14
OCTOBRE 2015...
Cette
page concerne l'année 578 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LA
NAISSANCE DU TERRITOIRE VANNETAIS
CARTE DE PTOLÉMÉE (BRETAGNE) |
Waroch
II profite des guerres fréquentes entre les rois Francs et
particulièrement de cette faide royale qui mobilise les troupes
assez loin de la Bretagne. Mais Chilpéric mobilise largement, il
lève des contingents dans l'Ouest. Laissons raconter l'épisode par
l'historien Scipion Du Pleix avec le savoureux français du début du
XVIIe siècle :
« Ce Waroch ou Guerech nourry à la perfidie paternelle refusant de rendre l'hommage de fidélité à Chilpéric, attira sur luy le courroux du Roy, lequel envoia en Bretagne une armée composée de Tourangeaux, Bessins, Manceaux & Angevins pour le ranger au devoir. Les troupes aians campé vers la rivière de Vilaine, Waroch qui avait cognoissance des lieux donna de nuict fi à propos sur le quartier des Bessins Saxons d'extradition qu'il les tailla presque tous en pièces. Cet efchec rendant les autres plus vigilans, Waroch hors d'espérance de salut demandat trois jours après à traiter avec les chefs de l'armée Françoise, qui conclurent l'accord avec toutes les conditions les plus advantageuses que le Roy pouvait désirer. Car le Breton se sousmit à rendre hommage au Roy & prester entre ses mains le serment de fidélité comme vassal de la couronne. Il mit aussi la cité de Vannes en la puissance de sa Majesté soubs promesse qui luy fut faite qu'on lui en remettroit le gouvernement s'il s'en rendoit digne par les deportemens à l'advenir & néantmoins il s'obligez de paier le tribut annuel sans attendre qu'on luy vint demander. Pour l'asseurance de l'accord il donna son fils en otage. Quelques jours apres il deputa Ennius evesque de Vannes devers le Roy pour faire modifier les conditions de cet accord qui luy semblerent bien rudes après qu'il fut delivré de la crainte par le départ de l'armée Françoise dont le Roy fut si irrité qu'il fit banir l'evesque pour avoir eu la hardiesse de lui porter cette parole. Toutefois il fut depuis envoié à Anger pour y faire la charge de pasteur: mais le roy ne permit pas qu'il retournât à Vanes... Or pe
« Ce Waroch ou Guerech nourry à la perfidie paternelle refusant de rendre l'hommage de fidélité à Chilpéric, attira sur luy le courroux du Roy, lequel envoia en Bretagne une armée composée de Tourangeaux, Bessins, Manceaux & Angevins pour le ranger au devoir. Les troupes aians campé vers la rivière de Vilaine, Waroch qui avait cognoissance des lieux donna de nuict fi à propos sur le quartier des Bessins Saxons d'extradition qu'il les tailla presque tous en pièces. Cet efchec rendant les autres plus vigilans, Waroch hors d'espérance de salut demandat trois jours après à traiter avec les chefs de l'armée Françoise, qui conclurent l'accord avec toutes les conditions les plus advantageuses que le Roy pouvait désirer. Car le Breton se sousmit à rendre hommage au Roy & prester entre ses mains le serment de fidélité comme vassal de la couronne. Il mit aussi la cité de Vannes en la puissance de sa Majesté soubs promesse qui luy fut faite qu'on lui en remettroit le gouvernement s'il s'en rendoit digne par les deportemens à l'advenir & néantmoins il s'obligez de paier le tribut annuel sans attendre qu'on luy vint demander. Pour l'asseurance de l'accord il donna son fils en otage. Quelques jours apres il deputa Ennius evesque de Vannes devers le Roy pour faire modifier les conditions de cet accord qui luy semblerent bien rudes après qu'il fut delivré de la crainte par le départ de l'armée Françoise dont le Roy fut si irrité qu'il fit banir l'evesque pour avoir eu la hardiesse de lui porter cette parole. Toutefois il fut depuis envoié à Anger pour y faire la charge de pasteur: mais le roy ne permit pas qu'il retournât à Vanes... Or pe
L'ASSASSINAT DE CHRAMM ET DE SA FAMILLE |
u de temps après
les Bretons ravagerent la cotrée de Renes, Chilpéric croiant
arrester ce desordre y envoia de grandes forces soubs la conduite de
Bibole ou Bapolen, qui courut le païs des Bretons. L'année
enfuiuant ils y revindrent plus forts, & firent un degast
merveilleux, non seulement en la contrée de Renes, mais aussi en
celle de Nantes. »
Waroch
est également appelé Weroc ou Guérech (Gwereg
en breton) Weroc est dérivé du nom proto-germanique wer signifiant
homme. Waroch et Waroc'h sont des germanisations de Grégoire de
Tours.
En
578 Weroc/Waroch s'empare de Vannes et impose sa domination sur le
Bro-Waroch (Broërec), Chilpéric réagit et lève une armée en
Touraine, Bessin, Maine, Anjou, Poitou. Les contingents saxons du
Bessin sont battus par les Bretons sur la Vilaine aux environs du
pont romain du Port-Neuf à Pléchâtel, alors frontière de la
Bretagne.
Waroch
demande la paix et obtient Vannes moyennant le versement d'un tribut
annuel, garanti par son fils donné en otage... Puis il envoie à
Chilpéric l’évêque Eunius de Vannes pour dénoncer le traité,
et ce dernier est exilé par le roi Franc.
L’année
suivante, Waroch envahit le pays de Rennes jusqu’à Cornut
(Cornutium vicum) Eunius, libéré, est envoyé à Angers pour
négocier un accord.
Le
duc Franc Beppolène ravage la Bretagne, ce qui provoque une nouvelle
invasion des Bretons qui pillent le pays Rennais et le Nantais, en
s’appropriant la vendange. L’évêque Félix de Nantes tente
vainement de s’interposer
En
587 Waroch envahit de nouveau le pays Nantais. Les rois Gontran et
Clotaire II lui envoient des émissaires, dont Namatius, évêque
d’Orléans, et Bertrand, évêque du Mans, et un accord est conclu.
Les
chefs Bretons Waroch et Iudmaël (Judicaël) s'engagent à payer 1
000 sous de dédommagement à chacun des rois, mais Waroch s’empare
de la vendange et emporte le vin à Vannes. Gontran menace d’envoyer
une armée, mais n’en fait rien.
Waroch
attaque de nouveau les pays Rennais et Nantais en 590...
Cette
fois, Gontran envoie des troupes dirigées par les ducs Beppolène et
Ebrachaire, qui passent la Vilaine et marchent jusqu’à l’Oust.
Frédégonde a envoyé au secours des Bretons des Saxons du Bessin
contre Beppolène, qui est tué après 3 jours de combat dans des
marécages. Ebrachaire, avec le gros des troupes, avance vers Vannes.
L’évêque de la ville Regalis lui ouvre les portes. Waroch tente
de fuir par la mer, mais la tempête détruit sa flotte chargée de
butin. Il se soumet à Ebrachaire, qui obtient d’autre part un
serment de fidélité au roi Franc de l’évêque et des habitants
ruraux du Vannetais, qui semblent alors subir le joug des Bretons.
Waroch
donne son neveu en otage en gage de sa soumission au roi Franc, mais
son fils Canao attaque l’arrière garde de l’armée Franque en
retraite (les « inférieurs et les pauvres ») au passage
de la Vilaine. Ce qui ne sont pas tués sont réduits en esclavage.
Plusieurs,
par la suite, reçoivent de la femme de Waroch l’affranchissement
par les cierges et les tablettes. Le reste de l’armée Franque, qui
craint les représailles des populations des pays qu'elle a ravagé à
l’aller, rentre par l’Anjou jusqu’aux ponts de la Maine, puis
met à sac la Touraine. Les survivants se justifient auprès de
Gontran en accusant Ebrachaire et le comte Willichaire d'avoir vendu
la retraite de l’armée à Waroch. Le roi chasse le duc quand
celui-ci se présente et le comte préfère la fuite.
Waroch
et son fils, peut-être à l'appel de Frédégonde, (encore
elle) saccagent de nouveau les diocèses de Nantes et de
Rennes vers 593.
Childebert
II envoie contre eux une armée qui leur livre en 594 une bataille
dont l'issue semble avoir été favorable aux Bretons. Frédégaire
est le seul à la mentionner pour dire :
« les
armées des Francs et des Bretons, en se faisant la guerre, subisse
l'une et l'autre de très lourdes pertes au combat ». Après
cet épisode, Waroch et son fils ne sont plus mentionnés par les
annalistes Francs ou Bretons.
Broërec
ou Bro Waroch (Bro-Ereg en breton, identifié comme Bro Erech dans
l'historiographie Anglo-Saxonne) est le nom d'un royaume, ou comté,
créé au VIe siècle par les Bretons Cornouaillais aux dépens
de l'ancienne cité Gallo-Romaine des Vénètes, et situé dans
l'Armorique au Haut Moyen-Âge. Son extension géographique approche
l'actuel pays du Vannetais (correspondant approximativement au
département du Morbihan)...
Dans
un contexte de délitement du pouvoir dans le domaine Gallo-Romain
agressé par les Grandes Invasions, il est probable que ce potentat
se soit formé par l'abandon de l'administration Romaine plutôt que
par rébellion contre les Francs fédérés, alors plus à l'est en
Belgique seconde...
Cité
en 490, le premier souverain semi-légendaire de ce royaume est
Caradoc Freichfras, chevalier de la table ronde et ancêtre des rois
du royaume de Gwent...
Pendant
la première moitié du VIe siècle Waroch Ier s'implante dans la
région. En 579 la civitas Gallo-Romaine de Vannes est conquise par
le chef Waroch II qui laisse sans doute son nom à la région: Bro
Waroch signifie en breton le « pays de Waroch ».
Bro
Waroch évolue en Broërec. L'Est de ce territoire est disputé entre
Bretons et Francs jusqu'au début du IXe siècle, puis il est intégré
à la Marche de Bretagne avant sa domination définitive par Nominoë
et ses successeurs.
Il
est possible que le nom d'Erec, le héros du roman Erec et Enide de
Chrétien de Troyes, soit directement inspiré par le Bro Erec.
Il
semble que les rois ou comtes de Broërec aient eu leur résidence
principale dans la région d'Auray, avant que Vannes ne soit
conquise, suite à un très long enclavement en terre Bretonne. Cette
dualité s'est maintenue du point de vue linguistique jusqu'à nos
jours, le département du Morbihan étant divisé traditionnellement
entre Ouest bretonnant et Est gallo, même si la scolarisation au
XIX/XXe siècle a aplani les différences.
L'ancien
royaume de Broërec devient comté de l'Empire Carolingien,
rapidement intégré au domaine ducal de Bretagne. Il est le cadre
d'une division administrative et surtout judiciaire, la baillie
(équivalente aux bailliages Français) qui survit jusqu'à la
Révolution sous la nouvelle dénomination de Présidial, lui-même
le moule du nouveau département du Morbihan... Il recoupe avant la
Révolution, à peu près le Diocèse de Vannes, qui a succédé à
l'ancienne cité Armoricaine des Vénètes et auquel on donne
aujourd'hui le nom de Vannetais (Douarwened ) ou (Bro-Gwened) en
breton. Les noms de Vannetais et de Broërec sont utilisés
concurremment. Depuis le XIXe siècle, les limites de ces
divisions se sont confondues et la ville de Vannes cumule le siège
de chacune.
Des
miniatures du XVe siècle issues des Anciennes histoires donnent
pour emblème à ce pays un drapeau blanc semé de queues d'hermines
sur lequel est posé une croix rouge dentelée (blasonné d'hermine à
la croix endentée de gueules).
Au
cœur d'un comté qui forme un véritable espace-frontière, la cité
est conquise en 578 par le roi Waroch II qui organise le Bro Waroch,
espace politique dont Vannes est la capitale, avant d’être
rattachée à la Bretagne en 851. La position centrale de Vannes en
Bretagne-Sud confère à Vannes et à ses chefs politiques et
religieux un rôle prédominant. Les comtes et évêques de Vannes
sont des personnages clés de l'équilibre entre la Bretagne et la
France.
Ville
du missus Nominoë, Vannes est une des cités royales de l'éphémère
royaume de Bretagne. En partie détruite lors des invasions Normandes
au Xe siècle, la ville connaît de nombreux sièges jusqu'à la
fin de la guerre de Succession avant de devenir la résidence
préférée des ducs Jean IV et Jean V.
Théâtre
de l'Union de la Bretagne à la France en 1532, Vannes connaît un
essor religieux exceptionnel au cours du XVIe et XVIIe siècles.
Vannes
tire son nom du peuple gaulois des Vénètes. Le mot Vannes est en
fait la transformation, avec le temps, du latin Civitas Venetorum (la
Cité des Vénètes), désignation qui l'a emporté sur Darioritum,
nom latin de la ville lors de sa fondation.
L'origine
du nom des Vénètes n'est pas connue avec certitude. Le nom Vénètes
regroupe deux peuples antiques homonymes dont l’un habitait le sud
de l’Aremorica (Celtique Veneti) et l'autre le nord de l'Italie
(italique Veneti). Du gaulois latinisé Venetī,
« les
Vénètes » est un nom ethnique qui paraît contenir la racine
« wen » (sanskrit van-o-ti « il aime », van-a
« charme », latin ven-us et Venus, allemand wonne
« joie », etc.), et signifier « les amis, les
compatriotes...
3
vagues distinctes d'émigration ont eu lieu à la fin de l'Empire
Romain entre l'île de Bretagne et le continent.
La
première, à la fin du IIIe siècle, a été essentiellement
militaire, à la suite de la réorganisation de la défense côtière
contre les attaques. C'est par cette réorganisation que Darioritum
s'est également dotée de murailles.
La
seconde a eu lieu au début du Ve siècle, sous la pression des
Pictes et des Scots. C'est peut-être à l'occasion de celle-ci
qu'ont émigré les 7 saints fondateurs de la Bretagne, dont saint
Patern, qui devient le premier évêques de la ville, lors du concile
de 465.
Enfin,
une dernière vague d'émigration, la plus importante, a lieu à la
fin du Ve siècle.
Une
principauté se forme alors dans le Vannetais actuel, à l'instar de
la Domnonée au nord de la péninsule (qu'on se met à nommer
Bretagne) et de la Cornouaille à l'ouest, qui sera nommé plus tard
Bro Waroch du nom d'un de ses rois. Mais ce royaume reste très peu
Celtique dans sa partie orientale, dont Benetis fait partie.
Aux
alentours de l'année 560, Canao accueille Chramn, le fils du roi
Clotaire, avec qui il est en conflit.
Ceux-ci
pillent et dévastent une partie des terres de Clotaire, qui prend
alors les armes contre le territoire Breton. Canao est tué au combat
et Chramn s'enfuit avant d'être rattrapé et tué lui aussi.
Macliau
quitte alors sa charge épiscopale pour assumer celle de comte et
meurt en tentant de contrôler la Cornouaille contre son héritier
légitime, Bodic, le fils de Canao.
C'est
à cette occasion que l'évêque Regalis a tenu les propos suivants,
qui laissent entendre que les Vannetais ne s'estiment pas encore
Bretons, à moins que ce ne soit été une prudente déclaration de
fidélité en un temps d'occupation militaire :
« Nous
ne sommes pas coupables envers nos seigneurs les rois, et nous ne
leur avons pas résisté avec orgueil, mais nous sommes retenus en
captivité par les Bretons et accablés d’un joug pesant. »
— Grégoire de Tours, Histoire des Francs, livre dixième.
La
situation se dégrade soudain en Bretagne, en 578, le roi d'une
partie de la Bretagne, située en Vannetais (au sud), nommé Waroch
ou Guerech ou Gwereg, fils de Macliau et petit fils de Waroch 1er roi
ou comte (pour les Francs) de la même région, prend la cité de
Benetis (devenue depuis Vannes) qui est restée une enclave Franque.
Comment a évolué la situation entre les Francs et les Bretons
depuis le traité signé par Clovis ?
D'abord ce traité a permis une accélération de l'immigration Bretonne en Armorique, chez les Osismes et les Coriosolithes. Pendant la première moitié du VIe siècle, la paix règne dans la péninsule et aux frontières avec le royaume de Childebert 1er, roi de Paris. Ce souverain a laissé une excellente impression chez les Bretons, il incarne le bon souverain, assez distant pour ne pas s'ingérer dans leurs affaires au quotidien, il joue néanmoins un rôle stabilisateur auquel se référer en cas de dissensions intestines et assure l’Église que les dons qu'elle reçoit ne seront pas repris. Cette paix entre Francs et Bretons vient peut être des succès notables remportés dans la grande île contre les Saxons vers 485, ainsi la bataille du Mont Badon. La disparition du roi Childebert en 558 coïncide avec un regain de tension entre Francs et Bretons.
La situation politique de la Bretagne à cette époque est la suivante. Trois rois se partagent les 3 « régions », paient le tribut aux Francs et se font la guerre entre eux.
D'abord ce traité a permis une accélération de l'immigration Bretonne en Armorique, chez les Osismes et les Coriosolithes. Pendant la première moitié du VIe siècle, la paix règne dans la péninsule et aux frontières avec le royaume de Childebert 1er, roi de Paris. Ce souverain a laissé une excellente impression chez les Bretons, il incarne le bon souverain, assez distant pour ne pas s'ingérer dans leurs affaires au quotidien, il joue néanmoins un rôle stabilisateur auquel se référer en cas de dissensions intestines et assure l’Église que les dons qu'elle reçoit ne seront pas repris. Cette paix entre Francs et Bretons vient peut être des succès notables remportés dans la grande île contre les Saxons vers 485, ainsi la bataille du Mont Badon. La disparition du roi Childebert en 558 coïncide avec un regain de tension entre Francs et Bretons.
La situation politique de la Bretagne à cette époque est la suivante. Trois rois se partagent les 3 « régions », paient le tribut aux Francs et se font la guerre entre eux.
Une
première région va de la baie du Mont Saint Michel jusqu'à la rade
de Brest et a pour nom la Domnonée peut être royaume double avec la
Domnonée sur la grande île dans l'actuel comté de Devon.
Une
seconde région, la Cornouaille, occupe la côte vers le sud, de
la rade de Brest jusqu'au fleuve côtier, l'Ellé qui sépare déjà
à l'époque de la conquête de César, les Osismes des Vénètes.
Une
troisième région va de l'Ellé au golfe du Morbihan et
depuis peu il est appelé Bro-Erec (pays de Waroch) avec une
enclave Gallo-Romaine, Vannes. La limite avec les régions
administrée par les Francs est la Vilaine, fleuve côtier qui sépare
dans l'antiquité les Vénètes des Namnètes... Les Bretons lui
donnent le nom d'ar stêr velen, la rivière jaune.
Waroch II — Wikipédia
Waroch II — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Waroch_II
En
578 Weroc/Waroch s'empare de Vannes et impose sa domination sur le
Bro-Waroch ... L'année suivante, Waroch envahit le pays de Rennes
jusqu'à Cornut ...
Histoire
de Vannes — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_Vannes
Au
cœur d'un comté qui forme un véritable espace-frontière, la cité
est conquise en 578 par le roi Waroch II qui organise le Bro Waroch,
espace politique dont ...
Les
Mérovingiens jusqu'à Charles Martel - Miltiade
miltiade.pagesperso-orange.fr/Les-Francs-2.htm
Il
meurt en 516 et son fils Sigismond lui succède sans contestation.
.... La même année 531, les Francs attaquent vers la Septimanie.
...... La situation se dégrade soudain en Bretagne, en 578, le roi
d'une partie de la Bretagne, située en ... Waroch II profite des
guerres fréquentes entre les rois francs et particulièrement de ...
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25/09/15
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