vendredi 24 juin 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 334

7 JUIN 2016...

Cette page concerne l'année 334 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LES ACTIONS DE FLAVIUS JULIUS DALMATIUS AUPRÈS DE CONSTANTIN SON NEVEU.

Flavius Julius Dalmatius (mort en 337), aussi connu sous le nom de Dalmatius le Censeur, consul et censeur romain (333), membre de la dynastie des Constantiniens, qui ont régné sur l'empire Romain au début du IVe siècle. Fils de Constance Chlore et de l'impératrice Flavia Maximiana Theodora, et le père du césar Flavius Dalmatius et de Flavius Hannibalianus. Il est le demi-frère cadet de Constantin Ier.
Dalmatius a grandi à Tolosa (Toulouse), dans les Gaules, comme ses fils. Au milieu de la décennie 320, il retourne à Constantinople, à la cour de son demi-frère et est nommé censeur et consul pour 333-334.
À Antioche, il est responsable de la sécurité de la frontière de l'est. Durant cette période, il rencontre le cas de l'évêque Athanase d'Alexandrie, un important opposant à l'arianisme accusé de meurtre.

En 334, il vainc la révolte de Calocaerus, qui s'est proclamé empereur à Chypre. Dans l'année qui suit, il envoie des soldats au premier synode de Tyr pour sauver la vie d'Athanase.
Ses 2 fils et lui, qui peuvent par leur naissance prétendre au titre impérial, sont exécutés lors de la grande purge qui suit la mort de Constantin Ier en mai 337.

Calocaerus est magister pecoris camelorum (connu dans les sources grecques Kalokairos, surintendant de l'élevage impérial des camélidés) sous l'empereur Constantin Ier.
A Chypre il se révolte, se proclamant empereur Bien qu'il ait pu compter sur des troupes, Constantin Ier lui envoie une armée sous le commandement de son demi-frère le Censeur Flavius Dalmatius, ​​pour mater la rébellion. Calocaerus, vaincu, est amené à Tarse, en Cilicie, où il est jugé et exécuté par crucifixion
fin du magister de la camelorum ( « maître du petit bétail et des chameaux ») fonctionnaire dans l'Empire Romain de l'Antiquité tardive.

Famine et épidémie sont enfin associées, en 333, pour servir d’avertissement à la révolte des Sarmates et à celle de Calocaerus à Chypre qui ont lieu la même année, en 334. Alors qu’il ne dispose plus d’Eusèbe, Jérôme construit son récit historique selon un schéma Eusébien qui accorde toute son importance aux signes divins des catastrophes militaires frappant l’Empire.
La chronologie des événements telle que l’établit Jérôme interdit de faire ici des « événements mémorables de la vie de l'empereur » la source de la Chronique. L’ordre des faits apparaît en effet très différent chez Aurélius Victor qui place la révolte de Calocaerus en 326, avant la révolte des Sarmates et l’élévation de Constant au Césarat en 330 et celle de Dalmatius, apparemment en 332. Jérôme, lui, donne d’abord l’élévation de Constant et date la famine de la même année 333 il mentionne ensuite la révolte des Sarmates et celle de Calocaerus (334) avant l’élévation de Dalmatius, placée en 335. La signification de ce montage propre à Jérôme est claire : La famine et l’épidémie ont ici une valeur prédictive forte.

Le même schéma peut encore être identifié à propos du tremblement de terre de 346 dont on trouve une description si proche chez Théophane qu’on ne peut écarter l’existence d’une source commune, d’autant que le séisme annonce le siège de Nisibe par Sapor aussi bien dans la Chronique que chez Théophane. Enfin, l’éclipse de 347 paraît servir d’avertissement aux défaites contre les Perses et de prélude tragique aux pertes territoriales qui en font la conséquence, en 348. Mais s’il est vrai que Théophane connaît cette éclipse, en aucun cas le chroniqueur Byzantin n’a eu recours à une source commune avec Jérôme, puisque le lien entre le phénomène céleste d’une part, la bataille de Singarat, la perte des places fortes d’autre part se révèle bel et bien une spécificité de la Chronique.
En effet, Théophane ignore la défaite de Singara, l’abandon d’Amida et place la perte de Bedzabde en 359-360, bien plus loin dans le texte de la Chronographiae. Après l'étude des sources, il est clair que Jérôme utilise ici une source latine.

Eutrope dans sa chronique, a accentué, en combinant ses sources, la force dramatique de son récit, non seulement en usant d’un pluriel, (perdidimus), sans parallèle dans les sources, mais surtout en liant explicitement l’éclipse et le drame, en faisant de la première le signe de l’imminence du second... (La perte de territoires et de pouvoir.)

Hannibal membre de la dynastie Dalmatie Flavius Constantin, qui a occupé le poste de censeur et consul est mort pendant la révolte de l'année 337, fils de l'empereur Constance Chlore et sa seconde épouse Théodora Flavia Maximiana donc frère de Constantin le Grand. Les autres frères, Julius Constantin, Constance, et Anastasia Eutropia.
Hannibal Flavius Constantin est le père d'Hannibal et de Dalmatius, les 2 héritiers désignés de l'empereur Constantin, avec ses 3 enfants : Constantin II, Constance II et Constance.
Il est également l'oncle de Galles et Julien l'Apostat.

Il vit à Toulouse, où sont nés ses 2 fils : Dalmatien Hannibal.
Dans les années 320, son frère Constantin le Grand le demande à la cour de Constantinople et lui donne le titre de censeur, une position qui n'est plus utilisé à partir de 251. Parmi ses fonctions il enquête sur les allégations faites par Ariana Anastasi contre l'accusé qui a tué Arseni, évêque de Hipselis.

Il est également nommé consul et brigue Antioche, pour sa responsabilité de la sécurité frontalière Orientale.
En 334, il est envoyé à Chypre pour mater la révolte de Calocaerus, qui s'est proclamé empereur.

Dalmatie Flavius ​​Hannibal, relations, carrière politique et militaire ...
bovort.info/d/dalmatie-flavius-hannibal.php
... le poste de censeur et consul et est mort pendant la révolte de l'année 337. ... à Chypre pour mater la révolte Calocaerus, qui avait proclamé les emperador.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire