vendredi 28 février 2014

1171... EN REMONTANT LE TEMPS

Cette page concerne l'année 1171 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée. Il ne peut donc s'agir que d'un survol !


LES MARCHANDS DE L'EAU DE PARIS


BLASON DES MARCHANDS DE L'EAU DE PARIS  
Dans le grand mouvement d’expansion démographique et urbaine que connaît alors toute l’Europe occidentale, Louis VI fait de Paris une « ville neuve » en plein essor dans tous les domaines. Il organise les premières corporations, fixe le statut des bouchers, abandonne aux marchands la taxe jusqu’alors perçue par le fisc royal sur les bateaux de vin (1121). La communauté des marchands de l’eau prend ainsi naissance et grâce aux privilèges royaux successifs, se développe jusqu’à devenir l’autorité Municipale Parisienne.
Investie d’un pouvoir excessif, cette magistrature est vénale avant d’être réformée par Louis IX. Celui-ci décide, vers 1258, de nommer un officier en lui attribuant les pouvoirs d’un bailli sans lui en décerner le titre, car le roi se considère maître en dernier ressort de la capitale.
Le prévôt royal est chargé de maintenir l’ordre dans la ville et d’assurer la police des métiers. Le premier officier investi de cette fonction est Étienne Boileau. Celui-ci réorganise une cour de justice propre à la ville, mais dont les arrêts sont exécutoires dans l’ensemble du royaume pour tout ce qui concerne l’approvisionnement de Paris.
En contrepartie de la suppression de l’affermage de la prévôté de Paris, Louis IX cède l’administration municipale au premier prévôt des marchands, Evrard de Valenciennes, ainsi qu’à quatre échevins. Ces 5 magistrats sont élus pour deux ans et rééligibles au moins deux fois. Leur charge consiste à assurer la police des vivres et exécuter de nombreux travaux d’utilité publique : l’entretien des fossés, l’enlèvement de tout obstacle à la navigation sur la Seine, la construction des édifices publics, des remparts, des fontaines…etc.
Au XIVe siècle, la municipalité devient très complexe avec à sa tête un Bureau de la ville dirigé par le prévôt des marchands, puis un Conseil de la ville consulté pour les cas importants, et enfin l’Assemblée générale avec ses nombreux délégués.

MAQUETTE DES PILIERS DES NAUTES

A l'intérieur de ces nouvelles agglomérations, la majorité de la population est souvent originaire de villages situés dans un rayon de 20 à 30 kilomètres, encore que quelques individus venus de plus loin y arrivent et y demeure assez souvent. Les agents du seigneur, fréquemment détenteurs de terres dans la ville perçoivent les redevances, maintiennent l'ordre, contribuent à rendre la justice, assurent un début d'administration. Éléments dynamiques, les marchands font des affaires et celles-ci vont du commerce actif d'exportation du drap, des produits colorants du cuir... au prêt, à la grosse aventure, à la mainmise sur les moulins, les fours, les étaux du marché, à la spéculation foncière aussi, particulièrement profitable en cette période d'expansion... Enfin, on y trouve un nombre déjà considérable d'artisans dont les professions couvrent une gamme plus étendue qu'on ne le suppose parfois. A côté de ceux que le ravitaillement de la ville rend indispensables, comme les bouchers, les boulangers, les meuniers, il y a les techniciens qui approvisionnent toute la région en outils et en matériel : socs de charrue, harnais, selles, armes, ouvriers du fer comme les forgerons, serruriers, couteliers, travailleurs du cuir comme les tanneurs, les cordonniers,· artisans de la laine comme les tisserands, les foulons. Cette dernière activité surtout commence dès la seconde moitié du XIIe siècle à faire la fortune de nombre de centres du nord-ouest de la France, entre Seine et Escaut... en Flandre, Artois, Normandie. Leurs draps s'exportent et se vendent sur les places Méditerranéennes, à l'époque grandes consommatrices d'étoffes du Nord. Centre de consommation, mais aussi centre de fabrication et de diffusion, la ville et son marché jouent ainsi pleinement dans l'économie un rôle nouveau et actif.
Certains de ces « bourgeois » (le mot paraît à l'origine souligner la résidence dans un bourg) font rapidement fructifier une fortune dont l'essentiel est constitué d'argent liquide, de deniers. Liens familiaux et intérêts communs unissent entre eux les plus fortunés des notables, les « meilleurs » (meliores), les « plus puissants » (potentiores), selon les termes des documents du temps. Cette conscience d'une solidarité entre tous les habitants d'une même ville, favorisée par l'esprit des associations religieuses et par la cohésion de la « guilde », trouve son expression la plus complète dans ces communautés unies par serment qui portent un nom révélateur : « commune », « amitié », « paix ».

Les statuts d'Aire-sur-la-Lys, datant de 1093-1111 et confirmés en 1188, stipulent, par exemple, que « tous ceux qui sont compris dans l'Amitié de la ville ont confirmé par la foi et le serment que chacun porterait aide à chacun comme à un frère en ce qui est utile et honnête ». C'est ainsi que « si quelqu'un a eu sa maison brûlée ou si, tombé en captivité, il doit payer une rançon réduisant ses moyens, chacun des Amis donnera un écu pour secourir l'Ami appauvri ».

Cette solidarité active fondée sur le serment devait rapidement déboucher sur des revendications touchant la gestion de la ville et le statut de ses habitants. Car à cette population nouvelle rassemblée dans les bourgs se pose un problème capital...
DÉTAIL D'UN PILIER
Composée d'individus d'origines et de conditions juridiques mêlées, elle doit s'efforcer d'obtenir avant tout un statut propre qui lui garantisse des conditions acceptables pour l'exercice de son activité au cœur d'une société tout entière fondée, d'une part, sur les rapports féodaux et, d'autre part, sur les besoins de l'exploitation des domaines ruraux. Ce désir était particulièrement impérieux chez les marchands, dont les transactions s'accommodent difficilement des entraves de tout genre que la coutume apporte tant à la liberté personnelle (cens, corvées, etc.) qu'aux opérations commerciales (duel judiciaire, ordalies du fer rouge et de l'eau bouillante comme moyens de preuve en cas de procès). La plupart d'entre eux, ainsi que quelques partisans aisés et les possesseurs de biens fonciers, avaient réussi à amasser des fortunes imposantes pour l'époque. Ils supportent donc de plus en plus difficilement la tutelle du seigneur, maître des personnes et des biens, parfois même propriétaire du sol, d'autant que ce dernier vise alors à renforcer et à multiplier ses exigences en vertu de son pouvoir de ban. Il s'agit, en fait, de limiter et de définir les exactions seigneuriales (cens, mainmorte, formariage), d'uniformiser le statut des habitants et d'obtenir dans toute la mesure du possible des garanties judiciaires (tribunal particulier) et économiques (exemption des péages, etc.). Programme à peu près général que Guibert de Nogent, peu suspect pourtant de sympathie pour les revendications communales, formule avec netteté:
«Tous ceux qui sont tenus au cens capital c'est à dire les serfs, soumis à un impôt payable par tête ils paient chaque année en une seule fois ce qu'ils doivent à leur seigneur, selon la coutume, du fait de leur servitude, commettent-ils une infraction contre le droit en vigueur, ils s'en acquittent en payant une amende fixée par jugement, quant aux autres perceptions exigées d'habitude des serfs, ils en sont complètement exempts ».

Une solidarité militante: la commune
PLAN DE PARIS
Le moteur de cette révolution, c'est la conjuration, la « commune ». «Terme nouveau et détestable » aux yeux de Guibert de Nogent, « conspiration turbulente » si l'on en croit le canoniste Yves de Chartres, suivi en cela par la plupart des évêques et même des papes, comme Innocent II, qui donne à Louis VII l'ordre de « disperser par la force les coupables associations des Rémois, dites compagnies ». L'histoire du mouvement communal est donc difficile à écrire, puisque la grande majorité des sources dont on dispose pour le faire sont l’œuvre de clercs, outrés de l'emploi abusif du serment à des fins profanes. Elles sont, en fin de compte, tendancieuses, sinon partiales.

Les méthodes employées ont varié selon les temps et les lieux, selon l'attitude aussi des seigneurs. Réaction prudente du roi de France, soucieux d'éliminer du domaine royal et des évêchés à sa discrétion les ferments de trouble, mais encourageant, au contraire, l'établissement communal chez ses voisins, attitude ambiguë et souvent hostile des évêques, comme au Mans, à Cambrai, à Laon, provoquant des soulèvements brutaux, soutien affirmé du comte de Flandre, et plus nuancé de la part des autres grands féodaux Français.

Dans la plupart des cas, les bourgeois conjurés ont d'abord tenté d'obtenir à prix d'argent la concession de la commune et de ses avantages. Mais irrités par les refus, les réticences, les palinodies qu'ils rencontrent, ils n'hésitent pas à recourir à la force et à la violence, au soulèvement sauvage avec son cortège d'émeutes, de massacres, de pillages, d'incendies et de répressions sans pitié... La liste de ces « émotions » est longue et sanglante qui va du feu de paille du Mans (1070) et de la révolte de Cambrai (1076) à celles de Laon (1112), d'Amiens (1114) ou de Reims (1139).

La révolte de Laon est caractéristique à cet égard. La fourberie et la cupidité de l'évêque Gaudri provoquent l'insurrection des bourgeois. Armés d'épées, de haches, d'arcs et de cognées, ils prennent d'assaut le palais épiscopal, massacrent les défenseurs et lapide l'évêque, qu'ils ont découvert blotti dans un tonneau. Clercs et nobles sont également chassés. L'incendie succède au pillage et atteint la cathédrale elle-même. La riposte est aussi furieuse... aidés par l'armée royale, seigneurs et chevaliers reprennent Laon, la mettent à sac et égorgent tous les bourgeois qu'ils peuvent trouver. Pareils actes de violence, d'ailleurs courants à l'époque, illustrent cependant l'acuité du conflit et l'ardeur des clans opposés.

C'est, en gros, dans une région comprise entre le littoral, l'Escaut et la Somme, que le mouvement, s'étendant de proche en proche, donne vraiment sa pleine mesure. Enhardies par la prospérité que leur vaut une industrie drapière en plein essor, les villes se montrent ardentes à obtenir les avantages du statut communal, à celles citées plus haut, il faut joindre Saint-Quentin (vers 1080), Beauvais (1099), Noyon (1110), Soissons (1116-1126), Corbie (1120), Saint-Riquier (avant 1126), Abbeville (1130). Dans chaque cas, les péripéties sont différentes, allant de l'accord tacite à l'explosion armée, tandis que suppressions, rétablissements, confirmations se succèdent au hasard des circonstances. C'est ainsi qu'en Flandre l'assassinat du comte Charles le Bon (1127) déclenche une véritable guerre civile dans le comté. Les villes jouent le rôle décisif dans la succession, malgré le soutien du roi de France Louis VI, Guillaume Cliton est évincé au profit de Thierry d'Alsace, qui s'est assuré l'appui des grandes cités commerçantes (Gand, Bruges, Lille et Ypres) en leur promettant de favoriser leur commerce et leurs libertés. Des soulèvements bourgeois (qui ne prennent pas toujours la forme de la « commune ») sont également signalés à Sens (1149), à Vézelay (1136), à Orléans (1137), à Poitiers (1138), à Toulouse (1139) et à Bordeaux (1147-1149).

A Paris le roi édite :
[« Au nom de la sainte et indivisible Trinité, amen. Moi, Louis, par la grâce de Dieu roi des Francs, à tous, à perpétuité. Savoir faisons tant aux présents qu’à ceux à venir, que nos citoyens de Paris qui sont marchands par eau sont venus devant nous, nous demandant que nous leur concédions et confirmions les coutumes qu’ils avaient eues du temps de notre père le roi Louis, approuvant leur requête avec une faveur bienveillante, nous avons donné à leurs prières notre bienveillant accord. Leurs coutumes sont ainsi depuis longtemps : personne n’a le droit d’amener à Paris ou d’emmener quelque marchandise, du pont de Mantes qu’aux ponts de Paris, s’il n’est marchand de l’eau de Paris ou s’il n’a cette marchandise en société avec quelque marchand de l’eau de Paris. Si quelqu’un ose agir autrement, il perdra le tout ; et la moitié de ce tout ira au roi, pour le forfait, et l’autre moitié à nos marchands de l’eau de Paris. Quant aux marchands de l’eau de Rouen, ils auront licence et d’amener leurs bateaux vides jusqu’au petit ru du Pecq, pas au-delà, et, de là, de charger et de ramener leur chargement sans être associés aux marchands de l’eau de Paris. Et si quelqu’un, sans associé parisien, s’avance au-delà, qu’il perde le tout de la même manière et, comme il a été dit, qu’on distribue le tout au roi et aux marchands […]. Pour que ceci soit valable à perpétuité, nous avons prescrit de le confier à un écrit et de le renforcer par l’autorité de notre sceau, en y ajoutant le monogramme de notre nom. Fait à Paris l’an de l’Incarnation du Verbe 1170 ; présents dans notre palais ceux dont suivent les noms et les seings. Seing du comte Thibaut, notre sénéchal ; seing de Mathieu, chambrier ; seing de Guy, bouteiller ; seing de Raoul, connétable ; donné par la main d’Hugues, chancelier et évêque de Soissons. »]

Depuis l'époque Gallo-Romaine, la Seine a fait la fortune de Paris. Au XIIe siècle, les fleuves et les rivières sont des voies de communication indispensables au commerce médiéval. Paris est alors essentiellement ravitaillé en marchandises et en biens alimentaires par les bateaux remontant ou descendant la Seine. Les entrepreneurs de transport par voie d'eau ont alors le monopole de ce trafic. En créant, en 1171, la « Hanse des marchands de l'eau », Louis VII les conforte dans leurs privilèges, tout en protégeant et renforçant le commerce fluvial parisien.
A Paris, toute une foule industrieuse de marchands et d'artisans s'active et se presse. La Seine, qui coupe la ville en deux, est une voie de communication essentielle utilisée depuis l'époque Gallo-Romaine. De nombreux bateaux y convoient quotidiennement les marchandises ou les biens nécessaires à l'approvisionnement des Parisiens. 
UN AUTRE DÉTAIL DE PILIER
Sous le règne des premiers Capétiens, Paris est une des principales villes du domaine royal, mais pas une capitale, n’étant pour eux qu’une résidence parmi d’autres. Elle gagne cependant en importance avec le temps, Robert le Pieux fait ainsi restaurer le Palais de la Cité et plusieurs abbayes, tandis que Louis VI puis Louis VII y fixent leur cour et leur chancellerie. Dans le même temps, la cité prospère, devenant une place importante du commerce du blé, du poisson et du drap, les marchands parisiens s’unissant au sein d’une « hanse des marchands de l’eau » privilégiée par Louis VII en 1170/1171. Elle devient également un centre d’enseignement majeur, grâce aux écoles épiscopales dans un premier temps, puis à partir du milieu du XIIIe siècle, aux communautés religieuses qui s’établissent sur la rive gauche alors dépeuplée. À l’image de l’ensemble de l’Occident chrétien, sa population augmente à cette époque de façon considérable : Paris s’étend d’abord sur la rive droite (début XIe siècle), qui devient son poumon économique, l’île de la Cité abritant dès lors les grands édifices administratifs et religieux.
Au Moyen-Âge, en 1170, les Marchands de l’eau – Mercator aquae Parisius – reçoivent de Louis VII des privilèges de commerce et de navigation sur une partie de la Seine, et obtiennent même, en 1210 de la part de Philippe Auguste, des droits de Prévôté. Ainsi naît la Municipalité Parisienne.
Les Nautes marquent, après 1210, leurs actes officiels de leur sceau représentant un navire. Au départ de cire naturelle, le sceau devient rouge, semble-t-il sur l’impulsion du prévôt des marchands Étienne Marcel qui a pour couleurs attitrées le rouge et le bleu (couleurs de la ville de Paris).
Les origines de la Hanse Parisienne des Marchands de l'Eau. Après avoir exposé les diverses opinions émises sur les commencements de cette institution, on relève les ressemblances frappantes que l'on constate entre elle et les hanses marchandes dont on connaît l'existence au XIe et au XIIe siècle. La Hanse parisienne s'explique par les mêmes circonstances économiques et répond aux mêmes nécessités imposées par le genre d'activité commerciale de l'époque. Son chef, le prévôts des marchands, devient, comme le comte de la Hanse dans diverses villes, un magistrat municipal. L'absence de constitution communale à Paris lui a même permis de prendre une importance considérable...
Au même moment, Paris prend son essor et l'impression qu'il produit sur ceux qui le voient est, à n'en pas douter, profonde.
PARIS
Visitant, entre 1175 et 1190, cette « ville royale où l'abondance des biens naturels ne retient pas seulement ceux qui l'habitent, mais multe et attire ceux qui sont loin », Gui de Bazoches brosse un tableau enthousiaste qui aujourd'hui encore garde intact son pouvoir de suggestion. «Elle est assise au sein d'un vallon délicieux, au centre d'une couronne de coteaux qu'enrichissent à l'envi Cérès et Bacchus. La Seine, ce fleuve superbe qui vient de l'Orient, y coule à pleins bords et entoure de ses deux bras une île qui est la tête, le cœur, la moelle de la ville entière. Deux faubourgs s'étendent à droite et à gauche, dont le moins grand ferait encore l'envie de bien des cités. Chacun de ces faubourgs communique avec l'île par deux ponts de pierre: le Grand Pont, tourné au nord, du côté de la mer Anglaise, et le Petit Pont, qui regarde la Loire. Le premier, large, riche, commerçant, est le théâtre d'une activité bouillonnante, d'innombrables bateaux l'entourent, remplis de marchandises et de richesses. Le Petit Pont appartient aux dialecticiens, qui s'y promènent en discutant. Dans l'île, à côté du palais des rois, qui domine toute la Ville, on voit le palais de la philosophie où l'étude règne seule en souveraine, citadelle de lumière et d'immortalité. »
La Hanse des marchands de l'eau - Devoir-de-philosophie.com
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Paris au Moyen Âge | Sur le Chemin du Paradis à Paris

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2 commentaires:

  1. Chère Chantal, voilà un épisode de la vie de Louis VII qu'il est fort intéressant de connaître..

    Ce me semble en effet un roi méconnu car malgré les échecs que l'on a retenus lors de la deuxième croisade et dans son union avec Aliénor d’Aquitaine, Louis VII a joué un rôle important dans l’affirmation du pouvoir royal, poursuivant l’œuvre de son père et préfigurant celle de son fils.

    Amitiés

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  2. En effet il fut un parfait trait d'union, il a agrandit le territoire contenu (pas toujours facilement) les Anglais, et posé les bases d'une réglementation nationale.

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