samedi 27 mai 2017

EN REMONTANT LE TEMPS... 40

20 MARS 2017...

Cette page concerne l'année 40 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

PETIT FILS DE CLÉOPÂTRE ET DE MARC ANTOINE : LE DERNIER PHARAON PTOLÉMÉE DE MAURÉTANIE


PTOLÉMÉE
L'histoire de « Ptolémée de Maurétanie, dernier pharaon » que proposent les 2 écrivains nous fait remonter le temps et voyager au cour d'une civilisation qui a marqué de son empreinte une époque bien révolue. « Fils de Juba II (52 av. J.-C.), lui-même fils du roi de Numidie Juba Ier, et de Cléopâtre Séléné (40 av. J.-C.), unique fille de Cléopâtre VII et de Marc Antoine.
Ptolémée possède donc un héritage à la fois Africain, Grec et Romain. Il est cousin germain de l'empereur Romain Claude et cousin issu de germain de Néron et Caligula. (malheureusement pour lui) Ptolémée et sa sœur Drusilla reçoivent une éducation romaine.

En l'an 19, son père le nomme co-monarque. 4 ans plus tard, Juba II meurt et Ptolémée monte sur le trône.

En 24, Ptolémée, avec l'assistance du gouverneur Romain, met fin à la révolte des Garamantes et du mercenaire Takfarinas. Pour cette victoire, le Sénat Romain accorde à Ptolémée un sceptre en ivoire, une tunique de triomphe, et le reconnaît comme roi, allié et ami ». Cette fulgurante ascension n'a pas l'heur de plaire à Caligula qui se sent en danger et décide de l'assassiner, en 40 après J.C. la mort violente d'un symbole de la liberté et de l'affranchissement de l'Afrique du Nord du Joug de Rome suscite la colère et le soulèvement des tribus Maures.
Elles sont écrasées dans un bain de sang. « Le souvenir du dernier roi Ptolémée, fils de Juba, s'efface peu à peu de la mémoire des hommes sur les sables des déserts et des plages de Maurétanie, parmi les tombes oubliées, dans les creux des vallées, au pied des douces collines où le printemps fait fleurir de blanches anémones, de délicates gouttes de sang, de vives renoncules, dans Volubilis, Luxus, Sala, Banassa, Tipasa, dans toutes ces villes mortes livrées aux cigognes, aux hérons garde-bœufs, aux chiendents, aux liserons, dans ce calme auréolé de gloires anciennes » écrivent les 2 auteurs.

Gauda, roi Numide dont on ne sait presque rien si ce n’est qu’il est le fils de Mastanabal, a pour petit fils Juba (fils de Hiempsal) qui règne seulement 4 années, sous le patronyme de Juba Ier.
Pour Mahfoud Kaddache, Juba Ier a résisté aux pressions Romaines et profite de la guerre civile qui oppose Pompéiens et Césariens pour sauvegarder son indépendance. César en viendra difficilement à bout, les Berbères sont de vaillants guerriers.

Sous l’Imperium d’Octave (-27 à +14), le fils de Juba I, le futur Juba II de Maurétanie, est éduqué et élevé à Rome de laquelle il reçoit une culture gréco-latine. Cette éducation, délivrée par la sœur d’Octave, le prépare à une vassalité relative au début, sous un statut assez particulier et plutôt favorable : Peu de pays incorporés peu à peu à l’Empire bénéficie, comme la Maurétanie, du statut de Royaume protégé, allié et ami du Peuple Romain... Mais M. Kaddache voit en  Juba II le type même du roi vassal. Enfin, Ptolémée, associé au royaume par son père Juba II, dès ses 25 ans, sera le dernier roi numide de Maurétanie. Il meurt sans aucun doute en Europe, assassiné par les hommes de main de Caligula, et son royaume sera finalement annexé par l’Empire en 40... En 42, toute la géographie en est changée.

Dès le début de son règne, Juba Ier met tout en œuvre pour devenir un roi puissant et déterminé. Il possède une armée forte et combative, ainsi qu’une garde rapprochée, constituée entre autre de cavaliers Ibères et Gaulois qu’il peut grassement payer étant donnée la richesse dont il dispose encore de ses prédécesseurs. Il lui a fallu d’abord soumettre de nombreuses tribus plus ou moins récalcitrantes, impressionner militairement le roi voisin, Bocchus le Maure, celui qui usurpe ses terres depuis la mort de Jugurtha, et prendre enfin parti pour Pompée dans sa lutte contre César.
S’il a, par orgueil, raison de faire ce choix, ce dernier s’avère plutôt très négatif pour la suite de l’histoire Numide.
Allié au général Romain pompéien Varus, Juba Ier se porte au secours de ce dernier quand Curion, envoyé par César, débarque au cap Bon en -49 pour assiéger Utique.
Juba porte une haine terrible contre cet agent de César qui, au Sénat de Rome, a osé  proposer l’annexion pure et simple de la Numidie.

L’orgueil a déjà perdu Jugurtha, il en sera de même avec Juba Ier. Aider Varus à Utique relève donc d'une stupide vengeance. La prise de la ville par Curion n’a pas lieu, celui-ci étant contraint au combat par Juba Ier.
C'est certainement une réconforte savoureuse pour le roi Numide auquel on apporte la tête de Curion, mort au combat avec tous ses soldats qui n'ont pu s’enfuir.
De plus, Juba refuse de soutenir le Pompéien qui, pourtant, lui propose en échange la restitution de la Province d’Africa Vetus en cas d’accord militaire. Rien n’y fit…
A la mort de César (-35), c’est Octave qui gouverne la Numidie moribonde laissée sans héritiers, en un inter-règne qui s’étend jusqu’à -25.
De nombreuses colonies Romaines voient le jour et, pendant que le jeune Juba II poursuit son éducation gréco-latine à Rome, cette dernière prépare déjà le futur royaume à lui confier.

Josiane Lahlou et Jean-Pierre Koffel. Les deux auteurs signent ensemble, un très bel ouvrage dédié à « Ptolémée de Maurétanie, dernier pharaon ». L'ouvrage fourmille de détails et de précisions historiques sur celui que les auteurs considèrent comme un libérateur et qui finit, assassiné sur l'autel de son ambition.
« Bousculades, poussières jaillissant sous les sabots des chevaux, crinières au vent, longues queues balayant l'espace lumineux, hurlements de fureur, indescriptible enchevêtrement de cordes et de colis... Un étalon se cabre, luisant de sueur, l’œil en furie. »
Nous sommes au cœur d'une action qui va crescendo jusqu'à l'acte final et qui, à l'image de ces belles tragédies romaines, se termine par un acte criminel et la mort du héros.

Contrairement à son père qui ne règne que pendant 4 années bien tourmentées, le jeune Juba II domine la scène Africaine durant presque 5O ans, de 25 avant notre ère à 23 après la naissance du Christ. Dès l’âge de 4 ans et consécutivement à la défaite de son père à Thapsus, il est recueilli à Rome -ou enlevé en captif, c’est selon- par Jules César.

A partir de -44 (mort de César aux Ides de mars), c’est à la cour d’Octave qu’il reçoit l’instruction digne d’un futur roi... Client de Rome, cela va de soi, César y pense fort, Octave-Auguste s’en sert.
La sœur du futur empereur Romain prend donc en charge l’enfant qui porte, selon la tradition Romaine, le prénom et le nom de son protecteur, le fameux dictateur : Caïus Iulius (Jules César).
Couronné par l’empereur Auguste lui-même, il devient Rex Juba, roi de toute la Maurétanie. Apparemment, Bogud et Bocchus sont morts sans laisser d’héritiers, si bien que le droit international, à l’avantage des Romains, a fait legs de l’Afrique du Nord à Rome, sans que celle-ci n’ait pour autant décidé l’annexion totale.
Du coup, les actuels Maroc et Algérie (amputée de sa partie la plus orientale) ne forment plus qu’un seul territoire allant de l’Atlantique au fleuve Constantinois Ampsaga, auquel il faut ajouter les zones Gétules qui lui sont raccordées, plus au Sud.
La région Cirtéenne (les actuelles Constantine, Skikda,  Collo et Mila) conserve longtemps encore son statut Sittien (de Sittius) très particulier (jusqu’à la fin de l’Antiquité), pendant que Rome s’attribue toutefois une marge terrestre supplémentaire, ainsi, après l’Africa Vetus, cet accroissement donne l’Africa nova, devenue indispensable à la géante Rome, car bonne productrice de blé.

MAUSOLÉE ROYAL DIT DE LA CHRÉTIENNE
Marié à Séléné-Cléopâtre, il n’a qu’un seul fils, Ptolémée. Remarquons au passage que ce dernier descend indirectement d’une dynastie de pharaons, par la grand-mère maternelle Cléopâtre VII, et de la gens Antonia (de Anton, fils d’Héraclès ou Hercule) par le grand-père maternel, Marc-Antoine. Et ce n’est pas le seul exemple où l’élite des nations de l’époque possède des généalogies anastomosées entre-elles, c’est le cas pour la Maurétanie dont le dernier roi est lié par le sang aux dynastes de Thrace, du Pont et du Bosphore, de l’Arménie mineure et à Caligula avec lequel il partage de nombreux cousins.
Bien que vassalisé il aide tant et plus le suzerain par des actions militaires de maintien de l’ordre, cependant Juba n’abandonne pas l’histoire passée de son pays, rappelant être le fils d’un résistant, Juba Ier, et surtout le descendant du grand Massinissa.
Pourtant, contrairement  à ce dernier, Juba II n’est ni rempli de vaillance, ni bouillant, ni barbu, comme l’écrit Gilbert Meynier, plutôt doux et charmant dans sa jeunesse, érudit et esthète grâce à son excellente éducation.

En 37, Caligula, cousin de Ptolémée par Marc-Antoine, succède à Tibère. On pense qu’il est pour beaucoup dans la disparition subite de Ptolémée.
Un jour de 40, Caligula le mande à Rome puis le fait venir à Lugdunum (Lyon). Certains historiens pensent, malgré l’absence de textes fiables, que Caligula fait assassiner son cousin et, de fait puisque c’est le droit (romain) international de l’époque, hérite de la Maurétanie.
L’empereur sera lui-même assassiné l’année suivante et c’est Claude le Lyonnais qui le remplacera.
Ce dernier morcellera, en 42, toute l’Afrique du Nord :  Maurétanie Tingitane à l’est du fleuve Mouloucha (le Maroc actuel), Maurétanie Césaréenne de la Mouloucha à l’Ampsaga (l’oued el Kebir qui traverse Constantine).
Africa Romana à l’Est, (la sittienne, la Numidie, la Tunisie d’aujourd’hui, la bordure Méditerranéenne Libyenne.

Le voyageur qui, venant d’Alger, se rend dans l’ancienne capitale de Juba II par la si charmante route du littoral, voit à quelques kilomètres de Tipasa s’ouvrir à sa gauche une voie de traverse.
JUBA II
En quelques lacets, elle le mène sur le dernier rebord du sahel Algérois, une ligne de crêtes qui s’interpose entre la Mitidja et la mer. Là, à près de 300 mètres d’altitude, le regard au nord plonge dans la mer et suit vers l’est les indentations du rivage jusqu’à Sidi Fredj, au sud, l’Atlas de Blida borne l’horizon, tandis qu’à l’ouest monte et s’étire la haute et puissante échine du Chenoua… Serge Lancel, L’Algérie Antique.

Les premières tentatives de pénétration dans le tombeau doivent donc se situer dans une époque assez reculée, en tout cas, elles doivent être antérieures à la conquête arabe. Puis, l’accumulation des terres s’étant effectuée, les abords de la petite entrée située en contre bas du sol se sont rapidement comblés.
Ce monument maintenant visité pose un problème historique important :
Quand et par qui a-t-il été construit ?
Cet édifice n’est pas daté.
Il n’y a aucun indice chronologique a tirer des marques qui sont gravées sur les pierres de taille et qui indiquent seulement les ateliers des tailleurs de pierre, où chacun a un signe particulier.
Certaines de ces marques de tâcherons ont une apparence de caractères latins, libyques ou grecs, mais ne sont pas pour autant des lettres alphabétiques.
Le premier et le seul texte antique que l'on possède, qui parle de ce monument, est celui d’un auteur latin, Pomponius Mela.
Son livre, intitulé De situ Orbis, a été rédigé dans les années 40 après Jésus-Crist, c’est à dire à l’époque où le royaume de Maurétanie est annexé et transformé en province Romaine.

Dans le chapitre 6, folio 38, du livre I de Pomponius Mela, on peut lire les lignes suivantes : Iol (Cherchell), sur le bord de la mer, ville jadis inconnue et illustre maintenant pour avoir été la cité royale de Juba II et parce qu’elle se nomme Caesarea.
En deçà, les bourgs de Cartenna (Ténès) et d’Arsenatia, le château de Quiza, le golfe Laturus et le fleuve Sardabale.
Au delà, le mausolée commun de la famille royale […] ensuite Icosium (Alger).
La thèse historique présentée le plus fréquemment est celle qui attribue la construction du tombeau à Juba II et à sa femme Cléopâtre Séléné, fille de la célèbre Cléopâtre, reine d’Égypte et du Triumvir Antoine...

Le double crime, consommé par ce tyran en délire, excite en Maurétanie une indignation générale.
Ajouter une légende
Ptolémée est plus faible que méchant : On a vite oublié ses vices pour ne se rappeler que les vertus de son père : D’ailleurs on n’en sent que plus vivement le joug que la prudence d’Auguste et de Tibère avait rendu si léger.
Ces dispositions à la révolte inspirent à un certain AEdémon, affranchi de Ptolémée, l’audacieux dessein de succéder à son maître.
Sous prétexte de le venger, il soulève les Maures, recrute parmi eux une armée, et ravage une partie de la province Romaine.
Mais Lucius Paulinus s’avance contre ce nouvel ennemi, le bat en plusieurs rencontres, traverse en vainqueur toute la Maurétanie et franchit la double barrière de l’Atlas... Cette marche triomphante au delà des Alpes Africaines est regardée comme un exploit extraordinaire, car aucun général n’a encore porté ses armes aussi loin.
Ce n'est pas Paulinus, mais son successeur Hasidius Géta, qui a l’honneur de terminer sous le règne du faible Claude une guerre allumée par les fureurs de Caligula, et d’ajouter un autre royaume à la vaste étendue des possessions Romaines.
L’Afrique Septentrionale est entièrement subjuguée, depuis la vallée du Nil jusqu’au Grand Océan. Pour assurer sa conquête, l’empereur partage la Maurétanie en deux grandes provinces :
La première prend son nom de Tingis, aujourd’hui Tanger, et s’appelle Mauritanie Tingitane, c’est le Maroc.
La seconde est nommée Maurétanie Césarienne, parce qu’elle a pour capitale Julia Caesarea, résidence des derniers rois Numides (aujourd’hui Cherchell).

D’après Pline l’Ancien, c’est bien davantage pour ses doctes travaux que pour son règne qu’il reste célèbre. Juba II ne dispose de son pays que pour le pacifier militairement, à la demande impérieuse de Rome.
Quand il arrive au pouvoir, colonies et légions Romaines sont installées :
Le long de la côte Méditerranéenne.
A l’intérieur des terres.
En des places stratégiques localisées parallèlement à la bordure littorale.

JUBA Ier
L’art helléniste foisonne, les grandes villes commencent à resplendir par l’ornement statuaire… Il ne reste, à Juba, que la culture pour compenser une vie moins glorieuse que celles de ses prédécesseurs et, surtout, pour refonder (mot de Strabon) Yol/Cesarea (Cherchell), sa capitale (il ne reste de cette parure monumentale qu’un bout du théâtre et quelques magnifiques statues).
Nul ne sait si Juba II parle le berbère, il connaît par contre le grec, le punique et le latin.
Écrivain à ses heures, philologue et historien assez talentueux, bien qu’il ne reste rien de ses œuvres, si ce n’est quelques citations trouvées chez les auteurs grecs et latins. Curieux de tout, il finance des expéditions scientifiques aux îles Canaries (îles Fortunées) et vers les sources du Nil.
Son grand rêve : Faire l’inventaire des choses de ce monde (chorographie) et en donner une représentation géographique plus juste (participation indirecte à l’établissement de la carte d’Agrippa ?).
Selon M. Kaddache, sous le règne de Juba II, l’agriculture se développe aussi bien que le commerce maritime tourné vers l’Europe Méridionale.
Le blé, le vin et l’huile d’olive sont échangés contre des objets manufacturés (poteries italiennes et gauloises, amulettes ibères en plomb…).

Il est possible que Juba II soit inhumé, avec sa femme Cléopâtre-Séléné, dans le mausolée royal Maurétanien (à ne pas confondre avec le Medracen, vieux de plus de 2 siècles) bâti au Ier siècle avant notre ère et nommé à tort tombeau de la chrétienne (al qubûr al rûmiyya)...
Il s’agit d’une bazina de 64m de diamètre, surélevée d’un tambour flanqué de colonnes à chapiteaux. La partie supérieure est conique (culminant à 59 m de haut) et est surmontée d’un groupe sculpté aujourd’hui disparu. Influences Égyptiennes, Puniques et Hellénistiques se côtoient harmonieusement malgré des styles fort différents. Rien, pour le moment, n’empêche d’attribuer ce monument funéraire à d’autres souverains Berbères, ce en remontant jusqu’à  Bocchus Ier.

On ne sait presque rien du règne de Ptolémée de Maurétanie (Circa 5 av. J.-C. – 40) Il perd sa mère Cléopâtre Séléné vers l’âge de 10 ans. Alors qu'il a 25 ans, en 19 Tibère a remplacé Auguste, son père Juba II l’associe au trône. Quand ce dernier meurt, en 23, Ptolémée, resté fidèle aux Romains, participe au dernier combat entre Tacfarinas le rebelle et les armées loyalistes, c’est à dire Romaines et Berbères. Il en sort vainqueur et Rome lui en est reconnaissante.
Il n’a hérité de son père ni la science, ni la culture ou l’amour de l’art.
C'est un roi passable, fainéant et jouisseur... En fait, il correspond bien avec l’ambiance délétère qui règne dans cette irrémédiable fin d’époque...

La nouvelle de cet heureux événement, qui semblait garantir à tout jamais la sécurité des établissements romains en Afrique, se répand avec rapidité dans les différentes parties de l’empire.
Dans la Maurétanie Tingis surtout reçoit de cette affluence d’étrangers une grande impulsion, les historiens citent aussi Lixos, ville alors très commerçante, située au delà du détroit, sur l’océan Atlantique, mais qui n’a point laissé d’héritiers des richesses ou son nom.



Assassinat de Ptolémée. - Algérie ancienne
https://www.algerie-ancienne.com/Salon/Galib/3Rome/2Empereurs/6assassina.htm
On vient de voir la part active qu'avait prise Ptolémée à la défaite de Tacfarinas: ... resserrer les liens qui unissaient le roi de Mauritanie aux intérêts de Rome, ...

Suétone, Caligula, Assassinat de Ptolémée de Maurétanie, v. 110 n-è ...
www.culture-islam.fr/.../suetone-caligula-assassinat-de-ptolemee-de-mauretanie-v-110...
26 Après ces détails, il est presque indifférent de raconter comment il traita ses proches et ses amis. Ptolémée, par exemple, fils du roi Juba et cousin de C.

Ptolémée de Maurétanie | Jahiliyya : ignorance ou trésor ?
https://jahiliyyah.wordpress.com/tag/ptolemee-de-mauretanie/
16 oct. 2010 - Articles traitant de Ptolémée de Maurétanie écrits par alzaz. ... longtemps puisqu'il finit assassiné par Arabion (fils de Massinissa II) ; le reste de ...

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