopotamie en 117, la ville
a de nouveau fait partie de l'Empire Romain avec la campagne Parthe
de Septime Sévère en 197, qui élève la ville au rang d'une
colonie Romaine, comme en témoigne la légende trouvée sur quelques
pièces de monnaie frappées là pendant le règne de Gordien III :
« ΑΥΡ. CΕΠ. ΚΟΛ. CΙΝΓΑΡΑ. » , qui est la
transcription grecque pour le nom latin de la ville, « Colonia
Aurelia Septimia Singara ».
Elle
est restée l'un des avant-postes les plus à l'Est de l'Empire
Romain au cours du IIIe siècle.
Singara
a été le théâtre d'un conflit nocturne célèbre lors du siège
de la ville en 344 par le roi Sassanide Shapur II , son résultat est
si peu clair que les 2 parties revendiquent la victoire.
Encore
plus tard, en 359/360, au cours du règne de Constance II , il est
rapporté qu'elle subit un siège célèbre, et a finalement été
emportée par les Perses grâce à une tempête providentielle,
quoique vaillamment défendue par les habitants ainsi que 2 légions.
Le pays alentour est mentionné par Ammien Marcellin et Théophylacte
Simocatta comme étant extrêmement aride, ce qui la rend aussi
difficile à prendre, ville militarisé, poste fortement fortifié à
l'extrémité nord de la Mésopotamie. Sa position, au Sud-Est de
Nisibe, n'a pas été clairement établie...
SAPOR II |
Le
fils posthume d'Hormizd II, Sapor II, monte sur le trône vers 309,
c'est alors un enfant et une longue régence voit sa mère et les
Grands de l'Empire gouverner. C'est une période de paix avec Rome
qui connaît la longue guerre civile se terminant par le triomphe de
Constantin.
Le
royaume kouchan profite d'un certain dynamisme pour gagner des
territoires. Une fois aux commandes, la première campagne du roi des
rois est destinée aux provinces Orientales.
La
puissance Kouchane est écrasée, le territoire est rattaché à
l'empire.
Une
révolte Lakhmide est écrasée... Une fois tranquillisé de ce côté,
Sapor II veut effacer ces traités de paix qui amputent l'Empire
Sassanide de nombreuses provinces Occidentales.
Les
hostilités envers l'empire de Constantin commencent vers 337 et
l'objectif de Sapor est la prise des grandes forteresses en
Mésopotamie Romaine, Nisibis, Singara et Amida.
L'empereur
Constantin meurt à Nicomédie avant de lancer sa campagne. Sapor
lance 3 offensives en vain contre Nisibis et si les combats contre
Constance II sont favorables la décision ne vient pas.
Le
siège de Singara en 344 est violent, les légionnaires ont
l'avantage et le siège doit être levé par l'armée Sassanide
tandis que la Transoxiane est pillée par des nomades.
Puis
la stratégie Romaine devient plutôt défensive : On construit
des forts avec Nisibis comme centre principal.
Cette
cité est assiégée 3 fois par Sapor mais les défenses tiennent
jusqu'en 360.
Sapor
II prend peu à peu le dessus. C'est vers 350 qu'une nouvelle
invasion survient à l'Est... ce sont des Huns Blancs appelés
« Chionites Hephtalites ». Ces combats sont suffisamment
âpres pour que les négociations s'engagent et aboutissent à
l'accord suivant : Le Shah fournit des terres où les envahisseurs
peuvent s'installer tandis que Grumbates, leur roi, fournit des
troupes au roi des rois pour lutter contre les Romains.
Alors
Sapor peut se consacrer à son principal ennemi qui tente d'obtenir
un règlement pacifique mais en vain.
Alors
que Constance est mobilisé sur le Danube, Sapor décide une
vigoureuse campagne en territoire Romain, concrétisée par la
reprise de l'Arménie, l'invasion de la Syrie et la prise, au bout de
73 jours de siège, de la cité romaine d'Amida, sur le Haut Tigre,
vers 359.
Ce
retard et les pertes significatives, on parle de 30 000 vétérans,
détermine la fin précipitée de la campagne.
En
360, l'armée Romaine envahit l'Arménie mais se retire, frappée par
la famine. L'empereur Constance demande à son César, Julien des
renforts de Gaule que celui ci ne peut lui envoyer... En effet, les
Gaulois se sont révoltés contre la décision de l'empereur et ont
proclamé Julien empereur.
En
temps de guerre, il faut prévoir des réserves suffisantes par
elles-mêmes, car le pays à envahir est en grande partie désertique,
s’il ne l’est pas, l’ennemi tâche de le rendre tel
temporairement : Bien souvent, les récoltes déjà mûres sont
dévastées, et lorsqu’une place assiégée doit renoncer à la
lutte, on en brûle les greniers et magasins avant de capituler.
En
temps de paix, les difficultés sont moindres, grâce à la
prospérité économique de la Syrie, pourtant, au cours des années,
lorsque les Romains pénètrent davantage à l’intérieur du pays,
et multiplient les postes avancés, perdus dans les pierres et les
sables, un service régulier de ravitaillement devient tout ensemble
plus onéreux et plus nécessaire... La création des limitanei
change le problème sans le supprimer.
Donc,
en temps de paix les gens de guerre reçoivent une solde et des
fournitures.
La
première est à peu près connue pour les différentes périodes,
les divers genres de troupes et les principaux grades... (voir les
ouvrages généraux.) Quant aux fournitures (annona), elles demeurent
beaucoup plus mystérieuses, elles doivent varier suivant les
régions, selon que le militaire est cantonné avec un corps nombreux
ou fait partie d’un détachement relégué dans quelque fort isolé.
Nous
sommes informés du moins qu’il y a dans chaque légion une dizaine
de frumentarii chargés de ce service d’approvisionnements.
Deux
inscriptions rappellent ces frumentarii des armées de Syrie et
d’Arabie. Il semble bien qu’ils n’aient eu à pourvoir qu’aux
besoins des soldats, et non à ceux des officiers.
S’il
en faut croire un pseudo-document de l’Histoire Auguste, une lettre
de Valérien à un Zosimion inconnu, procurateur de Syrie, ce serait
ce dernier qui ait eu dans ses attributions de remettre soldes et
fournitures à Claude (plus tard Claude II le Gothique), alors tribun
d’une légion V Martia Fortissima, des plus suspectes...
Dans
la longue et curieuse nomenclature qu’on y trouve, il y a sûrement
des détails exacts, Pollion a pu se procurer des listes de
subsistances militaires, mais les tableaux administratifs utilisés
par lui sont sans doute, pour la plupart, du IVe siècle, les autres
de diverses époques, et il a enjolivé le tout.
Ces
fournitures, faites sur le trésor privé, comprennent toutes sortes
d’articles.
Vivres
: Blé, orge, lard, vin, huile de 2 qualités.
Pour
l’écurie, chaque année : 6 mulets, 3 chevaux, 9 mules, 10
chameaux, et du fourrage pour ces animaux.
Il
y est joint : Des peaux à faire des tentes, des effets
vestimentaires : Tuniques, manteaux, avec leurs accessoires
décoratifs, fibules, ceinturon, anneau, bracelet.
Des
armes, casques, boucliers, lances, javelots, etc.
Des
serviteurs, cuisinier, muletier, secrétaire, architecte, veneurs,
charron, valet de bains, confiseur, etc., etc.
Beaucoup
de ces articles sont à restituer au terme du commandement (quem
refundat). Le tribun (ou son procurateur) ne peut rien demander aux
provinciaux, surtout en argent.
Cette
interdiction de l’adaeratio est fréquente au IVe siècle, mais
elle n’a pas duré, surtout en Orient : Au commencement du Ve
siècle, Honorius et Théodose II ne se préoccupent plus que de
donner à cet équivalent pécuniaire un caractère de fixité.
Les
provinces et les localités se sont sûrement résignées à fournir
aux troupes des subsides et subventions, même très élevés,
n'est-ce que pour échapper à l’obligation de Les loger et de
subir leur tyrannie à domicile.
Il
est probable que les empereurs, toujours prêts à légiférer, se
sont efforcés au moins d’empêcher que ce rachat ne deviennent
trop lourd.
La
même constitution de 409 nous montre l’extension du paiement de la
solde aux enfants, aux familles des gens de guerre, conséquence
naturelle du principe qui assujettit personnellement au service le
filius veterani comme le colon, et fait de lui un déserteur
lorsqu’il néglige de se présenter aux agents de recrutement.
Le
limitaneus, et même la plupart des soldats de province, ont peu à
peu beaucoup perdu de leur caractère militaire, on les emploie à
toutes sortes de besognes, et il est vraisemblable qu’eux-mêmes
cherchent à louer leurs bras à des civils, pour accroître leurs
ressources.
L’annone
n’est pas payée seulement aux troupes Romaines, c’est-à-dire
faisant partie officiellement de l’armée impériale, les princes
fédérés, gouvernant des états-frontières, ont droit aux mêmes
fournitures conçues en principe comme prestations en nature, mais
naturellement converties en argent. Les traités d’alliance
prévoient ces annonae fœderaticae, en spécifient le montant et le
mode de paiement. En ce qui concerne les soldats d’empire, on ne
peut fixer les échéances de ces versements. Χειμώνος γάρ
ήδη που ένεδήμει καιρός καί ή έγκύκλιος
τών χρημάτων έπίδοσις τώ 'Ρωμαϊκώ έχεΐτο
συντάγματι.
Ce
texte est peu explicite, d’autant plus que χρήματα a un sens
extrêmement vague et s’applique aussi bien aux deniers ou aux
vivres.
Quand
les militaires sont réunis par petits groupes dans des fortins
dispersés, il est bien possible que l’annone ne soit pas
individuelle, en tout cas, le soin incombe en outre au gouvernement
d’accumuler des réserves pour les cas de guerre et de siège
éventuel. Arrien, commandant en Cappadoce et chargé d’une
inspection en Colchide, rend compte à Hadrien de ce qu’il a fait :
A
Apsarus, j’ai remis leur solde aux hommes, passé en revue les
armes, les remparts, les fossés, les malades et les
approvisionnements de vivres.
A
Sébastopolis (Dioscurias) le même jour nous avons pu payer aux
troupes leur solde, et voir les chevaux, les cavaliers..., l’hôpital,
les approvisionnements, puis faire le tour des murs et des fossés.
Ces
règlements de comptes ont inévitablement de l’irrégularité.
Quand
aux Arsacides succéde une autre dynastie, les choses changent de
face : Ce nouvel ennemi a des ambitions réelles et le désir de les
faire valoir, en outre, les guerres devenant plus fréquentes, en
même temps que plus soudaines, les pertes de matériel se
multiplient :
Il
faut combler les vides des magasins.
L’armure
des soldats se fait plus compliquée : Le fer prédomine sur le cuir,
et la cuirasse est attribuée à un plus grand nombre de combattants,
par suite, l’intendance des vêtements se transforme, s’amplifie.
Enfin jadis on avait besoin de machines pour l’attaque des places,
bien rarement pour la défense...Les Perses font des sièges autant
qu’ils en soutiennent il faut dans les villes et castella des
batteries de précaution.
En
temps de guerre Dès les premiers jours, les Romains éprouvent
l’extrême difficulté du ravitaillement dans les régions
nouvelles où ils sont venus tenter
fortune. L’Arménie leur est une terre
inexplorée, les campagnes du début ont
en outre été occasionnées par les circonstances, et non préparées
de longue main. L’habileté militaire des chefs suffit d’abord à
tout, des exploits comme la prise de Tigranocerte, le pillage du
palais de Zarbiénos, mettent aux mains du
général et de ses troupes d’énormes quantités d’or et
d’argent, avec 300.000 médimnes de blé : On
admire Lucullus d’avoir su, sans puiser
une drachme dans le trésor public, fournir aux frais de la guerre
par la guerre même.
Julien
est parti prudemment muni de tout le
nécessaire : Mes bateaux de rivière, écrit-il, sont pleins de blé
et plus encore de biscuits secs et de vinaigre. Une masse de chariots
accompagnent outre son armée, et il arrive
qu’on puisse, chemin faisant, améliorer
son ordinaire en décochant des flèches
sur les troupeaux de cerfs qui gambadent dans la plaine. Enfin le
pillage du camp Perse, après la défaite
des ennemis, met en
possession des Romains une telle abondance de provisions qu’on
peut craindre une prodigalité abusive et nuisible au bon
ordre.
Julien
se croyant à l’abri de tout besoin
aussi, détruit palmiers, vignobles, magasins, pour faire expier aux
Perses ce dont ils se sont rendus coupables à Nisibis, Bezabde,
Singara.
Mais
celte richesse ne dure pas, la misère commence avec la retraite :
Les Perses eux-mêmes brûlent les récoltes avant le passage des
Romains, ou lâchent les écluses du Tigre pour inonder la plaine.
Au
siège de Maiozamalcha, pendant que l’infanterie attaque, la
cavalerie doit battre la campagne pour découvrir des vivres. La
disette se fait sentir encore après la paix signée, pas d’herbe
même... Une fois, 2 officiers emportent du château Perse d’Ur des
vivres pour quelques jours mais ensuite quand on trouve par hasard,
très rarement, un boisseau de farine, il se vend au moins dix aurei.
On
a soin d’accumuler des réserves derrière soi, dans les places
principales, pour leur permettre de résister longtemps à un siège,
ou de fournir, en cas d’urgence, des ressources nouvelles, plus
vite réunies et transportées :
Les
sources Syriennes ne permettent guère de contrôler ou de compléter
les notions générales sur le sujet. Cette lacune est encore due
principalement à la rareté des inscriptions. Médecins et
ambulances sont certes nécessaires dans des campagnes aussi pénibles
que celles d’Orient, les auteurs parlent des pertes subies, des
souffrances de l’armée, rarement des soins donnés aux malades ou
aux blessés.
Pourtant,
au cours de la bataille de Carrhae, malgré le désastre essuyé,
est-il dit, on parvient à emmener les blessés qui ne peuvent fuir.
Arrien, en tournée dans la Colchide, inspecte, en même temps que
les armes, les approvisionnements et l’état des forteresses.
Dans
le Strategicon de Maurice, de brèves dispositions sont prévues :
l’idée essentielle est qu’il faut désigner d’avance les
ambulanciers (deputati), pour ne pas distraire les hommes du combat.
Il est probable que, dans les sièges, les soins à donner aux
blessés appartiennent aux prêtres et religieux de la cité.
La
voirie d’alors s’accommode de pentes rapides, de coudes
prononcés, les chariots ne passent presque jamais. il ne circule que
des bêtes au pied sûr, marchant sans doute à la file comme
aujourd’hui.
Peu
de tranchées ou de terrassements, tout cela est particulièrement
vrai des routes de Phénicie : Là il y a quelquefois des difficultés
énormes à surmonter, mais on se borne au strict indispensable, il
faut voir ce que Renan dit de ces voies qu’il a observées. Ce sont
des voies improbables... Une viabilité approximative passe pour très
suffisante, Renan signale des terrains en pente rapide où, pour
ouvrir le chemin, on a simplement taillé des échelons.
Généralement le rebord est marqué de chaque côté par des
cailloux plus volumineux.
Au
milieu ce sont des galets ronds, de dimensions variables.
La
largeur moyenne atteint 5 mètres environ, l’arête médiane avec
double pente signalée par G. Schumacher ne se reconnaît que dans
des cas extrêmement rares.
Parfois
ce sont des blocs de lave que l’on foule, et que l’exercice
prolongé a peut-être seul aplanis.
Tout
dépens des ressources locales.
A
l’aménagement des routes se rattache naturellement la construction
des ponts sur les rivières, même guéables, ce sont encore travaux
de garnison.
A
plus forte raison l’armée est-elle chargée des ouvrages d’ordre
rigoureusement stratégique, comme les turres, castella, muri,
munitiones, fossae, termes qui reviennent constamment dans les textes
législatifs, et qu’on pourrait retrouver en épigraphie si la
qualité des pierres de Syrie s’y était prêtée davantage aux
commémorations. Dans quelques champs de ruines on remarque parfois
aussi des briques, dont l’estampille atteste la main-d’œuvre
légionnaire.
Les
garnisons d’Orient ne sont pas aussi nombreuses que le fait
supposer la très grande étendue des régions à couvrir, mais la
population civile ne l’est pas davantage aux confins du désert.
Non seulement tous les castella doivent être élevés par les
soldats eux-mêmes, mais des villes sorties brusquement du sol, comme
Resapha, en un point où il n’y a auparavant que quelques
solitaires, ne peuvent naître, à la suite d’une décision du
prince, de l’effort bénévole des particuliers.
En
337, juste avant la mort de l'empereur Constantin Ier (324–337),
Shapur II brise le traité de paix de Nisibe conclu en 297 entre
Narseh (293–302) et l'empereur Dioclétien (284–305), qui a été
respecté pendant 40 ans. Un conflit d'une durée de 26 ans commence
alors en 2 séries de guerres, la première ayant lieu de 337 à 350.
Shapur II tente alors de conquérir, avec des succès variés, les
grandes forteresses de la Mésopotamie Romaine : Singara,
Nisibis (qu'il attaque 3 fois en vain) et Amida. L'empereur Romain
Constance II (353–361) est toujours vaincu sur le champ de
bataille.
Néanmoins,
Shapur II ne fait presque aucun progrès le pouvoir militaire de son
royaume n'est pas suffisant pour une occupation durable des
territoires conquis.
Les
Perses Sassanides, l'histoire - Antikforever
www.antikforever.com/Perse/Sassanides/suite1.htm
En
344, Châhpûhr II tenta alors de prendre Nisibe (ou Nisibis ou
Nusaybin ou Nisibia ... après un siège de 73 jours, puis l'année
suivante, en 360, il prit Singara.
Vous
avez consulté cette page 2 fois. Dernière visite :
25/05/16
Libanius
et la vie municipale à Antioche au IVe siècle après J.-C.
https://books.google.fr/books?isbn=2351594843
Paul
Petit - 2014 - History
L'ambassade
eut donc lieu entre les années 348 et 351, dates du séjour de
Julien ... L'ambassade se placerait par suite entre 344 et 349, dates
du séjour du ... se glorifia officiellement d'avoir vaincu les
Perses à Singara, PIGANIOL, op. cit., p.
La
puissance sassanide - Le site de l'histoire militaire du monde entier
miltiade.pagesperso-orange.fr/sassanides.htm
Dans
le Fars, dès l'année 211, un vassal du roi parthe Artaban V, nommé
.... Le siège de Singara en 344 est violent, les légionnaires ont
l'avantage et le siège ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire