mercredi 11 janvier 2017

EN REMONTANT LE TEMPS... 168

18 NOVEMBRE 2016...

Cette page concerne l'année 168 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

COMPARAISONS TARDIVES DES ASTRONOMES ANCIENS PAR LES SAVANTS COPERNIC ET KEPLER ETC.


PTOLÉMÉE
Claude Ptolémée (en grec ancien Κλαύδιος Πτολεμαῖος Claúdios Ptolemaîos, en latin Claudius Ptolemaeus), communément appelé Ptolémée (Ptolémaïs de Thébaïde (Haute-Égypte) vers 90 - Canope vers 168) est un astronome et astrologue Grec qui vit à Alexandrie (Égypte), également l’un des précurseurs de la géographie. Sa vie est mal connue. Son cognomen Ptolemaeus semble indiquer des origines Gréco-Égyptienne, et son nomen Claudius une citoyenneté Romaine.
Ptolémée est l’auteur de plusieurs traités scientifiques, dont deux ont exercé une très grande influence sur les sciences occidentales et orientales. L’un est le traité d’astronomie, aujourd’hui connu sous le nom d’Almageste (arabisation de, La Grande Composition puis La Très Grande, mais dont le titre original en grec était Μαθηματική σύνταξις, Mathēmatikḗ súntaxis, Composition mathématique). L’autre est la Géographie, qui est une synthèse des connaissances géographiques du monde Gréco-Romain.
L’œuvre de Ptolémée est un sommet et l’aboutissement d’une longue évolution de la science antique fondée sur l'observation des astres, les nombres, le calcul et la mesure. Avec l’œuvre d’Aristote, c’est essentiellement à travers elle, transmise à la fois par les Arabes et les Byzantins, que l’Occident redécouvrira la science grecque au Moyen Âge et à la Renaissance, laissant leurs prédécesseurs dans l’obscurité.
Pourtant Ptolémée ne manque pas de faire abondamment référence à ceux-ci dans ses écrits.

CARTE DE PTOLÉMÉE
L’Almageste est le seul ouvrage antique complet sur l’astronomie qui nous soit parvenu. Les astronomes Babyloniens ont mis au point des techniques de calcul pour la prévision de phénomènes astronomiques. Surtout, ils ont consigné soigneusement, pendant des siècles, de précieuses observations (positions des astres, éclipses…)
Les astronomes Grecs, tels qu’Eudoxe de Cnide et surtout Hipparque, ont intégré ces observations et les leurs dans des modèles géométriques (théorie des épicycles) pour calculer les mouvements de certains corps célestes. Dans son traité, Ptolémée reprend ces différents modèles astronomiques et les perfectionne, notamment en ajoutant la notion d’équant. Ses observations, jointes aux données antérieures dont il dispose, offrent un recul permettant une mesure fort précise des mouvements astronomiques, puisque l'ensemble couvre une période de près de 9 siècles.
Ses « tables » de données, indispensables pour déterminer la position des astres, ont en effet comme point de départ le premier jour du calendrier Egyptien de la première année du règne de Nabonassar, c’est-à-dire le 26 février 747 av. J. C. Ptolémée consacre donc le modèle géocentrique d’Hipparque, qui lui est souvent attribué et qui est accepté pendant plus de
1 300 ans, quoique de manière discontinue.

En Europe Occidentale, en effet, il sombre dans l’oubli au début du Moyen Âge, avant d’être redécouvert à la fin de cette période. Cet héritage est cependant préservé dans le monde arabe et, avec des hauts et des bas, dans l’Empire Romain d’Orient et plus spécifiquement à Byzance. Sa méthode et son modèle de calcul ont d’ailleurs été adoptés avec quelques modifications dans le monde arabophone et en Inde, car ils sont d’une précision suffisante pour satisfaire les besoins des astronomes, des astrologues, des détenteurs de calendriers et des navigateurs.
LES PLANÈTES SELON PTOLÉMÉE
Ptolémée réalisa aussi une sorte de manuel essentiellement pratique, appelé « Les tables faciles » ou parfois « Les tables manuelles » (Πρόχειροι κανόνες, Prócheiroi kanónes), dérivé de l’Almageste et destinées à réaliser des calculs de position des astres et d’éclipses.

Contrairement à une idée reçue, Ptolémée n'a pas repris à son compte l’idée d’Aristote selon laquelle les astres sont placés sur des sphères de cristal. Il dit même expressément que « les astres nagent dans un fluide parfait qui n’oppose aucune résistance à leurs mouvements ». On ignore si cette vision, proche de la notion de vide, est déjà présente chez Hipparque ou si elle doit être mise au crédit de Ptolémée. Pour celui-ci, déférents et épicycles sont donc immatériels. Nicolas Halma considère en outre que son choix du système des épicycles plutôt que de celui des excentriques résulte davantage d’une volonté de rendre les calculs plus commodes, que d’une foi dans la réalité matérielle du système.

Durant les 13 siècles qui suivront, l’astronomie ne progressera plus guère. L’Almageste et les tables faciles ne recevront que des corrections mineures, bien qu’elles aient fait l’objet, à la fin de l’Antiquité, de nombreuses publications de la part des « commentateurs », dont le plus connu est Théon d’Alexandrie. Ce sont donc les tables et les textes de Ptolémée qui sont utilisés directement ou indirectement comme références jusqu’à ce que les progrès des instruments d’observation et la théorie élaborée par Nicolas Copernic et perfectionnée par Johannes Kepler n’entraînent son abandon.
Mais c'est à grand peine : Le système héliocentrique de Copernic (1543), appuyé par Galilée (1630) est rejeté et Galilée se voit contraint de renier officiellement ses théories en 1633. Le modèle de Ptolémée n'est définitivement abandonné par l'Église que sous le pape Benoît XIV vers 1750.

L’Almageste contient également un catalogue de 1 022 étoiles regroupées en 48 constellations. Bien que ne couvrant pas toute la sphère céleste, ce système est la référence pendant de nombreux siècles. Ptolémée a aussi décrit l’astrolabe, inventé probablement par Hipparque.

Sa Géographie est une autre œuvre majeure. Il s’agit d’une compilation des connaissances géographiques à l’époque de l’empire Romain sous le règne d’Hadrien (125), couvrant la totalité du monde connu ou écoumène. Comme pour le modèle du système solaire dans l’Almageste, Ptolémée unifie dans un grand ensemble toutes les informations dont il dispose.
Le premier livre définit le sujet de la Géographie et présente les données et la méthode utilisée pour dessiner une carte du monde habité. Dans les livres 2 à 7, il fournit des listes topographiques et attribue des coordonnées à tous les lieux et particularités géographiques, répertoriant 8 000 endroits d'Europe, d'Asie et d'Afrique disposés dans une grille. Il commence à l'ouest avec l'Irlande et la Grande-Bretagne puis se déplace vers l'est en passant par l'Allemagne, l'Italie, la Grèce, l'Afrique du nord, l'Asie mineure et la Perse, pour terminer en Inde.
Le livre 8 présente une division de l'écoumène en 26 cartes régionales : 10 pour l'Europe, 4 pour l'Afrique (appelée Libye) et 12 pour l'Asie. Outre les données géographiques, Ptolémée intègre des données astronomiques et des témoignages de voyageurs.

Révisant les calculs d'Ératosthène et d'Hipparque, Ptolémée divise le globe en 360°, en prenant comme base le système sexagésimal des Babyloniens. Il estime [Comment ?] la longueur de chaque degré à 500 stades, ce qui lui donne comme circonférence de la terre le chiffre auquel est arrivé Posidonios (180 000 stades, ou 34 500 km), soit 14% de moins que la circonférence réelle qui est de 40 075. La dimension du monde connu couvre un arc de 177°, allant des îles « Fortunata » (îles des Bienheureux) associées aux îles Canaries, jusqu'à Cattigara, qui correspond à Hanoï. La latitude est mesurée à partir de Thulé, situé à 63° N jusqu'à Agisymba dans l'Afrique Sub-Saharienne, que Ptolémée situe à 16° S, la distance totale couvrant ainsi 79°.
ÉCOLE ATHÉNIENNE
Posant l’équateur au degré zéro, comme aujourd’hui, Ptolémée calcule la distance selon la durée du jour le plus long plutôt qu’en degrés car la durée du solstice d’été passe de 12 h à 24 h au fur et à mesure qu’on s’éloigne de l’équateur vers le cercle polaire. Il utilise des incréments de 15 minutes par degré, jusqu'au parallèle où le jour le plus long dure 15 heures et demie pour alors passer à des incréments de 30 minutes, jusqu'à Thulé, où le jour le plus long dure 20 heures. Pour le calcul des longitudes, il fixe le méridien de longitude 0 au point le plus à l’ouest qu’il connaissait, soit les îles Fortunées, en posant des intervalles de 5 degrés correspondant au tiers d'une heure d'équinoxe et couvrant au total 12 heures, soit 180°

Ptolémée s’est essentiellement appuyé sur les travaux d’un autre géographe, Marinos de Tyr, dont les ouvrages ne nous sont pas parvenus. Il s'est aussi basé sur les index géographiques des empires Romain et Perse, mais la plupart de ses sources au-delà du périmètre de l’empire sont d’origines douteuses.
Des cartes fondées sur des critères scientifiques avaient été réalisées depuis Ératosthène, mais Ptolémée améliore les techniques de projection cartographique, en s'appuyant sur la géométrie d'Euclide, produisant une méthode qui exerce une influence durable sur la façon de projeter une sphère sur une surface plane. Ses cartes sont orientées vers le nord. Une carte du monde développée sur la base de sa Géographie est exposée à Autun en France à la fin de l’époque Romaine... Cet ouvrage a été perdu dans le monde Occidental jusqu'à sa redécouverte par le Byzantin Maximus Planudes, vers 1300. Il se peut que les cartes des manuscrits de la Géographie ne datent que de cette époque.
En revanche, dès le début du IXe siècle, il fait l'objet d'une traduction en arabe pour le calife Abbasside al-Mamun, et il servira de base aux travaux de ibn Khurradadhbih, Ibn Khordadbeh, Suhrab, Al Kwarizmi, Ibn Hawqal et al Idrissi.

À partir du XVe siècle, les premières reproductions sur papier imprimé font leur apparition. Le premier exemplaire de la Géographie est édité avec les cartes à Bologne en 1477, rapidement suivi par une édition Romaine de 1478. Jusqu’au XVIe siècle, cet ouvrage a servi de guide à tous les voyageurs qui, à chaque découverte, croyaient reconnaître quelque contrée déjà indiquée par celui-ci.

Le traité de Ptolémée sur l’astrologie, le Tetrabiblos (tetra signifie en grec « quatre » et biblos « livre »), est l’ouvrage astrologique le plus célèbre de l’Antiquité mais qui n’atteint pas le statut de l’Almageste. Il exerce une grande influence dans l’étude des corps célestes dans la sphère sublunaire. Ainsi, il fournit des explications sur les effets astrologiques des planètes, en fonction de leurs réactions : Chauffant, rafraîchissant, mouillant, et séchant. Celui-ci traite en particulier de l’astrologie horoscopique en 4 livres qui consiste en une interprétation thématique à l’aide de l’érection d’une carte basée sur un tableau déterminant l’emplacement des sept planètes (Soleil compris) connues de l’époque à un moment donné.

Ptolémée estime que l’astrologie est comme la médecine qui est hypothétique en raison de nombreux facteurs variables à prendre en compte. Ces facteurs sont pour lui principalement, la race, le pays et l’éducation qui doivent affecter une personne au même titre que la position des planètes dans le ciel au moment de la naissance.
À la différence de Vettius Valens, il semble aujourd’hui que Ptolémée, surtout connu pour son traité sur l’astronomie, est un compilateur (un théoricien) en astrologie.
Il convient de remarquer qu'il n'y a, chez Ptolémée, aucune confusion entre astronomie et astrologie : Tout ce qui concerne cette dernière discipline est contenu dans le Tetrabiblos, pas une ligne à ce sujet dans l'Almageste
Ptolémée a également écrit les Harmoniques, un traité de musicologie de référence sur la théorie et les principes mathématiques de la musique. Après une critique des approches de ses prédécesseurs, Ptolémée y plaide pour baser des intervalles musicaux sur des proportions mathématiques (contrairement aux partisans d’Aristoxène) soutenus par observation empirique (contrairement à l’approche purement théorique de l’École pythagoricienne).
Il a présenté ses propres divisions du tétracorde et de l’octave, qu’il a dérivés avec l’aide d’un monocorde. L’intérêt de Ptolémée pour l’astronomie apparaît également dans une discussion sur la musique des sphères.
Les Harmoniques contribue très largement au développement de la théorie musicale au XVIe siècle.

Ptolémée a découvert un théorème qui porte son nom : Dans un quadrilatère convexe inscrit dans un cercle, le produit des diagonales est égal à la somme des produits des côtés opposés.
Dans sa Composition mathématique (Almageste), Ptolémée veut suivre la méthode rigoureuse de la géométrie et procéder par la démonstration introduite par les mathématiciens de la Grèce antique, dont le représentant essentiel est Euclide. Sa trigonométrie se fonde sur celle d'Hipparque, mais il a également connaissance de l'œuvre de Ménélaos, qui a développé la trigonométrie sphérique et qu'il cite dans l'Almageste
Dans l’Optique, Ptolémée traite des propriétés de la lumière, notamment de la réflexion, de la réfraction et de la couleur, ainsi que d'une théorie de la vision, fondée sur une combinaison des propriétés des objets observés, de la lumière et d'un « flux visuel » (visus dans le texte latin) issu des yeux. Ce travail est une partie importante de l’histoire de l’optique, mais il nous est parvenu par l'intermédiaire d'une traduction latine réalisée par l'émir Eugène de Sicile vers 1150, elle-même issue d'une traduction arabe assez imparfaite et incomplète.
En cette matière comme dans les autres, Ptolémée dispose d'apports antérieurs. Certains éléments d'optique sont présents chez Euclide, Archimède et Héron d'Alexandrie, mais les sources précises de Ptolémée sont discutées. La rédaction de l’Optique est postérieure à l'Almageste, comme l'attestent en particulier certains progrès réalisés par Ptolémée dans l'intervalle. Ainsi, l’Optique expose le phénomène de réfraction atmosphérique qui se produit lors de l'observation du soleil ou de la lune, phénomène totalement ignoré dans l'Almageste.

La conception du monde et de l’univers est pour Ptolémée basée sur le géocentrisme. Avant la naissance de Copernic et sa théorie héliocentrique du monde (la Terre tournant autour du Soleil), l’astronome est persuadé que la Terre, créée par Dieu pour les hommes, est le centre fixe et immobile du monde … C’est ce qu’on appelle le géocentrisme. Pourtant, avant Ptolémée déjà, Aristarque (-310 / -230) a supposé que la Terre tourne sur elle-même et autour du Soleil, mais ses idées font considérées comme impures et donc rejetées.
Ptolémée part du principe que le cercle est le fondement de l’univers car il c'est une figure parfaite et divine. L’univers est alors une série de sphères s’imbriquant les unes dans les autres (telles des poupées russes), une sphère extérieure contenant les étoiles et une série de sphères à l’intérieur contenant les planètes, le Soleil et en fin la Terre au centre. Toutes ces sphères se meuvent à une vitesse constante.

Toutes les planètes tournent autour d’un centre situé dans la sphère, lui-même tournant autour d’un cercle imaginaire appelé « déférent ». Le déférent a été inventé car le système de Ptolémée n’explique pas toujours les mouvements de la Lune et des planètes. En fait, l’orbite d’une planète n’est pas un cercle parfait, mais une ellipse de forme ovale. Le déférent sert à compenser ce mouvement non régulier.
En conséquence, même la Terre qui est sensée être fixe et immobile au centre du monde devient légèrement en décalage par rapport au « nouveau » centre du monde représenté par le centre de ce déférent sur lequel doit évoluer notre planète. C’est le point « équant ».

Ptolémée se met alors à déduire par calculs les tailles des épicycles des planètes et des déférents, avec plus ou moins d’approximations … Calculs qui ne permettent jamais d’expliquer les mouvements des planètes et d’appuyer la théorie géocentrique du monde.
C’est Kepler qui, après Copernic et sa théorie héliocentrique, découvre par déduction (voir par intuition) que les planètes évoluent sur des ellipses et non sur des cercles tournant eux même sur d’autres cercles. Cette découverte lui permet de calculer avec précision le mouvement des planètes.
Son œuvre majeure, qu’il a au préalable nommée « composition ou syntaxe mathématique » mais qui est retraduite par les traducteurs arabes, est l’Almageste (Al en arabe suivi d’un superlatif grec signifiant « le plus grand »). Ce livre expose une théorie Ptoléméenne de l’organisation du monde, ouvrage maintes fois recopié et traduit en arabe, en latin, en grec (…) et diffusé à travers tout le bassin Méditerranéen, dont l’immense influence durera 1 500 ans.
Autrefois considéré comme le plus grand astronome de l’antiquité, Ptolémée voit sa réputation se dégrader au XVIIe et XVIIIe siècle, après étude minutieuse de l’Almageste. En effet, Kepler découvre le premier combien il est difficile de concilier les résultats de Ptolémée avec les observations modernes … Ne souhaitant pas porter atteinte au « mythe Ptolémée », il suppose qu’il est arrivé de grandes perturbations dans le ciel depuis cette époque.
Mais les autres astronomes comme Halley, Lemonnier, Lalande ou Delambre accusent Ptolémée d’avoir falsifié les observations de son prédécesseur Hipparque, voire même de se les être appropriées, et d’avoir dissimulé les observations qui ne concordaient pas avec ses théories … A tort ou à raison, Ptolémée est alors descendu de son statut de plus grand astronome de l’antiquité au profit d’Hipparque.

En réalité, il a été démontré que l’Almageste est truffé d’anomalies et d’incohérences mathématiques et astronomiques auxquelles Ptolémée ne prête aucune attention ou qu’il a dissimulé volontairement.
Ptolémée pense que si l’on croit assez fort en quelque chose, on peut en ignorant le reste en démontrer l’existence. Croyance qui fait un peu froid dans le dos, et qui laisse sceptique …
On peut dire que le système de Ptolémée incarne tout à fait les qualités et les défauts de la pensée scientifique de la Grèce Antique.
D’un côté, les grecs ont créé la théorie scientifique en tentant d’expliquer la nature des choses autre que par la mythologie, c’est-à-dire fondée sur des observations précises et rigoureuses, l’astronomie est donc devenue une science mathématique. Ils ont donné à la science le visage que nous lui connaissons aujourd’hui.
D’un autre côté, la mythologie étant encore trop ancrée dans la culture, la science s’effondre dans des querelles mystiques des adeptes, ceci ajouté au rejet du monde chrétien qui est hostile à ce savoir païen. Les idées scientifiques du savoir grec sombrent dans la confusion la plus totale, engendrant une décadence de la science grecque toute entière … Rome, qui domine alors le monde, ne s’intéresse pas aux mathématiques dans un contexte scientifique, autre que militaire.
Heureusement, les manuscrits des savants Grecs seront conservés et recopiés par des moines dès le VIe siècle, ainsi que par les astronomes arabes qui recueilleront l’héritage du monde Grecque. L’apport des savants Grecs n’est donc pas perdu.

Claude Ptolémée — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Ptolémée
Ptolémée d'après une gravure allemande du XVI siècle. Données clés. Naissance, Vers 90 · Haute-Égypte, province romaine d'Égypte (actuelle Égypte). Décès, 168 ... ont en effet comme point de départ le premier jour du calendrier égyptien de la première année du règne de Nabonassar, c'est-à-dire le 26 février 747 av.

Suite des commentaires de Theon sur les tables astronomiques de Ptolemee
https://books.google.fr/books?id=jsSu3VsWCsIC
Claude Ptolémée - 1825
pour fixer le jour de la célébration de la fête de Pâques en chaque année , objet ... est le point de départ pour les époques des Tables Manuelles de Ptolemée et de ... répondent aussi aux années 167, 168, 1G9, comptées du règne d'Auguste.

Biographie | Claudius Ptolémée - Astronome, mathématicien et ...
www.futura-sciences.com/sciences/personnalites/astronomie-claudius-ptolemee-723/
Claudius Ptolémée est né vers l'an 90 après J-C en Haute-Egypte, il est mort vers l'an 168. Si l'on sait très peu de choses sur sa vie, son nom a traversé ...

La redécouverte de Ptolémée
expositions.bnf.fr/marine/arret/02-4.htm
... doute l'exhumation de l'œuvre du géographe grec Claude Ptolémée (90-168). ... notée la durée des jours les plus longs de l'année, lors du solstice d'été.


















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