dimanche 9 février 2014

1190... UN EVENEMENT MALENCONTREUX COMPROMET IRREMEDIABLEMENT LA 3e CROISADE.

Cette page concerne l'année 1190 du calendrier julien.
Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée. Il ne peut donc s'agir que d'un survol !

UN ÉVÉNEMENT MALENCONTREUX COMPROMET IRRÉMÉDIABLEMENT
 LA 3e CROISADE.

LE PAPE ALEXANDRE III ET FRÉDÉRIC BARBEROUSSE 

De la Germanie à l’Italie, un empereur dans son siècle, Frédéric Barberousse (1152-1190)

Élu roi de Germanie en 1152, couronné roi d'Italie en 1155 et empereur la même année, Frédéric Barberousse (1123 - 1190) peut prétendre à la succession de Charlemagne. Il veut d'ailleurs faire renaître, en Occident, la paix et la justice que la légende attribuait à l'empereur Charles.
A l'époque des Croisades et des combats, Frédéric Barberousse incarne l'idéal chevaleresque : jamais avare de ses forces, il participe à des tournois jusqu'à l'âge de 60 ans. A 63 ans, il se met en route pour la Terre Sainte ! Combattre les Sarrasins : Frédéric réalise là le rêve de tout chevalier. En Allemagne, une légende naît sur l'héroïque empereur : il dort dans une cave de Thuringe, appuyé à une table de pierre. Sa longue barbe blanche a poussé jusqu'à terre. Et l'on dit qu'un jour, lorsqu'un grand malheur menacera le pays, il se réveillera pour sauver son peuple...

En 1189 l'empereur Frédéric Barberousse quitte Ratisbonne, avec son fils Henri, à la tête d'une armée fanatique de 100 000 hommes, le 16 novembre, l'empereur Germain ordonne à son fils Henri de rassembler d'urgence une flotte dans les principaux ports de l'Italie et d'obtenir du Pape que la Croisade soit prêchée contre les Grecs. En 1189 l'empereur Frédéric Barberousse quitte Ratisbonne, avec son fils Henri, à la tête d'une armée fanatique de 100 000 hommes. Il traverse la Hongrie, et il y est choyé par son cousin désireux de le voir quitter son royaume au plus vite, et après 2 mois de marche à travers la Bulgarie dont les populations lui sont hostiles, il arrive sur les terres d'Isaac l'Ange.
Dès que les Germains paraissent devant les frontières de l'empire Byzantin, Isaac l'Ange expédie des troupes dans les provinces qu'ils doivent traverser.

Le 16 août 1189, Frédéric Barberousse connaît ses premières difficultés :
- Il trouve la ville de Philippopoli abandonnée par ses habitants et reçoit un message du basileus lui refusant de reconnaître son titre d'empereur Romain, lui interdisant de poursuivre son chemin avant d'avoir remis des otages à Byzance et d'avoir promis de lui céder, la moitié des conquêtes faites en Syrie !

En attendant la réponse de Frédéric Barberousse, le basileus s'excuse de faire emprisonner les ambassadeurs de Germanie présent à Byzance. Et pour ne point se confondre en d'excessives politesses, imitées de celles de la cour califale de Bagdad, le patriarche Grec traitant en privé les Latins de « chiens » promettant mille indulgences à ceux qui sauraient les occire entre crépuscule et nuitée !
Devant tant d'insolence Frédéric Barberousse réagit avec brutalité:
il fait mettre à feu et à sang la région de Philippopoli songeant même à aller attaquer Byzance … Des roitelets Serbes et Bulgares, alléchés accourent lui proposant leur concours et leurs bandes pillardes, et en profiter pour régler avec les Grecs des affaires personnelles.

Frédéric Barberousse, qui s'est signalé dans 40 batailles, arrive à Gallipoli à la tête d'une grande armée; la mer d'Hellé, incline ses vagues devant les bannières marquées de la croix de pourpre. Le duc de Souabe, suivi de sa troupe, est le premier qui passe le canal, l'empereur d'Occident traverse l'Hellespont avec le dernier corps d'armée, escorté d'un grand nombre de galères et de navires, au bruit des trompettes et des clairons. Les pèlerins d'Allemagne débarquent non loin de Lampsaque... Puis, poursuivant son avance. Il saccage Andrinople, se rend maître de toutes les places situées entre la mer Egée et le Pont-Euxin, et se dirige vers Byzance, le basileus, épouvanté, enfin cède à ses exigences, lui promettant d'assurer par tous les temps le ravitaillement de son armée, de la transporter en Asie, de la guider par les meilleurs chemins, et pour gage de ses bonnes intentions, il lui adresse des otages choisis pour leur qualité... Il remet en liberté les ambassadeurs de Frédéric Barberousse et les comble de richesses.
Et comme il a hâte de voir les Germains quitter son pays, il propose à Frédéric Barberousse de passer en Asie pour surprendre Saladin par la rapidité de sa marche. Frédéric Barberousse décide d'attendre le retour de la belle saison pour continuer sa route...
ÉCU DE L'EMPEREUR FRÉDÉRIC BARBEROUSSE

« Dites à votre maître, répondit-il à l'envoyé du basileus qui lui promettait plus de navires qu'il n'en avait besoin pour franchir le Bosphore, que c'est le vainqueur qui dicte sa loi au vaincu. J'ai conquis la Thrace et j'en disposerai selon mon bon plaisir. La saison étant trop avancée, j'y passerai l'hiver avec mon armée. Je veux punir votre maître d'avoir retardé mon voyage par sa mauvaise foi. Toutefois, s'il désire que je lui accorde une grâce, il faut qu'il tienne à ma disposition, pour la fête de Pâques de l'année prochaine, autant de bâtiments qu'il m'en faudra pour passer en Asie. »

Frédéric Barberousse s'installe donc en Thrace, exige de fortes contributions de guerre et d'abondantes nourritures pour ses guerriers, choisit Andrinople pour y vivre avec sa cour, assigne leurs quartiers d'hiver à ses troupes et se fait livrer par Byzance 824 otages. le Grec saurait se venger du « barbare », mais, en l'occurrence, il ne peut ni faire remarquer sa hargne ni refuser de l'engraisser et de l'enrichir...

Après avoir vécu confortablement pendant l'hiver, Frédéric Barberousse passe enfin en Asie Mineure avec son armée entre le 21 et le 30 mars 1190. Il traverse en diagonale l'Anatolie Byzantine, la Mysie, s'arrête à Sardes en Lydie, et atteint la région située à l'ouest de Homa qui, depuis le désastre de Myriokephalon, marque l'extrême limite au sud de la frontière Byzantine.

Il est bon de connaître la marche de l'armée de Frédéric depuis les bords de l'Hellespont jusqu'à Laodicée, voir l'itinéraire des chevaliers Teutons se mêler parfois à la route d'Alexandre et des Dix-Mille. Toutes les gloires sont sœurs dans l'histoire, et le voyageur qui rencontre sur le même chemin le fils de Philippe et Frédéric Barberousse, s'arrête avec un égal respect devant les deux drapeaux...
Les Croisés Germains laissent à leur droite la vieille Troie, l'armée chrétienne, après 3 jours de marche dans des chemins rudes et montagneux dresse son camp près de la ville de Spigast, sur les bords d'une rivière à trois lieues de la Propontide, l'OEsepus. Les pèlerins, obligés d'acheter des vivres dans cette ville, s'y arrêtent 2 jours. Avant d'atteindre l'OEsepus, l'armée chrétienne ne peut faire autrement que de passer le Granique, il est même vraisemblable que les compagnons de Frédéric Barberousse traversent ce fleuve près du lieu où se rencontrèrent les armées d'Alexandre et de Darius. En suivant la marche des Croisés Germains, on se demande d'abord pourquoi ils ont pris une direction qui semble les éloigner de Pergame et de Philadelphie, pourquoi, au lieu de marcher vers le sud ou le sud-ouest, traversent-ils, du côté du nord-ouest, une étendue de 15 ou 16 lieues ?... La réponse est toute simple. La route qu'ont suivie les pèlerins Allemands, est la seule par où peut passer une armée; en avançant du côté du sud ouest, ils auraient à franchir un pays montagneux et difficile inconnu à l'époque, et qu'ils désignent sous le nom de « Pays couvert de bois ». Aucun chemin n'a été tracé sur ces terres ignorées, et c'est le défaut de route qui a jusqu'à ce jour empêché les voyageurs de les explorer. Il peut se faire aussi que l'armée de Frédéric veuille se rendre à Biga, y faire des provisions. Les Grecs du Bas-Empire sont aussi indolents que les Turcs de notre temps, et des terres fécondes restent, comme aujourd'hui, livrées aux arbustes inutiles et aux plantes sauvages. En quittant l'OEsepus, l'armée impériale, après une journée de marche, passe une rivière nommée par les chroniqueurs Aveloaica. L'armée chrétienne doit réprimer l'audace d'une troupe de Grecs qui attaquent fréquemment les pèlerins sans armes, et dépouillent ceux qu'ils ont tués. Les croisés dit une chronique, se trouvent sur la terre des scorpions, dont la tête n'a rien qui inspire la crainte, mais qui piquent avec la queue. Les Allemands rencontrent sur leur passage deux villes, dont la première est appelée par les chroniqueurs Ypomenon, et la seconde Archangelos, puis un château dont ils ne disent point le nom. Quelles cités modernes peuvent nous représenter les deux cités Grecques d'Ypomenon et d'Archangelos, quelle masure ou quel caravansérail peut marquer la place de ce château sans nom. Les pèlerins ont tourné leur marche du côté du sud.
Le chroniqueur Ansbert, en poursuivant l'itinéraire de Frédéric, cite une ville appelée Sycheron, placée dans les montagnes, et un bourg nommé Calamor, nous retrouvons sur cette route Kirk-Agach qui correspondrait à l'emplacement de Sycheron, le bourg de Somma, à 3 lieues à l'ouest de Rirk-Agach peut être ce que le chroniqueur appelle Calamor.
Les croisés traversent une ville en ruines appelée Méléos, et s'arrêtent dans la cité d'Ayos, pendant son séjour à Ayos, Fréderic reçoit de l'empereur Grec une tente et une coupe en or. On peut supposer que cette cité d'Ayos peut-être Pergame... L'armée d'Allemagne, continuant sa route, laisse à sa droite le mont Sipyle, consacré par le temple de Cybèle, et Magnésie qui n'a pas cessé d'être une des principales cités de l'Asie-Mineure. Philadelphie, dernière cité Grecque, frontière des Turcs, leur refuse des vivres et traite les pèlerins en ennemis.
En allant de Philadelphie à Laodicée, les croisés rencontrent des montagnes difficiles, où périssent beaucoup de leurs chevaux, ces montagnes sont celles de Messogis, traversées par une ancienne route qui mène à Tripolis. Les croisés foulent les ruines de cette dernière ville, qui consistent en un théâtre et en restes d'anciens édifices... Le Méandre débouche dans les plaines de Laodicée. Le lendemain, les Allemands voient les ruines d'Hierapolis. L'armée chrétienne passe le Lycus, que le chroniqueur Ansbert appelle Mœander minor (le petit Méandre). « L'armée, dit Ansbert, se trouve au milieu d'une charmante vallée remplie de myrtes, de figuiers , de cardamones et d'une foule d'autres arbustes. »
Saladin apprend par les Grecs ce qui se passe en Asie Mineure, Isaac l'Ange ne voulant pas que son allié puisse croire qu'il n'a tenu aucune des promesses qu'il lui avait faites de nuire aux Allemands. Et pour justifier sa conduite, il lui fait parvenir une lettre, En voici la traduction :
[« Isaac l'Ange, croyant au Messie qui est Dieu, couronné de Dieu, Victorieux, toujours Auguste très puissant et invincible empereurs des Grecs , au très noble Sultan d’Égypte Saladin, salut et amitié »


[« J'ai reçu la lettre adressée par Votre Grandeur à ma Majesté, par laquelle j'ai appris la mort de mon ambassadeur. (Cet ambassadeur, qui avait signé le traité d'amitié entre Saladin et Isaac l'Ange est mort en Syrie, sur le chemin du retour). Je suis affligé qu'il ait fini ses jours sur une terre étrangère. Il est maintenant nécessaire que vous me renvoyiez son cadavre et ses effets, afin que je puisse les remettre à sa famille. Au reste, les mauvais bruits qui ont été répandus en ce qui concerne les Germains qui sont passés par mon empire doivent être parvenus jusqu'à vous. Je n'en suis pas surpris car mes ennemis se plaisent à publier des mensonges utiles à leurs desseins, mais si vous voulez savoir la vérité, vous apprendrez avec joie que ces peuples ont souffert eux-mêmes plus de dommages qu'ils n'en ont causés à mes sujets. Ils ont perdu de l'argent, des chevaux et des hommes, les uns sont morts de maladie et de misère, les autres ont été tués par mes soldats chaque fois que cela fut possible. Très peu d'entre eux ont échappé aux troupes que j'avais dispersées dans mes provinces avec mission de les harceler. Les Germains sont à ce point affaiblis qu'il leur est impossible de pénétrer dans vos États. S'ils y parviennent, ils seront tellement épuisés qu'ils ne pourront ni vous nuire ni secourir leurs frères chrétiens d'Orient. Mais pourquoi, paraissant oublier notre amitié, ne m'informez-vous pas de vos projets et de vos entreprises ? »]

Frédéric Barberousse, pense trouver un allié sûr en la personne de Qjlidj Arslan, adversaire de Saladin, mais ne rencontre qu'une hostilité grandissante à mesure qu'il s'enfonce dans l'Anatolie Seldjoukide. Les fils du sultan d'Iconium n'approuvent pas la politique de leur père. Ils s'entendent avec quelques-uns des principaux chefs des tribus Turcomanes pour garder les passages, disputer les bonnes routes aux Germains, faire le vide devant eux... L'aîné de ses fils, Qotb el-Dîn Malik Shah II, défie Frédéric Barberousse devant Iconium, capitale depuis 1074 de l'empire Turc Seldjoukide après avoir été Perse, Macédonienne et Romaine. Il est écrasé par le nombre, mais ses vainqueurs retirent peu de profit de leur victoire dans un pays où tout, jusqu'aux cailloux de la terre, leur est hostile... Ils sont seulement aise de voir s'ouvrir devant eux les portes d'Iconium, et d'y prendre quelques jours de repos après leur épopée à travers l'Asie Mineure, cette hallucinante conquête de villages déserts où ils ne trouvent ni une botte de paille pour les chevaux ni une poignée de farine pour les hommes... Leurs provisions sont épuisées et la famine, la terrible famine en terre inconnue, l'accompagne dans ses déplacements, chaque jour plus meurtrière ! On raconte, dans les tavernes de Byzance, que les Croisés de Germanie doivent abattre leurs chevaux et les manger... Sont-ils des fantômes, ces vaillants chevaliers de Frédéric Barberousse qui sont partis si loin reconquérir Jérusalem, qui ont traversé l'Europe du nord au sud et qui, après 5 jours de repos et de regroupement à Iconium, se préparent à descendre vers les steppes Syriennes ?
Ils ont le choix entre deux routes de grande communication :
En jetant un coup d'œil sur la carte, on voit que, depuis le golfe d'Adana jusqu'à l'Irak Arabi, se développe en un immense arc de cercle la chaîne constituée par le Taurus et les hauteurs du Kurdistan, dans lesquelles s'ouvrent deux défilés:
- l'un au sud, qui est l'ancienne route royale de Hama-dan à Babylone,

BARBEROUSSE ET SES CHEVALIERS
- l'autre au nord par la brèche du Haut-Euphrate.
Frédéric Barberousse passe, le 30 mai, les monts Taurus près de Laranda, marche vers la frontière Turco-Arménienne du Taurus Cilicien, d'où il redescend, à travers la province, alors Arménienne, de l'Isaurie orientale, jusqu'au port de Séleucie situé presque en face d'Antioche. De Ratisbonne, sur le Danube, à Séleucie, Frédéric Barberousse a parcouru en compagnie de 100 000 hommes allant pour la plupart à pied, la distance de près de 2 500 kilomètres ! 60 000 Germains sont morts en cours de route ! Leurs ossements laissent dans toute l'Europe, malgré tout épouvantée, la trace de cette Troisième Croisade qui a conduit tant d'hommes pieux des confins de la Bavière jusqu'au sultanat d'Iconium... Les rescapés au nombre de 40 000 s'apprêtent à passer en Syrie. Ils sont cependant encore suffisamment nombreux pour que Saladin ne reçoive pas avec désinvolture la nouvelle de leur apparition du côté d'Antioche. L'approche d'une telle masse d'hommes, remarque M. René Grousset, « constitue le plus formidable péril que l'Islam Syrien ait couru avant l'invasion Mongole. »...

Un accident stupide, changeant brutalement le sens des événements historiques qui se préparent, coûte la vie à l'empereur Germanique. Frédéric Barberousse, avant de descendre vers Adana et Antioche, faisant halte sur les bords du Sélef. Il vient de faire une longue marche et il est en sueur. Il se baigne... coule à pic... se noye... Telle est la fin tragique de ce courageux soldat qui, à 63 ans, part à la tête d'une immense armée pour reconquérir la Palestine. Cette mort inespérée est connue avec joie dans tout l'Islam. Le cœur de Saladin en est particulièrement réjoui.

Ibn al Athir nous en apporte l'écho :


« Si Allah, écrit-il, n'avait point montré sa bonté aux musulmans en faisant périr le roi des Germains au moment même où il allait franchir les frontières Syriennes, on ne pourrait écrire aujourd'hui:
la Syrie et l’Égypte qui ont jadis appartenu à l'Islam... »

www.canalacademie.com/ida4600-De-la-Germanie-a-l-Italie-un-empereu...
L'empereur Frédéric Barberousse est à la fois un personnage historique, un mythe ... à l'Italie, un empereur dans son siècle, Frédéric Barberousse (1152-1190).

Encyclopédie Larousse en ligne - Frédéric Ier Barberousse

www.larousse.fr/encyclopedie/.../Frédéric_I_er_Barberousse/120271
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II : Règne de FrédéricBarberousse (1152 – 1190). 1° Avènement de Frédéric I° – Les désirs de Conrad III furent écoutés, et Frédéric I°, surnommé ...

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Frédéric Barberousse - Les Templiers et les Croisades

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3 commentaires:

  1. Mes ami(e)s une malencontreuse fausse manœuvre, m'a fait effacer les premiers envois, je tâtonne et ne peut encore répondre à toutes vos questions... Je vais me renseigner mais Joli Lys en sait beaucoup plus que moi, elle peut nous aider, elle en sera ravie je vais essayer de faire un autre blog pour les petits déjeuners et nos échanges amicaux... Bonnes soirées et vous lire nombreux et nombreuses

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  2. Bonjour bien Chère Amie Chantal, votre blog est parfait et très facile d'accès, je vous ai mise dans mes favoris, ce qui me permet de cliquer immédiatement pour vour rejoindre sans aucun problème.... Votre blog est mieux agencé que le mien, je vous en félicite ! J'espère que vous aurez de nombreuses visites, je sais que je passerai très souvent ! Actuellement en Gironde nous sommes encore sous la pluie après l'acalmie dominicale. Je pense me rendre sur le Figaro dans la journée, nous tombons tombons la chute sera longue, les prophéties de certains mystiques s'accomplissent (Marthe Robin, Marie-Julie Jouhany etc....). Amicales pensées.

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  3. Bonjour, bonjour mes amies, je suis très heureuses de vous retrouver!

    Amitiés

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