Cette
page concerne l'année 1065 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
ÉDOUARD III
LE CONFESSEUR DERNIER ROI SAXON D'ANGLETERRE
ÉDOUARD LE CONFESSEUR |
Né
à Islis, petit-fils de Richard Ier, duc de Normandie, et fils
d'Éthelred II, Édouard est choisi comme roi du vivant de son frère
aîné Hartha-Cnut (Canut), grâce à l'appui de Godwine, comte de
Wessex. À la mort de son frère, en 1042, il est « reconnu roi
par tous », mais n'est couronné qu'en 1043, cependant, malgré
l'appui qu'il a manifesté au roi, Godwine, est en butte à
l'hostilité de favoris Normands, et banni par Édouard dernier grand
roi Saxon de l’Angleterre (1042-1066).
Édouard
ce fils de Ethelred II dit « le mal avisé », (ou
Æthelraed II l’indécis, roi des Anglo-Saxons de 978 à 1016), et
de Emma de Normandie, fille de Richard Ier duc de Normandie en
Angleterre, vers l’an 1005, Imprégné de culture Normande,
profondément religieux, séjourne à deux reprises en Normandie. La
première fois de 1013 à 1014, avec ses parents en l’exil, suite
au massacre de la Saint Brice. Puis pour échapper à une Angleterre
en proie aux ambitions Danoises avec son frère Alfred. Il y demeure
même après que sa mère eut épousé le roi Canut de Danemark. Sous
le règne de Harold Ier, dit Harefoot (« Pied de lièvre »),
roi d’Angleterre de 1037 à 1040, son frère Alfred, en visite en
Angleterre, est arrêté par le comte de Wessex Godwine et, avec ou
sans sa complicité, on lui crève les yeux et on le met à mort. Au
fond de son cœur, Édouard ne pardonnera jamais ce crime à Godwine.
Emma
s’étant remariée avec Cnut le Grand, roi d’Angleterre et de
Norvège, Édouard quitte l’Angleterre. En 1035, à la mort de
Cnut, Édouard voit la Couronne d’Angleterre lui échapper au
profit de son demi-frère Harthacnut, fils de Cnut et de Emma, qui
lui demande de rentrer en Angleterre en 1041 tout en lui promettant
de l’accueillir parmi ses conseillers. Quand Harthacanut, son
demi-frère, monte sur le trône, Godwine fait venir Édouard, lui
témoigne sa faveur et reconnaît, semble-t-il, son droit à la
succession.
Édouard
III répondant à cette invitation emmène avec lui un certain nombre
de fidèles et de conseillers qu’il a connu lors de son long exil
Normand.
Un
an plus tard, le 8 juin 1042, Harthacnut meurt de manière soudaine
abandonnant le trône d’Angleterre à son demi- frère dont le
couronnement est célébré le 3 avril 1043 dans la cathédrale de
Winchester. Il est obligé de se mettre en bons termes avec Godwine
et épouse même sa fille Édith. Une fois en possession du pouvoir,
Édouard se débarrasse de la tutelle de Godwine, et se tourne alors
vers les Normands, invitant le duc Guillaume à venir en Angleterre
et lui promettant la succession au trône. La reine Edith est exilée
dans un couvent... L'année suivante Godwine regagne pourtant
l’Angleterre et reprend le pouvoir, Édouard III préférant se
plier à sa volonté plutôt que de prendre les armes...
A
peine arrivé au pouvoir, Édouard III tombe sous l’emprise de
Godwine, comte de Wessex, un des plus puissants personnages du
royaume... Au fil des ans le pouvoir de Godwine ne cesse de croître.
Édouard, conscient d’avoir contribué à l’ascension de Godwine
et se sentant menacé, la rupture entre le roi et le comte de Wessex
devient dès lors inévitable.
En
1052, Godwine et ses fils lèvent des hommes en Irlande et en
Flandre, dévastent l'ouest de l'Angleterre, et, arrivent à
Londres... Le roi se réconcilie avec Godwine et la puissance de ce
dernier et de sa famille ne fait que croître.
Le
triomphe de Godwine sera éphémère puisqu’il décède subitement
au cours du mois d’avril 1053, son fils Harold II lui succède à
la tête de son comté, sa fille, Édith, revient à la cour...
Édouard III fait preuve de douceur et d’affabilité envers tous.
Il mène une vie pieuse et austère, donnant aux pauvres avec
générosité...
SAINT ÉDOUARD |
Après
bien des querelles pour le pouvoir en Angleterre, la situation n'est
pas bien claire. Les Danois avec le roi Canut règnent sur l'est du
pays, la Norvège et le Danemark. Edmond « Côte de Fer »
prince d'Angleterre a été assassiné et sa femme s'est réfugiée
en Normandie. Édouard, son demi-frère, revient en Angleterre et y
rétablit la couronne par sa sagesse, son humilité et sa compétence.
Il cherche toujours l'entente et la réconciliation là où c'est
possible. Les expéditions Danoises échouent. Le royaume connaît
une période moins troublée...
COURONNEMENT D’ÉDOUARD III |
C’est
probablement à cette période qu' Édouard III reçoit son cousin
Guillaume de Normandie à la cour d’Angleterre et qu’il fait de
lui son successeur légitime, promesse réitérée, semble t-il, au
printemps 1064, lors de la venue de Harold en Normandie. En effet,
Édouard III ayant fait vœu de chasteté, son mariage avec Édith,
fille de Godwine, est un échec et laisse planer le doute quant à sa
succession. Excellent homme mais piètre roi, puisque les avances
qu’il fait aux Normands préparent la voie à la conquête
Normande, Édouard le Confesseur, connu aussi comme « le bon
roi Édouard » procure à son pays une période de prospérité
et de stabilité. Pourtant les guerres continuent de se succéder
entre Gallois et Anglais, entre les partisans d'Harold et ceux de
Malcolm en Écosse, ce qui n'empêche pas Saint Édouard de légiférer
pour son royaume afin d'y établir une meilleure justice et une plus
une grande attention aux pauvres.
… [C'est
le dernier roi à régner sur l'Angleterre avant la conquête de ce
pays par les Normands de Guillaume le Conquérant... Il avait horreur
du sang versé, son peuple le chérissait, aussi éminent par sa
piété que par sa générosité, il sut se faire l'ami des petites
gens et fut vite l'objet d'un culte populaire, mais il n'était pas
fait pour être roi.]...
Pieux,
exempt d’ambitions, bien plus préoccupé du bien-être d’autrui
et de son salut devant l’éternel que de son royaume, le règne
d’Édouard le Confesseur n’en sera pas moins marqué par la
prospérité et une paix quasi ininterrompue à l’exception d’une
incursion au Pays de Galles pour prêter main forte au roi Malcolm
III d’Écosse. Après plus de 23 ans de règne, le vieux roi décède
le 6 janvier, après avoir, semble-t-il, offert sur son lit de mort
la couronne d’Angleterre à son beau-frère Harold, fils de Godwine
…
...[
Une légende est associée au Roi, à la fin de sa vie, Edward qui se
trouve dans l’Essex se voit demander l’aumône par un vieil
homme. Comme le Roi n’a pas d’argent à lui donner, il lui offre
une des énormes bagues qu’il porte aux doigts... Quelques années
plus tard, deux pèlerins qui se promènent sur les terres sacrées
se perdent. Ils sont aidés par un vieil homme qui (quand il sut que
les pèlerins venaient d’Angleterre) se présente comme étant
l’apôtre Jean. Ce dernier demande aux voyageurs de ramener la
bague appartenant au Roi et de lui dire que dans 6 mois, il sera
appelé au paradis...]...
Ayant
fait le vœu de se rendre en pèlerinage à Rome, mais, l’instabilité
de son royaume, oblige le pape à consentir à le délier de ce vœu,
en reconnaissance, Édouard III réside à Londres et à Westminster
où il fait construire sa cathédrale, restaure et embellit l’abbaye
de Westminster, le jour où cette abbaye est consacrée (28 décembre
1065), Édouard III est absent.... Il meurt quelque temps après sa
dédicace, ayant contracté une grave maladie, dont il meurt, le 5
janvier.
À
la mort d'Édouard le Confesseur, c'est Harold, fils de Godwine, qui
lui succède, Édouard III l'avait désigné au Conseil comme son
héritier, malgré de sombres pressentiments suscités par les
ambitions de Guillaume de, et, malgré le serment que Harold avait
été contraint de prêter en 1065 de laisser la couronne au duc
Normand... Harold est vaincu par Guillaume de Normandie, l'année
suivante...
Le
13 Octobre 1163, le corps de Saint Édouard est transféré dans un
tombeau conçu spécialement pour lui et c’est à ce moment là
qu’on lui retire sa bague pour la déposer avec les autres reliques
de l’abbaye. Le Roi Henry III porte une grande admiration à
Edouard III et décide de reconstruire son Abbaye dans un magnifique
style gothique. Il érige aussi un nouveau tombeau avec des mosaïques
venant d’Italie. le malades viennent en pèlerinage sur le tombeau
et prie pour leur guérison, beaucoup de personne voue un culte à
Saint Edouard et le considère comme le Saint Patron de l’Angleterre.
Cependant, après la mort d’Henri III, le culte décline et
finalement, c’est Saint Georges qui devient le Saint Patron de
l’Angleterre.
Puis
le monastère de Westminster est dissout par Henri VIII en 1540 et le
tombeau pillé. Le corps de Saint Édouard est relégué dans un
sombre endroit de l’Abbaye... Plus tard, Marie Ier restaure le
cercueil et remplace les bijoux volés par de nouveaux. Le tombeau
est maintenant au centre de l’Abbaye... 5 rois et 4 reines reposent
dans sa Chapelle.
On a souvent du mal à cerner le rôle tenu par l’abbaye de Westminster, tout simplement parce qu’elle représente un monument dont l’histoire est largement liée avec celle de la ville de Londres. Aujourd’hui davantage un lieu historique que religieux, l’abbaye de Westminster est prestigieuse grâce aux événements qui s’y sont déroulés.
LE TRÔNE DES ROIS D'ANGLETERRE |
L’histoire
de cet édifice remonte à 1050 alors qu’Édouard le Confesseur
décide de construire une abbaye dédiée à l’apôtre Saint
Pierre. Consacrée en 1065, elle connaît rapidement des
transformations sous le règne du roi Henri III au XIIIe siècle,
lequel décide de la reconstruire dans le style architectural
gothique.
Au
début du XVIe siècle, on assiste à la construction d’une
chapelle annexe décidée par le roi Henri VII dans un style
renaissance, faisant appel à des artistes Italiens.
L’aspect
religieux de cet édifice est suspendu sous le règne du roi Henri
VIII qui provoque la séparation de l’Angleterre avec le Pape, ce
qui oblige les moines bénédictins y logeant à quitter les lieux.
Ce n’est que sous le règne d’Élisabeth Ière que l’abbaye
retrouve sa fonction religieuse.
L’Abbaye
de Westminster tient le rôle de lieu de couronnement de la monarchie
Britannique. Le premier roi à y être sacré est Guillaume le
Conquérant en 1066, et pour le moment la reine Élisabeth II est le
dernier monarque à y avoir été couronnée.
Elle
est depuis le XVIe siècle le siège de l’Église anglicane
instaurée par la reine Élisabeth Ière, mais elle sert aussi de
nécropole royale où on compte pas moins de 3 000 tombes et
cénotaphes...
La
renommée de l’abbaye prend un tournant en devenant un lieu
d'émotion au XXe siècle Le développement des technologies
audiovisuelles permettent ainsi à tout le pays, mais aussi au monde
entier d’assister aux événements comme l’inhumation du soldat
inconnu ou le couronnement la reine reine Élisabeth II.
C’est
là aussi que la dépouille de Winston Churchill fut posée avant sa
mise en terre.
Dans
l’abbaye on peut voir le trône des rois qui est utilisé depuis
1308 pour les couronnements, la somptueuse nef où il y a de nombreux
tombeaux, mais aussi le cloître et la chapelle Henri VII,
communément appelée « Lady Chapel » un vitrail
représente la bataille d’Angleterre...
ABBAYE DE WESTMINSTER ( le mariage de Catherine et William) |
Explication
de la tapisserie de Bayeux :
En
cette année 1064, Édouard le Confesseur roi d'Angleterre reçoit en
son palais (vraisemblablement celui de Winchester) son beau-frère le
comte de Wessex Harold Godwinson, principal représentant du parti
anglo-saxon à la succession au trône. Au cours de cet entretien, il
le charge de se rendre en Normandie avertir son cousin, le duc
Guillaume, qu'à défaut d'héritier direct, il l'a choisi comme
successeur. Il confirme ainsi la promesse formelle que le roi a faite
au duc de Normandie plusieurs années auparavant, en 1051.
Mais
le navire du comte Harold dérive. Au lieu d'aborder sur les côtes
Normandes, ses compagnons et lui accostent près de l’embouchure de
la Somme sur les terres inhospitalières du comte Guy de Ponthieu. Ce
dernier entend bien profiter de son droit seigneurial de bris de
naufrage.
Le
comte Guy 1er de Ponthieu gouverne son comté depuis la mort de son
frère Enguerrand II, tué en 1053 en luttant contre Guillaume de
Normandie. A la suite de cet épisode, ce comté devient vassal du
duché Normand.
Le
duc de Normandie est contraint de négocier la libération d’Harold,
retenu au château de Beaurain dans la région d’Abbeville, contre
rançon : un beau château en bordure du duché et les terres
qui en relèvent !
Scènes 7 à 13.
Le
comte Harold est maintenant l'hôte du duc de Normandie, qui l'invite
dans son château de Brionne. Il lui accorde une audience solennelle
très animée. Le comte raconte peut-être son naufrage et parle de
la mission dont l'a chargé le roi Édouard. Quant à Guillaume, on
imagine qu’il lui fait part de sa décision de ceindre la couronne
d’Angleterre.
Pour
compenser habilement la déception possible du comte Harold, on
assure que Guillaume lui offre sa fille aînée en mariage. Sous un
portique une adolescente reçoit d'un clerc tonsuré un léger
soufflet, signe éventuel de confirmation de fiançailles... Par la
suite, le duc convie le comte à participer à l’expédition
militaire qu’il va mener contre Conan II duc de Bretagne.
Franchissant la baie du Mont-Saint-Michel, reconnaissable à son
église construite sur le roc, les troupes assiègent Dol, Rennes
puis Dinan. Enfermé dans les fortifications de bois vulnérables de
cette ville, Conan ne tarde pas à capituler et remet de la pointe de
sa lance les clefs de la ville à son vainqueur
Durant
cette campagne, le duc Guillaume tient à rendre hommage au comte
Harold pour sa vaillance et lui donne les armes. Nouveau chevalier
Normand, il est désormais l'homme lige de Guillaume. Scènes
14 à 21.
Enfin,
le comte de Wessex prête serment de fidélité au duc de Normandie
sur les reliques de la cathédrale de Bayeux. Les témoins de cette
scène, très attentifs, soulignent par l’expression de leurs
visages et leurs index levés, la gravité de cet engagement sacré.
Scènes 22 à 24.
Lié
par ce fatal serment, le comte Harold regagne l'Angleterre où
il rencontre le vieux roi Édouard III, qui fatigué par la maladie
décède dans la nuit du 4 au 5 janvier. Celui-ci est inhumé dans
l'abbaye de Westminster tout juste terminée et consacrée à
Saint-Pierre apôtre le 28 décembre 1065.
ABBAYE DE WINTMINSTER |
Au
lendemain même des funérailles, le Witangemot, l’assemblée des
notables, décide d’offrir au comte Harold la couronne
d’Angleterre. En dépit de son serment, il accepte et règne sous
le nom de Harold II. Il est couronné par Stigant, Archevêque de
Cantorbéry, le 6 janvier.
Mais
bientôt, un signe de mauvais présage apparaît dans le ciel :
le passage d’une étrange étoile à la chevelure étincelante. Il
s’agit de la comète de Halley visible une semaine entière du 24
avril au 1er mai 1066. Scènes
25 à 33.
Apprenant
la nouvelle, le duc de Normandie sollicite les conseils de son
demi-frère Odon de Conteville, évêque de Bayeux, qui lui suggère
de préparer une flotte et de se rendre en Angleterre afin de punir
le parjure.
A
la mi-août 1066, le regroupement de la flotte s’effectue à
l’embouchure de la Dives et dans les ports environnants. Mais la
traversée est reportée jusqu’au soir du 27 septembre 1066.
Au
cours de cette nuit-là, près de 400 navires prennent le large avec
près de 15 000 hommes et deux mille chevaux à bord. Parmi les
bateaux se distingue le Mora, navire ducal offert par la duchesse
Mathilde, qui porte au sommet de son mât un fanal béni par le pape,
le fameux vexillum
sancti Petri.
Scènes 34 à 38.
Au
matin du 28 septembre 1066, la flotte accoste au petit port de
Pevensey dans le Sussex et les Normands se dirigent vers Hastings où
ils prennent position. Scènes
39 à 47.
Les
troupes de Harold, quant à elles, viennent de remporter dans la
région de York la victoire sanglante de Stamford Bridge le 25
septembre 1066 sur les Norvégiens alliés à Tostig, le propre frère
du roi. Elles rejoignent donc Hastings, réduites et épuisées, au
matin du 14 octobre 1066, la bataille décisive s’engage.
Conformément aux usages du temps Guillaume armé du bâton de
commandement, prononce l’habituelle harangue du chef.
Précédés
par des archers, les cavaliers Normands galopent en une longue
chevauchée et fondent sur les fantassins Anglais protégés par un
mur de boucliers. Au cours du combat, les frères du roi, Lewine et
Gyrd sont tués. Les morts sont si nombreux qu’ils envahissent la
bordure inférieure de la Tapisserie. Mais la lourde cavalerie
Normande s’effondre au pied d’une colline entourée d'un marécage
renforcé de pieux pointus. Ce ravin sanglant sera prénommé plus
tard la Malfosse.
C’est sur cette colline que se sont regroupés les Anglais. Les
Normands se replient dans le désordre. L’issue du combat reste
indécise. Afin de rassurer les siens, le duc Guillaume est contraint
de relever son casque et de se faire reconnaître de ses soldats.
Auprès de lui, Eustache de Boulogne, tenant entre ses mains le
gonfanon ducal, confirme qu'il s'agit bien du duc Guillaume en le
désignant du doigt. Les Normands reprennent alors courage et se
lancent dans un assaut final. Malgré la protection de ses troupes
d’élite, Harold est atteint mortellement d’une flèche dans
l’œil droit. La retraite des troupes Anglaises prend alors la
forme d’une véritable débandade. Scènes
48 à 58.
LA PREMI7RE SC7NE DE LA TAPISSERIE DE BAYEUX |
Ainsi
s’achève brutalement le récit brodé sur la Tapisserie, au soir
du 14 octobre 1066...
Les ducs de Normandie et les rois de France: 911-1204
books.google.fr/books?isbn=2851571532
Alain
de Sancy - 1996 - France
En
l'honneur de Saint-Pierre auquel Edouard voue un culte particulier,
le roi fait ... seront consacrés le 28 décembre 1065,
Edouard malade n'assistera pas à la ... Heureusement Edouard
le Confesseur
n'oublie pas ses liens familiaux avec ...
Edouard le Confesseur - Normandie Héritage
www.normandie-heritage.com/spip.php?article129
A
la mort du roi Edouard
le Confesseur,
le 6 janvier 1066, se pose une ... normand, et qui avait été
consacrée, quelques jours auparavant, le jour de Noël 1065.
Édouard le Confesseur | Martyrs et Saints
www.martyretsaint.com/edouard-le-confesseur/
21
mai 2009 - Saint Édouard
le Confesseur
Roi des Anglo-Saxons (1042-1066) ... de Westminster fut consacrée,
le 28 décembre 1065,
Édouard était absent.
Site Officiel de la Tapisserie de Bayeux :Au cœur du récit
www.tapisserie-bayeux.fr/index.php?id=408&no_cache=1&id...
En
cette année 1064, Edouard
le Confesseur
roi d'Angleterre reçoit en son palais ... tout juste terminée et
consacrée à Saint-Pierre apôtre le 28 décembre 1065.
La grandeur de l'Angleterre perdure, et nous, nous nous ridiculisons avec des trolls qui se prennent très au sérieux et ne font rien de sérieux hélas. A bientôt amie historienne.
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