Cette
page concerne l'année 1080 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
Charlot,
fils de l'empereur.
LA LÉGENDE D'OGIER LE DANOIS...
OGIER LE DANOIS |
Les illustres fugitifs prennent le chemin de l'Italie. Dans le même temps, le vieux Hunauld, souverain dépossédé de l'Aquitaine promettant d'achever pieusement ses jours auprès du tombeau de Saint Pierre, sort de Rome à cheval et vient à la cour de Didier ou Desier, roi des Lombards rejoindre Ogier, et, les enfants de Carloman... Didier accueille à Pavie tous ces ennemis du roi des Francs, et la protection dont il semble vouloir les couvrir devient l'origine de la guerre Lombarde qui permet à Charlemagne de coiffer la couronne de fer.
Anastase le bibliothécaire suivi par Sigebert a surtout exposé les faits avec précision et clarté, Éginhard en a révélé les causes :
« Carloman, » dit Sigebert, « frère du roi Charles meurt, sa part de royaume est réunie à celle de Charles... Sa femme, avec « ses fils et le Franc Autharius, se réfugie chez Didier, roi d'Italie. « Hunauld, duc d'Aquitaine, se rend à Rome comme pour y demeurer, mais en se réfugiant chez les Lombards, il devient apostat et fait bientôt une méchante fin, (écrasé sous des pierres) »
D'après Éginhard : « Entre les deux frères, l'union est souvent compromise, un grand nombre des « preux » de Carloman cherchant à les brouiller, quelques-uns même ne reculant pas devant la perspective d'une guerre déclarée... Cependant la suite des événements fait penser qu'il y a plus de fondement dans les soupçons que de réalité dans le danger... Carloman meurt, sa femme et ses deux fils accompagnés de plusieurs hommes entre les plus renommés fidèles de Carloman, se réfugient en Italie, « ainsi, méprisant l'autorité du frère de son mari, cette princesse, « sans aucun motif réel , se met sous la tutelle du roi des Lombards. »
Il est permis de contester la bonne foi d'Éginhard dans les dernières lignes de ce passage... Carloman se défie depuis longtemps de l'ambition de son frère, admettons que ses craintes soient mal fondées, mais l'empressement de Charlemagne à se rendre à Samoucy, puis à Corbeni, pour y recevoir le serment des vassaux de Carloman, ainsi que le silence absolu qu'il garde sur les droits incontestables de ses neveux, enfin, la guerre immédiate commençons, en Italie non par le duc Hunauld ou par le roi Didier, mais par lui, récent usurpateur des États de son frère, tout paraît justifier le parti violent pris par la reine dès son veuvage. D'ailleurs Carloman, sur son lit de mort, a prié Girberte de s'occuper avant tout de la sûreté de leurs enfants, du moins ce fait important nous semble-t-il assez bien établi par une charte jusqu'à présent peu remarquée, mais qui doit jeter une nouvelle lumière sur le personnage d'Ogier.
Par cette charte, Carloman, le roi des Francs, désirant paraître convenablement devant le juge suprême, cède, pour le repos de son âme et de celle de son père, à l'abbaye de Saint-Denis, les fermes de Faverolles et de Noron, dans les pays de Madrie et de Chartres, telles qu'elles ont été possédées par son vassal Ogier... « Villas.... nuncupantes Faberolas, qui ponitur in pago Madria-cense, et Noronte in pago Carnotino — , sicut a vasso nostro Audegario possessas fuerunt. »
Le principal intérêt de cette charte vient de la date à laquelle elle remonte : « Data in mense « decembri , anno quarto regni nostri ; actum Salmunciago palatio publico. » Justement dans cette année, dans ce mois et le quatrième jour de ce mois, Carloman expire dans le palais de Samoucy... Il a donc chargé le vassal Ogier de protéger la fuite de la reine, car enfin, si le duc ou marquis Ogier n'avait pas reconnu avant la mort du roi la nécessité de quitter la France, Carloman ne l'aurait pas dessaisi des bénéfices dont il venait de récompenser ses mérites. On suppose qu'Ogier n'aurait pas montré pour les princes déshérités un pareil dévouement, le lendemain du jour où leur père, lui aurait ôté ses biens et safortune...
Ogier, avant son départ pour Pavie, est donc certainement vassal de Carloman. Mais ce n'est pas dans la charte de Samoucy qu'on le cite pour la première fois ! Suivant les Annales Loiseliennes, année 760, le duc d'Aquitaine Waffarius (nommé par les compilateurs modernes Waiffre ou Waïfer, et par les chroniques de Saint-Denis Gaiffier) se voit contraint d'accepter les conditions imposées par Pépin le Bref, et de livrer pour garants de ses promesses Adalgarius et Allerius. Les Annales d'Èginhard ajoutent que ces deux personnages sont,très importants... « Duos de primoribus gentis, Adalgarium et Itherium(i). »
(Il est inutile de rappeler que le nom latinisé Adalgarius est Augier de l'ancienne langue vulgaire, de même qu'Adalaïs est pour Aalis ou Aelis, Adelar- dus pour Aalart ou Alart, Adelbertus pour Aubert, Leodegarius pour Légier, etc...) mais on ne manquera pas de nous faire une objection sur l'identité que nous prétendons établir entre Adalgarius otage de Gaiffier, et Audegarius vassal de Carloman. Cette charte apprend que c'était le fils de Hatton, qu'il fut longtemps en possession du duché d'Aquitaine, qu'il eut pour fils Wandregisile, et ce Wandregisile des descendants en ligne directe, dont tous les rameaux ne sont pas encore tranchés... D'ailleurs, il en coûte peu d'avouer que l'otage Adalgarius n'est désigné dans aucun texte historique comme le fils de Hatton, personnage lui-même fort problématique... Rétorquons qu'il n'eut jamais, comme Adalgarius d'Alaon, l'honneur d'être duc d'Aquitaine et que ses enfants, s'il en eut jamais, durent achever leur carrière dans les austérités du cloître de Saint-Faron.
La qualité d'otage, donnée par les historiens à Adalgarius, s'accorde parfaitement avec les traditions qui servent de base aux Chansons de geste d'Ogier. Ce héros de tant de poèmes est constamment représenté comme otage à la cour du roi des Francs et, sans ce point de ressemblance entre l'histoire de Gaiffier ďAquitaine et celle de la soumission de Geoffroi, roi de Danemark, qui lui est postérieure de trente années, il est difficile de dénouer les fils qui, dans les romans d'Ogier, lient à de frappants souvenirs historiques, plusieurs circonstances inexactes et mensongères... Il existe plusieurs témoignages précieux de l'origine méridionale du protecteur des enfants de Carloman. Par exemple, sur la fin de sa vie, Ogier, retiré dans l'abbaye de Saint-Faron, donne à cette maison un vaste terrain dans la ville Piémontaise de Verceil. Il a donc, longtemps après la fin de la domination Lombarde, conservé des possessions dans ces contrées. Certes, le moyen le plus naturel d'expliquer cette donation est d'admettre que le patrimoine d'Ogier est situé vers l'extrémité méridionale de la France, ou sur les Marches du Montferrat.
La destinée de ces deux otages, Itherius et Adalgarius, offre de grandes analogies. Le duc Gaiffier ayant repris les armes dès l'année suivante (761 ), leur vie seraient en danger, si de nouvelles trêves et de nouveaux traités ne les avaient pas déchargés bientôt d'une aussi redoutable responsabilité... Itherius parait être resté à la cour des Francs dès l'année 766, il souscrit les diplômes de Pépin, en qualité de notaire ou même de chancelier, cette dignité lui est conservée par Charlemagne, et, rapprochement curieux , avant de se rendre moine à Saint-Martin de Tours, comme Ogier à Saint-Faron de Meaux , Itherius est, en 769, chargé d'une mission du roi des Francs, dans le duché de Bénévent, en faveur des intérêts apostoliques.
Ogier, de son côté, remplit en Italie plusieurs missions délicates, même avant d'être l'otage de Gaiffier. Dès l'année 752, Pépin voulant attirer dans ses États le pape Étienne III, a envoie vers lui l'évêque de Metz, Rogang (le Chrodegangus des latinistes), et a chargé le duc Ogier de protéger le voyage du souverain pontife. Ogier, dont le chemin est sans doute moins long, n'attend pas l'évêque Rogang... il prend les devants, rencontre le pape sur les bords du Téssin, l'accompagne dans Pavie, le protège contre les défiances du roi Lombard et l'escorte jusqu'au monastère de Saint-Maurice de Chablais, non loin du lac de Genève. C'est là qu’Étienne est rejoint par l'un des fils de Pépin et par une foule de prélats et de vassaux, heureux et fiers de l'accompagner.
En 759, un an avant la révolte de Gaiffier, Ogier se trouve chargé de ménager un accord entre le pape Paul Ier et le nouveau roi des Lombards, Didier ou Desier (comme écrivent les anciennes poésies et les Chroniques de Saint Denis). Dans cette circonstance, il protège la marche de l'évêque de Rouen, Eemedius ou Remy, que Pépin envoie à Pavie. Ainsi, tous les témoignages s'accordent à présenter Ogier comme un personnage chargé de plus d'un rôle honorable dans les démêlés des premiers Carolingiens avec les souverains d'Aquitaine et d'Italie.
SAINT MICHEL RETENANT LA MAIN D'OGIER |
La guerre de Lombardie, qui dure plus de deux ans, place encore à plusieurs reprises le nom d'Ogier sous la plume des annalistes... On le voit essayer, avec l'appui chancelant du roi Didier, d'arrêter Charlemagne dans les gorges du Montferrat, les Lombards ayant pris la fuite, il court lui-même à la défense de Pavie, puis va s'enfermer dans Vérone avec le fils de Didier.
Charlemagne instruit de ce mouvement, se transporte lui-même devant cette place, la plus forte de la Lombardie, il y conduit un certain nombre de ses guerriers les plus braves, « cum aliquantis fortissimis Francis » et c'est alors, suivant le témoignage d'Anastase et de Sigebert, qu'Ogier, la reine Girberte et ses enfants implorent la clémence du vainqueur.
Charles les ramène sous les murs de Pavie, dont il poursuit et interrompt le siège à diverses reprises, enfin il s'en rend maître, et ne laisse plus à Didier et aux enfants de Carloman que le choix du monastère dans lequel ils terminent leurs jours.Tels sont les faits incontestables de la vie politique d'Ogier
A quelque distance de ces traces bien marquées, nous placerons le récit des historiens et des faiseurs de légendes des deux siècles suivants. Le pieux auteur de la « Conversio Otgerii militis », quoique peut-être un peu moins ancien, est sans doute bien autrement respectable que le célèbre moine de Saint-Gall auquel nous devons les « Gesta Caroli Magni », ce dernier écrit en 885... On sait qu'il accorde une aveugle confiance aux traditions populaires, malheureusement, au moment où il écrit, les poésies vulgaires ont déjà décomposé la personne historique de Charlemagne.
En célébrant tour à tour chacun de ses fameux compagnons, elles ont insensiblement dépouillé celui-là de toute la gloire dont elles recouvrent la renommée de ceux-ci. Le berceau des Chansons de geste touche à la tombe des héros qui les ont inspirées... On trouve dans les écrits du moine de Saint- Gall plusieurs passages aussi concluants, on doit se contenter de rappeler ce qu'il dit en particulier de notre héros : L'un des premiers barons, nommé Ogger, ayant encouru le ressentiment du très redoutable empereur, s'est retiré près du roi Lombard, quand Didier et lui entendent parler de l'approche du terrible Charles, ils montent au sommet d'une tour très-élevée, d'où l'on peut reconnaître de fort loin ceux qui s'avancent. A la vue des bagages semblant pouvoir suffire à l'armée d'un Darius ou d'un Jules César, Didier dit à Ogger :
« Charles est-il dans cette armée ? »
« Pas encore » , répondit Ogger.
A la vue des innombrables troupes rassemblées de toutes les parties de l'empire Charles, dit le roi Lombard, se pavane sans doute au milieu de ces grandes « masses »
« Pas encore, pas encore », répond Ogger.
« Que ferons-nous donc, s'écrie Didier, s'il en vient de nouveau ? »
« Vous le verrez, dit Ogger »
Pour ce qui est de nous, j'ignore
« ce qu'il en adviendra. »
Alors parut un corps de jeunes varlets, toujours prêts a marcher avant le signal.
« Voilà Charlemagne, sans doute ? demande Didier plus effrayé ». « Pas encore », répond Ogger.
Puis approchent les évêques, les abbés, les chapelains et les autres clercs... à leur aspect Didier dit :
« Descendons, cachons-nous sous terre pour éviter le visage irrité d'un aussi cruel ennemi, »
Mais Ogger qui n'ignore pas la puissance et l'appareil de l'incomparable Charles et qui, dans des temps meilleurs, a eu mille occasions d'en éprouver les effets, s'écrie :
« Roi Didier ! quand tu verras la campagne hérissée d'une moisson de fer, quand le Téssin et le Pô vomiront les flots noirs d'un océan de fer autour des murs de la ville, alors tu pourras espérer de voir bientôt Charlemagne. »
Le moine de Saint-Gall ne s'arrête pas là, mais nous n'avons plus intérêt à le suivre et nous passons des souvenirs de la vie politique d'Ogier à ceux de sa vie religieuse...
Il existe plusieurs manuscrits de l'opuscule intitulé : « Conversio Оthgerii ou Othgarii militis ». Mabillon a inséré dans ses « Acta sanctor. ordinis S. Вenedicti du IXe siècle (IVe de l'ordre de Saint-Benoît). », L'illustre critique fait précéder le texte d'une dissertation, de laquelle nous traduirons littéralement plusieurs passages...
Trois choses, dit-il, prouvent la sincérité de ces actes qu'on a, de nos jours, voulu contester :
1° l'ancienneté des manuscrits,
2° l'épitaphe d'Ogier et de Benoît, faite par Fulcoie Foulques de Beauvais , vers le milieu du XIe siècle.
3° l'ancien monument d'Ogier et de Benoît, que l'on voit encore aujourd'hui dans le monastère de Saint-Faron, monument sur lequel on a représenté les circonstances principales de la conversion d'Ogier et de Benoît.
Pour ce qui est des manuscrits ajoute Mabillon, il en existe 2 : l'un dans l'abbaye de Saint-Faron, écrit vers le milieu du Xe siècle, l'autre dans l'abbaye de Crespy, moins ancien de 100 ans. Au temps de cette seconde copie , Fulcoie de Beauvais, sous-diacre de Meaux, écrit, à la prière de l'abbé Geoffroi, des vers sur la vie de Saint-Faron et sur Ogier.
Ces poèmes sont, avant la mort de Fulcoie , ajoutés au manuscrit ancien de Saint-Faron, l'histoire de la conversion d'Ogier est donc répandue avant le temps des vers de Fulcoie, et cette conversion est connue, non-seulement dans le diocèse de Meaux, mais aussi chez les Belges, comme le prouve un troisième manuscrit de Gembloux, estimé de plus 500 ans, et dans lequel la légende d'Ogier et Benoît est reproduite dans les mêmes termes que dans le code de Saint-Faron.
Mabillon prouve ensuite que Fulcoie achève toutes ses œuvres poétiques avant l'année 1080, et que s'il s'avise de joindre à ses épitaphes de pieux personnages, celles d'Ogier et de Benoît, c'est par un sentiment de respect pour le souvenir conservé de leur mort pieuse et édifiante. En comparant ces fragments entre eux, on croit avoir sous les yeux les premiers essais de rédaction de l'ancien auteur. Mais, quoi qu'il en soit, la transcription de ces fragments et de la « Conversio Othgerii » est de la même date, et cette date appartient soit à la fin du Xe siècle, soit à la première partie du XIe.
Une circonstance précieuse n'a pas échappé à Mabillon ; Fulcoie, vers 1070, met en vers la prose déjà ancienne d'une vie de Saint-Faron, et cette première vie en prose est pour ainsi dire inséparable de la Conversio Othgerii, puisque, dès le début, l'auteur annonce qu'après la vie de Saint-Faron, il est convenable de mentionner la fin pieuse d'Ogier et de Benoît. Les 2 ouvrages sont donc bien antérieurs au XIe siècle, et Mabillon, qui en a une épreuve du Xe siècle sous les yeux, croyait pouvoir en faire remonter la composition au temps de la construction du tombeau d'Ogier et de Benoît.
LÉGENDE D'OGIER LE DANOIS |
Le tombeau d'Ogier nous remet en mémoire la grande épée et l'épieu que l'on garde religieusement à Saint-Faron , et qu'une tradition immémoriale désigne pour les armes de ce fameux guerrier. Les passages historiques, diplomatiques et archéologiques réunis, ont mis à l'abri de toute incertitude l'existence et la célébrité du paladin de Charlemagne. Ces passages attestent qu'Ogier, originaire des Marches de France et d'Italie, a été plusieurs fois chargé de missions en Italie par le roi Pépin :
Il a protégé le voyage du pape Étienne en France.
Il s'est présenté et a été otage de Gaiffier.
Il suit le parti de Carloman et lutte fortement pour la défense des droits de ses enfants de celui-ci.
Il tente vainement de résister à Charlemagne dans les gorges du Montferrat et dans les plaines de Lombardie.
Il termine pieusement ses jours à Meaux dans l'abbaye de Saint-Faron.
Tous ces faits, retentissent dans les poèmes romanesques d'Ogier le Danois.
Ogier
le Danois, poème
en 12 chants composé par Raimbert de Paris, et qui fait partie du
cycle Carolingien.
Beaudouin,
fils d'Ogier, est tué après une partie d'échecs par « Charlot »,
fils de l'empereur Charlemagne.
Ogier
jure de tuer lui-même le meurtrier.
Il
se retire chez Didier, roi des Lombards, trahi par ce prince, il
s'enferme dans le Château de Castelfort sur le Rhône, où il
soutient un siège de 7 ans.
OGIER LE DANOIS |
Bientôt Charles, attaqué par les païens, est réduit à implorer l'aide d'Ogier, Celui-ci exige qu'on lui livre d'abord « Charlot ».
Le fils de l'empereur est sauvé par l'intervention de Saint Michel, au moment où Ogier va lui trancher la tête.
Le Danois bat tous les ennemis de Charles, ensuite il épouse la fille d'Angart (Edgard), roi d'Angleterre, et reçoit de l'empereur le comté de Hainaut et le duché de Brabant.
Persée : Recherches sur Ogier le Danois.
www.persee.fr/web/revues/.../bec_0373-6237_1842_num_3_1_451661
de
P Paris - 1842
Base
historique de la Légende d'Ogier
le Danois.
..... prouve ensuite avec la même force que Fulcoie acheva toutes
ses œuvres poétiques avant l'année 1080, …
Ogier le Danois.
www.cosmovisions.com/textOgier.htm
Ogier
le Danois,
poème en douze chants composé par Raimbert de Paris, et qui fait
partie du cycle carolingien . Beaudouin, fils d'Ogier, est tué après
une partie ...
Termes
manquants : 1080
Ogier de Danemarche — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Ogier_de_Danemarche
Ogier
de Danemarche (ou Hogier, ou Ogier
le Danois)
— en danois Holger Danske, Ogier the Dane en anglais — est un
chevalier danois légendaire qui ...
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avez consulté cette page le 31/05/14.
La chevalerie Ogier de Danemarche - Internet Archive
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le Danois
, Joseph Barrois , Raimbert
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