Cette
page concerne l'année 1055 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
CHASSES-CROISES
DESTRUCTIFS D'EMPEREURS CONDUISANT A L'EXTINCTION DE LA DYNASTIE MACÉDONIENNE
CONSTANTIN IX ET ZOÉ ENTOURANT LE CHRIST |
Constantin
IX Monomaque (leur nom de famille, signifie «
celui qui combat seul » 1000 - 11 janvier 1055) empereur
Byzantin du 12 juin 1042 au 11 janvier 1055.
Constantin Monomaque est le fils de Théodose Monomaque, bureaucrate important sous Basile II et Constantin VIII. C'est le grand-père de Vladimir II Monomaque, grand-duc de Kiev.
Il épouse d'abord une noble Byzantine, Pulchérie Sklérina († 1042 morte d'une maladie pulmonaire) et a pour enfant Marie Monomaque († 1067), laquelle sera mariée à Vsevolod Ier, grand-duc de Kiev.
Il se remarie le 11 juin 1042 avec l'impératrice Zoé (978 † 1050), dont il était l'amant, elle l'associe au trône impérial. Après son mariage, Constantin mène une vie quasi conjugale avec une nièce de sa première épouse, surnommée la Sklérène. Son règne est marqué par l'affaiblissement de l'administration provinciale, la consolidation de la puissance féodale et la perte des possessions Siciliennes et Italiennes de Byzance. Constantin IX, par ses fantaisies, a contribué à l'épuisement du trésor impérial qu'avaient accumulé ses prédécesseurs. Ce trésor manquera cruellement pour la lutte contre les Turcs car il doit combattre les insurrections :
Constantin Monomaque est le fils de Théodose Monomaque, bureaucrate important sous Basile II et Constantin VIII. C'est le grand-père de Vladimir II Monomaque, grand-duc de Kiev.
Il épouse d'abord une noble Byzantine, Pulchérie Sklérina († 1042 morte d'une maladie pulmonaire) et a pour enfant Marie Monomaque († 1067), laquelle sera mariée à Vsevolod Ier, grand-duc de Kiev.
Il se remarie le 11 juin 1042 avec l'impératrice Zoé (978 † 1050), dont il était l'amant, elle l'associe au trône impérial. Après son mariage, Constantin mène une vie quasi conjugale avec une nièce de sa première épouse, surnommée la Sklérène. Son règne est marqué par l'affaiblissement de l'administration provinciale, la consolidation de la puissance féodale et la perte des possessions Siciliennes et Italiennes de Byzance. Constantin IX, par ses fantaisies, a contribué à l'épuisement du trésor impérial qu'avaient accumulé ses prédécesseurs. Ce trésor manquera cruellement pour la lutte contre les Turcs car il doit combattre les insurrections :
De
Georges Maniakès en 1043
De
Léon Tornikios en 1047,
Lutter
contre les Turcs Seldjoukides en Orient.
Les
Normands.
Les
Petchenègues.
Les
Oghouzes.
Les
Coumans en Occident.
Et
contre le schisme de 1054 entre Rome et Constantinople.
Malgré les désastres successifs qui marquent son règne, Constantin IX encourage les arts et les sciences, s'entourant d'hommes capables, parmi lesquels l'historien Michel Psellos, le juriste Jean Xiphilin, le poète Jean Mauropous et l'administrateur Constantin Likhoudès :
Malgré les désastres successifs qui marquent son règne, Constantin IX encourage les arts et les sciences, s'entourant d'hommes capables, parmi lesquels l'historien Michel Psellos, le juriste Jean Xiphilin, le poète Jean Mauropous et l'administrateur Constantin Likhoudès :
C'est
à ces hommes que l'on doit la renaissance en 1045 de l'Université
de Constantinople.
La reconstruction du Saint-Sépulcre de Jérusalem. C'est le monument le plus important de la chrétienté, a été commanditée par Constantin et sa mère Hélène en 325/326. Cependant beaucoup de points sont encore sujets à débats, l’ensemble comporte, lorsqu'il est achevé, un atrium, une basilique à 5 nefs, une cour à 3 portiques, le Golgotha, un baptistère et la tombe du Christ entourée d'une rotonde...
La reconstruction du Saint-Sépulcre de Jérusalem. C'est le monument le plus important de la chrétienté, a été commanditée par Constantin et sa mère Hélène en 325/326. Cependant beaucoup de points sont encore sujets à débats, l’ensemble comporte, lorsqu'il est achevé, un atrium, une basilique à 5 nefs, une cour à 3 portiques, le Golgotha, un baptistère et la tombe du Christ entourée d'une rotonde...
Un
désaccord sur la date précise des différents éléments subsiste,
mais les recherches récentes semblent montrer que la basilique,
appelée Martyrion,
et la rotonde, Anastasis,
faisaient partie du programme primitif. La
suite de l'histoire du Saint-Sépulcre est liée aux vicissitudes du
sort de Jérusalem.
En
614 les Perses Sassanides attaquent la ville de Jérusalem et
emportent la Vraie Croix, la destruction partielle de l’église du
Saint-Sépulcre entraîne sa restauration sous le règne d’Héraclius
(610-641)
LA COURONNE DE CONSTANTIN |
Ce
dernier y ramène triomphalement la Vraie Croix en 630.
En
638, à la suite d’un siège, Jérusalem tombe aux mains des
Arabes.
En
1009, le calife fatimide al-Hakim bî ‘amr Allâh (996-1021)
ordonne la destruction de l’église du Saint-Sépulcre.
Les
relations s’améliorent entre l'Empire Byzantin et les califes
après 1027, ce qui aboutit à un accord entre l’empereur Michel IV
(1034-1041) et le calife al-Mustansir (1036-1094). L’église est
alors reconstruite aux frais de l’empereur.
Le
travail est achevé en 1048 sous Constantin IX Monomaque
(1042-1055)...
Une
équipe de maçons Byzantins envoyée par l’empereur reconstruit le
Saint-Sépulcre en collaboration avec une équipe locale. Si la
sculpture architecturale conservée du monument original a été
réemployée, la maçonnerie du XIe siècle
diffère de celle du bâtiment originel. La différence la plus
importante entre le premier édifice et celui du XIe siècle est le
plan, dont la superficie a été réduite de moitié :
La
basilique à 5 nefs et l’atrium,
c’est-à-dire toute la partie orientale, ont été abandonnés.
En
revanche, la cour à 3 portiques, entre la basilique et la rotonde, a
été restaurée avec les mêmes dimensions qu’auparavant.
À
l’ouest de la cour, 3 nouvelles chapelles ont été construites,
mais ne nous sont connues que par des sources écrites.
Les
citernes à l’ouest de ces bâtiments ont été transformées en
une chapelle souterraine.
Entre
le Patriarcat et l’Anastasis
ont été ajoutées différentes nouvelles chapelles, 3 sont
construites au sud de l’Anastasis,
celle du centre servant de baptistère. Ces chapelles remplacent la
basilique de Constantin et Hélène.
nomisma histamenon |
L’ensemble
du nouvel édifice est richement décoré d’un pavement de mosaïque
de pierres de différentes couleurs. Le pavement de mosaïques
présente surtout des motifs géométriques. Le pavement de
l’Anastasis
comporte une dizaine de panneaux. Au milieu de ces panneaux se
trouvent des plaques de marbre, entourées d’une bordure en motifs
de losanges. Sur les quatre côtés se trouvent encore, sur fond
blanc, quatre représentations figuratives différentes. Il s’agit
à chaque fois de deux animaux affrontés, par exemple deux poissons
de part et d’autre d’un calice ou deux oiseaux étranges
attaquant un poisson. Ces motifs décoratifs sont d’inspiration
islamique et se retrouvent également sur des plaques sculptées, des
céramiques, des objets en métal ou des étoffes. Cela montre sans
doute l'intervention d'artisans locaux, mais il faut remarquer que ce
répertoire s'est largement répandu dans le monde Byzantin.
Michel Psellos (1018-1080)
Philosophe,
né à Byzance. De 1041-1042, présent à la cour de l'empereur
Michel V le Calfat. De 1042-1055, il est à la cour de
l'empereur Constantin IX Monomaque (durant la même période). En
1045, il obtient la chaire de philosophie (consul des philosophes)
que Constantin vient de restaurer. Il entretient des relations avec
Jean Mavropous, Nicétas de Byzance, Constantin Likhoudès, Jean
Xiphilin de Trébizonde et Isaac Comnène (futur empereur).
Il
soutient courageusement le Pape contre les tenants du schisme de
l’Église byzantine
En
1054, a lieu l'excommunication de Michel (Keroularios) Cérulaire
par les légats du pape Léon IX. Kéroularios réunit un synode qui
se prononce contre la bulle pontificale. Michel Psellos prend parti
courageusement contre Michel Cérulaire, aussitôt il est en disgrâce
à la cour. Il entre dans les ordres au couvent du mont Olympe
sous le nom de Michel. En 1055-1056, l'impératrice Théodora le
rappelle à la cour, et le nomme responsable d'une nouvelle chaire.
Son
œuvre est à la fois celle d'un philosophe et d'un théologien
Très
actif dans la vie intellectuelle politique et religieuse, écrivant
sur ces sujets de nombreux ouvrages, souvent de circonstance.
Panégyriques, blâmes d'hommes de son entourage, oraisons funèbres,
(Jean Xiphilin), questions théologiques (l'impeccabilité de la
Vierge, procession de l'Esprit-Saint), remarques sur Basile, Grégoire
de Nysse ou Jean Chrysostome, sur les dogmes ou le Cantique des
cantiques, homélies sur l'Annonciation ou les miracles...
Mais
il est aussi un remarquable philosophe, et peut être une des
origines du courant platonicien de la Renaissance Italienne pour
atteindre l'Occident tout entier. « Je me suis dirigé,
écrit-il, vers Plotin, Porphyre et Jamblique pour m'arrêter à
l'admirable Proclus comme dans un vaste port. C'est lui qui m'a
fourni la science. »
Et
de Proclus, il ajoute :
« Mon seul mérite consiste en ce que j'ai recueilli quelques doctrines philosophiques puisées à une source qui ne coulait plus. »
Il veut ôter :
« l'enveloppe profane et exhumer l'esprit qui y est caché et qui luit comme une perle ».
C'est ainsi que maître de l'université, il réorganise les études selon le livre VI de la République de Platon. Au trivium il ajoute le quadrivium, avec les sciences énumérées par le livre VI. Mais on verra que ces sciences conduisent tout droit à Aristote. Il y a donc chez Psellos la reconnaissance du rôle de la raison et des sciences dans l'explication des faits (il s'oppose ainsi à la magie de Cérulaire). Mais il reconnaît aussi l'allégorie pour traiter des choses divines.
Il a beaucoup et merveilleusement écrit sur la Vierge Marie, notamment, dans son Homélie pour l'Annonciation (§ 4), on peut lire ceci : « La Vierge est vraiment vierge, elle conserva vraiment intègre les pensées de son esprit et demeura dans son corps comme un soleil avec les grâces intelligibles, en l’illuminant et en l’ennoblissant (…). Seule entre toutes les âmes humaines, cette âme très ressemblante à Dieu, brille dans son corps immaculé comme une splendeur céleste, et elle n’est pas tant contenue par son corps, c’est plutôt elle qui le contient, le conserve, et lui communique son propre éclat. Son esprit est vraiment rempli de Dieu, bien qu’il n’y ait pas en elle la divinité, et son corps est tellement uni à son esprit que la Vierge en est toute pénétrée en Dieu. »
CONSTANTIN IX |
L’enchaînement des empereurs Byzantins de la dynastie Macédonienne...
A
sa mort, Basile II laisse derrière lui un Empire riche et
considérablement agrandi, comme il ne l’avait jamais été depuis
Justinien, cependant, les successeurs de Basile II ne parviennent pas
à conforter leurs nouvelles positions, et, une fois de plus,
l’Empire Byzantin entre dans une phase critique.
1)
Constantin VIII (1025 à 1028) né en 961, se retrouve seul à la
tête de l’Empire Byzantin, suite à la mort de son frère Basile
II. En effet, si en théorie le pouvoir est partagé entre les deux
hommes (chacun avait reçu le titre de co Empereur.), Constantin VIII
a laissé Basile II gouverner seul. Constantin VIII, qui est un
souverain faible, ne s’oppose pas aux exigences de l’aristocratie,
et ne défend pas les plus pauvres comme l’avait fait Basile II. En
novembre 1028, l’Empereur, malade, décide de marier sa seconde
fille Zoé avec le sénateur Romain Argyre (ce dernier, déjà marié,
est alors contraint de divorcer.). Constantin VIII meurt peu de temps
après.
2)
Romain III (1028 à 1034) descendant de Romain Ier Lécapène, est né
en 968. Sénateur, il est contraint de se séparer de sa première
épouse (qui est envoyée dans un monastère.) et d’épouser Zoé
afin d’accéder au pouvoir. En 1030, il tente une expédition en
Syrie, qui est un échec. Par la suite, Romain III se consacre à la
religion, édifiant plusieurs églises. En avril 1034, l’Empereur
est retrouvé mort alors qu’il est aux bains. Aujourd’hui, l’on
ne sait pas exactement s’il meurt de manière naturelle ou si son
épouse Zoé l'a empoisonné. Suite à la mort de son époux, cette
dernière se remarie avec son amant, Michel IV le Paphlagonien.
3)
Michel IV le Paphlagonien (1034 à 1041), né en 1010, Michel IV
commence sa carrière en entrant au service de Romain III en tant que
valet de chambre. Par la suite, il devient l’amant de l’impératrice
Zoé, qui le fait Empereur suite à la mort de son mari. Michel IV,
bien que de santé précaire, est un souverain compétent. Il confie
les finances de l’Empire à son frère Jean l’Orphanotrophe
(surnommé ainsi car directeur d’un orphelinat à Constantinople.),
et met en place une expédition contre la Sicile en 1038. Cependant,
l’assaut contre l’île est une nouvelle fois un échec. Michel IV
tente alors de renverser la vapeur en confiant la flotte à son beau
frère Étienne Calaphatès, en vain (les Byzantins se retirent en
1040.). L’année suivante, Michel IV mène une nouvelle campagne
contre la Bulgarie, et meurt peu de temps après. Zoé décide alors
d’adopter le neveu d’Étienne Calaphatès, qui monte sur le trône
en prenant le nom de Michel V.
4)
Michel V le Calaphatès (1041 à 1042) né en 1015, est adopté et
associé au trône en 1041 par l’Impératrice Zoé. L’Empereur,
dès son accession au trône, décide de mettre fin aux privilèges
de l’aristocratie Byzantine. Ces réformes radicales accroissent sa
popularité auprès du peuple, mais évidemment pas auprès de la
noblesse de l’Empire. Michel V, qui a déjà exilé son oncle Jean
l’Orphanotrophe dans un monastère, décide en avril 1042 de s’en
prendre à Zoé (qu'il veut envoyer dans un monastère afin de
pouvoir régner seul.). Cependant, accusé de régicide par la
population qui est attachée à la dynastie Macédonienne, Michel V
doit fuir Constantinople ; poursuivi, l’Empereur est capturé
et aveuglé, Zoé, rétablie sur le trône, épouse son amant du
moment, Constantin IX, qui accède ainsi au trône.
LA BASILIQUE SAINTE SOPHIE |
5)
Constantin IX le Monomaque (1042 à 1055) né en 1000, avait eu pour
première épouse une aristocrate Byzantine du nom de Pulchérie
Sklérian ensemble, ils ont une fille. Il est rappelé par
l’impératrice Zoé qui le choisit comme prince consort et qui
l’épouse le 11 juin 1042 la veille de son couronnement. Après la
disparition de Zoé à l’âge de 72 ans en 1050, il demeure seul
empereur jusqu’à sa propre mort d’une pleurésie le 11 janvier
1055. (Il est inhumé aux côtés de Maria Sklèraina dans le
somptueux tombeau qu’il s’est fait édifier dans le monastère de
Saint-Georges-des-Manganes, dont il est le fondateur). Le règne de
ce souverain est désastreux : les féodaux de l’Empire
prennent de plus en plus de puissance, comme cela est le cas en
Occident, Constantin IX dilapide le trésor impérial, sur
le plan intérieur, Constantin Monomaque néglige toute
administration et dilapide le trésor pour satisfaire ses caprices
les plus frivoles. C'est sous son règne que la dépréciation
monétaire s'accélère (passant de 0,1 % par an à 0,6 % par an). La
concavité de l'histamenon
augmente alors, comme pour affirmer la qualité et la
légitimité de la monnaie... La forme scyphate n'y est donc
associée, ni au Pantocrator (Christ magnifié), ni à l'or. En
revanche, on voit bien la signification idéologique du message, et
son opportunité : l'empereur est ici le représentant, et même la
représentation, de la Victoire. L’analogie avec les coupoles
en est amoindrie, la thèse de l’intentionnalité de la forme en
est renforcée.
Suivent 24 ans d’instabilité dynastique, de désastres militaires, de dépréciation monétaire de plus en plus vertigineuse. Les usurpateurs qui se succèdent maintiennent la forme scyphate (en forme de coupelle avec des bords évasées) pour le nomisma histamenon seul. La concavité augmente, comme pour affirmer la qualité de la monnaie et la légitimité de l’empereur. Le Christ occupe toujours le droit, avec des variantes dans le geste de la main. Notons que si un empereur (Isaac Comnène) s’y fait représenter en tenue militaire et non en costume sacré, il se fait critiquer par les dignitaires religieux De plus il perd beaucoup de territoires en Italie méridionale, face aux attaques : des Normandes, des Turcs Seldjoukides, des Pétchenègues, etc... qui deviennent menaçants, ainsi qu'en 1054 au Grand Schisme entre les Églises de Rome et de Constantinople. Constantin IX n’ayant pas d’enfants, c'est Théodora, la sœur de Zoé, qui monte alors sur le trône.
Suivent 24 ans d’instabilité dynastique, de désastres militaires, de dépréciation monétaire de plus en plus vertigineuse. Les usurpateurs qui se succèdent maintiennent la forme scyphate (en forme de coupelle avec des bords évasées) pour le nomisma histamenon seul. La concavité augmente, comme pour affirmer la qualité de la monnaie et la légitimité de l’empereur. Le Christ occupe toujours le droit, avec des variantes dans le geste de la main. Notons que si un empereur (Isaac Comnène) s’y fait représenter en tenue militaire et non en costume sacré, il se fait critiquer par les dignitaires religieux De plus il perd beaucoup de territoires en Italie méridionale, face aux attaques : des Normandes, des Turcs Seldjoukides, des Pétchenègues, etc... qui deviennent menaçants, ainsi qu'en 1054 au Grand Schisme entre les Églises de Rome et de Constantinople. Constantin IX n’ayant pas d’enfants, c'est Théodora, la sœur de Zoé, qui monte alors sur le trône.
6)
Théodora (1055 à 1056) (née vers 980.), suite à la mort de son
père Constantin VIII, elle est associée au pouvoir avec sa sœur
Zoé et son époux Romain III. Cependant, ce dernier a préféré
l’envoyer dans un couvent, où elle reste jusqu’en 1055. A cette
date, elle est mise sur le trône par la population de
Constantinople, attachée à la dynastie Macédonienne. En 1056, peu
de temps avant sa mort, elle adopte le général Michel VI (sans
doute influencée par les fonctionnaires de la cour.), et en fait son
successeur.
MOSAÏQUE BYZANTINE |
www.qantara-med.org/qantara4/public/show_document.php?do_id...
Le
travail fut achevé en 1048 sous Constantin
IX Monomaque
(1042-1055).
Une équipe de maçons byzantins envoyée par l'empereur
reconstruisit le ...
Michel Psellos (1018-1080) - Marie de Nazareth
pl.mariedenazareth.com/2230.0.html?L=0
De
1042-1055,
il est à la cour de l'empereur Constantin
IX Monomaque
(1042-1055).
En1045, il obtient la chaire de philosophie (consul des philosophes)
que ...
Les Macédoniens, de Constantin VIII à Michel VI (1025 à ...
www.histoire-fr.com/byzance_empire_byzantin_grandeur_decadence_5....
5°
Constantin
IX
le Monomaque
(1042 à 1055)
– Constantin
IX,
né en 1000, avait eu pour première épouse une aristocrate
byzantine du nom de Pulchérie ...
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