samedi 27 mai 2017

EN REMONTANT LE TEMPS... 36

24 MARS 2017...

Cette page concerne l'année 36 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

GESTION GOUVERNEMENTALE ET EXPANSION DE LA CHINE AU Ier SIÈCLE.


C'est la première dynastie à adopter le confucianisme, qui devient le soutien idéologique de toutes les dynasties jusqu'à la fin de la Chine impériale. Sous la dynastie Han, l'histoire et les arts s'épanouissent, de nouvelles inventions améliorent la vie...
Des empereurs comme Wudi renforcent et étendent l'Empire Chinois en repoussant les Xiongnu (quelquefois assimilés avec les Huns), en soumettant des territoires à l'ouest, dans le bassin du Tarim, et au sud, au Viêt Nam. Avec l'établissement de la route de la soie, on observe pour la première fois l'apparition d'un commerce entre la Chine et l'Occident.
C'est également sous les Hans et par la route de la soie que le bouddhisme arrive en Chine...
Mais au Ier siècle av. J.-C., le pouvoir des souverains Han diminue et en l'an 9 de l'ère chrétienne, l'usurpateur Wang Mang fonde l'éphémère dynastie Xin.

-191 : Les écrits proscrits sous Che Houang Ti sont de nouveau autorisés. Les lois très rigoureuses qu'il ont promulguées sont abolies.

-188 -180 : Règne de l'Empereur Gaozu.

-179 : La région de Canton (le Nanyue) reconnaît l'autorité des Han.

-179 -157 : Règne de l'Empereur Wen-ti (Wendi).

-167 : Adoucissement de la législation pénale imposée par Che Houang Ti (fin des mutilations). Création des peines de travaux forcés, bien utiles pour la politique de grands travaux (construction des « grandes murailles », irrigation, endiguement, creusement de canaux) que met en œuvre la dynastie.

-165 : Premiers concours officiels pour le choix des fonctionnaires.

-158 : Début des colonies militaires sur les confins du nord.

-157 -141 : Règne de l'empereur Jingdi.

-154 : Les armées impériales doivent briser la « rébellion des 7 royaumes » dirigée par des nobles héritiers de fiefs distribués au début de la dynastie.

-141 -87 : Règne de l'empereur Wu-ti (Wu-ti).

-139 -126 : Ambassade de Tchang K'ien (Zhang Qian) en Bactriane et au Ferghana, dans les royaumes Indo-Européens des Yue-tché (les Tokhariens des Grecs) pour y chercher les chevaux nécessaires aux armées impériales.

-136 -130 : Développement de l'influence Chinoise vers le Yunnan et la Birmanie.

-128 : Premières campagnes menées par les Chinois en Mandchourie et en Corée.

-127 : La loi imposant le partage des fiefs entre tous les héritiers annihile le pouvoir territorial de la noblesse.

-127 -115 : Une série de campagnes victorieuses contre les Hioung-nou (Xiongnu) sécurise la frontière du nord sur laquelle les Han créent des colonies militaires.

-119 : Établissement du monopole d'État sur le fer et le sel.

-106 : La majeure partie de la Corée est conquise.

-87 -74 : Règne de Tchao-ti (Zhaodi).
DUNHANG

-80 -68 : Dictature du général Huo Guang.

-43 : Les Hioung-nou se divisent et une partie d'entre eux se rallie aux Han, qui ne leur ont pas ménagé leurs présents, protégeant ainsi la Chine de ceux qui continuent à nomadiser plus au nord, jusqu'aux abords du lac Baïkal.
La Chine est tranquille pour un siècle du côté des steppes.

-15 : Nouvelle ambassade de Tchang K'ien (Zhang Qian) chez les Wu-sun Indo-Européens de la vallée de l'Ili (dans la région de la Porte de Dzoungarie (ou seuil du Kazakhstan) qui, entre Tian Chan et Altaï, constitue la voie de passage des nomades de l'Est vers l'Asie Occidentale et l'Europe).

-37 -7 : Règne de Xuandi.

An 2. : Premier recensement connu. L'Empire compte alors près de 52 millions d'habitants.

6 : Wang-Mang devient régent à la mort de l'Empereur Ping.

9 - 23 : Règne de l'usurpateur Wang Mang qui fonde l'éphémère dynastie de Xin et dont les réformes d'inspiration égalitariste ne permettent pas de surmonter la crise agraire.

11 : Changement de cours du fleuve Jaune à la suite d'inondations catastrophiques.

17 : Révolte des Sourcils Rouges dans le Chan-tong (Shandong).

23 : L'éphémère dynastie Xin est emportée par les soulèvements populaires et les dissidences nobiliaires.

25-57 : Liu Xiu, qui s'est imposé à la mort de Wang Mang, règne sous le nom de Kouang Wou (Guangwudi) et brise les dernières insurrections paysannes. Début des Han postérieurs, qui s'appuient sur les grands propriétaires fonciers et transfèrent la capitale de Chang'an à Luoyang.
LA GRAND MURAILLE DE CHINE

65 : Première mention d'une communauté bouddhique installée dans le nord du Kiang-sou (Jiangsu), ce qui implique que la nouvelle religion est déjà présente auparavant au nord-ouest du pays où elle a emprunté la route de la Soie pour gagner le Kan-sou et les capitales de Xi'an et de Lo-yang.
L'arrivée du bouddhisme par la voie maritime semble avoir été plus tardive. La voie continentale est alors sous le contrôle de l'empire Kouchan, qui étend son autorité sur toute l'Asie Centrale, du nord-ouest de l'Inde au bassin du Tarim.

73-94 : Le général Pan Tch'ao (Ban Chao) établit l'autorité des Han sur les oasis de Sérinde (aux marges montagneuses du bassin du Tarim qu'occupe le désert de Takla Makan), au moment où se développent les échanges sur la route de la Soie.

Au bout du compte, il apparaît que les Han ont su mettre en place une administration efficace, et les plus belles années du règne de Wudi ont pu être vues comme un âge d'or. C'est en tout cas le triomphe du pouvoir impérial autour duquel s'est concentré l'essentiel du pouvoir. Les dernières années du règne de Wudi sont marquées par des épisodes de troubles à la cour, notamment des affaires de sorcellerie conduisant à la mort de plusieurs hauts personnages, et dont les conséquences les plus dramatiques sont la révolte et le suicide du prince héritier Liu Ju et de l'impératrice Wei Zifu.
Wudi désigne alors un de ses jeunes fils pour lui succéder, non sans avoir éliminé sa mère pour qu'elle n'exerce pas une autorité similaire à celle des précédentes impératrice, et confie la régence au général Huo Guang.

C'est à ce prix que la transition est assurée dans le calme après la mort de Wudi en 87 av. J.-C., quand lui succède son fils Zhao (86-74 av. J.-C.). Huo Guang exerce la régence en poursuivant les tendances autocratiques du défunt empereur, installant sa famille aux postes-clés de l'administration, et mariant sa fille à l'empereur Xuan (73-49 av. J.-C.) sur lequel il exerce également son ascendant.

Après sa mort en 68 av. J.-C., sa famille est éliminée par les nouveaux maîtres de la cour issus de la famille des impératrices.
Désormais, les plus proches de l'empereur, ayant accès à la « cour intérieure », exercent la direction effective de l'empire, de fait les proches des impératrices mais aussi les eunuques.
MOULE A ENGRENAGE
Parallèlement, l'empire est miné dans les provinces par un problème récurrent, celui de la constitution d'un groupe de lignages disposant de vastes domaines à l'échelle régionale, profitant de l'appauvrissement des paysans propriétaires à la suite des lourdes levées d'impôts ou d'autres problèmes (mauvaises récoltes surtout) pour accaparer leurs terres, privant ainsi l’État de ses contribuables privilégiés.
Des pouvoirs provinciaux se sont ainsi reconstitués dans le courant du Ier siècle av. J.-C., contre balançant l'autorité centrale.

Cette œuvre immense sera prolongée par l’arrière-petit-fils de Wou-ti, Siuan-ti (73-49 av. J.-C.), qui continue la conquête de l’Asie centrale et écrase définitivement la puissance Hunnique en obtenant qu’un des 2 chefs de la Mongolie se reconnaisse vassal de la Chine, en 51 av. J.-C. Quant au deuxième chef des Huns, il va fonder un nouveau royaume dans le Turkestan Russe d’où, 4 siècles plus tard, partira Attila à la conquête de l’Europe.

La cour passa durant les dernières décennies du Ier siècle av. J.-C. sous la coupe de l'impératrice Wang Zhengjun, mère de l'empereur Cheng (32-7 av. J.-C.), qui assure à sa famille les postes les plus importants sous les règnes des empereurs Ai (6-1 av. J.-C.) et Ping (1 av. J.-C. 5.), qui meurent sans héritier.

Son jeune neveu Wang Mang parvient à devenir régent des deux. Il nourrît plus d'ambitions que les autres membres de sa famille, se présentant comme un promoteur actif des valeurs confucéennes.
Puis il se sent suffisamment sûr de son pouvoir (lequel est légitimé par des présages jugés favorables) pour se proclamer empereur en 9.

Il entreprend dans cet esprit des réformes audacieuses : Changement des titres et institutions, réforme agraire visant à redistribuer des terres à tous les paysans, émissions de nouvelles formes de monnaie avec une dévaluation, extension des monopoles et mise en place de mesures visant à contrôler les prix des denrées de base et stratégiques (grain, soie), etc.
Ses mesures allient donc un renforcement de celles déjà entreprises par les empereurs Han à d'autres plus novatrices, s'appuyant notamment sur des classiques censés décrire les institutions des Zhou (les Rites de Zhou notamment), il cherche également à rabaisser le pouvoir des grandes familles qui peuvent constituer une menace pour lui. Mais ses réformes ne sont manifestement pas appliquées de façon efficace
Les réformes de Wang Mang ont peut-être heurté les élites de l'empire, mais ce n'est pas ce qui va causer la chute de Wang Mang. Celle-ci vient des conséquences d'une inondation qui dévaste le bassin inférieur du fleuve Jaune en 17, créant un désordre (notamment une famine) fournissant le terreau à l'insurrection des « Sourcils rouges », constitués surtout de paysans.

Ils infligent plusieurs défaites aux troupes impériales en 18 et 22.

L'autorité du pouvoir central se désagrège, et de nombreux foyers rebelles émergent, aboutissant parfois à la formation de principautés autonomes.
Ce contexte profite à une des branches du clan Liu, descendante de l'empereur Jingdi (donc ayant une parenté très lointaine avec les derniers Han antérieurs) implantée à Nanyang dans le Henan, dont un des membres, Liu Xiu, réussit à s'affirmer après de nombreuses péripéties comme un grand chef militaire, en plus de pouvoir se présenter comme héritier de l'ancienne dynastie dont le retour est ardemment souhaité par de nombreux rebelles, signe de l'important prestige qu'elle a su se constituer.

Après la mort de Wang Mang en 23 et sa proclamation comme empereur en 25 (nom posthume Guangwu), il lui faut encore quelques années pour éteindre les dernières révoltes embrasant l'empire, notamment celle des Sourcils rouges, ainsi que plusieurs potentats locaux, ce qu'il fait en mêlant mesures de pardon et victoires militaires...

Dans les provinces, les inspecteurs régionaux mandatés par le pouvoir central commencent à y résider une majeure partie de l'année, poursuivant le reste du temps leurs tournées d'inspection et se contentant d'envoyer des rapports à la capitale.
Leurs liens avec l'administration locale est donc renforcé. Autre évolution importante en province, l'administration des monopoles sur le fer et le sel est transférée aux gouverneurs des commanderies.
La situation profite aux élites provinciales qui renforcent leur emprise sur de nombreuses régions de l'empire, dans la droite ligne des évolutions sociales de la fin des Han antérieurs.

Le fondateur des Han postérieurs est lui-même un de ces grands propriétaires terriens ayant une base provinciale solide, et il ne combat pas le pouvoir croissant des grands lignages provinciaux. Les paysans ayant aliéné leur terre, les migrants, mais aussi les colons militaires se placent souvent sous la coupe d'un de ces personnages, travaillant leur domaine et intégrant leur milice privée.

L'abandon des provinces du Nord-Ouest, l'insécurité pesant sur les régions du Nord ainsi que la croissance des inégalités sociales ont d'importantes conséquences.

Les derniers souverains Han ne seront guère à la hauteur de leurs ancêtres : Rivalisant de débauche, ils permettent à un habile politicien, Wang Mang, d’usurper le pouvoir en l’an 8 de notre ère.
Influencé par les lettrés, Wang Mang entreprend de grandes réformes, notamment dans la redistribution des terres aux paysans dépossédés par les grands seigneurs. Dans tout le pays, des fonctionnaires reçoivent mission de réglementer et de surveiller les mécanismes économiques.
Des tracasseries qui provoquent une vive résistance, à la fois de la noblesse ruinée et des paysans eux-mêmes, affamés par cette perturbation de l’économie.
Cette initiative, entraînera l’assassinat de Wang Mang, la révolte de toute une région, menée par les Sourcils Rouges, des brigands, le saccage, par 2 fois, de la capitale et le rétablissement, après un double coup d’État, de la dynastie Han.
Le nouvel empereur, Kouang Wou-ti, va réimposer l’autorité de la Chine sur l’Annam révolté et sur les Huns de Mongolie intérieure, qui acceptent la suzeraineté chinoise en 48 et sont établis comme fédérés sur la frontière nord.
Mais la conquête la plus importante pour les relations extérieures chinoises sera l’œuvre du fils de Kouang Wou-ti, l’empereur Ming-ti (58-75) : Il envoie ses meilleurs généraux soumettre les oasis du bassin du Tarim, en Asie centrale, étapes indispensables des caravanes entre la Chine, l’Inde, l’Iran et tout le bassin Méditerranéen... Grâce à un capitaine intrépide, Pan Tchao, les princes de ces oasis, également pressentis par les Huns pour devenir leurs alliés, entrent, bon gré mal gré, dans l’orbite Chinoise.

En 94, la dernière oasis rebelle rend les armes et Pan Tchao est promu au rang de protecteur général des contrées d’Occident. 30 ans plus tard, son propre fils, Pan Yong, doit reconquérir tout le Tarim révolté, mais peu importe…
Si les Chinois s’acharnent à garder le contrôle de cette région, c’est qu’elle est la seule voie terrestre par laquelle ils peuvent expédier en Asie Mineure, alors sous tutelle Romaine, leurs produits, et notamment la soie, qu’ils cultivent depuis les temps les plus anciens et dont le monde gréco-latin raffole.
Les Latins n’ont d’ailleurs d’autre mot pour désigner les Chinois que Seri, et la Chine Serica, c’est-à-dire « le pays de la soie ».
Une Route de la Soie dont le contrôle est capital pour les Chinois et qui va, en sens inverse, jouer un rôle immense pour la diffusion en Extrême-Orient des civilisations indo-européennes et, surtout, de la grande religion de l’Inde, le bouddhisme.

Wang- Mang s’emparant du trône « l’an 9 » de notre ère, meurt 15 ans après. Sous son règne, les Tartares menacent la Chine, Wang-mang envoie une armée contre eux, mais les dépenses occasionnées par cette expédition épuisent le trésor et forcent l’empereur à augmenter les impôts.
Les peuples opprimés se révoltent, et le résultat de l’insurrection est la chute et la mort de celui qui a eu assez de talent pour se substituer à un prince incapable, mais qui manque de l’habileté nécessaire pour conserver le pouvoir...
L’empire devient encore une fois la proie d’un soldat, Lieou-lieou, qui prend le nom de Kouang-wou-ti.

C'est sous le règne de son successeur, Ming-ti, empereur dont on vante la sagesse et le bon gouvernement, que la religion de Bouddha commence à s’introduire en Chine.
Ho-ti (89) étend la domination de l'empire jusqu’aux extrémités septentrionales de l’Asie. Un de ses généraux, Poan-Tchao, soumet plusieurs peuples , défait les Hieung-nou, et pousse ses conquêtes jusqu’à la mer Caspienne.

A cette époque, la Chine commerce sur une grande échelle avec l’empire Romain. Les expéditions partent des ports d’Égypte et se rendent par les mers de l'Inde à Canton et dans les autres ports de la Chine Méridionale. Ces relations durent jusqu'au 3e siècle, et ne sont interrompues que par la jalousie des A-si, qui veulent s’approprier le commerce direct de la soie avec les Chinois...

« Le caractère le plus essentiel d’un bon gouvernement est de n’élever aux grands emplois que des gens de vertu et de mérite.
Un empereur, élevé au plus haut degré d’honneur où puisse monter un homme, est obligé d’aimer tous ses peuples et de « les rendre heureux. » (il serait bon de la graver aux frontispices de chaque bâtiment gouvernemental)

Cette maxime, constamment mise en pratique par Taï-tsoung, résume toutes les actions de son règne.
Faire fleurir l’agriculture, remettre les lettres en honneur, diminuer les impôts, organiser l’armée et la tenir sur un pied respectable, pourvoir à l’existence des infirmes et des vieillards, récompenser les actions vertueuses et encourager les talents; telle a été, du reste, la règle invariable de conduite de tous les empereurs chinois qui ont illustré leur règne. Tous semblent se mouvoir dans le même cercle et obéir à la même impulsion.
Cela s’explique par le caractère immuable de ce peuple. La tradition a fidèlement conservé le souvenir des actions et des préceptes des premiers empereurs, et le prince qui monte sur le trône avec des sentiments vertueux les prend pour modèles et s'applique scrupuleusement la les imiter...
Depuis cette époque, l'influence de la Chine dans l’Asie centrale va toujours en augmentant ; ses limites sont considérablement étendues vers l’Ouest , et bientôt toutes les vastes contrées situées entre la Chine et la Perse reconnaissent l’autorité du Céleste-Empire.

Entre les recensements de 2 et de 140, la population de l'empire semble avoir diminué d'environ 8-9 millions de personnes. Il peut s'agir d'un déclin démographique, ou bien de la diminution de la population contrôlée par l'administration impériale et ses recenseurs, et donc de la population taxable. Il y a également des migrations en direction du Sud.

Entre les recensements de 2 et de 140, la population de certaines des provinces du Nord diminue de 70 % tandis qu'elle augmente dans les circonscriptions situées au sud du bassin du fleuve Jaune, mais également dans les régions plus méridionales du bassin du Yangzi, qui restent encore peu peuplées et en situation marginale par rapport au reste de l'empire, où certaines commanderies doublent (voire plus dans certains cas) leur population sur la même période, constituant un front de conquête à l'intérieur de l'empire.



Les Fils des Han - Historia Nostra
www.historia-nostra.com/index.php?option=com_content&task=view&id...
20 juil. 2010 - Une dynastie qui saura garder le pouvoir pendant quatre siècles et qui ... Le nouvel empereur, Kouang Wou-ti, va réimposer l'autorité de la ...

Chronologie Chine - Clio - Voyage Culturel
www.clio.fr/chronologie/chronologie_chine.asp
Première puissance économique du monde au début du XIXe siècle, la Chine ..... Le pouvoir tyrannique de Che Houang Ti s'en prend aux nobles et aux lettrés et ... de Kouang Wou (Guangwudi) et brise les dernières insurrections paysannes.

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