Cette
page concerne l'année 1171 du
calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée. Il ne peut donc
s'agir que d'un survol !
LES
MARCHANDS DE L'EAU DE PARIS
BLASON DES MARCHANDS DE L'EAU DE PARIS |
Investie d’un pouvoir excessif, cette magistrature est vénale avant d’être réformée par Louis IX. Celui-ci décide, vers 1258, de nommer un officier en lui attribuant les pouvoirs d’un bailli sans lui en décerner le titre, car le roi se considère maître en dernier ressort de la capitale.
Le prévôt royal est chargé de maintenir l’ordre dans la ville et d’assurer la police des métiers. Le premier officier investi de cette fonction est Étienne Boileau. Celui-ci réorganise une cour de justice propre à la ville, mais dont les arrêts sont exécutoires dans l’ensemble du royaume pour tout ce qui concerne l’approvisionnement de Paris.
En contrepartie de la suppression de l’affermage de la prévôté de Paris, Louis IX cède l’administration municipale au premier prévôt des marchands, Evrard de Valenciennes, ainsi qu’à quatre échevins. Ces 5 magistrats sont élus pour deux ans et rééligibles au moins deux fois. Leur charge consiste à assurer la police des vivres et exécuter de nombreux travaux d’utilité publique : l’entretien des fossés, l’enlèvement de tout obstacle à la navigation sur la Seine, la construction des édifices publics, des remparts, des fontaines…etc.
Au XIVe siècle, la municipalité devient très complexe avec à sa tête un Bureau de la ville dirigé par le prévôt des marchands, puis un Conseil de la ville consulté pour les cas importants, et enfin l’Assemblée générale avec ses nombreux délégués.
MAQUETTE DES PILIERS DES NAUTES |
A
l'intérieur de ces nouvelles agglomérations, la majorité de la
population est souvent originaire de villages situés dans un rayon
de 20 à 30 kilomètres, encore que quelques individus venus de plus
loin y arrivent et y demeure assez souvent. Les agents du seigneur,
fréquemment détenteurs de terres dans la ville perçoivent les
redevances, maintiennent l'ordre, contribuent à rendre la justice,
assurent un début d'administration. Éléments dynamiques, les
marchands font des affaires et celles-ci vont du commerce actif
d'exportation du drap, des produits colorants du cuir... au prêt, à
la grosse aventure, à la mainmise sur les moulins, les fours, les
étaux du marché, à la spéculation foncière aussi,
particulièrement profitable en cette période d'expansion... Enfin,
on y trouve un nombre déjà considérable d'artisans dont les
professions couvrent une gamme plus étendue qu'on ne le suppose
parfois. A côté de ceux que le ravitaillement de la ville rend
indispensables, comme les bouchers, les boulangers, les meuniers, il
y a les techniciens qui approvisionnent toute la région en outils et
en matériel : socs de charrue, harnais, selles, armes, ouvriers
du fer comme les forgerons, serruriers, couteliers, travailleurs du
cuir comme les tanneurs, les cordonniers,· artisans de la laine
comme les tisserands, les foulons. Cette dernière activité surtout
commence dès la seconde moitié du XIIe siècle à faire la fortune
de nombre de centres du nord-ouest de la France, entre Seine et
Escaut... en Flandre, Artois, Normandie. Leurs draps s'exportent et
se vendent sur les places Méditerranéennes, à l'époque grandes
consommatrices d'étoffes du Nord. Centre de consommation, mais aussi
centre de fabrication et de diffusion, la ville et son marché jouent
ainsi pleinement dans l'économie un rôle nouveau et
actif.
Certains de ces « bourgeois » (le mot paraît à l'origine souligner la résidence dans un bourg) font rapidement fructifier une fortune dont l'essentiel est constitué d'argent liquide, de deniers. Liens familiaux et intérêts communs unissent entre eux les plus fortunés des notables, les « meilleurs » (meliores), les « plus puissants » (potentiores), selon les termes des documents du temps. Cette conscience d'une solidarité entre tous les habitants d'une même ville, favorisée par l'esprit des associations religieuses et par la cohésion de la « guilde », trouve son expression la plus complète dans ces communautés unies par serment qui portent un nom révélateur : « commune », « amitié », « paix ».
Certains de ces « bourgeois » (le mot paraît à l'origine souligner la résidence dans un bourg) font rapidement fructifier une fortune dont l'essentiel est constitué d'argent liquide, de deniers. Liens familiaux et intérêts communs unissent entre eux les plus fortunés des notables, les « meilleurs » (meliores), les « plus puissants » (potentiores), selon les termes des documents du temps. Cette conscience d'une solidarité entre tous les habitants d'une même ville, favorisée par l'esprit des associations religieuses et par la cohésion de la « guilde », trouve son expression la plus complète dans ces communautés unies par serment qui portent un nom révélateur : « commune », « amitié », « paix ».
Les
statuts d'Aire-sur-la-Lys, datant de 1093-1111 et confirmés en 1188,
stipulent, par exemple, que « tous ceux qui sont compris dans
l'Amitié de la ville ont confirmé par la foi et le serment que
chacun porterait aide à chacun comme à un frère en ce qui est
utile et honnête ». C'est ainsi que « si quelqu'un a eu
sa maison brûlée ou si, tombé en captivité, il doit payer une
rançon réduisant ses moyens, chacun des Amis donnera un écu pour
secourir l'Ami appauvri ».
Cette solidarité active fondée sur le serment devait rapidement déboucher sur des revendications touchant la gestion de la ville et le statut de ses habitants. Car à cette population nouvelle rassemblée dans les bourgs se pose un problème capital...
Cette solidarité active fondée sur le serment devait rapidement déboucher sur des revendications touchant la gestion de la ville et le statut de ses habitants. Car à cette population nouvelle rassemblée dans les bourgs se pose un problème capital...
DÉTAIL D'UN PILIER |
Composée
d'individus d'origines et de conditions juridiques mêlées, elle
doit s'efforcer d'obtenir avant tout un statut propre qui lui
garantisse des conditions acceptables pour l'exercice de son activité
au cœur d'une société tout entière fondée, d'une part, sur les
rapports féodaux et, d'autre part, sur les besoins de l'exploitation
des domaines ruraux. Ce désir était particulièrement impérieux
chez les marchands, dont les transactions s'accommodent difficilement
des entraves de tout genre que la coutume apporte tant à la liberté
personnelle (cens, corvées, etc.) qu'aux opérations commerciales
(duel judiciaire, ordalies du fer rouge et de l'eau bouillante comme
moyens de preuve en cas de procès). La plupart d'entre eux, ainsi
que quelques partisans aisés et les possesseurs de biens fonciers,
avaient réussi à amasser des fortunes imposantes pour l'époque.
Ils supportent donc de plus en plus difficilement la tutelle du
seigneur, maître des personnes et des biens, parfois même
propriétaire du sol, d'autant que ce dernier vise alors à renforcer
et à multiplier ses exigences en vertu de son pouvoir de ban. Il
s'agit, en fait, de limiter et de définir les exactions
seigneuriales (cens, mainmorte, formariage), d'uniformiser le statut
des habitants et d'obtenir dans toute la mesure du possible des
garanties judiciaires (tribunal particulier) et économiques
(exemption des péages, etc.). Programme à peu près général que
Guibert de Nogent, peu suspect pourtant de sympathie pour les
revendications communales, formule avec netteté:
«Tous
ceux qui sont tenus au cens capital c'est à dire les serfs, soumis à
un impôt payable par tête ils paient chaque année en une seule
fois ce qu'ils doivent à leur seigneur, selon la coutume, du fait de
leur servitude, commettent-ils une infraction contre le droit en
vigueur, ils s'en acquittent en payant une amende fixée par
jugement, quant aux autres perceptions exigées d'habitude des serfs,
ils en sont complètement exempts ».
Une solidarité militante: la commune
PLAN DE PARIS |
Le
moteur de cette révolution, c'est la conjuration, la « commune ».
«Terme nouveau et détestable » aux yeux de Guibert de Nogent,
« conspiration turbulente » si l'on en croit le canoniste
Yves de Chartres, suivi en cela par la plupart des évêques et même
des papes, comme Innocent II, qui donne à Louis VII l'ordre de
« disperser par la force les coupables associations des Rémois,
dites compagnies ». L'histoire du mouvement communal est donc
difficile à écrire, puisque la grande majorité des sources dont on
dispose pour le faire sont l’œuvre de clercs, outrés de l'emploi
abusif du serment à des fins profanes. Elles sont, en fin de compte,
tendancieuses, sinon partiales.
Les
méthodes employées ont varié selon les temps et les lieux, selon
l'attitude aussi des seigneurs. Réaction prudente du roi de France,
soucieux d'éliminer du domaine royal et des évêchés à sa
discrétion les ferments de trouble, mais encourageant, au contraire,
l'établissement communal chez ses voisins, attitude ambiguë et
souvent hostile des évêques, comme au Mans, à Cambrai, à Laon,
provoquant des soulèvements brutaux, soutien affirmé du comte de
Flandre, et plus nuancé de la part des autres grands féodaux
Français.
Dans la plupart des cas, les bourgeois conjurés ont d'abord tenté d'obtenir à prix d'argent la concession de la commune et de ses avantages. Mais irrités par les refus, les réticences, les palinodies qu'ils rencontrent, ils n'hésitent pas à recourir à la force et à la violence, au soulèvement sauvage avec son cortège d'émeutes, de massacres, de pillages, d'incendies et de répressions sans pitié... La liste de ces « émotions » est longue et sanglante qui va du feu de paille du Mans (1070) et de la révolte de Cambrai (1076) à celles de Laon (1112), d'Amiens (1114) ou de Reims (1139).
Dans la plupart des cas, les bourgeois conjurés ont d'abord tenté d'obtenir à prix d'argent la concession de la commune et de ses avantages. Mais irrités par les refus, les réticences, les palinodies qu'ils rencontrent, ils n'hésitent pas à recourir à la force et à la violence, au soulèvement sauvage avec son cortège d'émeutes, de massacres, de pillages, d'incendies et de répressions sans pitié... La liste de ces « émotions » est longue et sanglante qui va du feu de paille du Mans (1070) et de la révolte de Cambrai (1076) à celles de Laon (1112), d'Amiens (1114) ou de Reims (1139).
La
révolte de Laon est caractéristique à cet égard. La fourberie et
la cupidité de l'évêque Gaudri provoquent l'insurrection des
bourgeois. Armés d'épées, de haches, d'arcs et de cognées, ils
prennent d'assaut le palais épiscopal, massacrent les défenseurs et
lapide l'évêque, qu'ils ont découvert blotti dans un tonneau.
Clercs et nobles sont également chassés. L'incendie succède au
pillage et atteint la cathédrale elle-même. La riposte est aussi
furieuse... aidés par l'armée royale, seigneurs et chevaliers
reprennent Laon, la mettent à sac et égorgent tous les bourgeois
qu'ils peuvent trouver. Pareils actes de violence, d'ailleurs
courants à l'époque, illustrent cependant l'acuité du conflit et
l'ardeur des clans opposés.
C'est, en gros, dans une région comprise entre le littoral, l'Escaut et la Somme, que le mouvement, s'étendant de proche en proche, donne vraiment sa pleine mesure. Enhardies par la prospérité que leur vaut une industrie drapière en plein essor, les villes se montrent ardentes à obtenir les avantages du statut communal, à celles citées plus haut, il faut joindre Saint-Quentin (vers 1080), Beauvais (1099), Noyon (1110), Soissons (1116-1126), Corbie (1120), Saint-Riquier (avant 1126), Abbeville (1130). Dans chaque cas, les péripéties sont différentes, allant de l'accord tacite à l'explosion armée, tandis que suppressions, rétablissements, confirmations se succèdent au hasard des circonstances. C'est ainsi qu'en Flandre l'assassinat du comte Charles le Bon (1127) déclenche une véritable guerre civile dans le comté. Les villes jouent le rôle décisif dans la succession, malgré le soutien du roi de France Louis VI, Guillaume Cliton est évincé au profit de Thierry d'Alsace, qui s'est assuré l'appui des grandes cités commerçantes (Gand, Bruges, Lille et Ypres) en leur promettant de favoriser leur commerce et leurs libertés. Des soulèvements bourgeois (qui ne prennent pas toujours la forme de la « commune ») sont également signalés à Sens (1149), à Vézelay (1136), à Orléans (1137), à Poitiers (1138), à Toulouse (1139) et à Bordeaux (1147-1149).
C'est, en gros, dans une région comprise entre le littoral, l'Escaut et la Somme, que le mouvement, s'étendant de proche en proche, donne vraiment sa pleine mesure. Enhardies par la prospérité que leur vaut une industrie drapière en plein essor, les villes se montrent ardentes à obtenir les avantages du statut communal, à celles citées plus haut, il faut joindre Saint-Quentin (vers 1080), Beauvais (1099), Noyon (1110), Soissons (1116-1126), Corbie (1120), Saint-Riquier (avant 1126), Abbeville (1130). Dans chaque cas, les péripéties sont différentes, allant de l'accord tacite à l'explosion armée, tandis que suppressions, rétablissements, confirmations se succèdent au hasard des circonstances. C'est ainsi qu'en Flandre l'assassinat du comte Charles le Bon (1127) déclenche une véritable guerre civile dans le comté. Les villes jouent le rôle décisif dans la succession, malgré le soutien du roi de France Louis VI, Guillaume Cliton est évincé au profit de Thierry d'Alsace, qui s'est assuré l'appui des grandes cités commerçantes (Gand, Bruges, Lille et Ypres) en leur promettant de favoriser leur commerce et leurs libertés. Des soulèvements bourgeois (qui ne prennent pas toujours la forme de la « commune ») sont également signalés à Sens (1149), à Vézelay (1136), à Orléans (1137), à Poitiers (1138), à Toulouse (1139) et à Bordeaux (1147-1149).
A
Paris le roi édite :
[« Au
nom de la sainte et indivisible Trinité, amen. Moi, Louis, par la
grâce de Dieu roi des Francs, à tous, à perpétuité. Savoir
faisons tant aux présents qu’à ceux à venir, que nos citoyens de
Paris qui sont marchands par eau sont venus devant nous, nous
demandant que nous leur concédions et confirmions les coutumes
qu’ils avaient eues du temps de notre père le roi Louis,
approuvant leur requête avec une faveur bienveillante, nous avons
donné à leurs prières notre bienveillant accord. Leurs coutumes
sont ainsi depuis longtemps : personne n’a le droit d’amener à
Paris ou d’emmener quelque marchandise, du pont de Mantes qu’aux
ponts de Paris, s’il n’est marchand de l’eau de Paris ou s’il
n’a cette marchandise en société avec quelque marchand de l’eau
de Paris. Si quelqu’un ose agir autrement, il perdra le tout ; et
la moitié de ce tout ira au roi, pour le forfait, et l’autre
moitié à nos marchands de l’eau de Paris. Quant aux marchands de
l’eau de Rouen, ils auront licence et d’amener leurs bateaux
vides jusqu’au petit ru du Pecq, pas au-delà, et, de là, de
charger et de ramener leur chargement sans être associés aux
marchands de l’eau de Paris. Et si quelqu’un, sans associé
parisien, s’avance au-delà, qu’il perde le tout de la même
manière et, comme il a été dit, qu’on distribue le tout au roi
et aux marchands […]. Pour que ceci soit valable à perpétuité,
nous avons prescrit de le confier à un écrit et de le renforcer par
l’autorité de notre sceau, en y ajoutant le monogramme de notre
nom. Fait à Paris l’an de l’Incarnation du Verbe 1170 ; présents
dans notre palais ceux dont suivent les noms et les seings. Seing du
comte Thibaut, notre sénéchal ; seing de Mathieu, chambrier ; seing
de Guy, bouteiller ; seing de Raoul, connétable ; donné par la main
d’Hugues, chancelier et évêque de Soissons. »]
A
Paris, toute une foule industrieuse de marchands et d'artisans
s'active et se presse. La Seine, qui coupe la ville en deux, est une
voie de communication essentielle utilisée depuis l'époque
Gallo-Romaine. De nombreux bateaux y convoient quotidiennement les
marchandises ou les biens nécessaires à l'approvisionnement des
Parisiens.
UN AUTRE DÉTAIL DE PILIER |
Au
Moyen-Âge, en 1170, les Marchands de l’eau – Mercator aquae
Parisius – reçoivent de Louis VII des privilèges de commerce et
de navigation sur une partie de la Seine, et obtiennent même, en
1210 de la part de Philippe Auguste, des droits de Prévôté. Ainsi
naît la Municipalité Parisienne.
Les
Nautes marquent, après 1210, leurs actes officiels de leur sceau
représentant un navire. Au départ de cire naturelle, le sceau
devient rouge, semble-t-il sur l’impulsion du prévôt des
marchands Étienne Marcel qui a pour couleurs attitrées le rouge et
le bleu (couleurs de la ville de Paris).
Les
origines de la Hanse Parisienne des Marchands de l'Eau. Après avoir
exposé les diverses opinions émises sur les commencements de cette
institution, on relève les ressemblances frappantes que l'on
constate entre elle et les hanses marchandes dont on connaît
l'existence au XIe et au XIIe siècle. La Hanse parisienne s'explique
par les mêmes circonstances économiques et répond aux mêmes
nécessités imposées par le genre d'activité commerciale de
l'époque. Son chef, le prévôts des marchands, devient, comme le
comte de la Hanse dans diverses villes, un magistrat municipal.
L'absence de constitution communale à Paris lui a même permis de
prendre une importance considérable...
Au
même moment, Paris prend son essor et l'impression qu'il produit sur
ceux qui le voient est, à n'en pas douter, profonde.
PARIS |
Visitant,
entre 1175 et 1190, cette « ville royale où l'abondance des
biens naturels ne retient pas seulement ceux qui l'habitent, mais
multe et attire ceux qui sont loin », Gui de Bazoches brosse un
tableau enthousiaste qui aujourd'hui encore garde intact son pouvoir
de suggestion. «Elle est assise au sein d'un vallon délicieux, au
centre d'une couronne de coteaux qu'enrichissent à l'envi Cérès et
Bacchus. La Seine, ce fleuve superbe qui vient de l'Orient, y coule à
pleins bords et entoure de ses deux bras une île qui est la tête,
le cœur, la moelle de la ville entière. Deux faubourgs s'étendent
à droite et à gauche, dont le moins grand ferait encore l'envie de
bien des cités. Chacun de ces faubourgs communique avec l'île par
deux ponts de pierre: le Grand Pont, tourné au nord, du côté de la
mer Anglaise, et le Petit Pont, qui regarde la Loire. Le premier,
large, riche, commerçant, est le théâtre d'une activité
bouillonnante, d'innombrables bateaux l'entourent, remplis de
marchandises et de richesses. Le Petit Pont appartient aux
dialecticiens, qui s'y promènent en discutant. Dans l'île, à côté
du palais des rois, qui domine toute la Ville, on voit le palais de
la philosophie où l'étude règne seule en souveraine, citadelle de
lumière et d'immortalité. »
La Hanse des marchands de l'eau - Devoir-de-philosophie.com
La Hanse des marchands de l'eau - Devoir-de-philosophie.com
www.devoir-de-philosophie.com/dissertation-hanse-des-marchands-eau-...
4
sept. 2013 - Les entrepreneurs de transport par voie d'eau ont alors
le monopole de ce trafic. En créant, en 1171,
la «Hanse des marchands
de l'eau», …
Paris au Moyen Âge | Sur le Chemin du Paradis à Paris
paradis-paris.com/about/paris-au-moyen-age/
...
les marchands parisiens s'unissant au sein d'une « hanse des
marchands
de l'eau
» privilégiée par Louis VII en 1170-1171.
Elle devient également un centre ...
Histoire des armoiries de la ville de Paris | Le Bréviaire des Patriotes
www.lebreviairedespatriotes.fr/.../histoire-des-armoiries-de-la-ville-de-pa...
5
févr. 2013 - Pour comprendre celles de Paris,
il faut remonter aux balbutiements ...
Les
Nautes
de Lutèce avaient le monopole du commerce fluvial sur la ...
L'ESSOR DU XIIe SIÉCLE - LES CAMPAGNES ET LES VILLES ...
stravaganzastravaganza.blogspot.com/.../lessor-du-xiie-siecle-les-campag...
7
sept. 2013 - Connus dès l'époque romaine, peu à peu répandus à
partir de l'époque carolingienne, les moulins à eau
se multiplièrent au XIe et surtout au ...