20
NOVEMBRE 2016...
Cette
page concerne l'année 166 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LA
PASSION DE POLYCARPE.
UNE ÉGLISE EN SYRIE |
Saint
Polycarpe Evêque de Smyrne et martyr, (dont le nom grec signifie
fruits abondants) est regardé par toute l’Église comme ayant
appartenu au groupe des Pères apostoliques. Disciple immédiat des
apôtres, il naît au temps de Vespasien vers l'an 70, converti à la
religion chrétienne dès son enfance, sous le règne de Titus.
Attaché à l’Église de Smyrne, et disciple de l'apôtre Saint
Jean. Son biographe, Pionius, l'a dit originaire des contrées du
Levant, puis amené jeune encore à Smyrne par des marchands qui
l'ont vendu à une femme noble, nommée Callisto. Cette généreuse
chrétienne l'a élevé dans la crainte du Seigneur, lui confiant le
soin de sa maison.
Héritier
des biens de Callisto, Polycarpe n'en a usé que pour se
perfectionner dans la connaissance des Écritures, s'avancer dans la
pratique de la piété, puis reçoit le diaconat des mains de
l'évêque de Smyrne, Bucolus, qui l'attache à son Église... Saint
Irénée ( Adv. hæresses, 1. V, c. XXXIII), nous apprend que
Polycarpe avec Papias suivent les leçons de Jean, l'apôtre
bien-aimé de Jésus.
Polycarpe
est établi évêque de Smyrne par les apôtres eux-mêmes, l'apôtre
Saint Jean en particulier. L'épiscopat de Polycarpe semble assez
tranquille sous le règne de Trajan, alors que la persécution agite
l’Église dans les autres provinces de l'empire. Ignace d'Antioche,
l'ami de Polycarpe, sera condamné à mort en Syrie et, de là,
envoyé à Rome pour être livré aux bêtes de l'amphithéâtre.
L'évêque
de Smyrne fait un voyage à Rome et y séjourne, mais il est
difficile de dire à quelle époque, il doit entretenir le pape de
divers sujets : Défense des vérités de la foi, union et paix
des fidèles, observances de discipline.
L'accord
n'existe pas entre Rome et les Églises d'Asie pour la célébration
de la Pâque. Anicet et Polycarpe estiment que le plus sage, sur ce
dernier point, est de laisser jusqu'à nouvel ordre l'Orient et
l'Occident suivre leur coutume respective.
LE MARTYRE DE POLICARPE |
Le
séjour de Polycarpe à Rome est encore utile à beaucoup de
personnes qui se sont laissé infecter du venin de l'hérésie,
l'évêque rend un témoignage à la vérité orthodoxe, fait rentrer
dans le sein de l’Église des âmes séduites par les erreurs de
Valentin et de Marcion... Rencontrant un jour ce dernier dans les
rues de Rome, Marcion lui dit :
Ne
me reconnaissez-vous pas ?
Oui,
répond Polycarpe, je vous reconnais pour le fils aîné de Satan.
Simple parole qui marque l'inviolable attachement de l'évêque aux
enseignements de la foi.
Polycarpe
revient à Smyrne, selon nous, en automne 154, une mort digne de lui
l’y attend.
Professant
la doctrine que l’on ne doit pas rechercher le martyre... Bien des
gens n'ayant pas sa vertu ne sont pas aussi prudents que lui, le
voisinage des sombres enthousiastes de la Phrygie devient dangereux.
Un
Phrygien, nommé Quintus, montaniste par anticipation, vient à
Smyrne et entraîne quelques exaltés, qui vont avec lui se dénoncer
eux-mêmes et provoquer les supplices...
Les
gens sages les blâment, et disent avec raison que l’Évangile ne
commande rien de pareil. Outre ces fanatiques, plusieurs Smyrniotes
chrétiens sont emprisonnés, parmi eux quelques Philadelphiens, soit
que le hasard les ait conduit à Smyrne, soit que l’autorité,
après les avoir arrêtés à Philadelphie, les ait fait transférer
à Smyrne, ville plus considérable où se donnent les grands jeux.
Les détenus sont au nombre de 12.
Selon
l’usage hideux des Romains, c'est dans le stade, à défaut
d’amphithéâtre, que leur supplice a lieu.
Les
tortures endurées par ces malheureux offrent un épouvantable
caractère d’atrocité. Quelques-uns sont tellement déchirés par
les fouets, que leurs veines, leurs artères, tout le dedans de leur
corps est à nu.
On
pleure autour d’eux, mais on ne peut leur arracher ni un murmure ni
une plainte. L’idée se répand dès lors que les martyrs du
Christ, pendant la torture, sont ravis hors du corps et que le Christ
lui-même les assiste, communie avec eux.
Le
feu leur fait l’effet d’une fraîcheur délicieuse.
Exposés
aux bêtes.
Traînés
sur un sable composé de coquillages pointus, ils paraissent
insensibles.
Un
seul faiblit, et c'est justement celui qui a compromis les autres.
Le
Phrygien puni de sa dénonciation, à la vue des bêtes, se met à
trembler. Les gens du proconsul l’entourent, l’engagent à céder,
il consent à prêter le serment et à sacrifier. Les fidèles voient
là un signe du ciel et la condamnation de ceux qui vont d’eux-mêmes
chercher la mort. Une telle conduite, empreinte d’orgueil, est
considérée comme une sorte de défi à Dieu.... Admettant que le
courage du martyr vient d’en haut, et que Dieu, pour montrer qu’il
est la source de toute force, se plaît parfois à montrer les plus
grands exemples d’héroïsme en ceux qui, avant l’épreuve, ont
été défiants d’eux-mêmes, presque timides.
POLYCARPE ÉVÊQUE DE SMYRNE |
On
admire surtout un jeune homme nommé Germanicus. Il donne à ses
compagnons d’agonie l’exemple d’un courage surhumain. Sa lutte
contre les bêtes fut admirable.
Le
proconsul Titus Statius Quadratus, homme philosophe et modéré, ami
d’Ælius Aristide, l’exhorte à la pitié envers son jeune âge.
Lui
se met à exciter les bêtes, à les appeler, à les taquiner pour
qu’elles le tirent plus vite d’un monde pervers.
Cet
héroïsme, loin de toucher la foule, l’irrite. « À mort les
athées ! Qu’on cherche Polycarpe ! » crie-t-on de
toutes parts.
Polycarpe,
bien que blâmant l’acte de folie de Quintus, n’a pas d’abord
voulu fuir. Cédant à de vives instances, il consent cependant à se
retirer dans une petite maison de campagne, située non loin de la
ville, où il passe plusieurs jours. On vient pour l’y arrêter...
Quittant précipitamment la maison, il se réfugie dans une autre,
mais un jeune esclave, mis à la torture, le trahit.
Une
escouade de gendarmes à cheval vient pour le prendre.
Cela
se passe le vendredi 22 février, à l’heure du dîner.
Le
vieillard est à table, dans la chambre haute de la villa... Il peut
encore
s’échapper,
mais il dit : « Que la volonté de Dieu se fasse ! »
Descendant tranquillement, il discute avec les gendarmes, leur fait
servir à manger et demande seulement une heure pour prier librement.
Il
fait alors une de ces longues prières qui lui sont habituelles, et
où il embrasse l’Église catholique tout entière. La nuit se
passe... Le lendemain matin, samedi 23 février, on le met sur un âne
et l’on part.
Avant
d’arriver à la ville, Hérode et son père Nicète se présentent
en voiture. Ils ne sont pas sans relations avec les chrétiens. Alcé,
sœur de Nicète, paraît avoir été affiliée à l’Église. Ils
prennent, dit-on, le vieillard au milieu d’eux dans la voiture, et
essaient de le convaincre. « Quel mal donc y a-t-il, pour
sauver sa vie, à dire Kyrios Kæsar, à faire un sacrifice et le
reste ? »
Polycarpe
est inflexible. Il paraît que les deux magistrats s’emportent
alors, lui disent des paroles dures et le chassent si rudement de la
voiture, qu’il s’écorche la jambe.
On
se dirige vers le stade situé à mi-côte du mont Pagus. Le peuple y
est déjà rassemblé, c’est un vacarme infernal.
Au
moment où le vieillard est introduit, le bruit redouble les
chrétiens seuls entendent une voix du ciel qui dit : « Sois
fort, sois viril, Polycarpe ! » On mène l’évêque au
proconsul, qui emploie les phrases ordinaires en pareille
circonstance : « Au nom du respect que tu dois à ton âge,
etc., jure par la fortune de César, crie comme tout le monde :
« Plus d’athées ! »
Polycarpe
alors, promenant un regard sévère sur la foule qui couvre les
gradins, et la montrant de la main : « Oui, certes,
dit-il, plus d’athées ! » et il lève les yeux au ciel
avec un profond soupir.
« Insulte
le Christ, lui dit Statius Quadratus.
Il
y a 86 ans que je le sers, et il ne m’a jamais fait aucun mal, dit
Polycarpe. Je suis chrétien... Si tu veux savoir ce que c’est
qu’un chrétien, ajoute-t-il, accorde-moi un délai d’un jour, et
prête-moi ton attention.
Persuade
donc le peuple de cela, répond Quadratus.
Avec
toi, il vaut la peine de discuter, répond Polycarpe. Nous avons pour
précepte de rendre aux puissances et aux autorités établies par
Dieu les honneurs qui leur sont dus, pourvu que ces marques de
respect n’aient rien de blessant pour notre foi. Quant à ces
gens-là, je ne daignerai jamais descendre à faire mon apologie
devant eux. »
Le
proconsul le menace en vain des bêtes, du feu. Il faut annoncer au
peuple que Polycarpe confesse obstinément sa foi.
Juifs
et païens poussent des cris de mort :
« Le
voilà, le docteur de l’Asie, le père des chrétiens ! »
disent les premiers. « Le voilà, le destructeur de nos dieux,
celui qui enseigne à ne pas sacrifier, à ne pas adorer ! »
disent les seconds.
En
même temps, ils demandent à Philippe de Tralles, asiarque et grand
prêtre d’Asie, de lancer un lion sur Polycarpe.
Philippe
leur fait observer que les jeux de bêtes sont finis.
« Au
feu donc ! »
Crie-t-on
de toutes parts. Et le peuple se répand dans les boutiques et les
bains pour y chercher du bois et des fagots. Les juifs, nombreux à
Smyrne et toujours fort animés contre les chrétiens, montrent à
cette besogne, selon leur habitude, un zèle tout particulier.
Pendant
qu’on prépare le bûcher, Polycarpe ôte sa ceinture, se dépouille
de tous ses vêtements, essaie aussi de se déchausser... Il ne le
fait pas sans quelque embarras car, en temps ordinaire, les fidèles
qui l’entourent ont coutume de s’empresser pour lui éviter cette
peine, tant ils sont jaloux du privilège de le toucher.
On
le place au milieu de l’appareil qui sert à fixer le patient et on
va l’y clouer : « Laissez-moi ainsi, dit-il celui qui me
donne la force de supporter le feu m’accordera aussi la force de
rester immobile sur le bûcher, sans qu’il soit besoin pour cela de
vos clous. »
On
ne le cloue pas, on le lie seulement.
Ainsi,
les mains attachées derrière le dos, il semble une victime, et les
chrétiens qui l’aperçoivent de loin voient en lui un bélier
choisi dans tout le troupeau pour être offert à Dieu en holocauste.
Pendant ce temps, il prie et remercie Dieu de l’avoir admis au
nombre de ses martyrs.
Les
flammes commencent à s’élever, l’exaltation des fidèles
témoins de ce spectacle est à son comble. Les chrétiens
attachaient naturellement le plus grand prix à posséder le corps du
martyr.
Mais
l’autorité hésite à le leur donner, craignant de voir ce
supplicié devenir l’objet d’un nouveau culte.
« Ils
seraient capables, disent-ils en riant, d’abandonner pour lui le
crucifié. »
Les
juifs montent la garde auprès du bûcher pour épier ce qu’on va
faire. Le centurion de service se montre favorable aux chrétiens et
les laisse prendre ces os, « plus précieux que les pierres
précieuses et que l’or le plus pur ».
Ils
sont calcinés : Mais pour concilier ce fait avec le récit
merveilleux, on prétend que c’est le centurion qui a brûlé le
corps. On met les cendres dans un lieu consacré, où l’on vient
chaque année célébrer l’anniversaire du martyre et s’exciter à
marcher sur les traces du saint vieillard.
Le
courage de Polycarpe frappe beaucoup les païens eux-mêmes.
L’autorité, ne voulant pas que de pareilles scènes se
renouvellent, arrête les supplices.
Le
nom de Polycarpe reste célèbre à Smyrne, tandis qu’on oublie
vite les 11 ou 12 Smyrniotes ou Philadelphiens qui ont souffert avant
lui.
Les
Églises d’Asie et de Galatie, à la nouvelle de la mort de ce
grand pasteur, demandent aux Smyrniotes des détails sur ce qui s’est
passé.
Ceux
de Philomélium, en Phrygie Parorée montrent surtout un touchant
empressement. L’Église de Smyrne fait rédiger par un de ses
anciens le récit du martyre, sous la forme d’une épître
circulaire, qui est adressée aux différentes Églises.
Les
fidèles de Philomélium, point déjà fort éloigné, sont priés de
transmettre la lettre aux frères d’au delà.
L’exemplaire
des Philoméliens, copié par un certain Évareste, et porté par un
nommé Marcion, a servi de base ensuite à l’édition originale.
Comme il arrive souvent dans la publication des lettres circulaires,
les finales des différents exemplaires sont placées par l’éditeur
à la suite les unes des autres.
Ce
beau morceau constitue le plus ancien exemple connu des Actes de
martyre. C'est le modèle qu’on imite et qui fournira la marche et
les parties essentielles de ces sortes de compositions.
L’idée
que le martyre est la faveur suprême qu’on doit désirer et
demander au ciel trouve dans l’encyclique smyrniote sa première et
parfaite expression. L’auteur de ce remarquable écrit ne perd
aucune occasion de montrer que le vrai martyre, le martyre conforme à
l’Évangile, est celui qu’on ne va pas chercher, ni qu’on
attend.
La
provocation lui paraît si condamnable, qu’il éprouve une certaine
satisfaction à montrer le Phrygien fanatique cédant aux obsessions
du proconsul et devenant apostat.
Légère,
étourdie, curieuse de bizarreries, l’Asie tourne ces tragédies en
historiettes et instaure la caricature du martyre.
Vers
ce temps, vit un certain Peregrinus, philosophe cynique, de Parium
sur l’Hellespont, qui s’appelle lui-même Protée, et dont on
vante la facilité à prendre tous les visages, à courir toutes les
aventures... Parmi ces aventures, il prend également celle d’évêque
et de martyr.
Après
avoir débuté dans la vie par les crimes les plus affreux, par le
parricide, il se fait chrétien, devient prêtre, scribe, prophète,
thiasarque, chef de synagogue. Il interprète les livres sacrés, en
compose lui-même, il passe pour un oracle, pour une suprême
autorité en fait de règles ecclésiastiques. On l’arrête pour ce
délit, on l’enchaîne. C’est le commencement de son apothéose.
À partir de cette heure, il est adoré, on remue ciel et terre pour
le faire échapper.
Le
matin, à la porte de la prison, les veuves, les orphelins attendent
pour le voir. Les notables obtiennent, à prix d’argent, de passer
la nuit dans sa compagnie.... C’est un va-et-vient de tables, de
festins sacrés, on célèbre près de lui les mystères, on ne
l’appelle que « cet excellent Peregrinus », on le
qualifie de nouveau Socrate.
Tout
cela se passe en Syrie. Ces esclandres publics sont la joie des
chrétiens, ils n’épargnent rien, en pareil cas, pour rendre la
manifestation éclatante. Voilà que, de toutes les villes d’Asie,
arrivent des envoyés chargés de se mettre au service du confesseur
et de le consoler. L’argent afflue autour de lui. Or il se trouve
que le gouverneur de Syrie est un philosophe, il pénètre le secret
de la folie de notre homme, voit qu’il n’a qu’une idée, c’est
de mourir pour rendre son nom célèbre, et le renvoie sans
châtiment. Partout, dans ses voyages, Peregrinus nage dans
l’abondance, les chrétiens l’entourent et lui font une escorte
d’honneur.
« Ces
imbéciles, ajoute Lucien, sont persuadés qu’ils sont absolument
immortels, qu’ils vivront éternellement, ce qui fait qu’ils
méprisent la mort et que beaucoup d’entre eux s’y offrent
d’eux-mêmes.
Leur
premier législateur les a persuadé qu’ils sont tous frères les
uns des autres, du moment que, reniant les dieux helléniques, ils
adorent le crucifié, leur sophiste, et vivent selon ses lois. Ils
n’ont donc que du dédain pour les biens terrestres, et ils les
tiennent pour appartenant en commun à tous.
Inutile
de dire qu’il n’ont pas une raison sérieuse de croire tout cela.
Si donc quelque imposteur, quelque homme rusé, capable de tirer
parti de la situation, vient à eux, tout de suite, le voilà riche,
et il rit au nez de ces nigauds. »
Peregrinus,
à bout de ressources, cherche, par une mort théâtrale aux jeux
olympiques, à satisfaire l’insatiable besoin qu’il a de faire
parler de lui. Le suicide pompeux et voulu est, on le sait, le grand
reproche que les philosophes sages adressent aux chrétiens... (Que
dire presque 2 000 ans plus tard de ceux qui au lieu de mourir seul
et en prière tuent pour connaître un paradis peuplé de vierges
éternelles avec lesquelles ils pourront s'accoupler. Les chrétien
n'ont jamais même dans leur martyre demandés que quiconque les
accompagne, bien au contraire,)
26
janvier. Saint Polycarpe, évêque de Smyrne, martyr. 166. : Vie des
...
hodiemecum.hautetfort.com/.../26-janvier-saint-polycarpe-eveque-de-smyrne-martyr-...
25
janv. 2008 - 166. Papes : Saint Anicet (+166) ; saint Soter.
Empereurs romains : Lucius Verus ... que ses actes furent écrits
dans l'année qui suivit le martyre de notre saint : ..... Statius
Quadratus était proconsul de la province d'Asie et ...
L'Église
chrétienne (Renan)/XXIII. Martyre de Polycarpe. - Wikisource
https://fr.wikisource.org/wiki/L’Église_chrétienne.../XXIII._Martyre_de_Polycarpe.
28
juil. 2015 - Le proconsul Titus Statius Quadratus, homme philosophe
et modéré, ami .... dans un lieu consacré, où l'on vint chaque
année célébrer l'anniversaire .... 166-168), c'est une addition
d'un certain Pionius, qui, vers la fin du iv e ...
Mémoire
sur la chronologie de la vie du rhéteur Ælius Aristide ...
https://books.google.fr/books/.../Mémoire_sur_la_chronologie_de_la_vie_du.html?hl...
Page
34 - 2 , le mois Xanthicus commençait au 22 février de l'année
julienne; par conséquent le ... Page 58 - 162 à 166. ... Page 12 -
pendant la dixième année de sa maladie, un peu après le solstice
d'hiver, et lorsque Severus était proconsul d'Asie 1 . ... Page 32 -
suit immédiatement le récit des relations avec Quadratus, ...
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