dimanche 25 juin 2017

EN REMONTANT LE TEMPS... 30

28 MARS 2017...

Cette page concerne l'année 30 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LES DEUX PARTIS RELIGIEUX PRINCIPAUX COMPOSANT LE SANHEDRIN

Les Évangiles font souvent référence aux Sadducéens et aux Pharisiens car Jésus est souvent en conflit avec eux. Les Sadducéens et les Pharisiens forment la classe dirigeante d’Israël. Si les 2 groupes sont très semblables sur un grand nombre de points, ils divergent également sur beaucoup d’autres.

Les Sadducéens : À l’époque de la vie de Jésus et pendant la période du Nouveau Testament, sont des aristocrates. La plupart sont des gens fortunés occupant des fonctions élevées, y compris celles de prêtres et de sacrificateurs, ils occupent aussi la majorité des 70 sièges du conseil suprême, appelé le Sanhédrin.
Travaillant à maintenir la paix en s’alignant sur les décisions de Rome (Israël est à cette époque sous le joug Romain), et ils semblent plus concernés par la politique que la religion. Conciliants avec Rome et faisant partie de la haute société, ils n’ont que peu ou pas d’affinités avec les gens ordinaires, ce qui rend leurs rapports difficiles avec eux, et les gens de la rue ne les tiennent pas non plus en haute estime. (C'est un peu ainsi que nous traite la dirigeante actuelle)
Les gens ordinaires ont plus d’affinités avec ceux d’entre les rangs des Pharisiens. Bien que les Sadducéens occupent la majorité des sièges du Sanhédrin, l’histoire nous montre que la plupart du temps, ils doivent s’aligner sur les idées de la minorité Pharisienne, parce que ceux-ci ont la faveur du peuple.

Sur le plan religieux, les Sadducéens sont plus conservateurs sur un point doctrinal particulier : Si les Pharisiens accordent autant d’autorité à la tradition orale qu’aux Écritures, les Sadducéens quant à eux considèrent les Écritures seules comme venant de Dieu. Les Sadducéens préservent l’autorité de la parole écrite de Dieu, particulièrement les livres de Moise (de la Genèse au Deutéronome).

Bien que leur attachement à cette doctrine soit tout à fait louable, ils sont par contre loin d’y être fidèles. Voici quelques exemples des croyances qu’ils professent et qui sont en contradiction avec les Écritures :
Ils sont extrêmement suffisants, au point de nier l’intervention de Dieu dans leur vie quotidienne.
Ils nient toute résurrection des morts (Matthieu 22.23, Marc 12.18-27, Actes 23.8).
Ils nient le fait d'une vie quelconque après la mort, disant que l’âme périt au moment de la mort, et qu’il n’y a pas de conséquences (châtiment ou récompenses) après la vie terrestre.
Ils nient l’existence d’un monde spirituel, c’est-à-dire, des anges et des démons (Actes 23.8).
Les Sadducéens étant plus intéressés par la politique que par la religion, ils ne s’intéressent à Jésus qu’assez tardivement, lorsqu’ils commencent à avoir peur qu’il attire l’attention des Romains inutilement... C’est à ce stade que les Sadducéens et les Pharisiens s’unissent et complotent pour mettre Jésus à mort (Jean 11.48-53, Marc 14.53, 15.1). On trouve d’autres mentions des Sadducéens en Actes 4.1 et Actes 5.1, les Sadducéens sont aussi impliqués dans la mort de Jacques selon l’historien Flavius Josèphe (Actes 12.1-2).

Les Sadducéens ont disparu dès l’an 70 après Jésus-Christ. Puisque leur parti ne subsiste qu’en vertu de leurs liens politiques et de leurs liens avec le sacerdoce, lorsque Rome détruit Jérusalem et le Temple en l’an 70 après J.C, les Sadducéens disparaissent aussi.
Les Pharisiens : À l’inverse des Sadducéens, sont pour la plupart des hommes d’affaires de classe moyenne, qui entretiennent ainsi des liens étroits avec le peuple. Les Pharisiens jouissent d’une plus grande considération que les Sadducéens auprès des gens ordinaires. Bien qu’ils représentent une minorité au Sanhédrin et occupent un nombre minoritaire de sièges en tant que prêtres, il semble qu’ils aient été aux commandes des prises de décision du Sanhédrin beaucoup plus que les Sadducéens, et cela une fois encore parce qu’ils ont les faveurs du peuple.
Côté religion, ils considèrent les Écritures comme inspirées de Dieu. À l’époque du ministère terrestre de Jésus-Christ, cela correspond à notre Ancien Testament d’aujourd’hui. Ils accordent aussi une autorité équivalente à la tradition orale et défendent leur position en disant qu’elle remonte à Moïse.
Au fil des siècles, ces traditions s’ajoutent progressivement à la Parole de Dieu, ce qui est interdit (Deutéronome 4.2), et les Pharisiens se sont efforcés d’obéir strictement à ces traditions, parallèlement aux Écritures de l’Ancien Testament. Les Évangiles regorgent d’exemples de Pharisiens qui considèrent ces traditions comme équivalentes à la Parole de Dieu (Matthieu 9.14, 15.1-9, 23.5, 23.16, 23, Marc 7.1-23, Luc 11.42). Cependant, ils restent fidèles à la Parole de Dieu sur quelques autres doctrines importantes. Contrairement aux Sadducéens, leurs croyances sont les suivantes :
• Ils estiment que Dieu dirige toutes choses, mais aussi que les décisions prises par chacun jouent aussi un rôle dans le cours de son existence.
• Ils croient en la résurrection des morts (Actes 23.7-8).
• Ils croient en une vie après la mort, avec des récompenses et des châtiments sur une base individuelle.
• Ils croient en l’existence des anges et des démons (Actes 23.8).
Bien que les Pharisiens soient le parti rival des Sadducéens, ils se sont arrangé pour mettre de côté leurs différends à une occasion très particulière : Le procès de Jésus-Christ. C’est à ce moment-là que les Sadducéens et les Pharisiens s’unissent pour mettre Jésus à mort (Marc 14.53, 15.1, Jean 11.48-50).

Alors que les Sadducéens cessent d’exister après la destruction de Jérusalem, les Pharisiens, qui s’intéressent plus à la religion qu’à la politique, continuent d’exister. En fait, les Pharisiens sont contre la rébellion qui provoque la destruction de Jérusalem en l’an 70, et ils sont les premiers à faire la paix avec les Romains ensuite.
Les Pharisiens ont aussi reçu pour responsabilité de compiler la Mishna, un document important, lié à la continuité du Judaïsme après la destruction du Temple.

Les uns et les autres, Pharisiens et Sadducéens, méritent les nombreux reproches que Jésus leur adresse... La meilleure leçon que nous puissions peut-être apprendre de ces Pharisiens et Sadducéens, c’est de ne pas leur ressembler.
Contrairement aux Sadducéens, nous devons recevoir l’enseignement biblique dans son Ensemble, y compris les éléments miraculeux qu’il évoque. Contrairement aux Pharisiens, nous ne devons pas considérer la tradition comme étant sur un plan d’égalité avec les Écritures, et nous ne devons pas permettre que notre relation avec Dieu soit réduite à une liste de règles et de rituels légalistes.

Le nom des Pharisiens viendrait de « parash », « séparer »... On les rattache au groupe des hassidîm et à Esdras, le prêtre scribe. Les hassidîm sont les Juifs « pieux » (c’est le sens du mot hébreu) qui, au temps de la restauration nationale animée par Esdras, à la fin du Ve siècle av. J.-C., pensent qu’il ne suffit pas de reconstruire le Temple et Jérusalem, il faut aussi rebâtir une vie spirituelle capable d’animer ces pierres, fondée sur l’étude de la Torah et sur la prière.
Le travail des scribes (les rabbis) continue cette tradition vivante qui tient compte des conditions nouvelles et dialogue même avec des conceptions hellénistiques (à condition de les fonder dans les Écritures).
Entre eux, les débats peuvent êtres vifs, comme en témoignent, sous Hérode le Grand, les « écoles » de Hillel et de Chammaï (cf. p. 00).
C’est de la Torah orale que sont nées des idées telles que l’égalité foncière des hommes et la valeur de l’individu, ainsi que la croyance en la rétribution (jugement selon les mérites), à l’immortalité, à la résurrection des morts.
Dans la mesure où l’on respecte la Torah, écrite et orale, on acquiert les mérites nécessaires au salut et à l’envoi du Messie qui établira enfin le Royaume de Dieu, chassant du même coup toute présence étrangère hors de la terre d’Israël...

Au contraire des Sadducéens et des Esséniens, les Pharisiens ont survécu à la catastrophe de 70. Bien structuré, profondément religieux malgré ses excès, le Pharisaïsme a permis la renaissance du judaïsme à Yavneh (Jamnia, non loin de la côte Méditerranéenne) sous la conduite de Yohanan ben Zakkaï, disciple de Hillel.

Un épisode unique, révélateur et particulièrement détaillé est rapporté par les 4 évangélistes-biographes de Jésus avec une unanimité et une précision qui attestent de son authenticité... La violente colère qui a envahi le prophète dans le temple de Jérusalem et qui l'a conduit à provoquer un tohu-bohu scandaleux : Il se saisi de cordes servant à amener les bestiaux destinés au sacrifice, et, les repliant de manière à en faire une sorte de fouet, se sert de cette arme improvisée pour se lancer à l'assaut des « changeurs » c'est-à-dire les banquiers-usuriers de l'époque qui officient sur place et qui y tiennent boutique, ainsi que de la populace qui amène, garde et vend les bêtes à sacrifier et toutes sortes d'autres produits destinés à l'offrande.
Il faut se représenter la scène d'un justicier en fureur qui pénètre dans l'enceinte d'un édifice religieux grouillant de pèlerins, de marchands et de bestiaux.
Faisant tournoyer au-dessus de sa tête un fouet bricolé avec des cordes :
Il renverse les tables recouvertes de pièces de monnaie des traficoteurs, les traite de voleurs et de brigands, frappe les hommes et les animaux afin de les pousser vers la sortie.
Il doit avoir présenté un aspect suffisamment effrayant pour que la population de changeurs, de maquignons et de vendeurs de blé et de farine destinés aux sacrifices végétaux, et qui se livrent à qui mieux mieux à une simonie éhontée, préférant ramasser ce qu'ils peuvent de pièces de monnaie et de marchandises avant de prendre la poudre d'escampette.
Mais il fallait le faire promptement car le justicier au fouet « ne laisse personne transporter aucun objet à travers le temple » précise l'évangéliste Marc.
Les bêtes courent, les taureaux, les boucs, les béliers mugissent, bêlent, ruent, urinent, les volières tombent à terre et s'ouvrent, les pigeons piaillent, impossible d'éviter de patauger dans les excréments et l'urine.
Il règne un bruit infernal d'animaux entassés, terrorisés, que l'odeur du sang rend fous. Pour un scandale, c'est un beau scandale !
Ce vacarme attire « les chefs des prêtres et les scribes, ainsi que les notables et les sacrificateurs ».
Au spectacle de ce sacrilège, qui porte une atteinte décisive à leurs propres finances, « ils cherchent les moyens de le faire périr » .

Dans les premières pages d'un ouvrage paru en 1923 et critiquant le système monétaire créé aux États-Unis le 23 décembre 1913 , The True Function of Money & the False Foundation of Our Banking System Bank, non traduit en français (La véritable fonction de la monnaie et les fondements frauduleux de notre système bancaire) ouvrage largement antérieur à celui de Eustace Mullins - Secrets of the Federal Reserve , The London Connection , 1952 - Frederick Raphael Burch est le premier historien à avoir analysé cette contestation révolutionnaire d'un système financier fondé sur une fraude et à la comparer à la création d'un autre système frauduleux, lequel sévit depuis un siècle, et dont le monde continue de subir les conséquences désastreuses, la création de la Réserve Fédérale (FED) et l'invention de la monnaie privée des banquiers, le dollar. (et ce n'est pas fini puisque nous avons à la tête de notre pays un Banquier)...

L'histoire est facétieuse. Un court billet dans le Monde daté du 5 janvier 2013 signale que les terminaux de paiement par carte de crédit dans l’État du Vatican viennent d'être désactivés et que la Banque d'Italie interdit le Vatican de carte de crédit. Motif invoqué par la filiale de la Deutsche Bank qui gère le terminal de paiements par carte de ce mini-État : Insuffisance en matière de lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme.

Il est inévitable que dans un tel environnement, un spirituel révolté qui vient crier : « Ne faites pas de la maison de mon Père une maison de trafic » ne pouvait que passer pour un agitateur écervelé et pour un destructeur irresponsable de l'ordre religieux et social établi, donc pour un « terroriste » et, faute de cul de basse-fosse et de Guantanamo, à l'époque, afin de le faire disparaître du monde des vivants, il était inévitable qu'il soit exécuté. C'est bien pourquoi « les principaux sacrificateurs et les scribes, l'ayant entendu, cherchent les moyens de le faire périr ».

Mais l'argent, c'est aussi la monnaie, c'est-à-dire le numéraire bien concret, celui qu'on tient dans la main et qu'on peut manipuler. Et là, les correspondances sont saisissantes au point qu'on pense irrésistiblement au poème de Baudelaire, à ses « forêts de symboles » et à la « ténébreuse et profonde unité » des symboles qui ont jailli du cerveau humain.

L'antiquité ne connaît pas le mot « juif ». On parle d'Israélites à propos des tribus d'Hébreux Sémites ayant pour ancêtre éponyme Israël, nouveau nom du personnage mythique Jacob.
Un fils tout aussi mythique, Juda, dont le nom hébreu est Yehuda, a donné naissance aux Yehudim, mot traduit en français par Judaïtes.
L'hébreu Yehudim est traduit en grec par Ioudaiôn et en latin par Iudaean.
Du temps de la courte indépendance du territoire qui correspond à l'actuelle Palestine, les populations sont désignées par leur origine géographique.
Les Judéens habitent la Judée,
Les Samaritains la Samarie,
Les Galiléens la Galilée
Les Iduméens l'Idumée.
Mais après leur conquête, les Romains ne se sont pas embarrassés de subtilités régionales et désignent globalement ces confettis de leur immense empire sous le nom général de Iudaea.
Ainsi, lors de la crucifixion de Jésus, Ponce Pilate a fait inscrire sur la croix : Iesus Nazarenus rex Iudaeorum, c'est-à-dire, Jésus de Nazareth roi ou plutôt chef des Judéens, bien qu'il soit Galiléen
En effet, Iudaeorum est le génitif pluriel de Iudaeus, c'est-à-dire Judéen. Quant au mot rex, il n'a été traduit par roi qu'ultérieurement...

Ainsi Vercingéto-rix (rex) n'est pas le roi des Gaulois, mais un chef de tribu.
Il n'existe pas non plus d'universalisme du culte du Dieu Jahvé.
Les Pharisiens, les Sadducéens, les Zélotes ou les Esséniens se combattent et se haïssent cordialement.
Ces mouvements, ou plutôt ces sectes, possèdent chacun leur manière particulière de participer au culte de Jahvé, mais, par rapport aux « païens » hellénisés, ils sont désignés sous la terminologie générale de Yehudim, c'est-à-dire, comme il est dit plus haut, de fidèles d'un culte qui a son origine dans le royaume de Juda.
Le fondateur du christianisme est un Galiléen appartenant probablement à la secte des Esséniens, mais les avis divergent sur ce dernier point. Il n'est donc ni un Yehudim puisque seuls les Pharisiens Judéens peuvent se réclamer de ce terme ni, à plus forte raison, un Juif, puisque ni le mot, ni la notion que recouvre ce mot n'existent en ce temps-là.
L'ouvrage le plus connu de l'historien hiérosolémite de l'époque, Flavius Josèphe (env.37 à env. 100) est traduit en français sous le titre La guerre des Juifs. Or, ce récit rédigé dans la langue de la région depuis le retour de Babylone, à savoir l'araméen, a été traduit en grec à destination de l'élite cultivée romaine sous le titre littéral : Historia Ioudaikou polemou pros Rômaious, c'est-à-dire Histoire de la guerre judéenne ( ou des Judéens) contre les Romains.
Le titre actuel, La guerre des Juifs, est un anachronisme, Ioudaikou n'a jamais voulu dire « des Juifs ». Il s'agit de la même racine que dans le latin Iudaeus, c'est-à-dire Judéen. D'ailleurs cette guerre s'est déroulée à Jérusalem, donc en Judée.

Le mot « juif », avec ou sans majuscule, est relativement récent dans un texte écrit français. Il résulte d'une contraction phonétique du mot latin Iudaeus.
En France, le prévôt des marchands de Paris, Etienne Boileau est le premier à utiliser ce mot à la fin du XIIIe siècle dans son ouvrage Les métiers et corporations de la ville de Paris.
Rédigé en 1268, ce texte juridique compile les statuts des différents métiers réglementés. Quant au moine de Saint-Médard et poète religieux, Gautier de Coincy, il est le premier à parler de judaïsme dans son recueil intitulé les Miracles de Notre-Dame (1218).
Le terme général de judaïsme, existe cependant chez l'historien Juif Flavius Josèphe, détesté par ses co-religionnaires, parce que considéré comme un traître. Longtemps rejeté par les membres de cette communauté eux-mêmes, l'emploi de ce terme est donc devenu courant lorsqu'il s'est agi de distinguer le christianisme, devenu la religion dominante, de la religion du dieu Jahvé, quelles que soient les sectes, pratiquée par ses fidèles hors de Palestine.
Il est intéressant de noter que le mot « Juif » écrit avec une majuscule apparaît pour la première fois dans un ouvrage qui recense les métiers et les corporations.

Comme tout ce qui survient dans le temps, le vocabulaire a une histoire. Un mot s'impose lorsqu'il exprime une réalité sociologique ou économique et n'est jamais le fruit du hasard. Or « Juifs » n'étant ni un métier, ni une corporation, il est logique d'en déduire que ce groupe est directement associé à l'exercice d'une profession spécifique, immédiatement identifiable et qu'il n'est pas nécessaire de la préciser davantage.
C'est là que nous retrouvons la formulation maladroite du Président Hollande avec sa désignation des « Juifs de France », redevenus, semble-t-il, 8 siècles plus tard, des « étrangers de l'intérieur » dans une société Française laïque et proclamée républicaine et égalitaire.
Cette petite mise au point étymologique a semblé importante pour démontrer que le discours du Président François Hollande est chargé à outrance d'une idéologie politique calquée sur la narration imaginaire de son hôte du moment. Parler de « Juifs de France » aujourd'hui, c'est retrouver spontanément l'esprit ségrégationniste et les catégories mentales du haut Moyen-Age, celles des talmudistes de cette époque, mais qui demeurent encore et toujours celles des talmudistes d'aujourd'hui, rebaptisés « sionistes ».

L'USURE, axe central de l'histoire de l'occident,

« Que peuvent les lois, là où seul l'argent est roi ? »
Pétrone

« Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu'il y aurait une révolution avant demain matin . »
L'industriel Henry Ford.


Qui étaient les Sadducéens et les pharisiens ? - Got Questions
https://www.gotquestions.org/Francais/pharisiens-sadduceens.html
Les Sadducéens et les Pharisiens formaient la classe dirigeante d'Israël. ... y compris celles de prêtre et de sacrificateur ; ils occupaient aussi la majorité ... Les gens ordinaires avaient plus d'affinités avec ceux d'entre les rangs des Pharisiens ...

Les pharisiens à l'époque de Jésus | S.B.E.V. - Bible Service
https://www.bible-service.net/extranet/current/pages/200378.html
On les rattache au groupe des hassidîm et à Esdras, le prêtre qui était scribe. ... civile traîne six années pendant laquelle des milliers d'entre eux sont crucifiés. ... Au contraire des sadducéens et des esséniens, les pharisiens ont survécu à la ...
Termes manquants : coalition ‎herodiens ‎30





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