HENRI
III LE SALIEN, EMPEREUR ROI ET EMPEREUR GERMANIQUE
HENRI III DIT LE NOIR |
À
la mort de son père Conrad II le Salien, Henri III, qui a déjà
été désigné et couronné, hérite très logiquement de la
couronne., ayant reçu une éducation religieuse assez soignée il
s'est convaincu de l'importance de ses fonctions, il veille donc au
cours de son règne à maintenir la paix dans l'Empire (trône de
Dieu) et sur les frontières, comme en Pologne ou en Bohême. S'il
respecte la papauté et les dignités ecclésiastiques, il n'en est
pas moins assuré que les deux pouvoirs, le spirituel et le temporel,
sont liés selon le système Ottonien, et garantis par l'empereur.
Il
encourage donc une réforme de l'Église, concernant la papauté
Romaine, qui est tombée en profonde décadence, à la suite de la
vente de sa dignité pontificale par Benoît IX et Grégoire VI,
tandis qu'un troisième pape, Sylvestre III, leur est opposé.
Avec l'aide de l'abbé de Cluny, Odilon, et de Pierre Damien,
Henri III les fait tous déposer pour simonie, et obtient
l'élection d'un évêque Allemand, Clément II, qui le couronne
empereur (Noël 1046). Le nouveau pape entreprend la réforme de
l'Église (synode de 1047). Ses successeurs, Damase II et
surtout Léon IX (ancien évêque de Toul) poursuivent cette
œuvre en étroite collaboration avec l'empereur.
En
1043, Henri III épouse Agnès de Poitiers, de la famille des ducs
d'Aquitaine, sans doute les plus puissants seigneurs du temps.
Ceux-ci, qui ont autorisé la fondation de Cluny sur des terres leur
appartenant, protègent cette abbaye, devenue au milieu du XIe siècle
la plus riche d'Occident. Henri III l'aide à se développer en
direction de l'Allemagne, contribuant ainsi à réformer les
structures ecclésiastiques de l'Empire... Comme ses prédécesseurs,
il distribue duchés et comtés à des grands, évitant pourtant de
les choisir parmi les familles d'une même nation. Cela ne suffit pas
à réduire toutes les ambitions :
Godefroi
le Barbu accepte mal de ne recevoir que la Basse-Lorraine (1044) à
la mort de son père ; il se soulève, perd sa terre, croyant
reprendre force en épousant Béatrice de Toscane, laquelle
revendique pour sa fille Mathilde toutes les terres d'Italie qui ont
appartenu à son premier mari.
Henri
III a fait élire et couronner roi des Romains (1053-1054) son fils
Henri, qui lui succède à la tête de l'Empire Germanique lorsqu'il
meurt 3 ans plus tard. La mort de Henri III marque la fin de l'Empire
antérieur à la réforme grégorienne et le déclin de la tradition
Ottonienne.
HENRI III |
Comme
presque tous ses prédécesseurs, Henri III est très jeune quand il
accède au trône, n'ayant que 22 ans à la mort de son père, auquel
il ne ressemble guère. Comme lui, cependant, il est intelligent et
actif, mais moins réaliste, au contraire, il rappelle un peu Henri
II par l'enthousiasme juvénile et le zèle pieux qui l'animent,
c'est un idéaliste. En outre, il a reçu une éducation distinguée,
aucun
des prédécesseurs de Henri III ne s'est trouvé à son avènement
aussi pleinement en possession du pouvoir.... Premier roi Allemand
qui n'a pas à contraindre certains de ses vassaux à le reconnaître
par les armes.
Les
princes d'Italie et de Bourgogne viennent spontanément lui rendre
hommage.
L’État
Polonais est en décomposition,
les peuples de l'Est l'obligent à tirer l'épée dans les premières
années de son règne...Tandis
que Casimir, fils de Mieszko II, fuit hors du pays et se réfugie en
Allemagne, une réaction païenne dans son principe, et hostile à
tout ce qui est Allemand éclate. Le duc de Bohême Bratislav croit
pouvoir tirer parti de ce désordre et fonder, à son profit, le
grand royaume des Slaves de l'Ouest dans le but d'englobé la
Pologne. Il négocie, en grand secret, avec le pape, pour obtenir que
Prague soit élevée au rang d'archevêché et qu'une couronne royale
lui soit offerte, comme naguère au Hongrois Étienne.
Ces
démarches ont pour seul résultat de le brouiller avec Henri III
qui s'empare de Prague et contraint la Bohême à
reconnaître à nouveau la suzeraineté de l'Allemagne.
En
complément de toute l'affaire, Casimir est rétabli sur le trône de
Pologne. Henri III doit aussi soutenir une
guerre de plusieurs années contre la Hongrie. Dans ce jeune royaume,
après la mort d’Étienne, une vive opposition se manifeste contre
l'orientation chrétienne qui lui a été donnée et contre
l'influence Allemande. Abo Arpad se fait nommer roi à la place de
Pierre de Hongrie, neveu d’Étienne. Or, si les Hongrois veulent
ruiner la civilisation Allemande et chrétienne, leur ancienne
sauvagerie menace de se réveiller du même coup.
HENRI III DEVANT TIVOLI |
Henri
III rétablit sur son trône le roi Pierre de Hongrie qui fait
rentrer son pays dans la voie qu’Étienne a ouverte. Quand, l'année
suivante, l'empereur se rend une fois encore en Hongrie, Pierre lui
offre la lance d'or, symbole de la puissance Hongroise... Par ce
présent, il s'engage à reconnaître la suzeraineté Allemande. Mais
Henri III envoie cette lance au pape, en manière d'offrande
consacrée.
Plus
tard, Grégoire VII et Innocent III, se fondant sur le présent du
roi d'Allemagne, réclameront la Hongrie comme fief du Saint-Siège.
Il est peu probable qu'Henri III ait prévu les conséquences de son
geste respectueux... Quant à Pierre de Hongrie, son règne n'eut pas
de consistance.
En
1046 déjà, André Arpad le détrône derechef, ne modifie rien aux
dispositions chrétiennes du royaume et se montre loyal vassal de
l'empereur...
La
scène qui se déroule sur le champ de bataille de Mensô
n'est pas unique en son genre dans la vie de Henri
III :
Travaillant
avec ardeur à la solution des problèmes moraux et religieux, il y
confère toujours la marque de sa propre personnalité... Ses
problèmes sont ceux de la paix et de la réforme de l’Église.
Lors d'un synode à Constance (1043), il adresse aux prélats, aux
princes et aux chevaliers assemblés un pressant appel en faveur de
la paix. Pour donner plus de force à sa parole, il déclare
pardonner à ses ennemis et somme tous les assistants d'en faire
autant. Par cette noble tentative, inspirée de l'esprit de
l’Évangile, il rejoint les efforts qu'Henri II a poursuivis sous
une autre forme et se rapproche du mouvement de l’Église en faveur
de la Trêve de Dieu... Peu de temps après, à Trêves, il répète
son geste de Constance, puis, 3 ans plus tard, à Rome.
Multipliant
les actes de paix, toute sa politique s'oriente de ce côté :
Assouplir
les tensions par des accommodements.
Traiter
avec douceur des adversaires en révolte.
Pardonner
à ses ennemis.
La
réforme ecclésiastique.
Aucun
autre roi, pas même Henri II, n'a lutté pour elle avec plus d'idéal
religieux, sans réserve, sans y mêler la moindre préoccupation
politique. Il est encouragé dans cette attitude par sa seconde
épouse, Agnès d'Anjou-Poitou, que des liens de famille rapprochent
du cercle Clunisien. Dans son zèle, quoique occasionnellement
seulement, il s'élève avec sévérité, contre la simonie, et, même
pour avoir déposé des évêques il se voit accusé de despotisme.
Son
principal théâtre de l'activité réformatrice se situe en Italie,
au cours de cette période, Rome présente à nouveau le spectacle
d'une confusion criminelle... Après la mort de Benoît VIII, pape si
capable, intronisé par les Tusculani, deux autres partisans de cette
famille occupent le siège pontifical :
Jean
XIX, et l’immoral Benoît IX, auquel les Romains opposent un
antipape, Sylvestre III, sans autorité.
Benoît
IX, sentant le sol vaciller sous lui, vend sa charge à Grégoire VI,
un prêtre zélé et bien intentionné qui se croit autorisé à
faire usage de la simonie, pensant ainsi sauver l’Église.
Le
parti de la réforme l'accueille bien, en dépit du marché honteux
qui l'a élevé au trône pontifical, mais, comme ensuite les deux
pontifes évincés veulent faire valoir leurs droits, la confusion
est bientôt à son comble. La raison d'intervenir paraît suffisante
à Henri III.
En
1046, il descend en Italie, ouvre un synode à Pavie, et se déclare
ouvertement contre la simonie (par crainte pour le salut de son âme),
rappelant que son père a aussi condamné cette erreur maudite.
HENRI III |
Ainsi,
le monarque Allemand, qui se fait donner par Clément II la couronne
impériale, a joué son rôle de protecteur de l’Église de la
façon la plus remarquable, il l'a sauvée des imposteurs aux mains
desquels elle était tombée et l'a arrachée à sa honte et à sa
faiblesse... Il obtient le titre de Patrice, auquel, selon une
opinion contemporaine, s'attache un droit assez peu justifié, celui
d'élire les papes... Ayant imposé à l’Église sa tutelle (ne
faisant que suivre, la ligne tracée par ses prédécesseurs) elle se
trouve, dès lors, dans la situation intolérable d'une Église
soumise à l’État... Or, l'évêque Wazo de Liège fait savoir à
l'empereur que le synode de Sutri a contrevenu aux vieilles lois
ecclésiastiques, car nul n'a le droit de juger un pape, et que le
roi n'a rien à dire dans les affaires ecclésiastiques...
La
réforme, peu à peu, embrasse des domaines toujours plus vastes. En
sa qualité de protecteur de l’Église, Henri III se trouve sur le
point de communiquer l'esprit de la réforme au pape lui-même...
Mais si Henri III mérite les plus grands éloges comme ennemi de la
simonie et gardien de la pureté de la prêtrise, il n'en est pas
moins pris au piège de la conception Allemande et impériale selon
laquelle l’Église doit être soumise à l'empire.
Or,
cette conception est dépassée désormais... L'opinion qui réclame
que l’Église soit affranchie de toute tutelle :
Celle
des partis de l'aristocratie Romaine.
Celle
de l'empereur d'Allemagne.
C'est
un signe des temps bien caractéristique de ce refus, que le nouvel
évêque de Lyon (1046) Halinard, refuse à Henri III le serment de
fidélité, parce qu'un tel serment ne lui est permis ni par
évangile, ni par la règle de Saint Benoît... Plusieurs abbés
renoncent à leur dignité d'évêques afin de ne pas être des
fonctionnaires de l’État.
Pourtant,
après Clément II, 2 papes seront élus par l'empereur:
Damasus
II qui meurt quelques semaines après avoir reçu la tiare.
Léon
IX jusque-là évêque de Toul qui inaugure, sous les traits de l'un
des plus nobles papes ayant régné, une nouvelle période de
l'histoire de la papauté,
l'esprit
de Cluny, et d'une Église affranchie de tout lien terrestre, vivent
en lui... Il refuse de se considérer comme l'élu d'Henri III, avant
de s'être assuré qu'il est celui du clergé et du peuple de Rome...
se libérant ainsi, en ce qui concerne son élection, de l'autorité
de l'empereur... Il entre dans Rome comme un pèlerin, vêtu de la
robe des pénitents, Hildebrand (futur Grégoire VII) l'accompagne,
fermement décidé à entreprendre une lutte à mort contre les maux
qui ont déshonoré l’Église.
Le
nouveau pape ne se cache pas derrière les murs de Rome, mais, durant
les années de son pontificat, il parcourt l'Italie sans répit,
présidant des synodes et s'élevant contre toutes les manifestations
de corruption dans l’Église... Il amène les populations à croire
à la complète liberté de celle-ci qui, conformément à son
essence, redevient l’Église universelle. Mais cette vérité est
aussitôt contredite par les faits puisque c'est justement sous son
pontificat, sinon par sa faute, que se produit le grand schisme
d'Orient.
Dans
les dernières années de sa vie, l'administration de l'empire vaut à
Henri III beaucoup de fatigues et de soucis et les déceptions ne lui
seront pas épargnées :
En
Hongrie, l'influence Allemande sombre de nouveau. Andreas Arpad
s'empare de la Marche d'Autriche et de la Carinthie.
Dans
les années 1050-1052, Henri III
entreprenant des campagnes qui n'ont pas de résultat ; le lien
de vassalité de la Hongrie à l'égard de l'Allemagne se relâche
complètement, la position de l'empereur en est ébranlée, même en
Allemagne.
Le
duc de Haute-Lorraine, Godefroy le Barbu,
en rébellion ouverte depuis des années contre l'empereur a
rassemblé autour de lui tous les ennemis occidentaux de l'empire :
En
1054, Godefroy épouse une princesse Italienne, Béatrice de Toscane.
L'opposition Lorraine et l'opposition Italienne allaient-elles
faire cause commune pour ébranler l'empire ?
Le
danger Normand, trop longtemps, objet de l'indulgence des papes et
des empereurs, c'est renforcé dans le sud de l'Italie, par des
combats contre les Grecs, puis ils en sont venus à opprimer les pays
conquis. Henri III, vient dans le Sud en 1055, établit en Italie un
ordre nouveau... envoyant la marquise Béatrice de Toscane en
captivité en Allemagne, puis lui rend la liberté sous promesse
d'être une vassale loyale.
Les
biens pris à l’Église, en particulier ceux qui se trouvent dans
les terres de Béatrice de Toscane, sont restitués, et d'autres
comme les marquisats de Ferino et de Spolète y sont ajoutés... Les
dangers de l'alliance entre la Toscane et la Lorraine ont été
évités.
En
revanche, l'empereur ne peut résoudre la question Normande.
Alors
qu'il est en Italie, de nouveaux troubles éclatent en Allemagne,
plusieurs de ses vassaux, soutenus par le roi de France, se soulèvent
contre le pouvoir impérial...
Puis,
la situation se rétablie grâce à un enchaînement de circonstances
heureuses et à l'attitude conciliante d'Henri III, cependant durant
son séjour en Italie, toutes les questions litigieuses sont de
nouveau posées, si bien qu'à son retour, il doit se contenter
d'apaiser ses adversaires.
Sa
position en sera ébranlée, d'autant plus qu'en 1056, une grande
armée Saxonne est battue par les habitants de Lusace... Il n'en faut
pas davantage pour que les Slaves des bords de l'Elbe perdent
beaucoup du respect qu'ils avaient jusque-là porté à la puissance
Allemande... C'est sur ces entrefaites que meurt Henri III.
On
a beaucoup discuté sur la question de savoir s'il a augmenté ou
diminué le prestige de l'empire... Il faut bien reconnaître qu'il
n'a pas pu le maintenir tel qu'il est lors de son avènement et, qu'à
la fin de son règne des crises inquiétantes se manifestent. En
cela, une part de responsabilité revient à ceux qui n'ont pas su
voir les buts visés par l'empereur, à cette vieille aristocratie
susceptible, fidèle aux plus anciennes traditions Germaniques et qui
craint que, dans ses efforts pour établir la paix, Henri III ne lui
enlève son droit à se faire justice par les armes, droit dont elle
ne veut en aucun cas être privée... Il meurt à 39 ans, en pleine
activité. Certes, ce n'est pas un politicien réaliste, mais il a de
la grandeur à sa manière inspirée par son idéal :
Il
voue toutes ses forces à assurer l'ordre intérieur.
A
établir la paix pour le plus grand bien des peuples.
A
harmoniser les intérêts de l’État et de l’Église, au profit
de l'un comme de l'autre.
AGNÈS DE POITIERS |
Cet ouvrage de Francis Rapp est appelée à faire autorité, il se destine en premier lieu aux passionnés d'histoire médiévale et aux étudiants.
Origines de l'Empire :
L'historien montre comment, après le règne désordonné des Mérovingiens, Charlemagne inaugure une coopération inédite entre l'empereur d'Aix-la-Chapelle (lui-même) et le pape de Rome. Cet empire Carolingien bénéficie d'un immense prestige parmi les clercs de l'époque cependant il sombre en moins d'un siècle sous les coups d'une deuxième vague d'invasions barbares (Normands, Sarrasins, Hongrois).
Par sa victoire sur les Hongrois (ou Magyars), Otton 1er, roi de Germanie, acquiert un immense prestige qui lui permet de restaurer l'empire de Charlemagne. Mais avec de grandes différences, au lieu de s'appuyer sur les deux parties de la Francie (le Regnum Francorum ou royaume des Francs), de part et d'autre du Rhin, le nouvel empire s'appuie sur l'Allemagne (la Francie orientale) et l'Italie, relativement plus riche.
Les successeurs d'Otton 1er doivent l'un après l'autre chercher en Italie les ressources financières dont ils ont le plus grand besoin et ils partagent leur temps entre cette quête laborieuse et la difficile mise au pas de leurs sujets et féaux Allemands.
Le jeune et idéaliste Otton III a été élevé par sa grand-mère Adélaïde et sa mère, la princesse Byzantine Théophano, veuve de l'empereur Otton II.
Il tente une coopération harmonieuse avec son précepteur et ami Gerbert d'Aurillac, devenu pape sous le nom de Sylvestre II, la mort l'interrompt prématurément. Ensuite, pendant un à deux siècles, l'histoire de l'empire n'est plus qu'une longue succession de querelles avec la papauté :
Le Bavarois Henri II échoue à promouvoir la réforme de l'Église.
Lui succède le 4 septembre 1024 le duc de Franconie sous le nom de Conrad II. Le fondateur de la dynastie salienne est un lointain descendant d'Otton 1er par les femmes.
Son fils Henri III promeut et accompagne la réforme de l'Église, à l'initiative des moines de Cluny, seigneurs et clercs font assaut de mysticisme et de vertus évangéliques.
Au synode de Sutri, le 20 décembre 1046, l'empereur dénoue un conflit au sein de la papauté et impose le pape réformateur Clément II. C'est le début d'un vaste mouvement de réforme de l’Église ... ce bouleversement va entraîner la séparation définitive de l'Église de Rome et du patriarcat orthodoxe de Constantinople. Une réforme qui va aussi contribuer à abattre le Saint Empire.
Les tentatives malheureuses des empereurs de la dynastie des Hohenstaufen, Frédéric Barberousse et Frédéric II, se soldent au XIIIe siècle par des désordres dynastiques.
Le roi de Bohême, Charles IV, tentera de relever l'empire et de stabiliser le mode de désignation de l'empereur par la promulgation de la Bulle d'or de 1356.
Mais à l'avènement de Charles Quint, en 1519, à l'orée de la Renaissance, l'Empire d'Otton 1er n'a plus qu'une consistance symbolique.
Atrium - Henri III (1017-1056), empereur de 1039 à 1056 (dit ...
www.yrub.com/histoire/henri3ger.htm
Comme
presque tous ses prédécesseurs, Henri
III
était très jeune quand il accéda au ..... Liste et brèves
descriptions des différents empereurs du Saint
Empire.
HENRI III LE NOIR - Encyclopædia Universalis
www.universalis.fr/encyclopedie/henri-iii-le-noir/
À
la mort de son père Conrad II le Salien, Henri
III,
qui avait déjà été désigné et couronné, hérita très
normalement de la ... Saint
Empire
romain germanique.
Vous
avez consulté cette page le 25/06/14.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire