27
MARS 2017...
Cette
page concerne l'année 33 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
JÉSUS DE NAZARETH
Jésus
ou Jésus de Nazareth (8–4 av.-J.C. — 30–33) et appelé
également Jésus-Christ par les chrétiens (grec : Iesous Christos),
(Jésus vient de l'hébreu signifiant Dieu est salut, et Christ est
la traduction grecque du terme hébreu « Messie » (machiakh), celui
qui est oint) est le personnage central du christianisme, il est
considéré par les chrétiens comme le Messie et le Fils de Dieu
(vrai Dieu et vrai homme, en une seule personne). Les catholiques,
les protestants et les orthodoxes le célèbrent religieusement, et
même l'adorent en tant que Dieu (2e personne de la Trinité),
d'autres courants chrétiens le célèbrent religieusement en
développant des croyances plus variées. Les musulmans le
considèrent comme le dernier grand prophète.
Pour
de nombreux historiens, Jésus, connu sous le nom de « Jésus le
nazaréen », est né autour de l'année 6 av. J.-C. à
Nazareth, que les évangiles citent souvent sous la forme hellénisée
Nazara. Le « Nazarénien » (Nazarenos, en grec) est donc l'homme du
village de Nazareth.
Dans
les évangiles, Jésus est aussi désigné comme « Nazoréen ». Ce
terme est rapproché de l'hébreu nazîr, abstinent, ermite qui
désigne un homme lié à Dieu par une promesse particulière. Une
dérivation de Neser, descendant, rejeton est moins convaincante...
Nazaréens
semble la désignation sous laquelle sont connus les premiers
chrétiens, Le pouvoir Romain ne les considère alors que comme une
dissidence Juive susceptible de troubler l'ordre public. Un passage
des Actes des Apôtres rapporte qu'un certain Tertulle accuse
l'apôtre Paul en ces termes (Actes XXIV; 5) :
« Nous avons trouvé cet homme, qui est une peste, qui excite des divisions parmi tous les Juifs du monde, étant le chef de la secte des Nazaréens.
Le terme a été utilisé par l'empereur Julien l'Apostat sur son lit de mort : « Tu as gagné, Nazaréen ! » (Julien a essayé de restaurer, après Constantin, le culte des anciens dieux Romains).
« Nous avons trouvé cet homme, qui est une peste, qui excite des divisions parmi tous les Juifs du monde, étant le chef de la secte des Nazaréens.
Le terme a été utilisé par l'empereur Julien l'Apostat sur son lit de mort : « Tu as gagné, Nazaréen ! » (Julien a essayé de restaurer, après Constantin, le culte des anciens dieux Romains).
Araméen
le mont du crâne une butte nue comme un crâne dégarni en latin.
Calvarius,
Calvaire). Une tradition Juive veut que les restes d'Adam y soient
ensevelis, ainsi Jésus est crucifié là même où Adam a été créé
et enterré et son sang tombant sur le crâne du premier homme le
baptise, et rachète les péchés, du père de l'humanité.
Il
semble que le Golgotha recèle en ses flancs de nombreux restes
d'ossements humains...
Serait-ce
là un très ancien cimetière ?
Les
vestiges d'anciens suppliciés ?
Ou
ces ossements portent-ils témoignage d'antiques pratiques idolâtres
avec
sacrifices
humains, ou cannibalisme etc ?
Seule
une recherche scientifique et archéologique peut donner des
renseignements sur le sujet.
Jésus,
après un simulacre de procès (aucun défenseur), une femme seule
s'est
élevée
contre cette condamnation inique, elle est intervenue, après qu'elle
ait fait un rêve auprès de son mari : Le procurateur Romain
Ponce Pilate elle s'appelle Claudia Procula. Elle a en effet dit en
se réveillant à son mari « Qu'il n'y ait rien entre toi et ce
« juste » car j'ai été tourmentée en songe à cause de
lui ». C'est donc cette femme qui élève la voix en faveur de
Jésus
Les
Églises Grecques et Éthiopiennes vénèrent Claudia Procula comme
une sainte...
Jésus
est condamné par une partie de ses frères Juifs, ceux du Temple et
le grand Sanhédrin en particulier pour lequel il convient de rester
en bonnes relations avec les autorités Romaines (et
souligner la légitimité de ce conseil protégé de l'empire).
Jésus est d'abord considéré comme un blasphémateur...
« Cet
homme qui se dit le Messie, le Fils de Dieu et Dieu lui-même ne
convient pas du tout aux gens du Temple, ce n'est pas en ce Messie là
qu'ils veulent croire, ils attendent un « Roi » qui soit
du ciel certes, mais qui ait aussi quelques accointances avec la vie
terrestre et qui pourrait éventuellement prodiguer ses largesses...
au Temple...
LE JARDIN DES OLIVIERS |
Or
ce Messie là a chassé les marchands du Temple il dit aussi que le
Temple
sera détruit et relevé après 3 jours... Cette prophétie, montre
ce qui va advenir, de son corps et de sa résurrection, mais la
parabole n'est pas comprise de ceux qui restent trop attachés à la
lettre et aux valeurs matérielles.
Jésus
est considéré par eux comme un danger pour leurs existences, aussi
ils s'arrangent pour l'accuser de « blasphème » délit
ayant un caractère strictement religieux qui n'est pas une charge
suffisante au regard des lois Romaines pour le présenter aux
autorités, en l’occurrence Ponce Pilate en qualité d'agitateur
politique, et Roi des Juifs, donc comme un révolutionnaire pour les
autorités Romaines et par conséquent fauteur de troubles et insurgé
contre
Rome.
Les
Romains reprennent d'ailleurs ce chef d'accusation pour clouer un
écriteau au-dessus de la Croix en inscrivant ironiquement « Roi
des Juifs » puisque c'est de cette façon que le Grand
Sanhédrin a présenté Jésus. Et c'est
Ponce
Pilate qui prononce la sentence après le fameux épisode
du
choix entre le voleur Barabas et Jésus... Les lettres I.N.R.I. Sur
l'écriteau cloué à la croix signifiant, « Iesus de Nazarenus
Rex Iudoeorum » Jésus de Nazareth, Roi des Juifs... Cette
mention n'apparaît sous cette forme qu'au XIVe siècle sous
l'influence de Sainte Brigitte morte en 1363.
Sur
la croix les dernières paroles de Jésus sont celles-ci :
« Eli, Eli, Lama
Zabachtni »
Seigneur, seigneur, pourquoi m'as-tu abandonné ? La
crucifixion de Jésus inaugure pour l'humanité une ère nouvelle,
celle de la Nouvelle Alliance. Tout est réalisé, tout est consommé,
la mort elle-même personnification du principe du Mal est vaincu et
l'éternité ouvre toute grande
L’ENTRÉE DANS LE TEMPLE |
ses
portes à ceux et à celles qui croiront en Lui. (principe
fondamental de la
Chrétienté.
Au
sujet de la forme de la Croix des polémiques persistent, si pour les
Orthodoxes, Catholiques, Protestants et de nombreuses autres sociétés
religieuses prenant leur source dans la Bible, la Croix adoptée
reste celle que l'on connaît habituellement par contre, pour les
Témoins de Jéhovah la Croix est réfutée comme une erreur
historique, ils parlent de « Poteau », Jésus ayant été,
d'après eux, suspendu au poteau, lié au poteau par les poignets,
pendu par les mains au poteau du supplice.
Une
autre hypothèse se déclare en faveur du Tau (mais peut-être
n'est-ce là que la survivance du vieux symbole de vie Aptienne le
Ânkh ou Croix ansée ?
c'est-à-dire
d'une poutre verticale fichée en terre et surmontée simplement
d'une pièce plus petite placée au-dessus à l'horizontale.
Pourtant
pour qui connaît un peu l'histoire la crucifixion en tant que
supplice
n'est
pas hélas chose nouvelle, déjà au siècle passé du temps de
Spartacus des milliers d'esclaves révoltés et vaincus ont été
crucifié le long des voies Romaines afin « d'impressionner
tous les velléitaires ».
Plus
près du Christ, du temps de Jules César. Ce dernier s'est vengé
des pirates qui l'ont détenu en otage en les faisant crucifier sur
la grande place de Pergame. Pour toutes ces crucifixions il semble de
s'agir de la
croix
la plus habituelle celle que nous connaissons. Mais ceci n'est pas en
soi d'une importance capitale, le fond compte davantage que la forme,
et peu importe après tout si cette croix était en X, en I en T ou
en +.
L'intérêt
ne peut être qu'anecdotique et il ne semble pas nécessaire
d'engager là des batailles acharnées pour savoir qui a raison... En
ce qui concerne la date de la crucifixion l’Église opte pour le 3
avril,jour d'une éclipse visible à Jérusalem. En fait comme Jésus
est mort juste avant la Pâque Juive (14 Nissa), c'est donc un jeudi,
le 9 avril 33, ayant ressuscité un dimanche, il est effectivement
resté 3 jours au tombeau et non pas seulement 2 comme on est forcé
de conclure si on situe sa mort un vendredi.
A
noter que la mort de Jésus s'accompagne de prodiges :
Obscurcissement du
soleil,
secousses sismiques dont l'une fait choir le linteau du Temple, ce
qui déchire le voile du Tabernacle partie la plus sacré du Temple.
Comme un parabole pour signifier que Dieu dorénavant est accessible
à tout croyant et que la Nouvelle Alliance remplace l'ancienne Loi.
La
Pentecôte, 50 jours après Pâques, à la suite de laquelle les
apôtres commencent la diffusion intensive de son message. Beaucoup
de miracles sont aussi attribués à Jésus, essentiellement des
guérisons d'aveugles, de sourds, de lépreux et de paralytiques.
En
outre, plusieurs résurrections lui sont attribuées : Celle de
l'esclave d'un centurion Romain, celle du fils unique d'une veuve de
la ville de Naïn, celle de la fille d'un nommé Jaïrus, et celle de
Lazare, son ami, frère de Marthe et Marie.
L'existence
historique de Jésus a commencé a être contestée au XIXe siècle,
depuis Renan, à la suite d'une étude amorcée par Hermann Samuel
Reimarus en 1774. En effet, il n'existe aucune authentification
historique contemporaine de Jésus.
Historiquement, les références du Nouveau Testament ne prouvent rien. A contrario, l'absence d'évocations de Jésus pendant le Ier siècle en dehors des Évangiles ne prouve nullement qu'il n'existe pas. La Palestine est une colonie mineure et il n'est pas surprenant que son influence soit insuffisante au début (en ce temps, les exécutés n'ont pas droit aux feux des projecteurs comme de nos jours, même la rébellion de Spartacus n'a pas eu beaucoup d'échos). Bien d'autres messies ont fini dans les oubliettes de l'Histoire...
Historiquement, les références du Nouveau Testament ne prouvent rien. A contrario, l'absence d'évocations de Jésus pendant le Ier siècle en dehors des Évangiles ne prouve nullement qu'il n'existe pas. La Palestine est une colonie mineure et il n'est pas surprenant que son influence soit insuffisante au début (en ce temps, les exécutés n'ont pas droit aux feux des projecteurs comme de nos jours, même la rébellion de Spartacus n'a pas eu beaucoup d'échos). Bien d'autres messies ont fini dans les oubliettes de l'Histoire...
Pourquoi
s'il n'a pas existé, aurait-on jugé utile de l'inventer ?
Pourquoi
tant d'individus ont-ils cru en lui au point de lui dédier une
religion ?
Si le besoin d'un « Dieu mourant » s'était fait sentir, il en existe suffisamment (Osiris, Adonis, Dionysos, Attis, etc.) pour qu'il soit inutile d'en inventer un de plus.
Si le besoin d'un « Dieu mourant » s'était fait sentir, il en existe suffisamment (Osiris, Adonis, Dionysos, Attis, etc.) pour qu'il soit inutile d'en inventer un de plus.
La
façon dont Jésus est dépeint laisse penser qu'il est un personnage
réel. Aucun auteur de son époque ne se serait donné la peine
d'inventer un messie fictif en restant aussi vague et contradictoire
sur sa vie et ses enseignements et en imaginant des disciples aussi
imparfaits (comme Pierre qui renie 3 fois son Maître par
lâcheté).
Les contradictions et les bizarreries abondent dans
les Évangiles, comme dans la plupart des biographies de personnages
historiques.
LE GOLGOTHA |
On
a vu dans l'absence d'éléments biographiques de Paul la preuve de
l'imposture de Jésus... Mais personne n'a jamais suggéré que Paul
soit une invention. Or il connaît des personnes qui ont rencontré
Jésus.
Par
ailleurs, on peut noter les premiers adversaires du christianisme
(tant juifs que romains) n'ont jamais contesté l'existence de son
fondateur.
Rares sont encore ceux qui doutent de l'existence de Jésus. Il s'agit surtout d'amateurs, sans aucune fonction universitaire, et qui s'efforcent de convaincre le grand public à défaut des spécialistes, c'est le cas de Paul-Eric Blanrue, consultant, scénariste et dialoguiste, et occasionnellement exégète... On cite d'autres noms comme un certain Patrick Dupuy dont on n'arrive pas à savoir ce qu'il a écrit.
Rares sont encore ceux qui doutent de l'existence de Jésus. Il s'agit surtout d'amateurs, sans aucune fonction universitaire, et qui s'efforcent de convaincre le grand public à défaut des spécialistes, c'est le cas de Paul-Eric Blanrue, consultant, scénariste et dialoguiste, et occasionnellement exégète... On cite d'autres noms comme un certain Patrick Dupuy dont on n'arrive pas à savoir ce qu'il a écrit.
Autre
amateur, le docteur Couchoud qui, outre la médecine et la
littérature japonaise, a comme passe-temps de démontrer que Jésus
n'a jamais existé. Charles Guignebert, professeur à la Sorbonne,
s'amuse souvent à se moquer de lui et cet antichrétien notoire ne
le fait certes pas parce que sa religion a été offensée : Son
grand tort, dit-il, c'est qu'il n'a jamais réussi à convaincre un
spécialiste reconnu dont l'adhésion pourrait avoir un sens, et il
ajoute froidement :
«
L'enthousiasme des incompétents ne compense pas cet échec. » Bien
des chercheurs sont tout de même troublés par les ressemblances
évidentes du dogme chrétien avec des cultes païens de l'époque.
La
meilleure façon d’aborder la question de la résurrection est
peut-être d’examiner toutes les alternatives possibles et de voir
laquelle est la plus plausible... Sans préjuger, par la « foi »,
des éventuelles explications surnaturelles.
Chose
certaine, Jésus a vraiment existé et sa mort publique a changé le
cours de l’histoire. Nous n’avons même pas à consulter la Bible
pour le savoir. Les manuels d’histoire profane contiennent
plusieurs références à Jésus et à son impact sur le monde de son
temps.
Examinons
deux de ces références. Tacite, le gouverneur et historien Romain,
a fait une remarque fascinante sur Jésus quand il a décrit comment
Néron a fait massacrer les chrétiens du Ier siècle (en 65.) pour
servir de boucs émissaires suite à l’incendie de Rome.
Voici
ce qu’il a écrit :
«
Néron […] torture par des moyens des plus raffinés des personnes
appelées chrétiens, que l’on haït à cause de leurs crimes
graves...
Christus,
le fondateur du mouvement, a été mis à mort par Ponce Pilate,
procureur de la Judée pendant le règne de Tibère, mais cette
superstition pernicieuse, réprimée pendant un temps a refait
surface, non seulement en Judée où le méfait a pris naissance,
mais également à travers la ville de Rome. » Tacite. 112
Annales XV. 44
Fait
intéressant, Tacite prouve ici que Jésus :
Est
un personnage historique.
A
été exécuté sous Ponce Pilate
En
l’an 65 (à l’époque de Néron) la foi chrétienne s'est
répandue au delà de la Méditerranée, de la Judée jusqu’à
Rome. Ce phénomène a pris tant d’ampleur que l’empereur de Rome
a cru devoir l’enrayer.
Notez
aussi que Cornélius Tacite a écrit en qualité de témoin hostile
puisqu’il considère le mouvement que Christ a commencé comme une
« superstition pernicieuse. »
Flavius
Josèphe, chef militaire et historien Juif, adresse ses écrits à un
public Romain. Dans l’ouvrage cité ci-après, il résume
l’histoire de la nation Juive depuis ses débuts jusqu’à son
époque. Il décrit en ces termes le temps et la carrière de Jésus
:
«
Il y a en ce temps-là un homme sage […] Jésus […] bon […] et
vertueux. Et plusieurs parmi les Juifs et les autres nations sont
devenus ses disciples.
Pilate
l’a condamné à mourir par crucifixion. Ceux qui sont devenus ses
disciples ne l’ont pas abandonné. Ils ont rapporté qu’il leur
est apparu 3 jours après sa crucifixion et qu’il était vivant. »
Josèphe. 90 Antiquities XVIII. 33
Ces
brefs écrits du passé semblent indiquer un événement bien connu
et que son mouvement s’est imposé au monde Romain par ses
disciples.
Avez-vous
déjà rencontré un homme qui s’attire tous les regards, où qu’il
aille ? Certaines caractéristiques mystérieuses,
indéfinissables le distinguent des autres.
Eh
bien, il y a 2 000 ans c'est le cas avec Jésus Christ. Mais ce n’est
pas simplement la personnalité de Jésus qui captive son audience.
Les
témoins de ses paroles et de sa vie nous déclarent que Jésus de
Nazareth est différent des autres hommes.
Le
seul titre de compétence dont Jésus peut se réclamer, est sa
propre personne.
Il
n’a pas écrit de livre, ni commandé d’armée, ni exercé de
mandat politique, ni possédé de terres.
Il
s’est principalement déplacé sur un rayon de 160 kilomètres de
son village, attirant des foules émerveillées par ses paroles
provocantes et ses actes stupéfiants.
Pourtant,
la grandeur de Jésus est évidente pour tous ceux qui l’ont vu et
entendu.
Et
tandis que la plupart des grands hommes s’effacent éventuellement
pour ne plus paraître que dans les livres d’histoires, Jésus est
toujours le thème fondamental de milliers de livres et de
controverses publiques sans pareilles.
Et
la plupart de ces controverses focalisent sur les revendications
radicales que Jésus a faites concernant sa propre personne (des
revendications qui ont concentré l'attention de ses fidèles et de
ses adversaires).
Ce
sont essentiellement les revendications très particulières de Jésus
qui l’ont amené à être considéré comme une menace tant par les
autorités Romaines que par la hiérarchie Juive. Bien que
non-initié, sans titre ni soutien politique, Jésus, en l’espace
de 3 ans, change le monde pour les 20 siècles suivants.
D’autres
chefs moraux et religieux ont créé un impact (mais en rien
comparable à celui du fils d’un charpentier inconnu de Nazareth.
Qu’est-ce
qui est différent avec Jésus Christ ?
Est-il
simplement un grand homme, ou est-il bien davantage ?
Ces
questions se résument finalement en une seule :
Qui
est vraiment Jésus ?
Certains
croient qu’il représente simplement un grand enseignement de
principes moraux, d’autres pensent qu’il est uniquement le chef
de la plus grande religion du monde.
Mais
beaucoup ont des convictions le concernant qui vont bien au-delà de
celles-là.
Les
Chrétiens croient que Dieu est effectivement venu nous rendre visite
sous forme humaine. Et ils en croient l’évidence.
Après
avoir étudié avec soin la vie et les paroles de Jésus, C.S. Lewis,
un ancien sceptique et professeur de Cambridge, est parvenu à une
conclusion étonnante le concernant, qui bouleverse le reste de sa
vie.
Alors,
qui est donc le véritable Jésus ?
Beaucoup
répondront que Jésus est un grand enseignant de principes moraux...
Jésus DE NAZARETH : Biographie de Jésus DE NAZARETH ...
www.jesuismort.com/biographie_celebrite.../biographie-jesus_de_nazareth-1350.php
Jésus
DE NAZARETH était un célèbre prophète et religieux palestinien.
L'histoire de Jésus DE NAZARETH et les sites consacrés à Jésus DE
NAZARETH.
Encyclopédie
Larousse en ligne - Jésus ou Jésus-Christ
www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Jésus/125884
Outre
des sources juives, souvent polémiques et tardives, il existe
également quelques textes païens qui font état de l'existence de
Jésus de Nazareth ...
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