jeudi 26 janvier 2017

EN REMONTANT LE TEMPS... 158

28 NOVEMBRE 2016

Cette page concerne l'année 158 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LE SOLEIL INVAINCU DIEU A ROME.

Le problème posé par Sol Invictus est bien connu, mais il a toujours laissé place à des interprétations divergentes, il nécessite encore, une mise au point en partant d'éléments concrets. La plupart des études faites jusqu'ici aboutissent à une constatation qui paraît d'évidence : Sol (le soleil) aurait connu deux moments forts au cours du IIIe siècle, sous Héliogabal, et, sous Aurélien. Même si, à 50 ans d'écart, les formes extérieures ne sont plus tout à fait semblables, il faut cependant tenter d'expliquer non seulement l'échec de l'un, mais aussi comment la transmission s'est faite de l'un à l'autre et ce qui a permis le succès. Pour arriver à cette compréhension il faut porter son attention sur ce qui s'est passé avant Héliogabal et entre la tentative de ce dernier et celle d'Aurélien, il n'y a pas eu phénomène de génération spontanée. Chaque élément fait partie d'un ensemble que seule la longue durée peut éclairer, en effet la volonté personnelle d'un empereur ne peut être suffisante et le succès est la marque d'une évolution des esprits qu'il faut prendre en compte même si, sur ce plan, lés éléments dont nous disposons sont minces.

Le dieu Sol est connu depuis longtemps à Rome et en Italie, il est déjà présent dans le calendrier archaïque... Titus Tatius a instauré son culte en tant que régulateur des saisons et des mois.
Le 11 décembre est la fête de Sol Indiges.
En outre Varron présente le culte du soleil comme un culte gentilice des Aurelii avec son lieu sacré, le pulvinar Solis sur le Quirinal.
On peut aussi noter l'existence de sacerdotes Solis et Lunae à Ostie, au Ier siècle, il n'est pas inconnu à Rome même alors.
Mais il est évident que le Sol du IIIe siècle n'est plus le même ne serait-ce que par la rupture avec la Lune. Plus encore, le IIIe siècle est celui de la proclamation officielle du rôle éminent de Sol. On doit le placer dans le cadre officiel qui lui est alors donné et, de ce fait, les séries monétaires peuvent nous permettre de définir le rôle assigné à Sol.

Au Ier siècle et au début du IIe. l'image du soleil n'apparaît que de façon tout à fait épisodique. Il s'agit toujours, à ce moment, de la représentation de la tête ou du buste de Sol radié, sans légende... C'est le cas sous Auguste, sous Vespasien, Trajan et Hadrien.
La première émission, formée de deniers, porte, à l'avers, le nom du monétaire L. Aquilius Florus, en 18 av. J.-C.
Le premier denier porte au revers l'inscription CAESAR AVGVSTVS et la représentation d'un quadrige et d'épis de blé.
Le second, avec la légende SIGN REC et la représentation d'un Parthe à genoux face à une enseigne légionnaire fait allusion à la remise à Auguste des enseignes prises par les Parthes à Crassus, c'est un des épisodes importants du principat d'Auguste et il est évident ici que s'établit une liaison précise entre Sol et l'Orient.

L'émission suivante, sous Vespasien, est un denier des années 69/71. Il présente, à l'avers, la tête de Sol de face et au revers la représentation de Vespasien, la main droite levée, tenant une lance et avec la simple légende VESPA- SIANVS.
Il s'agit de la reprise d'une monnaie des premiers temps augustéens, de L. Mussidius Longus, se rapportant à la bataille d'Actium, c'est-à-dire à une victoire remportée sur l'Orient.
Vespasien rappelle par cette monnaie ses propres succès dans ses campagnes Orientales et les relie étroitement aux victoires d'Auguste qui ont légitimé son pouvoir. Trajan, parmi les monnaies de restauration qu'il fait frapper à partir de 107 laisse une place à un denier portant à l'avers la tête de Sol radiée et au revers un croissant et sept étoiles à la légende L. LVCRETI TRIO. Ce choix, au milieu de bien d'autres monnaies restituées, n'a peut-être pas de signification particulière. Il n'en est pas de même des émissions d'aureii et de deniers réalisées dans les dernières années du principat, entre 114 et 117. Sol est représenté en buste, radié, et la légende du revers, sur la plupart des monnaies, est PARTHICO PMTR Ρ COS VI PP SPQR Sol symbolise une fois de plus l'Orient vaincu par Rome.
Le thème est repris sur un aureus de 117 où le revers porte la légende explicite ORIENS.

Au tout début de son principat Hadrien reprend cette même frappe sur des émissions d'aurei, en 118 comme pour affirmer que la politique suivie en Orient se place dans la même ligne que celle de Trajan. Cette frappe est reprise en 123, sur des aureii, mais sans légende particulière, peut-être s'agit- il d'une émission orientale ?
Enfin, entre 125 et 128, un dupondius est frappé avec le buste de Sol radié et drapé, sans la mention de l'Orient. Sol connaît alors une grande éclipse puisque, sous les derniers Antonins, il n'est possible de noter qu'une émission d'aureii, en 185, sous Commode, sans légende. Certains voient Sol accompagnant Faustine l'Ancienne sur des aureii, ce n'est qu'une hypothèse. Nous pouvons dire que, dans cette première période, les apparitions de Sol sur les monnaies correspondent presque toujours à des campagnes militaires Orientales victorieuses, la divinité symbolise l'Orient vaincu intégrant le monde Romain. Mais il est tout aussi évident que Sol tient une place limitée dans les préoccupations impériales.

Cette impression change profondément dès l'avènement de Septime Sévère, l'inflexion donnée alors est importante. Il faut même parler dans ce domaine d'une inflexion décisive. Il suffit déjà de remarquer l'abondance des émissions avec Sol, dans tous les métaux. De plus ces émissions présentent des innovations fondamentales dans la représentation de la divinité : Sol sur un quadrige. D'autres monnaies présentent Sol debout, radié, levant la main droite. Pour la plupart ces monnaies ont été émises en 197/198, une seule a été émise en 208.
Une série de deniers, difficiles à dater entre 202 et 210, montre Sol debout, tenant un globe et une lance transversale, cette série porte maintenant une légende nouvelle, très claire, RECTOR ORBIS.
Des monnaies de Caracalla, du vivant de son père avec qui il partage le pouvoir en tant qu'Auguste, reprennent ces thèmes et représentations, sauf le quadrige, avec le globe et la lance, avec le globe et un sceptre. La légende RECTOR ORBIS existe sur des monnaies où l'on peut voir Sol tenir globe et lance ou globe et sceptre.
C'est ainsi que Sol est passé au rang de divinité qui dirige le monde, elle n'est pas la seule, mais elle prend rang parmi les divinités les plus importantes dans la conduite, droite, du monde Romain. L'expression utilisée ici est ancienne et peut paraître banale, mais elle élargit la puissance du dieu à l'ensemble du monde... Auguste, Néron, Galba ont déjà reçu cette qualification. Ce titre est normalement étroitement lié à Jupiter comme pour Hadrien sur des aureii de 121 où le prince reçoit le globe des mains de Jupiter, il en est de même de Didius Julianus qui tient le globe et un rouleau avec la légende RECTOR ORBIS. Sol n'est pas présent dans ces deux derniers cas, mais il est clair qu'à partir de Septime Sévère cette divinité joue le même rôle que Jupiter, en tant que RECTOR ORBIS.
Jupiter et Sol occupent désormais des places parallèles dans le gouvernement du monde, Septime Sévère les a mis sur un pied d'égalité. Durant le principat de Caracalla des monnaies de 214, 215, 216 et 217, donc tous les ans, reprennent l'image de Sol avec le quadrige, ou tenant globe et lance ou globe seul ou fouet. Le fils suit précisément la ligne tracée par le père.

Ce statut nouveau de Sol en tant que « dirigeant du monde » ne lui donne pas encore la possibilité d'être un rassembleur ou un dominateur, il est d'ailleurs nécessaire de noter que le nom de la divinité n'a pas encore été utilisé sur les monnaies.
Il est cependant vrai que c'est en s'appuyant sur cette base qu'Héliogabal a pu bâtir une conception plus large et, en partie, plus personnelle, de Sol.
Il est évidemment allé plus loin que ses prédécesseurs, mais il a pris appui sur ce qu'ils a fait et a tenté de se présenter comme restant dans une même ligne. D'ailleurs des séries monétaires, dans l'argent et dans le bronze, en 219, 220 et 221, reprennent, sans légende, la représentation de Sol la main droite levée et tenant un fouet de la gauche avec, comme seule vraie nouveauté, l'apparition d'une étoile dans le champ. La tradition sévérienne est ici parfaitement respectée.

Mais l'important est dans l'apparition de revers nouveaux et très diversifiés. Ils sont en relation étroite avec la politique menée par l'empereur, c'est-à-dire faire jouer à son propre dieu Héliogabal, à Rome, sous le nom bien connu de Sol, un rôle primordial, sinon exclusif. Ces revers nouveaux sont frappés dans tous les métaux, donc très répandus. Il y a la représentation d'un quadrige portant la pierre noire conique d'Emèse sur laquelle se trouve un aigle et qui est surmontée de quatre parasols avec la légende SANCT DEO SOLI ELAGABAL. Le nom de SOL est présent pour la première fois sur une série monétaire, une étape supplémentaire est ainsi franchie. Sur d'autres monnaies où se trouve la représentation habituelle de Sol debout, levant la main droite, apparaît la légende nouvelle SOLI PROPVGNATORI.
D'autres monnaies associent étroitement Héliogabal au dieu dont il est le grand-prêtre, l'empereur debout sacrifie sur un trépied ou sur un autel, une étoile est présente dans le champ, les légendes sont alors tout à fait nouvelles et significatives des liens entre Héliogabal et SOL : SVMMVS SACERDOS AVG, SACERD DEI SOLIS ELAGABAL, INVICTVS SACERDOS AVG. Nous pouvons remarquer que sur ces dernières séries le terme INVICTVS apparaît pour la première fois, attaché, dans un même mouvement, à l'empereur et à la divinité.
Héliogabal a incontestablement élargi le champ de Sol plutôt qu'il n'a importé un dieu totalement nouveau. Pour l'empereur, probablement, le Soleil représente la manifestation la plus haute et la plus claire du dieu suprême, pourquoi ne peut-il être accepté ainsi par des Romains qui le connaissent déjà ? Pourquoi ne peut-il pas représenter Jupiter lui-même puisqu'ils sont, l'un et l'autre, RECTOR OPvBIS ? Peu soucieux des habitudes romaines, Héliogabal ne peut conduire cet essai qu'à l'échec. Mais, étant donné la présence ancienne et acceptée de Sol à Rome, cet échec peut ne pas être définitif, particulièrement dans le climat spécifique du IIIe siècle.

Après une courte éclipse sous Maximin le Thrace la divinité retrouve sa place sous la forme désormais classique, avec globe et sans légende, sous Gordien III. Mais apparaît aussi une légende nouvelle dans son association avec le Soleil représenté de la même façon, AETERNITAS AVG, elle établit un lien inexistant jusqu'ici entre Sol et l’Éternité. Ce pas est essentiel puisqu'il fait de Sol non plus seulement le « dirigeant du monde », mais le garant de l’Éternité de la Ville qui est une des plus anciennes notions sous-tendant l'existence même de Rome et du monde Romain.
L'expression officielle de l'Éternité apparaît dès Tibère, sous Claude et sous Néron. C'est sous Vespasien que sont frappées les monnaies portant la légende AETERNITAS et créant la personnalisation féminine de l’Éternité tenant les têtes du Soleil et de la Lune ou sous la forme AETERNITAS P(opuli) R(omani) et la représentation de la Victoire et de Vespasien lui-même.
L'Éternité peut aussi porter corne d'abondance et sceptre sous Titus.
Sous le principat de Gordien III Sol est devenu un des garants de l'Éternité de Rome, de sa grandeur, de sa puissance. Il est déjà possible de parler d'une banalisation de Sol dans un nouveau rôle, plus important, plus impliqué dans l'histoire de Rome qu'auparavant.
Tout cela est bien marqué par les séries avec AETERNITAS qui sont frappées sous Philippe, pour l'empereur, pour l'impératrice et pour leur fils et héritier désigné.

Le règne conjoint de Valérien et de Gallien voit une très grande abondance de ces séries avec AETERNITAS, elles sont émises presque chaque année et continuent à l'être lorsque Gallien est seul empereur. Cette grande banalisation de Sol peut aussi être soulignée par les émissions reprenant la légende ORIENS AVG. Plus significative encore, sous le règne de Gallien seul, après 260, la réapparition du nom de SOL dans les légendes, sous la forme SOLI INVICTO (ou INVICTO seul, mais qui sous-entend SOLI) avec la représentation classique.
C'est l'affirmation du lien étroit qui existe entre la divinité et l'empereur, Sol protège le prince et l'ensemble de sa famille, il l'accompagne et le conseille. Deux nouvelles légendes sont utilisées SOLI CONS AVG et SOLI COMTI AVG. On peut y voir un élément nouveau, l'image de Pégase jaillissant dans le ciel ou de Pégase au galop, ce dernier peut être considéré comme celui qui établit ce lien entre l'empereur et la divinité qui, d'habitude, est Jupiter et qui est ici SOL. Le terme CONS(ervator) revêt ici une particulière importance, en effet ce qualificatif est très anciennement attaché à Rome à Jupiter, le dieu qui assure la conservation de ce qui existe, Rome, sa domination sur le monde, l'empereur dans sa charge en le sauvant des ennemis intérieurs et extérieurs. Maintenant SOL est considéré comme réalisant les mêmes actions bénéfiques que Jupiter, il lui est parfaitement assimilé.
Cette assimilation acceptée doit faire considérer le principat de Gallien comme l'étape fondamentale et décisive pour le succès de SOL, pour sa prise d'influence, pour sa montée en puissance dans le monde des dieux. Tous les ateliers, à cette époque, à quelques nuances près, frappent ces monnaies dans tous les métaux. Gallien est l'empereur qui a fait franchir à SOL le pas essentiel.

Comme Jupiter, Sol est associé à la Victoire, donne la Victoire et, par là même, légitime le pouvoir de l'empereur. Il est normal, dans ces conditions, que la légende RESTITVTOR ORIENTIS soit utilisée avec Sol. D'ailleurs, là aussi comme Jupiter, Sol donne le pouvoir, avec les légendes SOLI CONSERVATORI ou CONSERVAT AVG, il est représenté donnant le globe à l'empereur. L'ambiance des principats précédents n'a pas changé, l'empereur doit son pouvoir aux dieux, mais maintenant Sol est devenu la divinité principale.

Vers la fin du règne l'officialisation du culte de Sol, au centre de Rome, dans son nouveau temple a permis la frappe de monnaies où la légende utilisée est encore plus significative : SOL DOM (ou DOMINVS) IMPERI ROMANI.
Par cette « maîtrise du monde romain » attribuée au Soleil Aurélien couronne l'approche de ses prédécesseurs, surtout celle de Gallien. Le Soleil est le seul vrai protecteur de l'Empire et tout le monde l'admet. S'il n'y a pas eu cette lente et progressive maturation Aurélien n'aurait pas pu mener à bien sa politique religieuse. Sol est maintenant accepté et adopté comme divinité suprême, ce qu'avait déjà voulu Héliogabal.

Il est certain que, dans l'histoire de Sol, les deux grands épisodes d'Héliogabal et d'Aurélien ne doivent pas être séparés de leur temps et des évolutions qui se sont produites. Leur action, à l'un comme à l'autre, découle du contexte dans lequel ils vivent. De ce fait plusieurs explications peuvent, probablement, être écartées. Ainsi que, pour l'un comme pour l'autre, il s'agit d'affirmer un pouvoir de caractère despotique, à l'Orientale pour Héliogabal, au caractère théocratique pour Aurélien, ce dernier n'a pas inventé la dominatio. Il faut aussi écarter l'idée qu'Aurélien a « découvert » Sol.
On peut d'ailleurs douter fortement de l'influence de sa terre natale et de sa mère, prêtresse du Soleil à Sirmium. Il ne faut pas non plus croire que la prudence d'Aurélien lui a permis le succès là où Héliogabal n'a été que maladresses.

Les raisons sont certainement plus profondes si on admet que le succès de l'initiative d'Aurélien découle directement de l'importance donnée à Sol par Gordien III et surtout par Gallien. Sol symbolise l'Orient et la Victoire de Rome sur ces régions. Il est normal que le vainqueur accueille le dieu des vaincus et en fasse un dieu protecteur de Rome puisque l'Orient est considéré comme partie intégrante de l'Empire. En permettant la victoire Romaine, Sol a choisi son camp, il est normal de l'introduire. De plus, durant cette période politiquement et militairement difficile, chaque empereur a besoin de s'appuyer sur l'unité politique et, surtout, morale de l'empire face aux dangers qui le menacent. Cette unité peut se démontrer dans la religion, une divinité ne peut-elle pas cristalliser cette unité recherchée ? Pourquoi ne pas choisir une divinité qui a accepté d'intégrer le monde Romain et qui, pour beaucoup déjà, rassemble en elle toutes les vertus des autres divinités ? Sol peut jouer ce rôle.

On ne peut oublier que le Soleil est, pour beaucoup de philosophes et de rhéteurs, le parfait rassembleur. Dès le début du IIe siècle, face à des Romains, Dion Chrysostome a pu ainsi présenter le Soleil dans son IIIe Discours Sur la Royauté :
« Tu vois le soleil, combien il l'emporte sur les hommes en félicité, lui qui est un dieu et comme il ne refuse pas, à travers les âges, de nous assister et de tout faire pour notre sauvegarde... Il ramène l'été au fur et à mesure qu'il approche plus près de notre lieu d'habitation, afin de tout faire pousser, de tout nourrir, de tout mener à maturité, et de procurer aux hommes une divine allégresse et une fabuleuse réjouissance... Là où un dieu, le meilleur et le plus visible de tous, ne dédaigne pas de veiller constamment sur les hommes, est-ce qu'il convient qu'un homme, aimé des dieux et sage, se sente accablé par un devoir semblable, ou qu'au contraire, dans la mesure du possible, il imite la force du dieu et son dévouement ? »

Beaucoup d'esprits sont préparés. Encore ne faut-il pas négliger le vieux fond Romain. Contrairement à Héliogabal, Gordien III, Gallien, Aurélien s'y sont employés avec succès en faisant de Sol le garant de la conservation et de l’Éternité de Rome.


Sol Invictus : des Sévères à la tetrarchie d'après les monnaies - Persée
www.persee.fr/doc/ccgg_1016-9008_2000_num_11_1_1537
de JP Martin - ‎2000 - ‎Cité 3 fois - ‎Autres articles
Le problème posé par Sol Invictus est bien connu, mais il a toujours laissé place à des interprétations divergentes ; il nécessite encore, peut-être, ... L'émission suivante, sous Vespasien, est un denier des années 69/716. ..... 158, n° 492 ; p.

Sol Invictus (religion) — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sol_Invictus_(religion)
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