mardi 7 juin 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 349

24 MAI 2016...

Cette page concerne l'année 349 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

CIVILISATION ACQUISE PAR BOULEVERSEMENTS GUERRIERS EN CHINE.

Les Xianbei (鮮卑, parfois transcrit Sien-pei) sont les représentants d'une tribu proto-Turco Mongole venue du haut Amour et établie en Mongolie actuelle au IIe siècle. Leur chef Tanshihuai, qui règne de 156 à 181, leur donne l'hégémonie sur la Mongolie Orientale au détriment des Xiongnu Septentrionaux.
Différents éléments de preuve relient les Murong aux Mongols. Murong est aussi un nom de famille Chinois. Les dynasties de Yan antérieu (337-370), Yan occidental (384-394), Yan postérieur (384-409) et celle de Tuyuhun (285-670) ont toutes été fondées par les Murong.

Les chroniques Chinoises rapportent qu’ils descendent des Donghu, mentionnés dès le VIIe siècle av. J.-C. Battu par les Xiongnu du Chanyu Modu vers 208 av. J.-C, il reçoivent leur nouveau nom (Xianbei) du mont Sien-pei où ils se sont installés. Se sont des éleveurs nomades organisés en clans. Ils maîtrisent la métallurgie et l'orfèvrerie, fabriquent des arcs portant à grande distance à partir de cornes collées, portent des vêtements de cuir et de tissus. Les femmes se coiffent d'un bonnet pointu orné de coraux et de perles.
Ils utilisent des passeports fait de bois, et les seigneurs envoient leurs ordres gravés dans le bois... On n'a pas retrouvé de traces de cette sorte d'écriture.
Ils enterrent les morts avec leur cheval et leurs vêtements brûlés. Ils sacrifient un chien à côté du cadavre pour préserver l'âme du mort.
Le futur gendre doit travailler deux ans dans la yourte des parents de sa promise avant de l'épouser.

Les dynasties du Nord et du Sud (南北朝 ; pinyin : Nánběicháo), en Chine, ont succédé durant la première moitié du Ve siècle aux Seize Royaumes du Nord (317-439) et à la dynastie Jin du Sud (317-420) pour prendre fin en 589, avec la réunification par la dynastie Sui leur succédant. Durant cette période de quasiment 2 siècles, les dynasties du Nord et du Sud sont constituées de neuf dynasties principales, 5 au Nord et 4 au Sud.
Comme l'indique son nom, la période des dynasties du Nord et du Sud est marquée par la division de la Chine entre plusieurs dynasties, formant deux ensembles séparés par une frontière fluctuante, généralement située au Nord du Yangzi. Les dynasties dominant le Nord sont, dans la lignée des Seize Royaumes auxquelles elles ont succédé,

D'origine non-Chinoise : les Wei du Nord (386-534), puis leurs successeurs Wei de l'Est (534-550), Wei de l'Ouest (535-556), Qi du Nord (550-577) et Zhou du Nord (557-581). Elles sont dominées par une élite souvent d'origine Xianbei qui s'est cependant largement fondue dans les traditions culturelles Chinoises, non sans résistances.
Leur faisant face les dynasties du Sud : Song du Sud (420-479), Qi du Sud (479-502), Liang (502-557) et Chen (557-589). Elles sont dirigées par des Chinois descendant des familles ayant fui le Nord lorsque que celui-ci passe sous la coupe des peuples non-Chinois au IVe siècle, et qui se concidèrent conservateurs des traditions Chinoise. Sous leur égide, le Sud connaît un développement démographique et économique très marqué.
En dépit de leur opposition politique et culturelle, le Nord et le Sud connaissent des évolutions similaires durant cette période : Ouverture accrue vers l'extérieur, adoption du bouddhisme comme religion principale aussi bien chez les élites que dans la population, importance des chefs de guerre face aux faiblesses récurrentes des empereurs, etc.
Au-delà de son image de période troublée et instable, la période des dynasties du Nord et du Sud et plus largement celle de la division de la Chine, formant un « haut Moyen Âge » Chinois (d'environ 200 à 600, entre la fin des Han et les Sui), est très créatrice dans le domaine politique, militaire, religieux, artistique et littéraire.

La période des Trois royaumes a pourtant semblé s'achever en 280 par l'unification de la Chine sous l'égide du lignage Sima, fondateur de la dynastie Jin de l'Ouest, mais c'est de courte durée. Les troubles politiques du IIIe siècle permettent l'ascension de grands lignages qui n'entendent pas laisser le pouvoir impérial empiéter sur leur autonomie dans leur province, constituant ainsi des poches de révoltes potentielles.
Les troubles les plus graves sont ceux existant à l'intérieur du clan Sima, qui débouchent en 291 sur une terrible guerre civile connue sous le nom de « révolte des huit princes ». Cette situation favorise au début du IIIe siècle la montée en puissance des populations Barbares situées dans la partie nord de l'empire, depuis longtemps déjà intégrées aux armées Chinoises.
Des généraux Xiongnu se taillent ainsi des principautés dans le Shanxi, et l'un d'entre eux réussit en 311 à prendre la capitale Luoyang, massacrant alors une grande partie de la famille impériale et des hauts dignitaires. Durant les troubles qui suivent, le dernier foyer des Jin en Chine du Nord, Chang'an, tombe en 316.

C'est dans le Sud qu'un membre du clan Sima en poste de gouverneur à Jiankang (l'actuelle Nankin), capitale de la région du Bas Yangzi, Sima Rui, assure alors la continuité de la dynastie Jin, mais il ne peut étendre son autorité que sur la partie méridionale de la Chine (au sud du Yangzi), laissant le Nord aux royaumes Barbares : C'est la période de la dynastie des Jin Orientaux (317-420) au Sud, et des Seize royaumes des 5 Barbares (304-439) au Nord. La nouvelle dynastie Jin s’appuie sur de nombreux émigrés Chinois depuis le Nord, fuyant les régimes fondés par les non-Han. Certains tentent même de se servir du Sud comme base de reconquête du Nord, foyer de la civilisation Chinoise, mais c'est peine perdue face à la résistance des troupes des royaumes septentrionaux, en dépit de quelques succès éphémères.
Le plus actif des généraux Jin est Huan Wen, qui dirige de fait le royaume entre 345 et 373, mais échoue dans ses ambitions septentrionales.
Au Nord, les rivalités entre les chefs de guerre, fondateurs de royaumes peu durables, empêchent une unification de la région et donc la constitution d'une puissance militaire à même de menacer durablement le Sud. Seuls les Qin antérieurs (d'ethnie Di apparentée aux Tibétains) parviennent à placer temporairement une majeure partie du Nord sous leur coupe, mais ils échouent à conquérir le Sud en 383 (lors de la bataille de la rivière Fei, restée célèbre dans l'histoire de la Chine médiévale).
La période des Dynasties du Nord et du Sud est donc l'héritière de cette longue ère de conflits et de divisions. Loin d'être une simple parenthèse dans l'histoire d'une Chine vouée à connaître l'unité comme le veut l'idéal impérial Chinois, cette période d'éclatement a au contraire fortement façonné ce pays, apportant des évolutions déterminantes pour la suite, en grande partie liées à ce contexte de division.
Marquée par une césure croissante entre le Nord et le Sud de la Chine, durant laquelle l'opposition géographique devient politique puis culturelle. C'est une des données majeures de la période des dynasties du Nord et du Sud.

Le Nord de la Chine s'organise autour de la vallée du fleuve Jaune. Cette région est elle-même marquée par une séparation Ouest/Est, entre la partie appelée l'« Intérieur des Passes » (Guanzhong, parce qu'on y parvient depuis l'Est en franchissant plusieurs passes), centrée sur la vallée de la rivière Wei et la capitale occidentale, Chang'an, et celle appelée l'« Est des Passes » (Guandong), centrée sur la région moyenne du fleuve Jaune, autour de la capitale orientale Luoyang.
Le Sud est pareillement constitué de plusieurs grandes régions, qui à la différence du Nord sont marquées par la présence de nombreuses collines, montagnes, cours d'eau et lacs pouvant constituer des obstacles naturels : La région du « Sud du fleuve » (Jiangnan, c'est-à-dire la rive droite du Yangzi), autour de Jiankang (Nankin) et du cours inférieur du Yangzi ; le Moyen Yangzi (autour des provinces de Jingzhou et Xiangyang), région où le fleuve est rejoint par de nombreux affluents, située à la charnière entre le Nord et le Sud (ce qui explique qu'elle soit souvent le théâtre de batailles), le Sichuan à l'ouest, isolé par les Trois Gorges, ce qui permet à plusieurs reprises l'émergence d'entités politiques indépendantes hors de portée des autres royaumes.

Le Sud de la Chine, autour et au sud de la vallée du Yangzi, est dans l'Antiquité une région peu peuplée, qui connaît un essor important à partir de la chute des Han, quand les premiers troubles militaires dans le Nord entraînent une vague de migration vers ses régions. La formation du royaume de Wu au IIIe siècle puis l'implantation des Jin Orientaux le siècle suivant dans la basse vallée du Yangzi autour de Jiankang où trouvent refuge de nombreuses familles du Nord. L'opposition politique entre Nord et Sud est permanente durant la période de division.
En général, le Nord est partagé entre plusieurs entités politiques fondées et dirigées par des non-Chinois.
Le Sud est en revanche contrôlé par des dynasties fondées par des Chinois se succédant l'une après l'autre. Seul le Sichuan, en raison de son isolement, est plus difficile à contrôler pour celles-ci et connaît des périodes d'autonomie ou de contrôle par un royaume septentrional. Les conflits militaires entre Nord et Sud sont constants en raison de la persistance de la volonté d'unification de la Chine.

Avec la poursuite des migrations et l'essor de la riziculture irriguée durant cette même époque, le Sud connaît un essor démographique marqué, comprenant peut-être près de 40 % de la population Chinoise à l'avènement des Sui en 581. Par opposition au Nord dominé par des « Barbares », les grandes familles du Sud tendent à se percevoir comme les conservateurs des traditions Chinoises. Les intellectuels méridionaux construisent ainsi l'image qui aboutit sous les Tang à la vision d'une période de division caractérisée par un Nord aux valeurs viriles et martiales et un Sud plus sensuel et raffiné. Cela occultant les raffinements des cours du Nord, tout comme l'importance du fait militaire dans les dynasties du Sud.

Les différences sont sans doute estompées par les échanges qui restent constants au moins dans le milieu des marchands, des lettrés et des élites politiques. Les relations diplomatiques entre les cours du Nord et du Sud sont ainsi l'occasion d'échanges révélant les similitudes entre les deux moitiés de la Chine, au moins chez leurs élites, les ambassades permettant de voir que les gens de l'autre région sont eux aussi « civilisés » (surtout pour les Méridionaux qui ont une piètre image des « Barbares » du Nord). Comme souvent avec ce genre de représentations mentales, il est malaisé de savoir dans quelle mesure elles reflètent la réalité.

Si la Chine n'a jamais été une région fermée aux influences extérieures, en particulier celles venues depuis le nord-ouest, elle s'ouvre de plus en plus au cours de la période médiévale. Cela est en grande partie la conséquence de l'essor de la « route de la Soie », qui s'est considérablement développée à partir des conquêtes des Han antérieurs en Asie centrale.
L'immigration en Chine des ethnies venues du Nord et de l'Ouest, puis la mise en place de royaumes culturellement hybrides par celles-ci durant la période de division est une des conséquences de cette ouverture. Les échanges commerciaux se développant sur les routes en direction de l'Asie intérieure sont très importants pour l'évolution culturelle de la Chine Médiévale.
À partir de l'important carrefour commercial et culturel de Dunhuang dans le Gansu, ils la mettent non seulement en contact avec les riches oasis centre-asiatiques (Turfan, Kucha, Kashgar, Khotan, le royaume de Shan-shan, plus loin Samarkand, Pendjikent et bien d'autres) mais aussi les royaumes d'Inde, l'empire Sassanide, et plus loin l'Empire Romain d'Orient et le monde Méditerranéen.
À plusieurs reprises des royaumes du nord Chinois font reconnaître leur autorité sur des États du Tarim, qui leur versent un tribut, et reçoivent des ambassadeurs de royaumes plus lointains (cités de Sogdiane, Sassanides). Quant aux royaumes du Sud, ils ont également accès aux cités d'Asie centrale par l'intermédiaire des Tuyuhun, ethnie vivant dans l'actuel Qinghai.
La conséquence matérielle de ces contacts est l'arrivée de nombreux objets exotiques : Métaux et pierres précieuses, plantes, bois, textiles, vaisselle et autres objets de luxe qui se retrouvent dans les tombes des élites du Nord à cette période, mais aussi des esclaves venus de contrées lointaines. Les marchands étrangers disposent de quartiers dans les grandes villes Chinoises, où ils forment des communautés importantes, surtout à Chang'an et Luoyang où les tombes de certains d'entre eux ont été mises au jour.
Les Sogdiens sont alors les plus importants d'entre eux, étant les animateurs d'une grande partie des échanges de la Route de la Soie. Cela s'est également accompagné par des importations et influences techniques et artistiques occidentales, visibles surtout au Nord où ils sont sans doute prisés plutôt par les élites non-Chinoises qui sont depuis longtemps intégrées aux traditions Centre-Asiatiques : De la vaisselle en argent (parfois or), en général de type sogdien, dont des émules en métal ou en céramique à glaçure ont été façonnées en Chine, ou encore de la vaisselle en verre ou autres matières vitreuses, parfois importée du monde Méditerranéen ou d'Iran, puis fabriquée avec de plus en plus de maîtrise en Chine grâce à l'introduction de la technique de soufflage du verre au Ve siècle. Le plus grand bouleversement apporté par cette ouverture à l'ouest est cependant religieux : L'introduction du bouddhisme sous les Han, puis son développement par la suite, après l'introduction et la traduction de nombreux textes sacrés de cette religion, par des moines généralement originaires d'Asie Centrale (de nombreux Sogdiens). Les routes de l'Asie Centrale sont d'ailleurs bien connues grâce aux descriptions laissées par des moines Chinois s'étant rendus en Inde pour visiter les grands centres bouddhistes et en ramener des manuscrits, en particulier Faxian au début du IVe siècle.

Les royaumes du Sud Chinois sont en contact privilégié avec les pays situés à leur midi, avec notamment une tendance à s'étendre sur les territoires occupés par les ethnies du Yunnan ou du Nord Vietnam. Ils ont des contacts diplomatiques et commerciaux avec le pays de Champa (sud de l'actuel Vietnam), le Funan (Cambodge), et plus loin Java (sans doute le royaume de Tarumanagara), Ceylan et les royaumes de l'Inde Orientale. Ces pays sont eux aussi visités par le moine Faxian, qui relève notamment la forte influence des religions Indiennes (bouddhisme et hindouisme) sur ces royaumes, dont l'étude archéologique a confirmé l'« indianité ». Ces régions ont également servi de relais pour l'essor du bouddhisme en Inde. Il est en tout cas évident que les routes commerciales du Sud-Est Asiatique connaissent à cette période un développement marqué, les ports du Sud Chinois (Jiankang, Canton, Hanoï) sont tout aussi cosmopolites que les capitales du Nord.
Les richesses qui leur parviennent depuis les routes maritimes méridionales sont essentielles pour les dynasties du Sud : Or, étoffes, perles, corail, coquillages, etc.
Des expéditions militaires sont menées à plusieurs reprises jusqu'au Champa pour sécuriser cet essor commercial.

Les dernières décennies du IVe siècle sont marquées par l'affaiblissement des 2 plus puissantes dynasties, celle des Qin antérieurs au Nord et celle des Jin Orientaux au Sud. Les rois de la première sont incapable d'empêcher l'émergence d'autres royaumes qui rapidement se débarrassent d'eux, maintenant le Nord dans une situation de fragmentation politique, jusqu'à l'émergence des Wei du Nord qui parviennent à unifier le Nord Chinois dans la première moitié du Ve siècle.
L'histoire politique et militaire de cette période est essentiellement connue par les histoires dynastiques rédigées par des historiens de l'époque médiévale, vivant souvent sous la dynastie qui a suivi celle qu'ils décrivent.
Le Livre des Wei (du Nord) (Wei Shu) est ainsi rédigé par le lettré Wei Shou (506-572) vivant sous les Qi du Nord.
Souvent incomplètes parce que plusieurs de leurs chapitres ont été perdus durant l'époque médiévale, les manques sont comblés par l'Histoire des dynasties du Nord (Bei Shi) couvrant les multiples dynasties septentrionales de la période et l'Histoire des dynasties du Sud (Nan Shi) consacrée aux dynasties méridionales compilées par l'historien Li Yanshou vivant aux débuts de la dynastie Tang.

Au Nord, la situation devient instable dès la mort de Lieou Ts'ong, en 318. Sa famille est dépossédée du pouvoir par un de ses officiers, Che Lei vers 329. Ce Hun illettré prend plaisir à se faire expliquer les classiques Chinois, écrit René Grousset.
Dans cette Chine du Nord, les villes sont dévastées et dépeuplées, les campagnes sont en friche.
Vers 349, c'est au tour des tribus Xianbei d'envahir la Chine du Nord. Il s'agit d'une importante fédération de nomades, proto-Turcs, qui séjournent dans les steppes au Nord de la Chine après le déclin des Hiong nou qu'ils ont soumis. .

La branche Murong s'installe autour de l'actuelle ville de Pékin et fonde l'ancien Yan (Qianyan, 337 - 370), puis le Yan ultérieur (Houyan, 384 - 409) et le Yan du sud (Nanyan, 398 - 410).
L'important groupe des Tuoba, fonde le royaume Dai en Mongolie en 322, et les Wei du Nord, (Beiwei), en 386.
La branche Qifu fonde le bref empire Qin de l'Ouest, (Xiqin, 385 - 431), dans le Shaanxi moderne, tandis que la branche Tufa fonde l'empire Liang du Sud (Nanliang, 397-414) dans le moderne Gansu.

Vers 349, l'étrier en bois renforcé de métal est inventé. Vainqueurs des Xiongnu, les Xianbei, qui peuvent avoir été des Proto-Mongols avec un élément proto-Turc, répètent leur aventure à partir du IIe siècle, et avec le même résultat final : au IVe siècle, la tribu Xianbei des Mujong établit à son tour en Chine du Nord les deux dynasties des Yan Antérieurs (349-370) et Postérieurs (384-407). Il semble que ce soit à l'époque des Xianbei que l'usage de la cavalerie lourde cuirassée de style Centre-Asiatique se soit diffusé en Chine.
Au tournant des IVe et Ve siècles, un autre groupe nomade issu des Xianbei mais à dominante nettement Turque, celui des Tabghatch – Tuoba en transcription chinoise – balaie les Mujong. Le chef Tuoba Gui fonde une dynastie « Chinoise » baptisée Wei. L'un de ses successeurs, Tuoba Dao, réussit en 439 à unifier à son profit toute la Chine du Nord. Il exprime en ces termes la supériorité militaire des nomades : « Les Chinois sont fantassins et nous sommes cavaliers. Que peut un troupeau de poulains et de génisses contre des tigres ou une bande de loups ? »

Un souverain barbare en Chine du Nord - GEOCITIES.ws
www.geocities.ws/legitimationchina/maitrise.pdf
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Mongolie-Intérieure — Wikipédia
mob.beproxy.com/index.php?q...
22 nov. 2015 - ... des nomades xiongnu (Huns), xianbei, khitan, jurchen (mandchous) et mongols au nord. ... Dans les années 1980, Xi Haiming, Huchuntegus, Wang Manglai et .... 2000, 23 323 347, 18 465 586, 79,2 %, 3 995 349, 17,1 %.

Xianbei - Unionpédia
fr.unionpedia.org/i/Xianbei
Peinture chinoise du IVe siècle Les Xianbei (鮮卑, parfois transcrit Sien-pei) sont les représentants ... Cette page concerne l'année 349 du calendrier julien.
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