7
MARS 2017...
Cette
page concerne l'année 53 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
OCTAVIA
LA MALCHANCEUSE
Claudia
Octavia (en français Octavie, à ne pas confondre avec la sœur
d'Auguste) est née en 40, sœur de Britannicus, fille de l'empereur
Claude et de son épouse Messaline. Elle meurt le 9 juin 62.
Fiancée
dès 49 au futur empereur Néron, après le mariage de la mère de
celui-ci, Agrippine la Jeune avec Claude, elle l'épouse en 53. Il
semble que ce mariage ne soit jamais consommé... (elle
n'a que 13 ans et c'est un mariage purement politique).
Accusée
de stérilité, elle est répudiée en 62 et exilée en Campanie.
Néron la rappelle à Rome sous la pression du peuple, puis l'accuse
d'adultère avec son ancien pédagogue Anicetus et d'avoir avorté
pour cacher son crime. Elle est ensuite reléguée dans l'île de
Pandataria (actuellement appelée Ventotene), puis contrainte à
s’ouvrir les veines le 9 juin 62, à l'âge de 22 ans.
Claudia
Octavia, fille de l'Empereur Claude et demi-sœur et première épouse
de Néron. Une autre Octavie qui a donc marqué l'Histoire de Rome
encore que le terme « marqué » soit peut-être un peu
abusif, tant les historiographes évoquent un être falot, une jeune
femme dépourvue de toute personnalité, toujours en arrière-plan
des événements qu'elle ne fait que subir.
Cette
Octavie-là est une victime : Du moins nous la présente-t-on comme
telle... Mais peut-être convient-il d'étudier les textes, l'analyse
révélant quelques surprises ou soulevant au minimum quelques
interrogations.
Pourtant,
l'histoire a tout du conte de fées, à mi-chemin entre
« Cendrillon » et « Blanche-Neige « : La
mère de notre héroïne est morte et elle doit s’accommoder d'une
méchante belle-mère, qu'elle affronte courageusement. Faisant
contre mauvaise fortune bon cœur elle épouse finalement le prince.
C'est tomber de Carybbe en Scylla : A la fin de l'histoire, le prince
lui fait couper la tête. (seulement 9 ans plus tard.)
A
priori, on serait en droit de penser que naître dans la famille
impériale, c'est quand même une sacrée chance... Sauf lorsque la
famille en question est celle des Julio-Claudiens, nid de serpents à
côté desquels les Atrides passent pour les anges du paradis.
(famille, maudite par les dieux car le grand père d'Atrée, Tantale,
fils de Zeus, fit manger à ceux-ci le corps de son fils Pélops. Le
destin des Atrides est marqué par le meurtre, le parricide,
l'infanticide et l'inceste. Seule Athéna interrompra le cycle de la
violence en faisant juger Oreste, le matricide, sur la colline de
l'Aréopage, par le premier tribunal criminel de la cité d'Athènes).
A
la surprise générale (et la sienne en premier lieu) Claude est
proclamé Empereur en 41, à la mort de son neveu Caligula. Il a déjà
une fille, nommée Claudia Antonia, issue d'un précédent mariage.
Mais, comme tous les Romains, il désire désespérément un héritier
mâle, et il s'est remarié avec Messaline - oui, cette Messaline
dont le nom est devenu synonyme de débauche et d'orgies sexuelles.
Le couple a 2 enfants : Claudia Octavia, et Britannicus né en 41.
Malgré
les nombreux écrits sur les règnes de Claude et Néron, on ne sait
que peu de choses sur Octavie : Elle est certes née à Rome, mais on
ignore même la date exacte de sa naissance. Tacite rapporte qu'elle
est morte en 62, à l'âge de 20 ans (elle serait donc née en 42),
tandis que Dion Cassius avance l'année 41. Les historiens
contemporains ne sont convaincus par aucune des deux versions et
penchent pour fin 39 ou début 40 c'est-à-dire alors que Claude,
considéré comme un débile léger, ne jouit d'aucune considération
à la cour impériale, de sorte que l'on n'a pas fait grand cas de la
naissance de sa fille. Toujours est-il qu'elle porte le nom de son
arrière-grand-mère et que Claude organise très vite ses
fiançailles avec le préteur Lucius Junius Silanus Torquatus,
descendant d'Auguste : Un bon mariage est donc assuré...
Selon les historiographes, Claude et Messaline vivent en parfaite harmonie, l'Empereur ignorant tout des multiples infidélités de sa nymphomane d'épouse... Du moins jusqu'à ce que Messaline décide de se remarier, sans en informer son impérial époux.
Selon les historiographes, Claude et Messaline vivent en parfaite harmonie, l'Empereur ignorant tout des multiples infidélités de sa nymphomane d'épouse... Du moins jusqu'à ce que Messaline décide de se remarier, sans en informer son impérial époux.
En
réalité, on pense aujourd'hui qu'il s'agit d'une cérémonie
bacchique, que les affranchis de Claude prennent pour prétexte afin
de lui faire croire à l'existence d'un complot visant à le
renverser. Quoi qu'il en soit, l'entourage de l'Empereur le presse
d'agir et de faire exécuter la traîtresse. Celle-ci utilise alors
ses 2 enfants pour tenter d'endiguer la colère de l'Empereur la
jeune Octavie est alors âgée d'environ 8 ans : « Messaline,
malgré le trouble où la jette ce revers de fortune, prend la
résolution hardie, et qui l'a sauvée plus d'une fois, d'aller
au-devant de son époux et de s'en faire voir.
Elle
ordonne à Britannicus et à Octavie de courir dans les bras de leur
père, et elle prie Vibidia, la plus ancienne des vestales, de faire
entendre sa voix au souverain pontife et d'implorer sa clémence. »
(Tacite, « Annales », XI - 32.)
Claude
est maintenant veuf. Poussé par son entourage et en dépit du
résultat déplorable de ses précédentes unions, il décide de se
marier une 4e fois... L'enjeu est d'importance : Tous savent que
Claude est un homme influençable, et chaque parti tente donc de lui
trouver une épouse susceptible d’œuvrer dans le sens de leurs
intérêts. Tous défendent leur candidate, mais l'affranchi Pallas
se montre le plus convaincant : Il prend le parti d'Agrippine. Mère
de Néron (à l'époque connu sous le nom de Lucius Domitius
Ahenobarbus), elle est une Julio-Claudienne de pure souche, ce qui
contribue à renforcer le pouvoir impérial.
En
fait, elle est tellement Julio-Claudienne qu'elle se trouve être la
nièce de Claude, mais peu importe : On accorde vite une dérogation,
et Claude épouse Agrippine. Pour le meilleur, mais surtout pour le
pire.
Pour
Octavie, elle a d'autres projets, auxquels elle s'est attelée dès
son union officialisée :
« Une
fois sûre de son mariage, elle porte ses vues plus loin, et songe à
en conclure un second entre Domitius (Néron), qu'elle avait eu de
Cn. Ahénobarbus, et Octavie, fille de l’empereur.
Ce
projet ne peut s'accomplir sans un crime car Octavie est fiancée à
Silanus, et Claude, ajoutant à la renommée dont brille déjà ce
jeune homme les ornements du triomphe et la magnificence d'un
spectacle de gladiateurs, l'a désigné d'avance à la faveur
publique. Cependant rien ne paraît difficile avec un prince qui n'a
ni affection ni haine qui ne lui soit suggérée ou prescrite. »
(Tacite, « Annales », XII - 3.)
Quel
meilleur moyen de favoriser Néron que par une alliance avec la
famille impériale ?! Du côté paternel, la famille de Néron n'est
pas particulièrement illustre, de sorte que le mariage à une
descendante des Julio-Claudiens apparaît indispensable... La
promesse de mariage entre Octavie et Torquatus ayant été rompue
(Torquatus, accusé d'inceste avec sa sœur, est au passage poussé
au suicide), Agrippine obtient les fiançailles des 2 jeunes gens,
qui se marient en 53. Néron a alors 16 ans, et Octavie 13.
Techniquement, ils sont frère et sœur (puisque Néron est désormais
le fils adoptif de Claude), mais on n'est plus à ça près !
« On
résout au reste de ne pas différer, et à force de promesses on
engage le consul désigné, Memmius Pollio, à proposer un
sénatus-consulte par lequel Claude est prié de fiancer Octavie à
Domitius.
Leur
âge ne s'y oppose pas, et c'est un chemin ouvert à de plus grands
desseins.(...) Octavie est fiancée, et Domitius, joignant à ses
premiers titres ceux d'époux et de gendre, avance désormais égal à
Britannicus, grâce aux intrigues de sa mère et à la politique des
accusateurs de Messaline, qui craignant que son fils ne la venge un
jour. » (Tacite, « Annales », XII-9).
L'union
de Néron et d' Octavie est avant tout politique. L'empereur y
trouve son intérêt puisqu'elle lui apporte la légitimité des
Julio-Claudiens. Comme on peut s'y attendre, le mariage arrangé
n'est pas heureux. Néron n’éprouve aucune attirance pour son
épouse, voire de la répulsion : Il s'ennuie à ses côtés et
essaye même à plusieurs reprises de l'étrangler (selon cette
langue de vipère de Suétone) ! Sans aller jusqu'à confirmer ces
allégations douteuses, il est certain que Néron délaisse sa femme
et entretient des liaisons extra-conjugales, d'abord avec
l'affranchie Actée puis avec la fameuse Poppée.
Déclarant
ouvertement qu' Octavie doit se contenter des « insignes »
du mariage (c'est-à-dire du titre et des honneurs d'Impératrice. Ce
qui n'est déjà pas si mal, et Octavie paraît s'en satisfaire, elle
qui semble n'avoir jamais éprouvé le goût du pouvoir, et n'a
jamais tenté de se libérer de la tutelle de son mari.
Peut-être
est-ce la raison pour laquelle elle est aimée et admirée par le
peuple : Tacite nous la décrit comme une femme « de noble
naissance et à l'honnêteté exemplaire » et insiste sur sa
« vertu » (« Annales », XIII - 12 et 9).
De
fait, l'Histoire a retenu d' Octavie l'image d'une éternelle
victime, passive et résignée. Une femme certes vertueuse, mais
effacée, geignarde et sans attrait (Notons au passage qu'il n'est
jamais question de sa beauté ou de son intelligence...) qui,
ouvertement bafouée, ne se rebelle même pas. On devine sans peine
qu'une telle personnalité effacée ne peut séduire un homme comme
Néron. Encore Octavie pourrait-elle consolider sa position en lui
donnant un héritier mâle mais cela parait difficile, puisqu'elle a
été reléguée dans un appartement séparé du palais, et que son
mari refuse de partager son lit...
Évidemment Poppée tombe enceinte. Néron se décide alors à répudier Octavie, affirmant qu'elle est stérile, et il épouse Poppée 12 jours après le divorce.
Évidemment Poppée tombe enceinte. Néron se décide alors à répudier Octavie, affirmant qu'elle est stérile, et il épouse Poppée 12 jours après le divorce.
« Néron
n'eut pas plus tôt reçu le décret du sénat, que, voyant tous ses
crimes érigés en vertus, il chasse Octavie sous prétexte de
stérilité, ensuite il s'unit à Poppée. » (Tacite,
« Annales », XIV-60.)
Mais
Octavie reste très populaire, et son attitude modeste et discrète
lui gagne le cœur de la foule, de sorte que le divorce provoque un
tollé général. Commence alors une comédie ahurissante, digne des
plus grandes tragédie antiques ! Néron tente de discréditer son
ex-épouse, en mettant à mal sa réputation de vertu : On accuse
Octavie d'avoir pris pour amant un esclave Égyptien, joueur de
flûte, ajoutant à la faute d'adultère la basse extraction de
l'amant supposé.
En
dépit des dénégations de son entourage, Octavie est exilée de la
cour et bientôt reléguée en Campanie sous la garde de quelques
soldats. Châtiment bien mince, au vue de la gravité de l'accusation
laquelle au demeurant bien maladroite et contre-productive, puisque
la foule ne s'y laisse pas prendre et recommence à s'agiter.
LE MARIAGE D'OCTAVIA ET NÉRON |
« Alors,
ivre de joie, la multitude monte au Capitole et adore enfin la
justice des dieux, elle renverse les statues de Poppée, elle porte
sur ses épaules les images d' Octavie, les couvre de fleurs, les
place dans le Forum et dans les temples. Elle célèbre même les
louanges du prince et demande qu'il s'offre aux hommages publics.
Déjà elle remplit jusqu'au palais de son affluence et de ses
clameurs, lorsque des pelotons de soldats sortent avec des fouets ou
la pointe du fer en avant, et la chassent en désordre... On rétablit
ce que la sédition a déplacé, et les honneurs de Poppée sont
remis dans tout leur éclat. » (Tacite, « Annales »,
XIV, 59-60.)
« Cette
femme (Poppée), dont la haine, toujours acharnée, est encore aigrie
par la peur de voir ou la violence du peuple éclater plus terrible,
ou Néron, cédant au vœu populaire, changer de sentiments, se jette
à ses genoux, et s'écrie :
« Qu'elle
n'en est plus à défendre son hymen, qui pourtant lui est plus cher
que la vie, mais que sa vie même est menacée par les clients et les
esclaves
d'
Octavie, dont la troupe séditieuse, usurpant le nom de peuple, a osé
en pleine paix ce qui se fait à peine dans la guerre. Que c'est
contre le prince qu'on a pris les armes.
Qu'un
chef seul a manqué, et que, la révolution commencée, ce chef se
trouvera bientôt.
Qu'elle
quitte seulement la Campanie et vienne droit à Rome, celle qui,
absente, excite à son gré les soulèvements !...
Mais
Poppée elle-même, quel est donc son crime ?
Qui
a-t-elle offensé ?
Est-ce
parce qu'elle donne aux Césars des héritiers de leur sang, que le
peuple Romain veut voir plutôt les rejetons d'un musicien d'Égypte
assis sur le trône impérial ?
OCTAVIA |
Ah
! que le prince, si la raison d'État le commande, appelle de gré
plutôt que de force une dominatrice, ou qu'il assure son repos par
une juste vengeance !
Des
remèdes doux ont calmé les premiers mouvements, mais, si les
factieux désespèrent qu' Octavie soit la femme de Néron, ils
sauront bien lui donner un époux. » (Tacite, Ibid.)
Poppée
reprend l'hypothèse d'un enfant né de la liaison d' Octavie et de
son esclave musicien, ce qui laisse encore plus perplexe :
Octavie
n'était donc pas stérile, finalement ?!
Et
l'accusation d'adultère est donc fondée ?
Pour
une douce et insignifiante petite femme, Octavie devient en tous cas
bien gênante !
La
menace, réelle ou supposée, est même suffisamment alarmante pour
que Néron s'affole.
L'accusation
d'adultère n'a pas produit le résultat escompté, principalement à
cause de la basse condition de l'amant supposé. Pour autant, l'idée
n'est pas mauvaise, et on emploie donc le même procédé cette fois
en choisissant un prétendant plus vraisemblable... Un homme de haute
naissance, susceptible d'avoir séduit la noble Octavie, et
accessoirement d'avoir comploté avec elle... Le choix de Néron se
porte sur Anicetus, le commandant de la flotte qui a déjà joué un
rôle important dans l'assassinat d’Agrippine.
Deux
options s'offrent à lui : « avouer » la liaison coupable
en échange d'un exil doré en Sardaigne, ou nier et mourir.
On
devine qu' Anicetus n'hésite pas longtemps, et reconnaît tout ce
que l'on veut : Oui, il est l'amant d' Octavie, et il confesse même
qu'elle a porté son enfant, et qu'elle a avorté. Décidément,
l'épouse stérile se révèle étonnamment féconde !
Muni
de ses aveux, Néron peut définitivement exiler Octavie dans l'île
de Pandeteria (aujourd'hui Ventotene), déjà tristement célèbre
pour avoir accueillie Julie, la fille d'Auguste, éloignée de Rome
pour les mêmes raisons. Les relégations successives d'autres
figures féminines impériales n'ont pas traumatisé les Romains,
mais Tacite donne une description dramatique et poignante du départ
en exil d' Octavie.
Le
peuple, vraiment, éprouve pour cette malheureuse une affection
étonnante :
« Jamais
exilée ne tire plus de larmes des yeux témoins de son infortune.
(...) Pour Octavie, le jour de ses noces est un jour funèbre : Elle
entre dans une maison où elle ne doit trouver que sujets de deuil,
un père, puis un frère, empoisonnés coup sur coup, une esclave
plus puissante que sa maîtresse, Poppée ne remplaçant une épouse
que pour la perdre, enfin une accusation plus affreuse que le
trépas. » (Tacite, « Annales », XIV - 63.)
Même
reléguée loin de Rome, il faut croire qu'Octavie est encore
suffisamment dangereuse pour que sa mort soit jugée nécessaire :
Elle reçoit quelques jours plus tard l'ordre de se suicider. Comme
sa mère avant elle, elle ne peut s'y résoudre : Il faut lui forcer
la main...
« On
la lie étroitement, et on lui ouvre les veines des bras et des
jambes. Comme le sang, glacé par la frayeur, coule trop lentement,
on la met dans un bain très-chaud, dont la vapeur l'étouffe. »
(Tacite, « Annales », XIV - 64.)
Ou
l'art de se compliquer la vie : Comme avec Messaline, un bon coup
d'épée aurait été plus rapide ! Tacite ajoute que, « par
une cruauté plus atroce encore, sa tête ayant été coupée et
apportée à Rome, Poppée en soutint la vue. »... Encore
n'accuse-t-on pas la nouvelle impératrice d'avoir réclamé ce
spectacle...
Ainsi
meurt Octavie, le 8 Juin 62, âgée d'à peine une vingtaine
d'années.
Néron
sera sujet à des cauchemars récurrents, dans lesquels il verra
apparaître sa mère et Octavie. Après la mort de Poppée quelques
années plus tard, il reconsidérera la possibilité d'une alliance
avec les Julio-Claudiens, et tentera d'épouser la sœur d' Octavie,
Claudia Antonia. Celle-ci refusera et sera exécutée... Voilà qui
est typique de cette joyeuse famille : On meurt si on épouse
l'Empereur, et on meurt si on en l'épouse pas !
NERO
& Wife CLAUDIA OCTAVIA 55AD Rare Ancient Roman ... - eBay
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› ... › Roman: Provincial (100-400 AD)
Traduire
cette page
Suetonius
wrote ".for even if he was not the instigator of the emperor's
death, he was at least privy to it, as he openly admitted; for he
used afterwards to laud ...
Claudia
Octavia — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Claudia_Octavia
Claudia
Octavia (en français Octavie, à ne pas confondre avec la sœur
d'Auguste) est née en 40, sœur de Britannicus, fille de l'empereur
Claude et de son ..
La
Toge Et Le Glaive: Octavie : sœur de Britannicus, épouse de Néron.
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16
nov. 2014 - En l'occurrence, je vais parler aujourd'hui de Claudia
Octavia, fille de l'Empereur Claude et demi-sœur et première épouse
de Néron.
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