15
NOVEMBRE 2016...
Cette
page concerne l'année 171 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
VEILLEITE GUERRIÈRE DES MAURES.

Selon
Salluste, les Maures font partie de l'armée d'Hercule venue
d'Espagne, composée de Perses, d'Arméniens, et de Mèdes. Ils se
mêlent aux populations autochtones Gétules (Zénètes) Berbères du
Maghreb actuel, s'installant dans les montagnes au Maroc, dans les
Aurès en Algérie et en Libye. La majorité de la population des
Aurès est composée de Gétules (Zénètes).
Le
terme Maures est introduit par l'historien Romain Procope et par
Saint Augustin pour désigner la population des Aurès non romanisée,
et, les populations indigènes qui se soulèvent contre Rome.
Coripus
désigne les populations qui se soulèvent contre Rome pendant le
règne de Justinien vers le Ve siècle sous le vocable
d'Ifuraces. A contrario, les autochtones qui sont favorables au
régime Romain sont désignés par le terme « Afris ».
Les Banou Ifren ou Ait Ifren sont les Afris, et ils appartiennent aux
Zénètes, anciennement appelés Gétules.
Au
Moyen Âge, le terme latin « Mauri » passe en français
sous la forme « maure », mais aussi en espagnol sous la
forme « Moros » et en breton sous la forme « Morianed »
pour désigner les Berbères, mais aussi les Arabes à l'origine de
la conquête de la péninsule Ibérique au VIIIe siècle.
Selon
Joseph Pérez, « parmi les envahisseurs de 711, les Arabes
proprement dits sont une infime minorité [...] la majorité étant
formée de Berbères. [...] C'est pourquoi les Espagnols, pour
évoquer la domination musulmane, préfèrent parler de Maures,
c'est-à-dire de Maghrébins. »
Peuple
de cavaliers, les Maures offrent indifféremment leurs services tant
aux Carthaginois qu'aux Romains lors des guerres Puniques.
Jugurtha,
ayant pris pour femme la fille de leur roi, bénéficie quelque temps
de leur appui, mais est livré à ses ennemis aussitôt qu'il leur
demande asile.

Engagés
aux côtés des forces Romaines, des Maures contribuent à établir
la Pax Romana en Gaule et établissent des colonies.
Dans
la péninsule Armoricaine, des soldats Maures sont cantonnés, au
territoire des Vénètes et des Osismes, d'où le nom de « Mauri
Veneti » et de « Mauri osismiaci » que leur donne
la Notitia Dignitatum... Plusieurs noms de localités, comme
« Mortaigne » ou « Mortagne », tant en France
qu'en Belgique, semblent dérivés de « Mauretania »,
mais une autre interprétation y voit l'invocation d'une eau morte
(par opposition à eau vive).
La
Maurétanie fournit aussi à l'Empire Romain, plusieurs généraux
tels Gildon, qui se rebelle ensuite contre Rome, et surtout Lusius
Quietus que Trajan a songé (selon certains auteurs) à choisir pour
successeur... Quietus et sa cavalerie Maure sont immortalisés sur la
colonne Trajane à Rome. La Maurétanie donne même à Rome un
empereur éphémère, Macrin.
Partiellement
romanisés puis christianisés dès le IIIe siècle, les Maures
sont partiellement séduits par le schisme donatiste. Aux
persécutions païennes succédant les persécutions chrétiennes
quand l'empire érige le christianisme en religion d'État.
La
province Romaine de Bétique (Hispania Baetica) couvre le sud de
l'Espagne, et correspond à peu près à l’actuelle Andalousie.
Elle est issue de l'ancienne Hispanie ultérieure, et tire son nom du
Baetis, nom latin du fleuve Guadalquivir.
D'après
l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert, le géographe Strabon
affirme que cette province est peuplée par les Turdetani et les
Turdules, sans préciser quelles sont leurs différences.
C’est
une province sénatoriale administrée par un ancien préteur, dont
la capitale est Corduba (Cordoue).
Cette
province est prospère, grâce à son agriculture, à la facilité de
navigation sur le Baetis ou Betis, ancien nom du fleuve Guadalquivir
et surtout ses ports facilement aménageables, ainsi qu'à ses mines
de plomb et d’argent de la Sierra Morena et du Rio Tinto.

La
présence Romaine y est ancienne, et la romanisation profonde se
manifeste par ses nombreuses villes (175, dont 9 colonies, du temps
de Pline) dont la plupart existent encore aujourd'hui :
Les
4 sièges de juridiction :
Corduba
(Cordoue), berceau des Annaei, famille des Sénèques et de Lucain,
capitale de la province Bétique.
Gadès
(Cadix), ancien port Carthaginois et cité de droit romain depuis
Jules César, patrie de Columelle
Hispalis
(Séville)
Astigi
(Écija)
Italica
(Santiponce), fondée par des immigrants Italiens, et d’où sont
originaires les empereurs Trajan et Hadrien
Les
colonies de Urso, Tucci
Bilbilis,
patrie de Martial
Au
Ier siècle, Vespasien accorde le droit latin à tous les
municipes d’Espagne et crée une assemblée provinciale pour la
Bétique qui se réunit une fois par an pour célébrer le culte
impérial et discuter l’administration de la province.
La
Bétique reste en marge de troubles politiques et des menaces
Barbares qui touchent l’Empire Romain à partir de 161, sauf vers
180, lorsque des Maures révoltés traversent le détroit de
Gibraltar, et ravagent la province dépourvue de troupes en tant que
province sénatoriale. Le légat Aufidius Victorinus rétablit la
situation.
Dès
l'Antiquité, les historiens qui ont raconté le règne de Marc-
Aurèle se sont plus attachés aux événements qui se déroulent sur
les frontières du Danube ou d'Orient qu'à ceux d'Extrême-
Occident. Aucun témoignage officiel, monument ou monnaie, n'en garde
non plus le souvenir, les guerres Parthique et Germanique ayant
rejeté dans l'ombre pour le gouvernement impérial lui aussi les
escarmouches qui se déroulent contre les peuplades Maures. Pourtant,
ces hostilités sont loin d'être sans importance, soit par l'ampleur
qu'elles prennent un moment, soit par la lueur qu'elles projettent
sur l'histoire de la domination Romaine en Tingitane.
Les
sources sont fort maigres : Elles consistent en trois passages de l'
Histoire Auguste et quelques inscriptions. Celles-ci, rappelant la
carrière de fonctionnaires qui prennent part à la guerre, nous
donnent quelques points de repère chronologiques et permettent de
rattacher les événements de Maurétanie à l'histoire générale de
l'Empire à cette époque.
«
Quum Mauri Hispanias prope omnes vastarent, res per legatos bene
gestae sunt », lit-on au chapitre XXI de la Vita Marci.

Il
semble donc logique de conclure que les provinces menacées sont les
2 premières. Il n'en est pas ainsi, car, l'empereur, jugeant la
situation sérieuse, retire la province de Bétique au Sénat et la
fait administrer par un légat.
A
quelle date convient-il de placer cette guerre ? L'historien latin ne
s'astreint malheureusement pas à suivre un ordre chronologique
rigoureux, ce qui, dans ces années troublées, serait parfois
impossible. Il nous donne quand même un certain nombre de repères :
c'est ainsi qu'il énumère ces événements après la mort de Lucius
Verus, à peu près dans le même temps que la répression de la
révolte des Bucolici, peuplade Egyptienne proche du Delta, peu avant
la mort du second fils de Marc-Aurèle et le départ de l'empereur
pour la guerre contre les Quades et les Marcomans.
Or,
la mort de Lucius Verus survient au début de 169. La révolte des
Bucolici est réduite par Avidius Cassius vers 172-173, en tout cas
avant son retour en Syrie et sa propre révolte du début de 175.
Enfin,
le départ de Marc-Aurèle pour la frontière danubienne a été
décidé dès 173.
Ces
présomptions sont confirmées par une brève notice qui est donnée
dans la biographie de Septime-Sévère. Dans un passage, il est vrai
fort obscur, elle nous apprend que, nommé questeur, il obtient par
le sort la Bétique, puis se rend en Afrique après la mort de son
père pour mettre en ordre ses affaires domestiques. « Sed dum in
Africa est, pro Baetica ei Sardinia attributa est, quod Baeticam
Mauri populabantur. » Or, la carrière de Septime- Sévère avant
son accession à l'Empire s'établit à peu près ainsi.
Né
en 146
Il
est nommé préteur par Marc-Aurèle à 32 ans, donc en 178
Il
a été tribun de la plèbe 2 ans avant, en 176, légat du proconsul
d'Afrique en 175 ou 174.
Questeur,
enfin, en 174 ou 173.
C'est
donc en 172 qu'il a appris sa mutation de Bétique en Sardaigne,
parce que la province soumise désormais à un légat propréteur ne
comporte plus de questeur, mais un procurateur.

Que
ce soldat ait appartenu à la flotte, comme le veut Premerstein, ou
qu'il ait fait partie seulement de la Cohorte Sardorum et Corsorum,
qui tient garnison dans l'île, il n'en est pas moins certain que le
gouvernement impérial considère à ce moment les hostilités comme
terminées dans la Méditerranée Occidentale. En Afrique, toutefois,
les troubles durent un peu plus longtemps : En 174, une colonne opère
encore sur les hauts plateaux du côté de Geryville, mais il n'est
pas certain que ses mouvements aient été en rapport avec
l'incursion des Maures en Espagne.
Ainsi,
en 172 ou peut-être au début de 173, les Maures ont inquiété la
province de Bétique, dont l'empereur a assumé alors le
commandement, le retirant au Sénat. Les incursions sont facilement
repoussées, puisqu'aucun autre témoignage ne garde le souvenir de
cette alerte... La tranquillité rétablie ne règne pas longtemps.
Le même Capitolin, dans le chapitre suivant, s'exprime, en effet,
ainsi : « Res in Sequanis turbatas... censura et auctoritate
repressit. Compositae in Hispania quae per Lusitaniam turbatae erant.
Filio Commodo arcessito ad limitem togam virilem dédit : quare
congiarium populo divisit et eum ante tempus consulem designavit. »
La
phrase qui nous intéresse est la seconde : Marc-Aurèle pacifie
l'Espagne, où les choses s'étaient gâtées en Lusitanie. S'agit-il
d'une révolte des Lusitaniens ou d'une invasion étrangère ? La
phrase précédente désigne sans aucun doute des troubles civils
chez les Séquanes, il n'est pas probable, en effet, que l'invasion
Germanique y ait déferlé, quoique Capitolin prétende que tous les
peuples s'agitent du limes d'Illyrie jusqu'à la Gaule.
Mais,
à y regarder de près, on s'aperçoit que, si l'expression
returbatae est identique, en revanche il y a une nuance très
sensible dans l'emploi des noms propres : In Sequanis, et in
Hispaniam per Lusitaniam, dans le premier cas, les habitants de la
cité Gauloise sont mis en cause, dans le second, il s'agit seulement
du pays la Lusitanie, en Espagne, qui est le cadre géographique dans
lequel les événements se sont déroulés. Et, justement, il se
trouve qu'à cette époque même, certainement la Bétique et
probablement la Lusitanie ont été le théâtre d'une nouvelle
incursion des Maures.
Le
texte de Capitolin nous donne quelques vagues indications
chronologiques. Aucun autre document ne rappelle les troubles chez
les Séquanes qui doivent être minimes. Mais le biographe, passant
ensuite à un autre ordre de faits qui concernent non plus les
guerres, mais l'administration intérieure de l'Empire, nous apprend
que, vers la même époque, Commode reçoit la toge virile, qu'à
cette occasion Marc-Aurèle donne un congiaire et désigne ensuite
Commode comme consul.
Or,
les monnaies de Marc- Aurèle portent pour l'année 175 l'indication
de liberalitas VII, et nous savons que Commode exerce son premier
consulat en 177. C'est un peu auparavant, vers 175, que se produit la
2e guerre en Espagne.
Cette
guerre est encore provoquée par les Maures.
Nous
connaissons, en effet, le cursus d'un grand personnage, Lucius Julius
Vehilius Gratus Julianus, qui devient plus tard préfet du prétoire
de Commode et qui y participe.

Devient
ensuite procurateur de Lusitanie et Vettonie sous Commode sans doute,
commandant de détachements dans une 3e guerre, probablement celle de
Bretagne en 182-185, successivement préfet des 2 flottes
prétoriennes, a Rationibus, préfet de l'Annone et enfin préfet du
prétoire de Commode qui le fait assassiner en 189. En admettant
qu'il ait pris part seulement à la 1ère année de la guerre
Sarmatique et la 2e année de la guerre Germanique, c'est de 172 à
178 qu'il faut placer ses commandements en Macédoine et Achaïe
contre les Costoboques et en Espagne contre les Maures.
Mais
laquelle de ces deux expéditions a précédé l'autre ? Le cursus
étant rédigé dans l'ordre inverse, la guerre d'Espagne devrait
être antérieure à la guerre d'Orient, mais, même dans un cursus
inverse, il peut arriver que deux événements groupés sous la même
rubrique soient mis dans l'ordre chronologique. Or, tel nous paraît
ici le cas.
Tout
est terminé au milieu de 173, puisqu'on congédie alors les vétérans
en Sardaigne. Mais c'est à ce moment que les choses se gâtent en
Espagne. L'escadre stationnée à Caesarea (Cherchell) a sans doute
dû partir pour couvrir la province d'Afrique et coopérer avec les
troupes de Julianus et n'est pas encore de retour, la mer est libre,
les Maures en profitent pour se jeter encore sur les Espagnes, in
Hispanias, dit l'inscription de Gratus Julianus, en Lusitanie,
spécifie l'Histoire Auguste, et en Bétique, comme le prouvent 2
inscriptions.
Les
habitants d'Italica près de Seville, en effet, dressent une statue
au procurateur Vallius Maximianus pour avoir rétabli, grâce au
massacre des ennemis, la paix dans la province de Bétique. Ceux de
Singilia Barba — près d' Antequera — font de même, « parce
qu'il a délivré leur municipe d'un long siège au cours de la
guerre contre les Maures ». Or, cette dernière inscription nous
apprend qu'il est à ce moment procurateur de 2 Augustes et la
précédente qu'il est successivement procurateur des provinces de
Macédoine, Lusitanie et Tingitane.

C'est
donc de 177 à 180 que Vallius Maximianus est procurateur de
Tingitane. Ayant sans doute fait ses preuves, il est nommé en
Lusitanie où il y a à combattre les Maures, et avec lui coopèrent
des renforts amenés d'Orient par Gratus Julianus, qui a peut-être
déjà collaboré avec lui.
Enfin,
nul ne parait mieux désigné que lui pour mettre la dernière main à
l'œuvre de pacification : Il est envoyé en Tingitane, où il
poursuit les Maures dans leurs derniers repaires. C'est probablement
comme procurateur de Lusitanie qu'il dégage les 2 villes bétiques.
Mais, comme les statues ne sont érigées en son honneur qu'après le
rétablissement de la paix, il est déjà à ce moment procurateur de
Tingitane. La guerre ne dure pas longtemps en Espagne. Gratus
Julianus a le temps d'aller prendre le commandement de la flotte du
Pont, peut-être dès 175, au moment où la révolte d'Avidius
Cassius provoque l'envoi de forces importantes en Orient. Quand
éclate en 178 la seconde guerre Germanique, il y commande des
détachements de renfort, et, comme il est peu probable que
Marc-Aurèle attende l'année 179 pour opérer ses concentrations, il
doit s'y rendre dès le début.
On
peut donc admettre que sur le théâtre espagnol les hostilités
commencent à la fin de 173 ou en 174, mais qu'en 176 elles sont
terminées, peut-être même dès 175.
Il
nous reste un dernier point à examiner : Qui sont ces Maures ?
L'agitation doit se produire presque exclusivement sur la côte Nord,
puisque c'est surtout l'Espagne qui souffre. Or, d'après Ptolémée
et l'Itinéraire d'Antonin, cette côte est habitée par 2 peuplades
: les Macaenites et les Baquates, qualifiés, ces derniers au moins,
par l'Itinéraire, de Barbares, c'est-à-dire qu'ils ne font pas
partie de l'Orbis Romanus, qu'ils sont insoumis.
Les
2 peuplades ont-elles agi ensembles, c'est possible. Si une seule a
opéré, ce sont les Baquates qui doivent occuper à peu près le Rif
actuel et qui ont à leur actif une autre opération de même espèce,
contre Cartennae, l'actuelle Ténès. Le siège qu'ils en font et qui
échoue grâce à l'énergie d'un duumvir de la ville a été placé
au milieu du IIIe siècle.

Nous
ne croyons pas que le mouvement s'étendit à d'autres tribus, le
procurateur Romain ayant négocié avec elles sans doute pour les
maintenir dans le devoir. C'est à ce travail diplomatique que fait
sans doute allusion une inscription depuis longtemps connue, où P.
Aelius Crispinus, procurateur de Tingitane sous Marc- Aurèle,
probablement antérieur à Vallius Maximianus, rappelle qu'il a une
entrevue avec des chefs de tribus : Les noms de ce ou ces principes
gentium et leur ethnique sont malheureusement tombés. Le reste des
provinces Africaines est rester en paix : En 176, on procède à la
libération de vétérans de la IIIe légion, on peut envoyer des
détachements en renforts sur le Danube, pour la 2e guerre
Germanique, et des cavaliers Maures paraissent alors en Bretagne.
C'est peut-être à la victoire et à la paix qui suit que fait
allusion un fragment d'inscription en lettres trouvé à Volubilis.
La
cause de ces mouvements nous échappe. La plus probable est qu'une
succession de mauvaises récoltes a provoqué la disette ou qu'une
sécheresse prolongée a privé les troupeaux de pâturages : Il ne
reste plus aux tribus d'autre moyen de subsistance que le pillage.
Quant
à leurs résultats, il ne faut ni les exagérer ni les minimiser.
Ils ne semblent pas avoir causé grand dommage en Bétique, peut-être
est-ce à ce raid qu'il faut attribuer la présence d'un détachement
de la VIIe Gemina à Italica ? Ils n'ont pas non plus ébranlé
sérieusement la domination Romaine en Maurétanie Tingitane, puisque
le loyalisme de la province n'a pas été atteint. A elles seules,
les tribus insoumises du Rif, pas plus que celles de l'Atlas, ne
peuvent aboutir à grand-chose, sinon à énerver temporairement la
défense.
Ce
qui est grave, c'est que les Maures ont profité, pour se jeter sur
une province dépourvue de garnison importante, du moment où la
flotte Romaine ne doit plus faire la police de la mer et où l'armée
occupée en Orient et sur le Danube ne leur a pas paru en état
d'entreprendre contre eux une expédition punitive.

Les
incursions des Maures en Bétique sous le règne de Marc-Aurèle ...
www.persee.fr/doc/rea_0035-2004_1939_num_41_1_3018
de
R Thouvenot - 1939 - Cité 14 fois - Autres articles
Les
incursions des Maures en Bétique sous le règne de Marc-Aurèle ....
(ou neuf mois), c'est-à-dire, s'il est bien né en décembre 117, en
l'année 171. .... nous pencherions pour les Baquates qui devaient
occuper à peu près le Rif ... Ils ne semblent pas avoir causé
grand dommage en Bétique ; peut-être est-ce à ce raid qu'il ...
Le
passage des Maures en Bétique au IIe siècle ap. J.-C - Persée
www.persee.fr/doc/antaf_0066-4871_2001_num_37_1_1337
de
EH Rahmoune - 2001 - Cité 4 fois - Autres articles
[link];
Datation des passages des Maures en Bétique[link];
Motivations[link]; Itinéraires[link] ... Par ailleurs, pendant les
années soixante-dix, pour la classe d'observation, ..... Ils
affirment que se sont les tribus du Rif, les Baquates et les Mazices,
qui ... cité d'Italica a subi de nouveaux raids maures, en se basant
sur la dédicace ...
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