Cette
page concerne l'année 1073 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
UN
ORDRE NOUVEAU DANS L’ÉGLISE !
Ce nouveau pape modifie profondément l'Église catholique pour la rendre plus morale et surtout plus indépendante des seigneurs et des souverains.
Ses mesures restent connues sous le nom de « Réforme Grégorienne », certaines, toutefois, ont déjà été ébauchées par ses prédécesseurs sous son inspiration. Elle apparaissent avec Léon IX, pape imposé à Rome en 1049 par Henri III, le plus énergique de tous les empereurs Germaniques. Pendant les 5 années de son pontificat, Léon IX n'a de cesse de parcourir l'Occident pour réformer l'institution ecclésiastique et résoudre deux problèmes majeurs :
- la simonie, c'est-à-dire le trafic des biens d'Église contre argent. Le mot simonie vient de Simon le Magicien, un personnage légendaire qui aurait offert à l'apôtre Saint Pierre de lui acheter le don de faire des miracles.
- le mariage et le concubinage des prêtres (nicolaïsme), précédemment tolérés : les prêtres mariés sont en effet tentés de s'enrichir et de constituer une rente au profit de leurs descendants, privant l'Église des moyens matériels indispensables à l'accomplissement de sa mission... Pour réussir dans son entreprise, le pape qui, au début du Moyen Âge, est simplement considéré comme l'évêque de Rome, veut imposer sa prééminence sur les autres évêques. C'est ainsi que s'élargit le fossé entre l'Église de Rome, qui prétend au qualificatif de catholique, c'est-à-dire universelle, et l'Église de Constantinople, qui se qualifie d'orthodoxe (en grec : conforme à la vraie Foi).
Grégoire VII commence par proscrire le mariage et le concubinage des prêtres puis condamne fermement la simonie. Il s'attelle ensuite à la formation des curés qui sont trop souvent incultes, se soucient assez peu d'évangéliser leurs ouailles.
Enfin, par 27 propositions célèbres de 1075 (le Dictatus papae), il réserve au collège des cardinaux l'élection des papes, il condamne les investitures laïques, c'est-à-dire le droit qu'ont les souverains de nommer les évêques. C'est une révolution dans un monde où, selon la tradition antique, on est encore porté à penser que l'empereur est le représentant de Dieu sur la Terre et que le clergé a vocation à le servir...
Né
entre 1015 et 1020 à Soano, en Toscane, dans une famille sans doute
modeste, Hildebrand vient très tôt à Rome, où il étudie au
monastère Sainte-Marie de l'Aventin et fait probablement profession
monastique. Il passe ensuite au service du pape Grégoire VI et,
lorsque l'empereur Henri III dépose celui-ci pour son indignité, il
le suit en exil en Allemagne. Revenu à Rome sous Léon IX, il
vit alors à l'abbaye de Saint-Paul, mais en est tiré par Étienne
IX qui l'envoie annoncer à la Cour Germanique qu'il a été élu
sans la traditionnelle intervention de l'empereur... Hildebrand
s'acquitte au mieux de cette tâche et sait se faire estimer du parti
réformateur Allemand, qui veut appuyer la réforme du clergé sur
une étroite coopération entre le Sacerdoce et l'Empire.
En
1059, Nicolas II le promeut archidiacre de l'Église romaine, lui
donnant ainsi une position fort importante. Il est ensuite le
conseiller le plus écouté du pape Alexandre II, qui commence
alors à mettre en œuvre une réforme plus radicale et à se méfier
du jeune roi de Germanie, Henri IV, qui est moins disposé à la
collaboration. C'est sous ce pontificat, semble-t-il, qu'il adopte
les thèses du parti le plus ferme en matière de restauration.
Les
papes, au début du Moyen Âge, sont élus par le peuple de Rome en
tant qu'évêques de la Ville Éternelle. Ces élections se déroulent
sous la pression des grandes familles qui se partagent le territoire
de la ville.
Dans
les dernières décennies de l'ère Carolingienne se succèdent des
papes qui n'ont rien des qualités spirituelles qu'on leur prête...
Brigands, jouisseurs, voleurs, guerriers, ils se comportent en chefs
de gang, accumulant richesses sur richesses dans leur résidence
officielle du Latran.
Ainsi,
au début du IXe siècle, un certain Étienne VI fait-il exhumer et
juger (!) la dépouille d'un prédécesseur, Formose, qui l'avait
offensé de son vivant. Lui-même et ses successeurs immédiats sont
assassinés ou exécutés.
Le
pire est atteint avec Octavien (Jean XII), élu en 955, à 18 ans,
sous la pression de son père Albéric, un aventurier qui gouverne
Rome pendant 20 ans. jouisseur invétéré, le pape Jean XII appuie
le roi de Germanie, Otton, contre le roi d'Italie, Bérenger II, il
confère à Otton le titre d'empereur d'Occident pour le remercier de
l'avoir sauvé des griffes de Bérenger II. En retour, le nouvel
empereur s'autorise un droit d'intervention sur les élections
pontificales à venir. Mais à peine l'empereur a-t-il le dos tourné
que Jean XII se rallie à son ancien ennemi, Bérenger II !
Otton
n'apprécie pas la plaisanterie et revient sur ses pas. Le 6 novembre
963, il fait déposer le pape pour immoralité et le remplace par
Léon VIII. Les Romains, qui ne veulent pas d'un Empereur Germanique,
rappellent Jean XII. Celui-ci châtie avec férocité ceux qui l'ont
trahi mais il meurt l'année suivante... sans doute assassiné par un
mari jaloux !
Dédaigneux
de Léon VIII, le pape de l'empereur, les Romains élisent à sa
place Benoît V. L'empereur sévit une nouvelle fois et châtie à
son tour les partisans de ce nouveau pape... Pendant de nombreuses
années, plusieurs papes se disputent le trône de Saint-Pierre, les
uns soutenus par l'empereur Germanique, les autres par les Romains.
À
considérer ce scandale permanent, on peut penser que c'en est fini
de l'Église catholique et de la papauté ! Mais le salut va venir du
clergé régulier, celui qui vit selon une règle
monastique.
Les
prémices de la réforme apparaissent avec Léon IX, pape imposé à
Rome en 1049 par Henri III, le plus énergique de tous les empereurs
germaniques. Pendant les cinq années de son pontificat, Léon IX n'a
de cesse de parcourir l'Occident et de réunir évêques et abbés en
synodes pour les convaincre de l'urgence de réformer l'institution
ecclésiastique.
L'évêque
Yves de Chartres et les moines de Cluny sont les principaux
inspirateurs de la « Réforme Grégorienne »
qui vise à instaurer l'autorité du pape sur la chrétienté et à
ne plus cantonner le Saint-Siège dans les fonctions symboliques qui
sont jusque-là les siennes.
De
leur côté, plusieurs empereurs Allemands ont fait des efforts très
sincères pour relever la papauté de l'avilissement où elle est
tombée, et pour réformer les mœurs du clergé.
En
1048, Brunon, évêque de Toul et parent de l'empereur, est proclamé
pape par une diète tenue à Worms. Il n'accepte qu'à la condition
d'obtenir le consentement du clergé et du peuple romains ;
confirmé dans cette résolution par Hildebrand, dont il a remarqué
les talents et la vie austère, et qu'il veut attacher à sa
personne. Celui-ci le persuade de quitter ses vêtements épiscopaux
et de se rendre à Rome comme un simple pèlerin, pour demander le
renouvellement et la confirmation de sa nomination. Élu par le
clergé et par le peuple (12 février 1049), Brunon prend le nom de
Léon IX, nomme Hildebrand sous-diacre et le charge de
l'administration des revenus du Saint-Siège, laquelle est dans le
plus grand désordre. Les actes les plus importants de ce pontificat
sont conseillés et dirigés par Hildebrand, dont l'influence ou
plutôt l'autorité s'accroît de jour en jour. Il en est de même
sous les successeurs de Léon IX :
Victor
II (1055-1057).
Étienne
IV (1057-1058).
Nicolas
II (1058-1061).
Alexandre
II (1061-1073).
Les
règnes de ces papes ne forment guère que des chapitres de
l'histoire de Hildebrand... Avant de devenir pape lui-même, il a été
pendant 25 ans, non seulement le conseiller, mais le directeur des
papes, et même faiseur de papes. Les vers suivants, qui lui sont
adressés par Pierre Damien, sous le pontificat d'Alexandre II,
montrent la souveraineté dont il est investi aux yeux de ses
contemporains, même avant son couronnement :
« Papam rite colo, sed te prostratus adoro;
Tu facis hunc dominum, te facit ipse Deum ».
Aussitôt
après la mort d'Alexandre II, Hildebrand est élu par les cardinaux,
sous la pression tumultueuse du peuple. Cette élection effraie les
évêques, qui redoutent sa sévérité. Comme on n'a pas attendu,
pour y procéder, le consentement impérial, ainsi que l'exige encore
le droit établi, les évêques de France, qui ont subi l'expérience
de son zèle réformateur, quand il est venu chez eux comme légat,
supplient l'empereur Henri IV de ne pas reconnaître ce pape.
Hildebrand
en sollicite la confirmation, et il ne prend possession du siège
apostolique qu'après l'avoir obtenue, mais, dans l'intervalle, il a
accompli des actes importants du pouvoir pontifical. Il adopte le nom
de Grégoire, et on attribue généralement ce choix au souvenir
pieux qu'il avait voué à Grégoire VI...
Dès
son avènement :
Il
réclame, en vertu de la donation de Constantin, la Corse, la
Sardaigne et même l'Espagne.
Il
soutient que la Saxe a été donnée au Saint-Siège par Charlemagne.
La
Hongrie par le roi Étienne.
Il
réclame de la France le denier de Saint-Pierre.
Mais,
comme la poursuite de ces prétentions aurait rencontré des
résistances fort difficiles à surmonter, il concentre tous ses
efforts dans la lutte qu'il a commencée sous ses prédécesseurs,
pour réduire les prêtres au célibat, réprimer la simonie, et, ce
faisant, affranchir l’Église de toute dépendance envers les
laïques et soumettre tous les chrétiens à sa juridiction
souveraine.
Dès
l'an 303, au concile d'Elvire, près de Grenade, l'Église a
recommandé la chasteté et le célibat à ses membres, par souci
d'élévation morale mais cette recommandation a été peu appliquée
par la suite. Le Saint-Siège a dû tolérer le mariage et le
concubinage des prêtres, en particulier des séculiers.
Dans
un concile tenu à Rome (1074), Grégoire fait interdire l'entrée
des églises aux prêtres coupables de fornication, (prêtres mariés
ou vivant en concubinage). Le même concile condamna, comme simonie,
toute investiture de bénéfice ou de dignité ecclésiastique,
donnée par des laïques; défendant, en conséquence, aux seigneurs
de la donner, et aux évêques et aux abbés de la recevoir.
L'exécution de ces décisions est poursuivie en divers pays, avec
des différences qui semblent montrer que chez Grégoire la rigueur
n'excluait pas complètement la souplesse.
Dès
1073, il a attaqué Philippe Ier, roi des Francs, pour simonie, en
1074, il essaie de soulever contre lui les évêques de son royaume,
il leur écrit :
«
Entre tous les princes qui, par une cupidité abominable, ont vendu
l’Église de Dieu, nous avons appris que Philippe, roi des Francs,
tient le premier rang. Cet homme, qu'on doit appeler tyran et non
roi, est la tête et la cause de tous les maux de la France [...].
S'il ne veut pas s'amender, qu'il sache qu'il n'échappera pas au
glaive de la vengeance apostolique. Je vous ordonne de mettre son
royaume en interdit. Si cela ne suffit pas, nous tenterons, avec
l'aide de Dieu, par tous les moyens possibles, d'arracher le royaume
des Francs de ses mains; et ses sujets, frappés d'un anathème
général, renonceront à son obéissance, s'ils n'aiment mieux
renoncer à la foi chrétienne. Quant à vous, sachez que, si vous
montrez de la tiédeur, nous vous regarderons comme complices du même
crime, et que vous serez frappés du même glaive. »
Philippe
promet de s'amender, mais continue sa « mâle vie », les évêques
ne mettent pas le royaume en interdit, et le pape s'abstient de
donner suite à ses menaces.
En
Angleterre, où Guillaume est conseillé et soutenu par Lanfranc,
archevêque de Canterbury, le concile de Winchester (1076) mitige, de
sa propre autorité, les décrets romains sur le célibat, en
permettant aux prêtres des villages et des châteaux de garder leurs
femmes, le roi continue d'exercer le droit d'investiture, et le pape
cède ou se tait.
C'est
contre l'empereur Henri IV que Grégoire VII dirige tous ses efforts.
II y est encouragé par les rebellions des sujets de ce prince qui
leur avait donné de trop nombreux sujets de mécontentement. Après
plusieurs péripéties (excommunications, entrevues, et traités).
L'empereur fait renouveler par les conciles de Mayence et de Brixen
la déposition de Grégoire VII. A Brixen (juin 1080), il fait élire
un antipape, archevêque de Ravenne, qui prend le nom de Clément
III.
En mars 1081, Henri passe en Italie, ravage les domaines de la comtesse Mathilde, puis marche sur Rome.
Après 3 attaques repoussées, il entre dans la ville, dont les nobles lui ont livré les portes (1084), il y installe son pape Clément III, qui le couronne empereur.
Grégoire,
enfermé dans le château Saint-Ange, est délivré par Robert
Guiscart, qu'il a excommunié en 1074, mais avec qui il s'est
réconcilié pour résister à Henri IV.
Ne
pouvant rester à Rome, où le peuple lui reproche les horreurs
commises par les Normands, ses alliés, il se retire avec eux à
Salerne. C'est là qu'il meurt, environ une année après. On dit que
ses dernières paroles ont été : J'ai aimé la justice et haï
l'iniquité, c'est pourquoi je meurs en exil.
Avant
de mourir, il a levé toutes les excommunications prononcées par
lui, à l'exception de celles qui concernent Henri IV, l'antipape
Guibert, leurs fauteurs et leurs adhérents... tous ses
adversaires !...
L'Église
sort considérablement rajeunie de la Réforme Grégorienne.
Elle entraîne l'Occident médiéval dans une expansion sans
précédent, illustrée par la construction d'églises et de
cathédrales, l'éclosion des Universités et une relative paix
civile. Les croisades seront une conséquence plus contestable du
renouveau de la foi en Occident.
Paul
II a permis à l'archevêque de Salerne de l'honorer comme Saint
Grégoire
XIII introduit son nom dans le calendrier romain. A la fin de son
pontificat (1729),
Benoît
XIII autorise sa légende et condamne les écrits composés contre
cette canonisation qui est vivement repoussée en France et en
Allemagne, à cause des entreprises de Grégoire contre les droits
des Églises nationales et surtout contre ceux de l’État,
représenté par les princes.
Raoul
Glaber, un clerc Bourguignon du XIe siècle, mort en 1047, reste
connu pour ses chroniques de l'époque de l'An Mil. Il témoigne du
renouveau qui saisit l'église d'Occident à la veille de l'élection
de Grégoire VII.
Son
texte ci-après annonce l'art roman :
« Comme approchait la troisième année qui suivit l'an mil, on vit dans presque toute la terre, mais surtout en Italie et en Gaule, rénover les bâtiments des églises, une émulation poussait chaque communauté chrétienne à en avoir une plus somptueuse que celles des autres. C'était comme si le monde lui-même se fut secoué et, dépouillant sa vétusté, eut revêtu de toutes parts une blanche robe d'églises » (Histoires) .
« Comme approchait la troisième année qui suivit l'an mil, on vit dans presque toute la terre, mais surtout en Italie et en Gaule, rénover les bâtiments des églises, une émulation poussait chaque communauté chrétienne à en avoir une plus somptueuse que celles des autres. C'était comme si le monde lui-même se fut secoué et, dépouillant sa vétusté, eut revêtu de toutes parts une blanche robe d'églises » (Histoires) .
À
la suite de la « Réforme Grégorienne », les XIe et XIIe
siècles vont entraîner la naissance de l'art roman
(ou romain, c'est-à-dire d'inspiration latine). Différentes
provinces périphériques de France en conservent de précieux
témoignages. Ainsi l'église de la Madeleine, à Vézelay, en
Bourgogne, Notre-Dame-la-Grande, à Poitiers, ou encore l'église
Saint-Front, à Périgueux.
frenchinfluence.over-blog.fr/article-22-avril-1073-68199487.html
27
févr. 2011 - source : http://www.herodote.netHildebrand devient pape
le 22 avril 1073
et prend le nom de Grégoire
VII.Ce
moine d'environ 50 ans, ...
22 avril 1073 - Grégoire VII et la réforme grégorienne ...
www.herodote.net/22_avril_1073-evenement-10730422.php
14
mars 2013 - Hildebrand devient pape le 22 avril 1073
et prend le nom de Grégoire
VII.
Ce moine d'environ 50 ans, originaire de Soana, en Toscane,
s'était ...
GRÉGOIRE VII saint, HILDEBRAND - Encyclopædia ...
www.universalis.fr/encyclopedie/gregoire-vii-hildebrand/
GRÉGOIRE
VII
saint, HILDEBRAND (1020 env.-1085), pape (1073-1085).
L'un des papes les plus importants de l'histoire, personnage tenace
et courageux, ...
Grégoire VII (pape).
www.cosmovisions.com/GregoireVII.htm
Grégoire
VII
(Saint), 162e' pape, élu le 22 avril 1073,
mort le 25 mai 1085. Paul Il avait permis à l'archevêque de Salerne
de l'honorer comme saint; Grégoire XIII ...
La chrétienté avait à peine plus de mil ans, les églises, les monastères se construisent un peu partout, que des règles furent nécessaires. L'Eglise d'Orient et d'Occident ne faisaient qu'une, puis voilà Grégoire qui décide de réformer ou de changer quelques pratiques, séparation. Il est dommage que l'histoire pure, de la chrétienté ne soit pas enseignée réellement sans faire du prosélytisme pour autant ce qui est valable pour les deux autres religions monothéistes d'ailleurs chez nous. Nos jeunes ne sont guère formés et ne sont pas capables par la suite de comprendre les textes sacrés. Ils confondent la religion, la foi et les comportements ecclésiastiques.... En France je trouve que l'enseignement historique et religieux est bien médiocre. En revanche en Espagne, je suis toujours étonnée positivement de la manière dont elle est abordée. Mes neveux ont une formation très solide. Ma nièce est toujours chez les Frères des Ecoles chrétiennes, mon neveu est aujourd'hui étudiant en médecine, ceci pour dire que l'histoire chrétienne est enseignée dans cet établissement comme tous les établissements religieux, comme une matière à part entière. On n'est pas obligé de croire, mais la connaissance est importante pour en parler en connaissance de cause et non sur des préjugés glanés ici et là..... Merci Chantal pour cette intéressante page.
RépondreSupprimerPersonnellement je trouve un peu dommage, même dommageable que Saint Grégoire ait initié la séparation des Églises romaines et byzantines... Et comme vous, je déplore que l'enseignement privent les élèves et les étudiants de pans entiers d'histoire du monde... Bonne soirée chère amie.
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