mercredi 19 février 2014

1180... EN REMONTANT LE TEMPS








Cette page concerne l'année 1180 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée. Il ne peut donc s'agir que d'un survol !

1180 MORT D'UN ROI INCONSÉQUENT DONT LES ACTES AURONT DE LOURDES CONSÉQUENCES

LOUIS VII LE JEUNE
Louis VII succède à 17 ans environ à son père Louis VI le Gros en 1137, quelques jours après avoir épousé à Bordeaux la duchesse Aliénor d'Aquitaine celle-ci lui apporte une puissance territoriale et de droit très importante (l'Aquitaine couvre une superficie de 19 de nos départements actuels). Cette province établit également la supériorité du roi sur de nombreux grands fiefs, la Guyenne, la Gascogne, le Poitou, le Périgord, le Limousin...
Les frontières du royaume Capétien sont désormais repoussées jusqu'aux Pyrénées. En théorie seulement car, par son impéritie, le roi va compromettre ce cadeau du ciel et provoquer un conflit avec l'Angleterre qui perdurera pendant sept siècles !...
André Larané

Parce que le prince Louis est le fils cadet du roi Louis VI le Gros on le surnomme le Jeune lors de son couronnement, il est élevé à l'abbaye de Saint-Denis, jusqu'au décès (19/10/1131) de son frère Philippe d'une chute de cheval provoquée par la divagation de porcs dans les rues de Paris (les porcs sont interdits de divagation suite à cet accident).
De son éducation, Louis garde l'empreinte monastique et peu de goût pour les armes...
Pas de quoi enflammer le cœur d'Aliénor d'Aquitaine, sa jeune épouse...
A son avènement la France jouit d'un prestige certain lié à une renaissance intellectuelle, tout est prêt pour un grand règne...
Il n'en est rien. Louis VII sera un roi maladroit manquant de diplomatie et politiquement nul...
COURONNEMENT DE LOUIS VII
Ce qu'il a de mieux est son épouse Aliénor d'Aquitaine, qu'il est, hélas, incapable de garder. Il est vrai que le roi est jeune (18 ans), mais son éducation éminemment religieuse fait de lui un être mou obéissant aveuglément aux pères de l'église. Dans les premières années du règne, les maladresses du roi sont en partie contenues par l'abbé de Saint-Denis, Suger, le fidèle conseiller de son père, mais très vite surviennent les ennuis.
En 1140, le roi s'implique dans un conflit lourd de conséquences qui oppose les petits-enfants de Guillaume le Conquérant l'un et l'autre prétendant au trône d'Angleterre : Mathilde et Étienne de Blois. Louis VII prend le parti de Mathilde en échange du Vexin, aux limites de la Normandie, de l'Île-de-France et de la place forte de Gisors.
Étienne de Blois débarquant en Normandie pour faire valoir ses droits, le roi lâche Mathilde et traite avec lui en se faisant confirmer la possession du Vexin ! Le conflit perdure jusqu'à la disparition des deux prétendants...

La même année, Louis VII se dispute avec l'influent abbé Bernard de Clervaux en contestant l'élection de l'évêque de Poitiers.
Dans le même temps, le roi se brouille avec son principal vassal, le comte Thibaut de Champagne pour une sombre histoire d'adultère entre la jeune sœur de la reine Aliénor et le mari de la nièce du comte !...
Tout commence avec une histoire d'amour et de passion comme l'époque en connaît beaucoup !
Celle-ci concerne la jeune sœur de la reine, Alix ou Aelith (15 ans). Elle s'éprend du comte Raoul de Vermandois (30 ans), cousin du roi, et son sentiment est partagé...
Las ! Raoul est déjà marié. Qu'à cela ne tienne, Aliénor elle-même vient au secours des tourtereaux et convainc son mari de réunir un concile national pour faire annuler le mariage au motif de « consanguinité » (Raoul et Aelith sont cousins à un énième degré).
L'épouse répudiée, (Gerberte), se réfugie auprès de son oncle, qui n'est autre que le puissant comte Thibaut II de Champagne, lequel demande au pape Innocent II d'annuler la décision du concile et le remariage de Raoul avec Aelith... Le pape donne raison à Thibaut.
Embarrassé, Louis VII en veut à Aliénor de l'avoir poussé à commettre une bévue, son conseiller, le vieil abbé Suger le convainc qu'il ne peut reculer, ce qui reviendrait à reconnaître la suprématie du pape sur un concile national... On peut être pieux et bon chrétien, on n'en est pas moins soucieux des intérêts nationaux...
Louis VII, jugeant Thibaut II responsable de tous ses malheurs, envahit ses terres. Le comte entame des négociations mais l'affaire s'embrouille, dans le même temps, le roi tente d'imposer son chancelier Cadurc (moine Berrichon) à l'archevêché de Bourges contre Pierre de la Châtre, élu par les prêtres du diocèse.
Pierre de la Châtre se réfugie chez Thibaut de Champagne cependant que le pape Innocent II jette l'interdit sur le royaume !...
Louis VII reprend la guerre... Ses « bannières » (on appelle ainsi les troupes regroupées autour de la bannière d'un vassal) arrivent devant la petite ville de Vitry-en-Perthois, sur la Marne.
Le roi, déstabilisé, cède aux plus belliqueux des gens de son entourage qui réclament une punition exemplaire.
La ville est assaillie et sa population aussitôt pourchassée par la soldatesque ivre de sang, de sexe et d'or.
Un millier de personnes, peut-être davantage, croient trouver asile dans l'église.
Que faire ? Qu'on y mette le feu ! suggère un proche du roi. Celui-ci, le regard vide, au milieu du carnage, ne dit mot.
L'église est incendiée avec tous ses réfugiés. Ville Martyre Vitry sera désormais rebaptisée Vitry-le-Brûlé (Vitry-le-François)...
Retrouvant ses sens, le roi, pétri de remords, renonce à poursuivre la guerre et, reprenant la route de Paris, fait mander l'abbé de Clairvaux pour se confesser et prendre conseil...
En route pour le camp royal, quelque part en Champagne, le saint abbé de Clairvaux, dont l'aura est immense dans la chrétienté occidentale, est gagné par une intuition !... Il vient d'apprendre que les Francs des États Latins de Palestine ont subi un sérieux revers près d'Édesse de la part d'un chef Sarrasin nommé Nour el-Dîn. Bernard de Clairvaux songe à tout cela et l'idée lui vient de proclamer une nouvelle Croisade comme le pape Urbain II, en 1095, avec cette fois-ci la participation des souverains et du plus puissant d'entre eux : le Roi Capétien.

DÉPART POUR LA TROISIEME CROISADE


Il fait part de son projet à Louis VII qui l'accepte d'emblée, en dépit de l'opposition de son conseiller, l'abbé Suger.
Fin politique, tout le contraire de Saint Bernard, Suger craint que le royaume ne souffre de l'absence prolongée du souverain et doute au demeurant de l'intérêt des équipées en Terre Sainte, mais le roi, cette fois-ci, ne l'écoute pas.
Puissant homme d'état et grand bâtisseur Suger trouve sur sa route un rival en la personne de Bernard abbé de Clairvaux, le futur Saint Bernard plus jeune que Suger, contrairement à l'abbé de Saint Denis est d'origine noble, et a choisit la vie monastique de son pleine gré ( Suger a été offert par sa famille).
Bernard ascète, théologien et brillant orateur, dur envers lui-même comme envers les autres, est révolté par la vie mondaine de l'abbé de Saint-Denis.
La discipline exemplaire qui régit sa vie décide le concile de Troyes à lui demander la rédaction des 72 règles des Moines Chevaliers de l'ordre du Temple en 1128. 
Celui qui disait: « armée de foi au-dedans, de fer au-dehors », traça petit à petit la trame de vie de ces princes de l'église, admirables soldats du Christ.
Le roi à la demande de Bernard de Clairvaux, convoque toute la noblesse de France à Vézelay pour le jour de Pâques 1146.
Sur le parvis de l'église, au sommet de la prestigieuse colline, « l'abbé Bernard prononce une vigoureuse allocution » puis fixe une croix de drap rouge sur la poitrine du roi.
La reine Aliénor se Croise également et après elle, dans l'enthousiasme, les grands seigneurs du royaume, y compris le comte de Toulouse Alphonse Jourdain, deuxième fils de Raymond IV, héros de la 1e Croisade, et Thibaut II de Champagne, ancien adversaire du roi. Louis VII et la reine Aliénor gagnent la Terre Sainte avec l'empereur d'Allemagne Conrad III, leurs agissements brouillons vont déboucher sur un piteux revers.
Ils rentrent rapidement chez eux au grand dépit des Francs de Terre Sainte, qui ne peuvent plus compter que sur eux-mêmes pour contenir la poussée Turque.
Au final la participation de Louis VII à cette deuxième Croisade est lourdement préjudiciable à l'avenir du royaume, car l'expédition se solde par un très lourd échec sur tous les plans :
  • Financier, car cette expédition appauvrit considérablement le trésor royal.
  • Politique, car le roi ne s'est pas occupé directement du royaume pendant ses deux années d'absence, et par conséquence, a relâché sa puissance sur les grands féodaux.
  • Militaire, car la Croisade est une succession d'échecs militaires et une partie de sa chevalerie et une grande armée ont été sacrifiées.
  • Dynastique et patrimonial, car cette Croisade va provoquer la rupture du roi avec Aliénor ;
  • CONTRE-SCEAU D'AQUITAINE
    Territorial, car lors de la séparation, Aliénor va récupérer les fiefs qu'elle avait apportés dans sa dot.
  • Stratégique, car Aliénor en épousant le futur roi d'Angleterre va apporter d'immenses territoires à la couronne d'Angleterre, permettant ainsi la présence sur le continent d'un redoutable concurrent au roi de France.
Dès le voyage de retour en France, en novembre 1149, Louis VII pense à se séparer d'Aliénor, le pape Eugène III, lors d’un arrêt au Mont-Cassin, puis l’abbé Suger réussissent à les réconcilier, et en 1150, Alix de France (1150-1195), seconde fille du couple royal, vient au monde.
À Paris, Louis VII retrouve Suger et Raoul de Vermandois auxquels il a confié la garde du royaume.
Suger, l'ami et conseiller du roi Louis VI, continue de diriger la plupart des grandes affaires du royaume, parallèlement il a en tête de réhabiliter son église abbatiale de Saint-Denis, ce qui est fait... La splendide église de Saint-Denis, future nécropole royale, prend forme..
Hélas, trois fois hélas, Louis VII va commettre la troisième faute de son minable règne. Le roi et son épouse Aliénor s'entendent à peu près comme chien et chat... les caractères opposés des époux ou plutôt le manque de caractère du roi face à celui bien trempé de son épouse paraissent en être la cause « réelle et sérieuse ».
Louis VII, sans réfléchir aux conséquences comme d'habitude songe à la séparation.
Suger qui pense à l'Aquitaine essaie de résonner le jeune roi mais à priori Saint-Bernard (pour une fois aussi stupide que son maître) l'emporte par abandon de l'adversaire... Ce conseiller va mourir dans les mois suivants, privant le roi de ses sages conseils et Aliénor de son amical soutien, la mort de Suger survient au début 1151.
Voilà, que Louis VII livré à lui-même il répudie Aliénor et perd l'Aquitaine. Le prétexte ? tout simplement un cousinage au cinquième degré entre les époux, cousinage qui ne semble pas exister lors du mariage des deux protagonistes.
Cette séparation n'est pas anodine non seulement le roi par son inconséquence va perdre l'Aquitaine mais les conséquences politiques vont être désastreuses pour la France.
A ce moment crucial de leur union,et malgré la naissance d'une deuxième fille, Alix, le couple royal se déchire de plus belle... Irréfléchi comme à son habitude, le roi convoque à cet effet un concile à Beaugency-sur-Loire, en profitant pour retirer ses troupes et ses agents de l'Aquitaine et du Poitou.
La reine Aliénor ne perd pas de temps ; puissante et dans toute la beauté de ses 30 ans, elle jette son dévolu sur Henri, fils aîné du comte d'Anjou Geoffroy Plantagenêt et de Mathilde, petite-fille de Guillaume le Conquérant, prétendante au trône d'Angleterre.
Aliénor, la belle et puissante suzeraine de la plus grande région du royaume dédaignant les prétendants innombrables qui sont à ses pieds, va convoler deux mois après cette répudiation avec le Comte d'Anjou Henri Plantagenêt ....
A ce stade du récit, on est obligé d'énumérer la liste fastidieuse, certes, des régions perdues pour le royaume de France, cela pour permettre de mieux mesurer l'étendue du désastre et l'incommensurable bêtise de celui qui aurait du être surnommé Louis VII le Benêt ou le Niais.



Voilà donc la funeste amputation, la France perd : la Gascogne de Bordeaux aux Pyrénées, le Poitou, la Saintonge, l'Angoumois, le Périgord, la Marche et la majeure partie de l'Auvergne...
Cette décision dramatique fait du jeune Henri Plantagenêt (pour la petite histoire il est âgé de 19 ans, Aliénor à 30 ans) un des plus puissants princes d'occident. La dynastie Capétienne court à nouveau le pus grand danger.
ALIÉNOR D'AQUITAINE
Par un concours extraordinaire de circonstances, en quelques mois, Henri Plantagenêt hérite de la Normandie et monte sur le trône d'Angleterre sous le nom de Henri II. C'est ainsi qu'Henri et Aliénor se retrouvent souverains de l'Angleterre et de tout l'Ouest de la France, de Calais à Bordeaux.
Un véritable «  Empire Angevin » qui ne va pas tarder à entrer en concurrence avec le royaume Capétien.
Les aïeux de Louis VII depuis Hugues Capet ont du se retourner dans leurs tombes, pour la première fois un Capétien avait failli à son rôle de constructeur du royaume et de stabilisateur de la Dynastie. La terrible ambition du nouveau roi d'Angleterre lié au fait qu'il se considérait plus Français qu'Anglais, engendrera un jour, une lutte sans merci entre les deux monarchie...
Louis VII se venge comme il peut en enlevant à son vassal Henri Plantagenêt ses fiefs Français sous prétexte de s'être marié sans sa permission mais il n'a aucun moyen d'appliquer la sentence !
Il se remarie de son côté avec Constance de Castille, mais Dieu doit tout de même veiller sur la France, nommée « fille aînée de l'église », les provinces, l'Aquitaine en tête, sont constamment en lutte contre l'envahisseur Anglais, chose inconnue lors des précédents règnes les différents vassaux et le peuple de France animés par ce que l'on appellera un jour le sentiment national soutiennent le roi Louis VII.
Pour l'opinion publique la monarchie Française représente le droit juridique et religieux, les Plantagenêt ne représentent que la force et l'habilité, à une époque ou l'importance de l'église n'est plus à démontrer un  souverain de droit divin est beaucoup plus fédérateur qu'un roi qui tient son pouvoir des armes...


En 1155, renouant avec la tradition Carolingienne des ordonnances, le roi publie une ordonnance imposant la « paix du roi ». L'année suivante, en signe d'apaisement, Henri II lui rend hommage pour ses fiefs Français.
Enfin, en 1158, un traité d'amitié est signé et Guillaume (5 ans), fils aîné d'Henri Plantagenêt et d'Aliénor d'Aquitaine, est fiancé à Adélaïde (quelques mois), fille de Louis VII et de sa nouvelle épouse. La fiancée apporte en dot le Vexin Normand. Elle est conduite à la cour d'Angleterre pour y être élevée auprès de son beau-père. Elle y connaîtra un triste destin...
La trêve, ne dure pas. Défiant Louis VII, Henri II tente d'imposer l'hommage au comte de Toulouse et entre en campagne contre lui, battu, le roi de France en profite pour saisir 3 de ses châteaux dans le bassin parisien.
Le 13 novembre 1160, 40 jours après la mort de sa seconde épouse, Louis VII se remarie avec Adèle de Champagne (aussi appelée Alix)... C'est la fille de son ancien adversaire Thibaut II... Par cette union politique,le roi veut contrer les ambitions de l'empereur d'Allemagne Frédéric Barberousse. Cette troisième union sera fructueuse par la naissance du prince Philippe, (21 août 1165)
En 1165, Louis VII signe avec l'empereur le traité de Vaucouleurs en vue de combattre ensemble les « Brabançons », simultanément, il offre asile à Thomas Becket, archevêque de Cantorbéry, en conflit avec le roi d'Angleterre, Puis il offre assistance aux fils d'Henri II lorsque ceux-ci, alliés à leur mère Aliénor d'Aquitaine, entrent en conflit avec leur père !
La guerre reprend mais tourne au détriment du roi Capétien. Celui-ci y met un terme avec l'appui du pape par la paix de Nonancourt, le 11 septembre 1177. Frappé d'hémiplégie au retour d'un pèlerinage sur le tombeau de Thomas Becket, il ne peut assister au sacre de son fils et meurt peu après, le 18 septembre 1180, à l'abbaye de Saint-Port.
GISANT DE LOUIS VII LE JEUNE
Malgré son éducation plus propice à en faire un clerc ou un moine le roi, Louis VII a joué un rôle important dans l'histoire de France :
  • Il consolide le pouvoir royal dans les provinces qui sont sous son influence et combat le pouvoir féodal.
  • Il s'entoure de conseillers de grande qualité et publie des ordonnances importantes pour la gestion du royaume.
  • Le royaume de France s'enrichit sous son règne.
  • L'agriculture se transforme et gagne en productivité, la population augmente, le commerce et l'industrie se développent, une véritable renaissance intellectuelle apparaît, le territoire se couve de châteaux forts construits en pierre...

Louis VII le Jeune (1120 - 1180) - Roi atrabilaire et malavisé ...

www.herodote.net/Louis_VII_le_Jeune_1120_1180_-synthese-343.php
Louis VII le Jeune, roi atrabilaire et malavisé - Louis VII le Jeune est un roi méconnu. Il est pourtant à l'origine des premières fondations de la nation française.

Louis VII le Jeune - L'Histoire en Ligne

www.histoire-en-ligne.com › Biographies
5 oct. 2003 - Né aux environs de 1120, mort en 1180 à Paris, Louis VII est le fils de Louis VI le Gros et d'Adélaïde de Savoie...

Les Rois de France : Louis VII "le Jeune" - Projet Beaucéant

www.templiers.org/francelouisVII.php
A son avènement le 1er aout 1137, Louis VII hérite de son père un royaume agrandi, pacifié et stable. En plus de l'héritage paternel, et grâce aux instigations de ...

Généalogie de l'histoire de France - Louis VII de France - Le Jeune

www.roi-france.com/personnages.../Louis_VII_de_France_Le_Jeune
Généalogie de l'histoire de France, Vie de Louis VII de France - Le Jeune (v. 1120) - mort à Melun (v. 1180) - Roi de France (v. 1137 - v. 1180), Mariage de ...


2 commentaires:

  1. Le titre reste, bien sûr, pour l'année 1180, et ne doit pas être comparé avec l'actualité.
    Très bonne journée.

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  2. Comme vous dîtes, toutes ressemblances avec des personnages ou des faits actuels, le sont de façon fortuites

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