dimanche 21 mai 2017

EN REMONTANT LE TEMPS... 42

18 MARS 2017...

Cette page concerne l'année 42 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LES PROJETS ET DÉCISIONS PORTUAIRES DE L'EMPEREUR CLAUDE.

Ostie (en latin Ostia, ostium signifiant « embouchure d'un fleuve » est le port de la Rome antique, situé à l'embouchure du Tibre, à 35 km au sud-ouest de Rome (du fait de l'ensablement, le site se trouve désormais à l'intérieur des terres).
Abandonnée à la fin de l'Empire Romain, elle conserve des rues et des bâtiments antiques, en particulier des entrepôts, des boutiques, des sanctuaires et des immeubles d'habitation, parfois sur une hauteur de plusieurs étages. Elle est parfois confondue avec l'actuelle ville d'Ostie qui se trouve non loin de là sur le littoral, ainsi qu'avec la localité d'Ostia Antica qui se situe à proximité...

Le port antique importe les céréales, l'huile d'olive, le vin, le garum (sauce faite d'un jus à base de restes de poisson et de saumure) et les autres marchandises en provenance de tout le monde Romain, qui sont ensuite acheminés jusqu'au port fluvial de l'Emporium.

Au III siècle av JC. Rome impose son hégémonie sur l'Italie Centrale, en assujettissant les Étrusque, les Latins, les Volci et les Samnites.
La stabilité politique qui s’en suit, favorise l'expansion d’Ostie, qui s’étend hors des murs du castrum, devenu camp militaire.
La ville devient un centre commercial très animé, en se préparant à devenir « l'emporio » de l'Empire de Rome. Des grands bateaux apportent à Ostie des denrées alimentaires, du vin et d’autres produits, acheminés jusqu'à Rome en remontant le fleuve. Dès lors, Auguste projette de doter Ostie d'un véritable port.
L'Empereur a en effet choisi un site constitué d'un vaste bassin pour moitié dans les terres, avec 2 quais à secs. Un phare est élevé sur une île artificielle.
Les travaux sont très difficiles, et durent si longtemps, que ce n’est pas Claudius qui l’inaugure, mais Néron en 64.

Pendant les 3 premiers siècles de l'Empire, la cité se développe beaucoup, en recevant une population cosmopolite comptant jusqu'à 50.000 habitants. Elle devient le quartier commercial de Rome, à laquelle elle est étroitement reliée par le Tibre et les voies Ostiense.
Selon Virgile, c'est à l'embouchure du Tibre, sur le site d'Ostie que le prince Énée, fuyant l'incendie de Troie, débarque et implante un fort.

Selon la tradition Romaine, la ville a été fondée vers -640 par Ancus Marcius, 4e roi légendaire de Rome.
Les recherches archéologiques ne font cependant pas remonter l'existence d'Ostie au-delà de -335. On y relève les traces d'un castrum.

En -267 est instituée la questure d'Ostie, chargée de l'acheminement du ravitaillement depuis la mer jusqu'à Rome :
Cette date marque le départ de la transformation de la petite citadelle en une véritable ville Romaine, plus grande, entourée de nouveaux murs.

À l'époque républicaine, la ville est seulement considérée comme l'emporium (le comptoir) de Rome, avec ses nombreuses boutiques et ses entrepôts. D'élégantes maisons sont construites, tandis que les rues sont ornées de colonnades. La population à la fin de la république peut être estimée à environ 10 000 habitants.

Le développement du luxe à Rome engendre de nouvelles importations : Au dernier siècle de la république Romaine, de riches aristocrates décorent leur maison de marbres venus de Numidie ou de l'île de Chio, puis Auguste et ses successeurs font venir d'Égypte de grandes quantité de marbre, d'onyx, de basanite, de granit.
D'exceptionnels transports sont réalisés sous Auguste et Caligula avec l'arrivée d'obélisques entiers en granit.

Le port de Claude : L'augmentation du trafic rend insuffisant le mouillage naturel d'Ostie, par ailleurs difficile en raison des bancs de sable, et l'empereur Claude fait construire, à partir de 42, un nouveau port à environ trois kilomètres au nord, le Portus Claudii. Un grand bassin artificiel alimenté et drainé par un canal dérivé du Tibre est inauguré en 46.
Une nouvelle ville, Portus, se développe autour du nouveau port, au détriment d'Ostie.
Bien que les ruines soient aujourd'hui au milieu des terres, Ostie est au Haut-Empire une ville côtière. La mer vient lécher les habitations longeant la côte, en particulier les constructions de la région III et celles situées en dehors de la muraille Syllanienne, au-delà de la Porte Marine. Les senteurs méditerranéennes des pins parasols que dégage aujourd'hui la ville devaient céder la place, dans l'Antiquité, aux exhalaisons marines poussées par le souffle des vents côtiers.
En outre, comme la fait remarquer J. Le Gall, l'avancée de la ligne de rivage n'est pas perceptible à l'époque antique.
Certes, les ports de Claude et de Trajan finissent par totalement s'ensabler, mais l'avancée de la côte est sensible à l'époque moderne et surtout à la fin du XIXe siècle : Les travaux effectués pour limiter l'incidence des crues du Tibre ayant remis les troubles en mouvement.
Au contact des eaux du Tibre et de la mer s'est formée une barre subaquatique, c'est-à-dire un amas de sable qui barre l'entrée du port. Le fleuve, chargé en troubles, perd de la vitesse en pénétrant dans la mer et dépose ses alluvions à l'embouchure du Tibre. Celle-ci est aujourd'hui large de 130m et la barre subaquatique est souvent recouverte par moins d'un mètre d'eau pour la Fiumara (et 1,70m pour le Fiumicino). Par conséquent, la situation favorable d'Ostie n'existe qu'en apparence. L'accès maritime du fleuve, pour les navires de fort tonnage, est délicat et dangereux.

Strabon commente :
« Ostie n'a pas de port à cause des dépôts d'alluvions sans cesse croissants que provoque le Tibre gonflé de ses nombreux affluents. Les navires restent par conséquent au large et y mouillent en grande rade. Cette opération est périlleuse, il est vrai, mais l'appât du profit a raison des dangers et, en effet, les innombrables barques à rame qui déchargent les cargaisons et en apportent d'autres en échange permettent aux navires de repartir rapidement. Certains d'entre eux, aussi, s'allègent d'une partie de leur chargement et pénètrent ensuite dans l'embouchure du Tibre pour remonter jusqu'à Rome »

On peux compléter ce témoignage vivant par les propos de Denys d'Halicarnasse :

PLAN DU PORT D'OSTIE
« Les bateaux à rames, quelle que soit leur taille et les vaisseaux de transport jusqu'à 3 000 amphores pénètrent dans l'embouchure et remontent jusqu'à Rome, les uns à la force des rames, les autres par halage, les navires de plus fort tonnage restent à l'ancre devant l'embouchure : Des barques fluviales les déchargent et prennent leurs marchandises »

Les navires jaugeant moins de 3 000 amphores, soit environ 9 000 modii, peuvent passer la barre sans trop de difficultés. Au dessus de cette jauge, les embarcations sont allégées pour pouvoir franchir le seuil. Des gabares prennent une partie de leur cargaison diminuant ainsi le tirant d'eau des naves onerariae. En outre, les périodes favorables à la navigation fluviale s'opposaient aux périodes de navigation maritime... Les basses eaux du fleuve avaient lieu de juin à décembre et c'est précisément durant ces mois que le gros des navires de mer touchait Ostie...
Si comme le pense G. Houston, le tonnage moyen de l'époque tourne autour de 60 tonnes (9.000 modii), Ostie doit connaître dès l'époque de Strabon d'importants mouvements de bateaux. Cependant, comme nous l'avons vu, les navires de l'annone ont un tonnage minimum de 10.000 modii sous Claude. Et certains navires annonaires, principalement sur la route Alexandrie-Ostie, dépassent 50.000 modii de jauge nette. Ostie est donc loin de pouvoir accueillir les lourds naves onerariae de l'annone (aussi bien en jauge qu'en nombre).
D'autre part, sur cette côte les vents soufflent de sud-ouest et embouquent l'embouchure du fleuve. Par conséquent le port ne constitue pas un refuge sûr contre les humeurs de la mer. Enfin, la rencontre des eaux fluviales et océanes créait des remous à l'estuaire du Tibre, accrus par le Libeccio (vent qui sévit sur l’Italie et la corse), qui rend les manœuvres de transbordement délicates.

Au début du Haut-Empire, Ostie ne connaît pas le développement que sa situation géographique lui confère. Les Romains préfèrent utiliser le port de Pouzzoles, situé en baie de Naples à 245 km de là.
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Celui-ci présente des conditions d'accueil et de protection des navires bien meilleures. Ostie ne devient premier port d'Empire que grâce à la volonté impériale. En particulier celle des empereurs Claude et Trajan qui ont su passer outre les insuffisances naturelles, afin de tirer pleinement partie de la situation géographique de la colonie. Le bon approvisionnement de Rome en dépend...

Le Portus : Le fait que Rome n'ait pas un port digne d'une capitale d'Empire ne peut satisfaire les empereurs. Pouzzoles est loin de Rome et l'annone doit gagner l'Urbs par voie terrestre en empruntant la via Appia ou par cabotage le long des côtes Italiennes. A n'en pas douter, les différentes manutentions nécessaires pour effectuer le voyage Pouzzoles-Rome ou Pouzzoles-Ostie sont coûteuses et entraînent des pertes de temps et de grains. D'autant que les côtes Italiennes entre Naples et Rome sont dangereuses.
Les navires sont souvent drossés à la côte par les vents d'ouest et aucuns mouillages sûrs n'existent sur ces rivages.
La nécessité de créer un nouveau port près de Rome n'a pourtant pas échappé à César, mais la difficulté de l'ouvrage l'y a fait renoncer. Il faut attendre le règne de l'empereur Claude, et l'existence de conditions annonaires particulièrement préoccupantes, pour que ce projet prenne forme.

Au dire de Sénèque, à la mort de Caligula, il ne reste plus que « sept jours de vivres, huit au plus ».

Suétone révèle que Claude, lors d'une disette, a été accueilli sur le forum par une avalanche de morceaux de pain... Seule l'intervention d'hommes armés et l'existence d'une porte dérobée lui a permis d'échapper à la multitude en colère.

Et Dion Cassius d'affirmer :
« Une grande famine étant survenue, l'empereur avise aux moyens d'avoir non seulement dans le présent, mais aussi pour toujours dans l'avenir, des vivres en abondance... Claude comprenant ces difficultés, entreprend de construire un port »
Ainsi en 42 après Jésus-Christ, immédiatement après son accession au pouvoir, les travaux du port de Claude débutent. Ils furent achevés, en partie, 12 années plus tard, en 54. Claude va ainsi doter Rome de son premier port véritable.

ALE PORT D'OSTIE
Ignorant l'énormité de la tâche et l'avis défavorable des architectes, Claude entreprend de construire un port situé à 4 km au nord d'Ostie. C'est seulement dans les années 1958-1960, lors des découvertes archéologiques provoquées par la construction de l'aéroport international de Rome, Leonardo da Vinci, que l'on comprend mieux son élaboration. Les ingénieurs utilisant une lagune en formation pour créer un bassin artificiel de 90 ha de surface et de 4 à 5 m de profondeur.
A l'ouest, un cordon sablonneux constitue une protection naturelle contre l'Auster. On barre l'entrée du bassin par une immense digue de 758 m de long et 3 m de large touchant l'extrémité du lido.
Les navires entrent dans le port par un passage de 206 m, ménagé entre la digue et un môle, le monte Giulio, reposant au nord-est sur la terre ferme.
Ce môle mesure 600 m de long et 12 m de large, recouvert de quais de 3 à 5 m de large, pavés de tuf, et possédant des marches.

Comme le révèle Suétone, le port a une forme à peu près circulaire. Des débarcadères et des horrea sont installés sur les deux bras du port, en vue de faciliter le déchargement et le stockage des marchandises...
Les fouilles archéologiques sont venues confirmer le témoignage des auteurs anciens.
Au bout de la grande digue a bien été érigé un phare pour, la nuit, guider les navires. Semblable à celui du port d'Alexandrie, d'une hauteur prodigieuse, il a comme fondation la mirabilis navis utilisé par Caligula pour ramener d’Égypte l'obélisque du Vatican.
Les ingénieurs de Claude coulent le navire et l'utilisent comme batardeau afin d'asseoir les fondations du phare. Le monte dell'Arena les laisse aujourd'hui deviner. En fait, le phare ne devait pas initialement être contigu à la digue. Situé sur une île, il existe deux passes de part et d'autre. Mais l'espace entre la digue et le phare est rapidement comblé par l'immersion de 4 navires qui forment de nouveaux quais.
Se fondant sur le volume de matériaux qu'il a fallu extraire, M. K. et H. L. Thornton estiment que les travaux du port de Claude ont nécessité le travail de 30.000 ouvriers et 1.000 paires de bœufs pendant 20 ans. Le port frappe tant les esprits, que sa construction devient un exercice de rhétorique... « Peut-on construire un tel port ? » demande le maître à ses élèves.
Et Juvénal d'affirmer :
« Oui, les ports qu'a créés la nature méritent moins d'admiration »

FIUMICINO
L'implantation du port de Claude au nord d'Ostie n'a cessé d'étonner les historiens. Cette localisation est particulièrement défavorable. Un courant côtier S.E./N.O. chasse les alluvions du Tibre vers le nord, ce qui, à long terme, voue le port à l'ensablement. Toutefois, ce n'est pas la méconnaissance des atterrissements du fleuve qui pousse les ingénieurs de Claude à choisir un emplacement si aberrant (en apparence).
Les Anciens ont très tôt constaté l'ensablement des ports construits sur les deltas et auraient donc facilement fait le rapprochement avec le Tibre si la situation avait été comparable. Or, à cette époque, l'avancée du delta est imperceptible. Les ingénieurs Romains peuvent établir le port aussi bien au sud qu'au nord d'Ostie.
J. Carcopino avance que ce dernier n'a pu être installé au sud d'Ostie car la région est occupée par des villas aristocratiques dont il « eut fallu payer très cher l'achat à l'amiable et que la loi romaine n'autorise pas à exproprier ».

Selon J. Le Gall, cette hypothèse ne tient pas. Claude n'aurait certainement éprouvé aucune difficulté à contourner les lois si l'approvisionnement de Rome en avait dépendu.
En revanche, nous remarquons qu'il est plus facile de relier le nouveau port au Tibre en le construisant au nord.
A l'inverse, une construction au sud aurait nécessité de creuser un canal s'enfonçant loin dans les terres, contournant Ostie pour finalement aboutir à l'antico corso del Tevere : le Fiume Morto.

Pour faciliter le transfert des marchandises vers Rome, Claude creuse 2 canaux, dont le plus large relie le port au Tibre. C'est l'actuel Fiumicino.
Les marchandises sont embarquées sur des naves amnales et halées par des hommes jusqu'à l'emporium de Rome. Ce canal semble avoir été achevé en 46 après Jésus-Christ.

[Ti(berius) Claudius Drusi f(ilius) Caesar | Aug(ustus) Germanicus, pontif(ex) max(imus), | trib(unicia) potest(ate) VI, co(n)s(ul) design(atus) IIII, im(perator) XII, p(ater) p(atriae), | fossis ductis a Tiberi operis portu[s] caussa emissisque in mare Urbem | inundationis periculo liberavit]

La titulature de l'empereur Claude révèle que l'inscription date de 46 après Jésus-Christ. Les dernières lignes indiquent que :
EMPLACEMENT DU PORT D'OSTIE
« Profitant des travaux du port, il délivre la Ville du péril de l'inondation en conduisant des canaux depuis le Tibre et en les faisant déboucher dans la mer »
Les ingénieurs de l'époque pensent qu'en créant une 2e issue pour le fleuve, ce dernier va mieux s'écouler et mettre un terme aux inondations chroniques dont souffre Rome... Cela n'a pas été le cas, comme l'a montré l'inondation de 69.

Les travaux du port de Claude durent de 42 à 52, mais le complexe n'est totalement achevé que sous Néron, vers 64-66. De ces années datent des monnaies représentant le port de Claude. Sur ces dernières, on discerne bien 2 jetées circulaires, avec en haut, au centre du sesterce, le phare d'Ostie surmonté d'une statue de Claude ou de Néron. Au bas de la pièce figure un dieu (Neptune ?) tenant une rame ou un gouvernail dans une main et un dauphin dans l'autre. Sur la jetée de gauche sont représentés des horrea ou peut-être des portiques avec, à leur extrémité, un temple.
Le môle de droite est flanqué de constructions plus difficiles à identifier. Elles représentent peut-être des portiques que les fouilles archéologiques ont permis de retrouver sur le monte Giulio.
Au centre du bassin, trois naves onerariae ont cargué les voiles.
Deux lenunculi parcourent également le lac intérieur alors qu'un navire de commerce entre au port, les voiles gonflées par un vent de nord-ouest. A droite du phare, les multiples rameurs d'un navire de guerre s'activent pour gagner la haute mer.

Ces sesterces sont émis par les ateliers de Rome et de Lugdunum (Lyon) peut-être pour commémorer le rôle joué par Ostie dans le sauvetage de l'Urbs après le terrible incendie de 64.

Sur l'arc supérieur des monnaies, nous pouvons lire AUGUSTI, et sur l'arc inférieur S POR OST C. Par un senatus consulte, le port est nommé Portus Augusti Ostiensis, bien qu'il eut été plus honnête de l'appeler Portus Claudii, puisque Néron n'a fait qu'achever les travaux entrepris par Claude.
Cependant, même sous Claude, le procurateur affranchi de l'annone Claudius Optatus porte le titre de procurator portus Ostie(n)sis. Nous savons grâce à Suétone, que Claude supprime le quaestor Ostiensis en 44 et qu'un procurateur affranchi le remplace. Claudius Optatus est-il le premier procurateur d'Ostie ?

Dans un tout autre domaine, on remarque également que pour assurer un solide approvisionnement de Rome, la politique de Claude vise autant l'amélioration de l'infrastructure portuaire que la mise en place d'un personnel administratif approprié. Le port montre très vite ses limites. Il est vaste mais mal abrité des vents violents.
VIA OSTIENSE
Tacite nous indique que près de 200 navires sont « dans le port même » submergés par une tempête. Sans doute commence-t-il à s'ensabler. En outre, bien que cela soit risqué, un grand nombre de navires ont la possibilité de mouiller au centre du bassin, mais les quais ne peuvent accueillir que 250 bateaux amarrés obliquement, la proue en avant.
Le port de Rome ne peut pas par conséquent abriter l'ensemble des navires de l'annone. C'est sans doute pourquoi, Pouzzoles continue de recevoir les imposants naves de la classis Alexandrina. Face à cette situation, Trajan décide de réellement centraliser le commerce maritime de la Capitale en offrant à Rome un nouveau port...


Fourniol - Le complexe portuaire d'Ostie - Ostia-antica.org
www.ostia-antica.org/fulltext/fourniol/part1.htm
Au début du Haut-Empire, Ostie ne connut pas le développement que sa .... Les travaux du port de Claude durèrent de 42 à 52 après Jésus-Christ, mais le ...

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Histoire de la fondation du port de Claudius à Ostie - Ostia antica
www.ostia-ostie.net/histoire2.html
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