Cette
page concerne l'année 1071 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
UNE DÉFAITE LOURDE DE CONSÉQUENCE FRAGILISANT L'EMPIRE
ALP ARSLAN |
BYZANTIN...
ET L'OCCIDENT
Sous le commandement de Toghrul-beg, les Turcs de la tribu des Seljoukides, devenus musulmans, ont pris le pouvoir à Bagdad en 1055. Puis, Alp Arslan, neveu et successeur de Toghrul-beg, s'empare en 1064 de l'Arménie chrétienne, aux frontières de l'Empire Byzantin...
L'empereur Romain IV Diogène, prenant tardivement conscience du danger, se porte à sa rencontre avec plus de 100 000 hommes, essentiellement des mercenaires, dont beaucoup d'aventuriers Normands. Le sultan n'a que 50.000 hommes à lui opposer. L'affrontement a lieu au pied de la forteresse de Malazgerd (on écrit aussi Manzikert)...
Trahi
par ses mercenaires Turcs et certains de ses lieutenants, notamment
le Normand Roussel de Bailleul, le basileus
Romain Diogène est défait et même capturé.
La Bataille de Manzikert est une bataille qui voit s’affronter les Türks Seldjoukides à l'Empire Byzantin, le 26 Août 1071, La date et l'endroit réel de la bataille sont incertains, la date fluctue entre le 5 août et le 26 août par contre, les historiens musulmans sont unanimes, elle a eu lieu un vendredi et Michael Attaleiates dit que c'était une nuit sans lune... Le jour le plus propice serait donc le 26 août... Quant à l'endroit le plus susceptible c'est une steppe assez plate se terminant par un terrain plus accidenté de collines et de ravins (idéal pour un guets-apens). On le suppose à environ un mille ou deux de la forteresse de Manzikert (actuellement Malazgirt en Turquie).
Depuis 1048, les Türks Seldjoukides multiplient les incursions et les pillages dans les terres Byzantines de l’Arménie et du centre de l’Anatolie.
En
1064, Ani, capitale du royaume d’Arménie passe sous le contrôle
du sultan Alp Arslan.
Entre 1068 et 1070, Romain IV Diogène, l’Empereur de Byzance, lance une série de campagnes destinées à mettre fin à leurs incursions incessantes. Sans succès militaire réel, il débouche néanmoins sur une trêve avec le sultan. Son incapacité à contrer définitivement cette menace fragilise son pouvoir.
Pendant l’hiver 1070-1071, Romain IV Diogène prépare une nouvelle expédition Au printemps, il réunit son armée et progresse à travers l’Asie Mineure par Sebasteia (actuellement Sivas) jusqu’à Theodosioupolis (actuellement Erzurum) où il arrive fin juin... Là, il parachève la concentration de ses forces.
Pendant ce temps, Alp Arslan au début 1071, conduit son armée contre les Fatimides en Syrie tout en s’emparant de la forteresse Byzantine de Manzikert puis assiège celle d’Edesse. En février, un ambassadeur de Romain IV Diogène le rejoint pour engager de nouveaux pourparlers. Une trêve est à nouveau conclue.
Entre 1068 et 1070, Romain IV Diogène, l’Empereur de Byzance, lance une série de campagnes destinées à mettre fin à leurs incursions incessantes. Sans succès militaire réel, il débouche néanmoins sur une trêve avec le sultan. Son incapacité à contrer définitivement cette menace fragilise son pouvoir.
Pendant l’hiver 1070-1071, Romain IV Diogène prépare une nouvelle expédition Au printemps, il réunit son armée et progresse à travers l’Asie Mineure par Sebasteia (actuellement Sivas) jusqu’à Theodosioupolis (actuellement Erzurum) où il arrive fin juin... Là, il parachève la concentration de ses forces.
Pendant ce temps, Alp Arslan au début 1071, conduit son armée contre les Fatimides en Syrie tout en s’emparant de la forteresse Byzantine de Manzikert puis assiège celle d’Edesse. En février, un ambassadeur de Romain IV Diogène le rejoint pour engager de nouveaux pourparlers. Une trêve est à nouveau conclue.
Alp Arslan lève le siège d’Edesse et conduit son armée au sud pour assiéger la cité fatimide d’Alep. Deux mois plus tard, le sultan reçoit une deuxième ambassade de Romain IV Diogène qui cette fois-ci exige la restitution des forteresses prises en Arménie, dont Manzikert, en échange de la forteresse de Hiérapolis (actuellement Manbij en Syrie). En cas de refus, Romain IV le menace de lui déclarer la guerre... Au même moment, le sultan apprend l'arrivée de l'armée Byzantine en Arménie. Considérant cette avance comme une menace d’invasion imminente, il lève le siège d'Alep et se dirige en toute hâte vers l’Est ne prenant avec lui que sa garde personnelle.
L’ambassadeur Byzantin décrit à Romain IV Diogène le départ précipité d'Alp Arslan d’Alep comme une véritable débandade. Une partie de ses généraux lui conseillent de fortifier ses positions en Arménie en attendant l'arrivée des Türks alors que d'autres sont d'avis de porter la guerre directement chez les Seldjoukides... L'empereur décide de reprendre les forteresses de Manzikert et de Khliat (moderne Akhlat). Mais alors que les Byzantins croît Alp Arslan encore loin, il est tout proche, informé des faits et gestes de l'armée Byzantine grâce au travail efficace de ses éclaireurs et de ses espions. En effet, jugeant la situation très grave, il n’est pas retourné au cœur de son empire pour rassembler ses troupes... mais les appelle à le rejoindre. Son armée réunie, il se dirige vers Khliat où il envoie en avant-garde un de ses officiers, le türk Soundaq, qui s’est déjà distingué en Asie Mineure et en Syrie.
De son côté, l'empereur Byzantin envoie, lui aussi, une avant-garde en direction de Khliat. Cette avant-garde est sous les ordres de Roussel de Bailleul. Elle est composée d’un corps de combattants « Francs » (Normands) ainsi que d'un corps d'alliés Petchenègues. Romain IV Diogène, avec le reste de son armée, se dirige vers Manzikert et prend la forteresse.
Bien à l’abri dans la forteresse, il décide de diviser son armée en deux et d’envoyer la partie la plus expérimentée (ses troupes de mercenaires de 20 000 à 30 000 hommes selon les sources) sous les ordres du magistros Joseph Tarchaniôtès pour renforcer le contingent de Roussel de Bailleul devant Khliat (il est possible que ce contingent comprennent des Varègues car une source musulmane parle de « Russes bardés de fer »).
Pour des raisons que les sources ne nous permettent pas d'élucider avec certitude, les troupes de Joseph Tarchaniôtès et de Roussel de Bailleul rebroussent chemin, bifurquent à l'ouest en direction de Mélitène (actuellement Malataya) et se retirent en territoire Byzantin sans que Romain IV Diogène en soit averti. De fortes présomptions de trahison pèsent néanmoins sur la tête de Roussel de Bailleul Alp Arslan adresse à Romain IV Diogène, par l’intermédiaire d’un envoyé, des propositions de paix que Romain IV Diogène rejette, imprudemment...
Quelques jours après la prise de Manzikert, les soldats Byzantins qui sortent fourrager sont tués ou fait prisonniers par l’avant-garde de Soundaq... Les attaquent du camp se multiplient. Les Seldjoukides emploient la tactique habituelles des peuples de la steppe. Ils visent à attirer les Byzantins hors de leur retranchement dans des poursuites conduisant à des embuscades préparées à l’avance et cette tactique fonctionne.
Lors d’une sortie contre les Turcs, Nicéphore Bryenne est mis en difficulté et blessé. Il reçoit avec un peu de retard le secours de Nicéphore Basilikès, chef des contingents Arméniens de Syrie et d’Arménie. Ce dernier met les Turcs en fuite mais sa troupe perd sa cohésion dans la poursuite. Une contre-attaque Turque le met en déroute et Basilikès est capturé. Pendant ce temps, l’Empereur a rangé son armée en ordre de bataille en attendant une confrontation qui ne vient pas... Au soir, il regagne son camp. Dans la nuit, un contingent de Türks Oghouz fait défection et passe à l’ennemi, causant un grand désarroi au sein de l’armée.
Romain IV Diogène craint la trahison d’autres alliés Turcs encore présents. Il est conscient qu’il ne peut laisser se prolonger cette situation et qu'un climat de méfiance est nuisible à la cohésion nécessaire de ses troupes disparates. Il lui faut intervenir. Au matin du 26 août, il conserve une indiscutable supériorité numérique mais son armée n’est pas homogène... Il dispose d’un nombre élevé de troupes d'alliés issus de différents groupes ethniques (quelques Türks Oghouses, des Petchenègues, des Bulgares, des Valaques, etc.) installés dans l'empire. Son armée comprend également des contingents d'Arméniens... Les Byzantins y sont représentés dans les tagmata d'Occident et des troupes levées en Asie Mineure. Enfin, il peut compter sur les troupes d’élites de l’Hétairie et des Archontes... L'empereur divise son armée en quatre corps :
BATAILLE DE MANZIKERT |
-
aile gauche : Nicéphore Bryenne avec les tagmata d'Occident
(comprenant des Bulgares) qu'il commandait en Asie Mineure depuis
plusieurs années.
- aile droite : Théodore Alyatès avec les troupes levées en Asie Mineure et notamment en Cappadoce.
- centre : Romain IV Diogène avec sa garde.
- arrière-garde : Andronic Doukas avec les troupes de l'Hétairie et des Archontes.
Il emploi un système qui a fait ses preuves et que l'armée Byzantine a développé depuis des siècles. une tactique propre à contrer des troupes d’archers montés. Elle repose avant tout sur le maintien de la cohésion des troupes réparties en corps qui se soutiennent mutuellement et qui forment une véritable forteresse mobile contre laquelle des cavaliers légers sont impuissants tant qu'elle reste unie (malheureusement, au matin du 26 août, la cohésion de l’armée Byzantine est déjà largement ébranlée)... Les alliés Türks Oghouses et Petchenègues sont disposés sur les deux ailes afin de constituer un écran défensif de cavalerie légère.
En face, Alp Arslan a peut être réuni 30 000 cavaliers. Son armée ne comprend que sa garde personnelle composée de 4000 « ghulams » (des esclaves soldats constituant une élite militaire), il a également recruté 10 000 cavaliers Kurdes en Azerbaïdjan. Enfin, des chefs Türks ont du répondre à son appel et lui fournir des contingents de guerriers nomades... Les Türks seldjoukides pratiquent le combat traditionnel des peuples de la steppe, fait de harcèlements, de fuites simulées afin de rompre la cohésion de l'ennemi pour l'entraîner dans des embuscades... Alp Arlan garde cette stratégie qui lui a si souvent réussi.
Ainsi, au matin du 26 août 1071, Romain IV Diogène fait sortir toute son armée en ordre de bataille, l'armée byzantine avance vers les Türks mais ceux-ci refuse le contact se retranchant derrière la mobilité de leurs archers à cheval pour décimer les Byzantins qui avancent... Après plusieurs heures de combat indécis, l’Empereur Byzantin commande le retrait, prévoyant de retourner à son camp pour la nuit... Le retrait ne s’effectue pas avec autant d'ordre qu'à l'avancée, et quelques trouées se sont ouvertes dans les rangs.
- aile droite : Théodore Alyatès avec les troupes levées en Asie Mineure et notamment en Cappadoce.
- centre : Romain IV Diogène avec sa garde.
- arrière-garde : Andronic Doukas avec les troupes de l'Hétairie et des Archontes.
Il emploi un système qui a fait ses preuves et que l'armée Byzantine a développé depuis des siècles. une tactique propre à contrer des troupes d’archers montés. Elle repose avant tout sur le maintien de la cohésion des troupes réparties en corps qui se soutiennent mutuellement et qui forment une véritable forteresse mobile contre laquelle des cavaliers légers sont impuissants tant qu'elle reste unie (malheureusement, au matin du 26 août, la cohésion de l’armée Byzantine est déjà largement ébranlée)... Les alliés Türks Oghouses et Petchenègues sont disposés sur les deux ailes afin de constituer un écran défensif de cavalerie légère.
En face, Alp Arslan a peut être réuni 30 000 cavaliers. Son armée ne comprend que sa garde personnelle composée de 4000 « ghulams » (des esclaves soldats constituant une élite militaire), il a également recruté 10 000 cavaliers Kurdes en Azerbaïdjan. Enfin, des chefs Türks ont du répondre à son appel et lui fournir des contingents de guerriers nomades... Les Türks seldjoukides pratiquent le combat traditionnel des peuples de la steppe, fait de harcèlements, de fuites simulées afin de rompre la cohésion de l'ennemi pour l'entraîner dans des embuscades... Alp Arlan garde cette stratégie qui lui a si souvent réussi.
Ainsi, au matin du 26 août 1071, Romain IV Diogène fait sortir toute son armée en ordre de bataille, l'armée byzantine avance vers les Türks mais ceux-ci refuse le contact se retranchant derrière la mobilité de leurs archers à cheval pour décimer les Byzantins qui avancent... Après plusieurs heures de combat indécis, l’Empereur Byzantin commande le retrait, prévoyant de retourner à son camp pour la nuit... Le retrait ne s’effectue pas avec autant d'ordre qu'à l'avancée, et quelques trouées se sont ouvertes dans les rangs.
LES ARMÉES BYZANTINES |
Les Türks redoublent de force pour harceler les colonnes... A ce moment, l'empereur donne l'ordre à son armée de retourner au combat et de contre attaquer ; seulement, l'arrière-garde, commandé par Andronic Doukas, trahissant l'Empereur, ignore l’ordre et continue à se diriger vers le campement... Dès que l'arrière-garde s’éloigne, les Türks débordent les Byzantins et réussissent à les encercler. Pour rendre les choses plus mauvaises encore, un des flancs de l'armée Byzantine est suffisamment éloigné de la force principale pour qu'il soit forcée de combattre séparément, sa ligne brisée l’armée Byzantine est maintenant totalement à la merci des cavaliers seldjoukides.
Les courageux Byzantins vont se défendent avec acharnement jusqu'à la nuit, l'empereur lui-même est capturé et une grande partie de son armée est détruite... Curieusement, Alp Arslan ne cherche pas à exploiter son succès. Il le traite avec les honneurs, le libère et lui rend ses terres...
De retour à Constantinople, il est déposé par son beau-fils Michel VII Doukas. Michel VII lui fait crever les yeux et le fait enfermer dans un monastère, où il meurt quelques jours après. Romain IV Diogène est inhumé dans l'île de Proti.
Les conséquences de cette défaite sont dramatique :
Un
état seldjoukide permanent est désormais présent en Anatolie (les
Türks n'arrêterons plus d'harceler l’Empire Byzantin) et la
succession de « Romain IV Diogène déclenchera une guerre
civile au sein de l’Empire. L'armée de l'Empereur Byzantin est
anéantie par les Turcs à Malazgerd, près du lac de Van, en
Arménie... La
chrétienté, à peine débarrassée des Vikings, des Sarrasins et
des Hongrois, tremble d'effroi devant l'irruption des nouveaux venus.
C'est le début d'un demi-millénaire d'affrontements incessants
entre chrétiens et Turcs, jusqu'à la chute de Constantinople...
Le
fils et successeur du vainqueur de Malazgerd, le sultan Malik Chah,
va, dès son avènement, l'année suivante, étendre l'Empire
Seldjoukide jusqu'à la mer Égée. C'est le début de la
« Turcisation »
de l'Asie mineure. La culture grecque, qui a imprégné la région
pendant 2 millénaires, va refluer jusqu'à complètement
disparaître...
À
Rome, le pape Grégoire VII s'alarme des menaces qui pèsent sur les
pèlerins qui se rendent en Terre Sainte. Plus grave encore, l'Empire
Byzantin, ultime verrou qui protège l'Europe des assauts Turcs,
paraît sur le point de céder... Le pape lance un appel aux
guerriers Francs pour qu'ils aillent au secours de leurs frères
d'Orient mais cet appel, prématuré, n'est guère entendu.Il est vrai que Malik Chah a modéré ses ambitions car il doit faire face dans son propre camp à de nombreuses séditions et à l'émergence de principautés plus ou moins indépendantes comme le seigneur d'Alamout, chef des célèbres Assassins, du sultanat de Roum (ce nom est une déformation du mot Romains, car le sultanat s'est constitué aux dépens de l'Empire Romain d'Orient). De ce sultanat sortira bien plus tard la dynastie des Ottomans.
Après la mort de Malik Chah, en 1092, l'Empire Seldjoukide est partagé entre ses héritiers. C'est le début d'une rapide décadence. C'est aussi le moment où la chrétienté occidentale se réveille. A Clermont, en 1095, le pape Urbain II renouvelle l'appel de son prédécesseur Grégoire VII, un quart de siècle plus tôt. Plus heureux, il débouchera sur la première Croisade et un sévère recul des Turcs
Les Seldjoukides sont un groupe de nomades guerriers Turcs d'Asie Centrale qui se sont établis au Moyen-Orient au cours du XIe siècle en tant que gardiens du califat abbasside en déclin, après 1055 ils fondent le grand sultanat seldjoukide, un empire centré à Bagdad qui comprend : l'Iran, l'Irak et la Syrie. Ils ont empêché les Fatimides d’Égypte de faire dominer l'islam chiite au Moyen-Orient et, au XIIe siècle, ils bloquent l'expansion intérieure par les États Croisés sur la côte Syrienne. La défaite des Byzantins à la bataille de Manzikert (1071) leur ouvre la voie de l'occupation Turque en Anatolie.
"Peuples
Cavaliers" d'Asie centrale. • Voir le sujet - La Bataille
...www.peuplescavaliers.be/peuplescavaliers/forum/viewtopic.php?t=350
12
nov. 2006 - 1 message
La
Bataille
de Manzikert,
26 août 1071.
La Bataille
de Manzikert
est une bataille qui voit s'affronter les Türks Seldjoukides à
l'Empire Byzantin, …
19 août 1071 - Désastre byzantin à Malazgerd - Herodote.net
www.herodote.net/19_aout_1071-evenement-10710819.php
14
juil. 2013 - 19 août 1071
: les Turcs Seldjoukides écrasent les Byzantin à Malazgerd (ou
Manzikert)
- Les Turcs seldjoukides s\'emparent de l\'empereur ...
Seljuks
mb-soft.com/believe/tfh/seljuk.htm
Leur
défaite des Byzantins à la bataille
de Manzikert
(1071)
a ouvert la voie à ... Le dernier de la lignée est mort dans la
bataille contre le Kharezm-Shahs en …
Forum Histoire - Passion Histoire • Consulter le sujet - La date ...
www.passion-histoire.net
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médiévales › Monde
byzantin
4
déc. 2012 - 8 messages - 5 auteurs
En
1071,
c'est la bataille
de Manzikert,
sur le territoire arménien, entre l'armée turc seldjoukide d'Alp
Arslan et l'armée de l'empire byzantin ...
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