mercredi 12 février 2014

1189... EN REMONTANT LE TEMPS.

Cette page concerne l'année 1188 du calendrier julien.
Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée. Il ne peut donc s'agir que d'un survol !


HENRI II DE PLANTAGENÊT PREMIER ROI ANGLAIS « PLANTAGENÊT », PREMIER AUSSI A AVOIR CHERCHE L'UNIFICATIONDES ÎLES BRITANIQUES,

HENRI II PLANTGENÊT
Fils de Geoffroy V Plantagenêt et de Mathilde, Henri Plantagenêt (Le Mans 1133-Chinon 1189), duc de Normandie (1150-1189), comte d'Anjou (1151-1189) et duc d'Aquitaine (1152-1189) [par son mariage avec Aliénor], roi d'Angleterre (1154-1189).
Succédant à Étienne de Blois sur le trône d'Angleterre, il rétablit rapidement l'ordre et l'autorité monarchique et entreprend de donner une certaine unité à ses vastes domaines.
- En réorganisant l'administration Anglo-Normande et déployant une intense activité législative. Cette œuvre réformatrice heurte les privilèges des barons et de l'Église.
- En s'appuyant sur les classes moyennes, il lutte contre l'opposition féodale et reprend l'Église en main.
- Un dramatique conflit l'oppose à l'archevêque de Canterbury, Thomas Becket, qui refuse d'approuver les constitutions de Clarendon (1164).
- À l'extérieur, il lutte avec succès contre Louis VII et consolide son domaine Français.
- Il tente de conquérir l'Irlande (1170) et oblige le roi d'Écosse Guillaume le Lion à lui prêter hommage (1173).
- La fin de sa vie sera assombrie par la révolte de ses fils Henri (1173 et 1183), Richard (1173 et 1188-1189) et Jean (1189).
Petit-fils d'Henri Ier, désigné par son grand-père pour lui succéder dès le moment de sa naissance, écarté du trône par Étienne, neveu du roi défunt, Henri II doit tout à l'énergie de sa mère, Mathilde, et de son père, Geoffroy V Plantagenêt. Il est couronné en 1154 et, dès ce moment, il est le maître non seulement de l'Angleterre, mais aussi de la Normandie... en outre, grâce à un mariage opportun avec Aliénor d'Aquitaine, il contrôle tout le sud-ouest de la France. L'Anjou, le Maine et la Touraine compléteront son « Channel State ». Il aura quelque peine à maintenir son autorité sur un aussi vaste ensemble et devra affronter des révoltes féodales en Angleterre, les intrigues des rois de France Louis VII et Philippe Auguste et, à la fin de sa vie, le soulèvement de ses propres fils, Henri, Richard et Geoffroy.
Pourtant, conquérant de l'Irlande en 1171-1172, ayant rêvé en vain d'établir son autorité sur l'Écosse, il est l'un des créateurs et des réalisateurs du rêve Anglais qui consiste à réunir les îles Britanniques sous un seul sceptre.
Henri II a été en Angleterre un souverain autoritaire et un roi justicier : en révoquant, en 1170, presque tous les shérifs et en les remplaçant par des personnages plus modestes et plus soumis, il a préservé son droit d'intervention dans les comtés et contribué à asseoir un véritable pouvoir local d'origine royale, c'est sous son règne qu'est entreprise la fixation du droit coutumier, avec l'aide des plus grands érudits du temps, Ranulf de Glanville, Richard Fitz-Nigel, Thomas Becket, Roger Hoveden, Hubert Walter, la common law » va s'imposer, imprégnée de droit Romain, mais non pas exclusivement inspirée par lui : De véritables codes sont promulgués, dont le plus célèbre en 1164 :
VASE EN CRISTAL APPARTENANT A ALIÉNOR

D'AQUITAINE
Les Constitutions de Clarendon : des tribunaux royaux sont organisés, hiérarchisés depuis le Hundred (Conseil des Cent) jusqu'au Grand Conseil, et des cours itinérantes, assistées de jurys recrutés sur place, viennent offrir la justice royale, civile […]...
Par un concours de circonstances extraordinaire, le comte Henri d'Anjou, dit Henri Plantagenêt, Ceint la couronne d'Angleterre le 19 décembre 1154. Le nouveau roi, sous le nom d'Henri II, inaugure la dynastie dite des Plantagenêt. Son règne est marqué par d'incessantes querelles avec son épouse, et ses fils, Henri Court-Mantel, Richard Cœur de Lion, Jean Sans Terre, ainsi qu'avec l'évêque Thomas Becket, assassiné par sa faute, et bien sûr le roi de France Louis VII Le Jeune, premier époux d'Aliénor d'Aquitaine...
Henri de Plantagenêt est le fils aîné du comte d'Anjou Geoffroy (ou Geoffroi) V le Bel, aussi appelé «Plantagenêt» du fait que son père Foulque a coutume de porter une branche de genêt piquée dans son chapeau... Ce nom deviendra celui de la dynastie. Le jeune Homme est par sa mère Mathilde, le petit-fils du roi d'Angleterre Henri 1er Beauclerc et l'arrière-petit-fils de Guillaume le conquérant... Henri 1er Beauclerc perd ses fils dans le naufrage de la Blanche Nef, à la Noël 1120, Mathilde est proclamée «  Dame des Anglais » (et non reine) mais ses prétentions sont contestées par son cousin, le comte de Boulogne Étienne de Blois, petit-fils de Guillaume le Conquérant par sa mère.
En 1153, après 15 ans d'anarchie, Étienne de Blois, qui a perdu son fils aîné Eustache, se résigne à désigner le fils de Mathilde pour lui succéder. Sa mort, survenue le 25 octobre 1154, ouvre le chemin du trône pour Henri Plantagenêt, qui a entre temps hérité de son père l'Anjou, le Maine et la Touraine.
Le postulant au trône a épousé la duchesse Aliénor d'Aquitaine deux ans plus tôt, le 18 mai 1152, à Poitiers, divorcée depuis 2 ans du roi de France Louis VII le Jeune ! Le couple baigne dans le bonheur. Aliénor, qui n'a eu que des filles avec son premier mari, a déjà un garçon du second ! Pendant qu'elle pouponne et met en ordre ses domaines Aquitain et Poitevin, Henri se rend en Angleterre pour préparer sa prochaine promotion... Au commencement de son règne qui est des plus heureux, pendant quelques années, il n’y a pas en Europe un roi plus craint et plus respecté. Au milieu d’une fortune éclatante qui semble lui promettre de grandes prospérités, il est regardé comme le plus heureux prince du monde
Le jeune et fringant comte Henri tombe au cours de son séjour outre-Manche sous le charme d'une jeune et blonde Anglaise, Rosamonde Clifford, fille d'un baron local. Leur romance durera 20 ans en altérant le bonheur d'Aliénor d'Aquitaine. Le destin légendaire de la favorite («fair Rosamund» « blonde Rosamonde ») que l'on croit, à tort, empoisonnée sur ordre de la reine, inspirera de grands poètes comme Chaucer. Par leur couronnement, Henri Plantagenêt et Aliénor d'Aquitaine apportent à l'Angleterre un vaste domaine qui couvre l'Ouest et le Sud-Ouest de la France, de la Somme aux Pyrénées, de Calais à Bordeaux, auquel on donnera le nom d' » Empire Angevin » ! Ce sera la querelles interminables avec le roi de France auquel les deux nouveaux souverains doivent l'hommage féodal pour leurs possessions sur le Continent.
Aliénor donne le jour à plusieurs filles et fils, dont Henri (1155), Richard, le futur Cœur de Lion (1157) et Geoffroy (1158). L'avenir de la dynastie semble assurer, mais l'entente n'est plus. La reine, irritée par l'infidélité de son jeune époux, prolonge ses séjours dans son cher Poitou.
GEOFFROY PLANTAGENÊT
En 1166, Henri II défait les Bretons et obtient pour son fils Geoffroy la main de Constance, héritière du duché. Sa puissance paraît alors immense et l'avenir des plus prometteurs. La reine, a 45 ans... elle met au monde son dernier enfant, encore un fils, Jean. Mais les premiers nuages s'amoncellent sur l'empire Anglo-Angevin. De manière inattendue, ils viennent d'un fidèle du roi, Thomas Becket, Anglais de basse extraction, il a servi avec dévouement le trône en qualité de chancelier. Le roi a cru habile de le faire élire archevêque de Cantorbéry, espérant par son intermédiaire manœuvrer l'Église à sa guise. Hélas ! Sitôt élu, son ancien ami et complice prend à cœur les intérêts de l'Église.
Comme le roi veut s'approprier certains impôts locaux, l'archevêque proteste. Le roi réunit alors un synode à Southampton :
- Le fait condamner comme parjure et traître, Thomas Becket ne cède pas.
- Il excommunie les membres du synode et s'enfuit en France auprès de Louis VII.
LOUIS VII LE JEUNE
- Le roi Capétien mais aussi le pape menacent de se mêler de l'affaire.
Henri II, troublé, approche Louis VII et les deux souverains concluent à Montmirail, le 6 janvier 1169, non plus une simple trêve mais une paix perpétuelle, consacrée par une promesse de mariage entre Alix (9 ans) fille de Louis VII, et Richard (11 ans). Henri II confirme par ailleurs le partage de ses domaines entre ses 3 premiers fils, et fait un peu plus tard sacrer son fils Henri pour asseoir la dynastie...
Henri le Jeune, surnommé « Court-Mantel » en raison de ses habitudes vestimentaires, arrogant et vindicatif, ne se satisfait pas de cet honneur. Il réclame de jouir sans délai de la Normandie ! Son père refuse. Première dispute.
Le 29 décembre, de l'autre côté de la Manche, à Cantorbéry, l'archevêque Thomas Becket est assassiné au pied de son autel par une poignée de chevaliers. Ces derniers croyaient ce faisant exprimer la volonté du roi qui s'est exclamé dans un moment de colère : « Un homme qui a mangé mon pain, qui venu à ma cour pauvre et nu, ose lever le talon et me frapper au visage. Personne ne me vengera donc de l'insolence de ce prêtre ? » Le meurtre de l'archevêque soulève une émotion considérable dans les cours Européennes. Après un exil en France et une série d’excommunications contre les prêtres qui ne le soutenaient pas, Thomas Becket retourne en Angleterre. Cet assassinat provoque la colère de l’Église et des croyants, forçant Henri II à faire pénitence publiquement... Henri II eut une idée lui permettant de se réconcilier avec son peuple : il se rend au tombeau de Thomas Becket en habits de pénitent, pieds nus, et y demeure 24 heures en prières, à jeun, se faisant flageller.
Cette pénitence, feinte ou réelle, est un plein succès. Le peuple, voyant le roi réconcilié avec le martyr, se range sous sa bannière, les seigneurs doivent se soumettre, l’Angleterre est sauvée d’une nouvelle invasion.
ALIÉNOR D'AQUITAINE
Là-dessus, le roi corrige le partage de son héritage en attribuant à son fils Jean les châteaux de Chinon, Loudun et Mirebeau... Henri Court-Mantel proteste contre ce vol d'héritage... Il complote avec quelques grands vassaux du Limousin. Quand son père vient le chercher, il s'enfuit en catimini. Henri II, dépité, convoque sa famille à Gisors et Henri Court-Mantel, de son côté, fait mander à sa mère d'engager ses frères Richard et Geoffroy en sa faveur.
Aliénor hésite... Ira-t-elle à Gisors ?... S'y fera-t-elle accompagner de ses fils ?... La raison politique voudrait qu'elle ramène l'harmonie dans sa famille. Mais son amertume d'amoureuse trompée et d'épouse humiliée l'emporte au final : Elle entraîne ses fils dans la révolte. Henri II réagit avec détermination.
À la tête d'une armée de mercenaires Brabançons (originaires du Brabant, la région de Bruxelles), le roi arrive à Chinon, s'empare d'Aliénor et l'incarcère dans la tour de Salisbury, près de Londres... La reine s'y morfondra pendant dix ans. Là-dessus, le roi revient sur le Continent.
Le 23 septembre 1174, Court-Mantel se réconcilie avec son père. C'est un peu plus tard le tour de Richard.
Pendant ce temps, en Angleterre, Alix de France (14ans), adolescente promise en mariage à Richard, remplace Rosamonde dans le lit du vieux roi quadragénaire. Précaire, l'entente familiale est mise à mal par la mort d'Henri Court-Mantel, frappé de maladie. Comme Richard devient le nouvel héritier du trône d'Angleterre, Henri projette de transférer l'Anjou et l'Aquitaine à Jean, son fils préféré... Protestation de Richard, qui s'est attaché çà ses domaines. À nouveau il se rebelle et entraîne Geoffroy avec lui.
À la Noël 1184, Henri II réunit sa famille à Cantorbéry pour un « plaid » solennel, il libère Aliénor et rend à Richard l'Aquitaine et l'Anjou... Nouvelle révolte de Henri Court Mantel, sa mort (1183) : Cependant, peu de temps après leur réconciliation, les fils du roi d’Angleterre se brouillent entre eux, et comme Henri II intervient en faveur de Richard, les deux autres se retournent contre ce dernier. Un jour, il est convenu d’une rencontre entre le roi et Geoffroy à Limoges. Lorsque Henri II se présente, les archers de son fils lui tirent dessus.... Un autre jour, un messager vient l’avertir que son fils Henri, tombé gravement malade, le prie de venir le voir, mais le roi craignant une embuscade ne bouge pas... Un second messager vient et lui apprend que son fils est mort en implorant le pardon de son père, couché sur un lit de cendre comme marque de repentir. Le roi en éprouve une vive douleur... le 19 août 1186, Geoffroy meurt, piétiné par des chevaux, lors d'un tournoi à la cour du roi de France Philippe Auguste. Il laisse un héritier, Arthur (ou Artus) de Bretagne.
Le roi capétien, fils tardif de Louis VII le Jeune, veut profiter de la situation pour abattre les Plantagenêt, une guerre se prépare quand soudain, coup de tonnerre survient la nouvelle terrible ! : Jérusalem vient de tomber aux mains des Sarrasins ! Un nouveau voyage en Terre Sainte (autrement dit une croisade) s'impose, 40 ans après le précédent. Le roi Richard se croise sans attendre. Philippe II Auguste et Henri II conviennent de se croiser également mais ne se hâtent pas... Richard, une nouvelle fois, se révolte contre son père et Jean se joint à lui.
Après dix ans de conflit de pouvoir avec ses fils Jean et Richard, Henri II d’Angleterre s’éteint à Chinon le 6 juillet 1189, après avoir cédé le pouvoir à celui qui va devenir Richard Cœur de Lion lors d’un traité signé à Azay-le-Rideau. En constante lutte avec le roi de France Philippe Auguste lors de la fin de son règne, Henri II donne une place centrale à la Normandie. A l’origine de nombreuses réformes qui ont modernisé le royaume Anglo-Normand.
Henri II meurt d'une attaque cardiaque.
La paix que Henri II avait été forcé de conclure avec Philippe-Auguste, le 28 juin 1189, a causé le plus vif chagrin à ce prince. Le souvenir des avantages qu’il avait toujours remportés sur la France, avant cette fatale guerre, rend encore le calice plus amer. A cette mortification se joint encore un nouveau chagrin auquel il ne peut résister, il découvre que, pendant toute la guerre, le prince Jean, son fils bien-aimé, a entretenu une correspondance avec Philippe-Auguste, et qu’il est entré dans les complots de son frère Richard, pour détrôner un père qui lui a toujours témoigné la plus tendre affection. La douleur qu’il en ressentit le transporte tellement, qu’il en vient jusqu’à maudire le jour de sa naissance. Il fait même contre ses deux fils des imprécations, que les évêques présents sont impuissant à faire révoquer. Quelques jours après, il tombe malade à Chinon, et, sentant que sa fin approche, il se fait porter dans l’église devant le grand autel, où, après s’être confessé, il expire. Il n’a pas plutôt les yeux fermés, qu’il est abandonné de tous ses domestiques, dont quelques-uns même ont l’insolence de le dépouiller, et de le laisser tout nu dans l’église. Son corps est porté à Fontevraut, ainsi qu’il l’a ordonné...
Un accident extraordinaire rend ce transport remarquable, Richard Cœur-de-Lion, venant au-devant du convoi, pour accompagner son père au tombeau... Aussitôt que ce prince paraît, le corps jette une grande abondance de sang par le nez et par la bouche... Ce spectacle fait une telle impression sur le cœur du roi Richard, quoique naturellement assez dur, qu’il fond en larmes, et s’accuse hautement d’être la cause de la mort de son père.
GISANT D'HENRI II A FONTEVRAUT
Telle est la fin de Henri II, l’un des plus grands princes de son temps, tant par la grandeur de son génie, que par l’étendue de ses États. Le mélange de vices et de vertus, qui se rencontrent dans ce monarque, fait qu’il est difficile de lui donner un caractère général, qui lui convienne parfaitement. Il est vaillant, prudent, généreux, grand politique, studieux, savant, et d’un génie très élevé. D’un autre côté , il est fier jusqu’à l’excès, d’une ambition démesurée et d’une luxure sans borne. Jamais rassasié de biens ni d’amour, il travaille toute sa vie à faire des acquisitions de ces deux côtés. Il n’y eut pas jusqu’à la princesse destinée à son propre fils, dont il n’attaquât la vertu : défauts qui balancent assez toutes ses belles qualités.
Envoyées par Henri II Plantagenêt pour aider le roi brimé du Leinster, en Irlande, les troupes Anglo-Normandes occupent déjà une partie des terres depuis quelques années. Le roi Henri II franchit la mer à son tour et atteint le pays. Mécontent du comportement trop indépendantiste du Comte de Pembroke, il débarque accompagné d’une armée et s’impose en souverain grâce au traité de Windsor.

Encyclopédie Larousse en ligne - Henri II - Larousse.fr
www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Henri_II/123608
Le Mans 1133-Chinon 1189 fils de Geoffroi V Plantagenêt et de Mathilde duc de ... et duc d'Aquitaine 1152-1189 par son mariage avec Aliénor roi d'Angleterre ...

ENRI II PLANTAGENÊT - Encyclopædia Universalis

www.universalis.fr/encyclopedie/henri-ii-plantagenet/
Petit-fils d'Henri I er , désigné par son grand-père pour lui succéder dès le moment de sa ... HENRI II PLANTAGENÊT (1133-1189) roi d'Angleterre (1154-1189).

Henri II Plantagenêt roi d'Angleterre - Généalogie de l'histoire de ...

www.roi-france.com/...de.../Henri_II_Plantagenet_roi_d_Angleterre
Généalogie de l'histoire de France, Vie de Henri II Plantagenêt roi d'Angleterre (05/03/1133) (15/07/1189), Mariage de Henri II Plantagenêt roi d'Angleterre, ...

Henri II Plantagenêt (1133 - 1189) - Querelles de famille - Herodote ...

www.herodote.net/Henri_II_Plantagenet_1133_1189_-synthese-397.php
17 août 2013 - Henri est aussi par sa mère Mathilde, le petit-fils du roi d'Angleterre Henri 1er Beauclerc et l'arrière-petit-fils de Guillaume le Conquérant.


3 commentaires:

  1. Pas encore bien sortie de mon rhume, il faut lire l'année 1189

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  2. Prenez bien soin de vous, Chantal!

    Voilà une page très complète et instructive..

    La vie d'Aliénor d'Aquitaine fut mouvementée et fort longue: La reine Aliénor a accueilli la mort à quatre-vingts ans passés à une époque où l'on était considéré comme âgé à la quarantaine..

    Après les diverses péripéties que vous nous avez contées, Aliénor a pu finir sa vie dans la plénitude de ses fonctions de reine mère. Sa petite-fille Blanche de Castille sera la mère dévouée du roi Saint Louis.

    Amitiés

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    1. Bonjour et merci Lisa, Que cela ma fait plaisir de retrouver vos commentaires éclairés, rien que pour cela j'aurai dû commencer avant, j'espère que nos amis pourrons me lire et eux aussi ponctuer ces notes de commentaires précision et mêmes critiques si il y a lieu.
      Amitié.

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