vendredi 13 juin 2014

1068... EN REMONTANT LE TEMPS


Cette page concerne l'année 1068 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

Cette page concerne l'année 1068 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol ! 
 
UNE COMTESSE DE BOURGOGNE AYANT REGNEE SUR L'ANJOU ET L'AQUITAINE.


AGNES DE BOURGOGNE
Agnès de Bourgogne ou Agnès de Mâcon,(vers 990/995 - † 1068) (dynastie des Unrochides), fille d'Otte-Guillaume, comte de Mâcon et comte palatin de Bourgogne et d'Ermentrude de Roucy, fille de Renaud de Roucy. Son père, Otte-Guillaume, est le fils d'Aubert Ier d'Italie.
Le Duc d'Aquitaine Guillaume V Le Grand épouse en 3e noce Agnès de Bourgogne, alliance prestigieuse. puisqu’ Agnès est la petite fille d’Aldabert, roi d’Italie et sa mère Ermentrude est la petite fille de Louis d’Outremer
En 1018, elle épouse le comte Guillaume V d'Aquitaine avec lequel elle a 3 enfants :
  • Pierre dit Guillaume VII d'Aquitaine (1023-1058).
  • Guy-Geoffroi dit Guillaume VIII d'Aquitaine (1023-1086), frère jumeau de Pierre.
  • Agnès d'Aquitaine (1025-1077) dite Ala.
1024 : l’empereur d’Allemagne Henri II meurt, sans héritier. Après avoir proposé la couronne à Robert Le Pieux, qui la refuse, jugeant l’union entre les 2 royaumes comme source de guerre, le duc d’Aquitaine est sollicité. Guillaume, dans l’intérêt de l’Aquitaine refuse, mais n’exclut pas la candidature d’un de ses fils...
A la fin de sa vie, le duc se trouve confronté au problème de sa succession : Il a 7 enfants de ses 3 épouses. Agnès s’estimant de naissance supérieure veut que ses enfants soit désignés en premier... Guillaume transmet librement tous ses pouvoirs à son fils aîné Guillaume VI, qui épouse Eustachie, d'une famille de petite noblesse... Les principaux vassaux du duc ne figurent plus dans l’entourage du nouveau duc et accuse son épouse de les desservir.
Le 31 janvier 1030, son époux Guillaume le Grand meurt en la laissant veuve avec ses 3 jeunes enfants et 2 fils aînés issus de ses 2 précédents mariages. Le seul moyen pour elle de retrouver sa position et d’assurer un avenir à ses enfants, est d'épouser un comte...
Agnès entre autre n’admet pas de devoir laisser la Ier place à une nouvelle duchesse de petite naissance. Elle quitte la cour, et bientôt se remarie, en 1032, avec Geoffroy Martel, fils du Comte d'Anjou Foulque Nerra. Cette alliance est contestée car ils sont cousins au 4e degré.

Elle réussit à soulever un certains nombre de vassaux du Poitou, qui se rangent derrière Geoffroy, ensemble ils attaquent Guillaume Le Gros et le capturent.
A son retour ce dernier refuse de lui rendre le pouvoir... Il s‘ensuit une guerre en Anjou entre le père et le fils à l’issue de laquelle Geoffroy, blessé, doit faire amende honorable, Foulque meurt l ‘année suivante.
Comme ses propres fils, Pierre et Guy-Geoffroi, ne sont pas les héritiers du Poitou son second époux voit là une raison pour essayer de s'en emparer.
Dès 1033, les troupes de Geoffroi Martel envahissent le Poitou avec le soutien de certains seigneurs qui se rallient à la comtesse Agnès.
Son beau-fils, Guillaume VI d'Aquitaine, qui a succédé à son père Guillaume V, est fait prisonnier à la bataille de Montcoué (Montcouer) en septembre 1033.
En 1035 Foulque part pour la 3e fois sur les Lieux Saints et confie l’administration du duché à son fils.
La guerre met fin à la captivité de Guillaume Le Gros, qui décède bientôt sans héritier. Son frère Eudes, fils de la 2e épouse de Guillaume V, épouse Brisque de Gascogne, et revendique l’Aquitaine, ses droits lui sont aussitôt contestés. Agnès fait prendre à son fils aîné le titre de comte du Poitou. Eudes se lance sur Poitiers il sera tué pendant le combat. Le duché est libre pour les fils d’Agnès :
Son fils aîné s’appelle Pierre, mais une de ses premières décisions est de lui faire prendre le nom de Guillaume pour bien montrer la continuité de la dynastie. Guillaume VII, est à peine âgé de 16 ans. Sa mère exerce en fait le pouvoir avec l’appui de son second mari.
Agnès est une personnalité hors du commun, plus âgée que son mari, son union avec Geoffroy, durera 20 ans. Son « gouvernement » bénéficiera à l’Aquitaine...
Guillaume VI d'Aquitaine sera libéré seulement à la fin 1036 contre une forte rançon et il meurt en 1038 sans enfants.
Le comté revient alors à son frère Eudes de Poitiers, déjà duc de Gascogne. Ce dernier, remontant de ses territoires pour combattre les troupes de Geoffroi et d'Agnès, fait demi tour après une première défaite et se heurte à la défense du château de Mauzé où il meurt pendant le siège...
Le Poitou revient alors au fils aîné d'Agnès, Pierre, qui prend le nom de Guillaume VII Aigret. Étant trop jeune, c'est sa mère qui gouverne les territoires à sa place de 1039 à 1044, d'ailleurs, il semble même qu'elle gouverne seule, sans son époux.
Quand elle transmet le pouvoir à Guillaume VII, elle le marie et en profite pour doter son second fils Guy-Geoffroi du duché de Gascogne, par mariage avec une héritière... Garsende du Périgord qui récupère les droits de sa mère sur le Bordelais et la Gascogne.
Agnès rejoint alors Geoffroi en Anjou et si elle ne participe pas activement au gouvernement, elle influe sur lui.
En 1043, elle marie sa fille Ala (Agnès) avec l’empereur d’Allemagne Henri III, veuf, sans enfant.

Le deuxième fils d’Agnès s’appelle Guy, lorsqu’elle se remarie elle lui fait prendre le prénom de Geoffroy. Elle espérant ainsi, si elle n’a plus d'autres enfants, que Geoffroy Martel lui laisse le comté d’Anjou en héritage.
GEOFFROY MARTEL


En 1045, elle s’installe à la cour d’Allemagne où elle joue un rôle d’importance. Mais critiquée par les barons Allemands, l’empereur la renvoie en Aquitaine. Notons le rôle important d’Ala régente de l’empire de 1056 à 1061 en défendant les droits de son fils le futur Henri IV. Par son intermédiaire, son père Guillaume Le Grand representent l’un des ancêtres des empereurs Hohenstaufen
Geoffroy Martel qui n’a pas eu d’enfant avec Agnès de Bourgogne, demande et obtient le divorce. (bien que remarié plusieurs fois il n’aura pas d’héritier).
Ils enchaînent alors avec, le couple impérial, un voyage en Italie où ils participent au concile de Sutri qui dépose deux papes et intronise Clément II celui-ci s'empresse de couronner l'empereur et l'impératrice... Agnès se trouve à la première place pour la consécration de sa fille. Après un pèlerinage à Monte Garano, le couple est de retour dans le Poitou 1047 où ils fondent l'abbaye de Notre Dame à Saintes.
Entre 1047 et 1049, Agnès fonde seule l'abbaye de Saint Nicolas de Poitiers.
Entre 1049 et 1052, le couple se sépare... Les raisons sont diverses : la plus logique est l'absence d'enfants, cependant il ne faut pas oublier que le concile de Reims de 1049 condamne certains mariages jugés comme incestueux et ce mariage en fait partie, en outre, Geoffroi entre en guerre contre le roi des Francs qui apprécie très peu les libertés que prend son vassal envers l'Allemagne (il semble que Geoffroi ait le projet de prêter serment à l'empereur pour ne plus dépendre du roi des Francs) et, il est très possible que le roi ait imposé à son vassal vaincu de divorcer d'avec sa femme... En effet, Agnès outre l’influence qu’elle a sur son époux, est originaire de Bourgogne et a gardé de forts liens avec sa terre d’origine, il semble donc que ce soit la comtesse qui ait poussé à ce rapprochement avec l’empereur...
Toujours est-il qu'Agnès revient à la cour de Poitiers auprès de son fils Guillaume sur lequel elle semble avoir beaucoup d'influence... Une guerre éclate rapidement entre l'Anjou et le Poitou, qui voit la victoire de Geoffroi Martel en 1053.
Si le pouvoir politique d’Agnès a ensuite diminué, il n’en va pas de même pour son influence qu’elle dépense sans compter au profit de ses fondations.
En 1058 Guillaume repart en guerre contre le comte d'Anjou, vraisemblablement puisque son ex beau-père a donné le douaire d’Agnès à sa dernière épouse, Adélaïde. Le comte de Poitou est sur le point de gagner quand il meurt de maladie en 1058.
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Son frère, Guy-Geoffroi lui succède, et prend le nom dynastique de Guillaume VIII. Le jeune comte resté proche de Geoffroi Martel, représentant la seule figure paternelle qu’il ait connu, opère un rapprochement avec l'Anjou. Seulement, après sa mort il n'hésite pas à attaquer ses héritiers et reprend le contrôle de la Saintonge dès 1062.
Agnès, malgré sa retraite, est toujours très active et n’hésite pas à voyager dans tout le Poitou pour participer à des donations ou simplement voir son fils à la cour de Poitiers et ce jusqu'à sa mort le 10 novembre 1068. Elle est enterrée dans sa fondation de Saint Nicolas de Poitiers.
3 femmes en relation plus ou moins directe avec les comtes de Poitiers sont impliquées dans la vie du couvent pendant un siècle, entre sa fondation en 1047 et le milieu du XIIe siècle :
Agnès de Bourgogne, veuve du comte de Poitiers Guillaume le Grand, remariée avec le comte d’Anjou Geoffroy Martel.
Sibylle, grand-tante de Guillaume le Toulousain.
Agnès, fille de Guy-Geoffroy et petite-fille d’Agnès de Bourgogne.

L’abbaye est donc fondée en 1047, conjointement par Geoffroy Martel et son épouse Agnès de Bourgogne. A cette date, le couple, constitué il y a une quinzaine d’années, n’a pas d’enfant, mais Agnès a 2 fils de son premier mariage : Pierre, dit Guillaume Aigret, et Guy, appelé aussi Geoffroy... Guillaume Aigret, mineur au décès de son père, vient d'atteindre sa majorité.
Geoffroy Martel est maître de Saintes et de quelques châteaux dans le diocèse, qu’il tient du comte de Poitiers, de sorte que la domination dans la contrée constitue une affaire familiale dans laquelle Agnès de Bourgogne est largement impliquée depuis la disparition, en 1039, du comte Eudes, second des fils de Guillaume le Grand (son Ier époux).
La dotation de l’établissement est assurée essentiellement par Geoffroy Martel dans ses terres, mais, son épouse y participe par la donation :
De 7 mas achetés à Pierre de Didonne, en terre de Marennes.
De l'île de Vix, dans les marais de la Sèvre, achetée à Guillaume de Parthenay,
De la moitié de la monnaie de Saintes, achetée à Mascelin de Tonnay.
En outre elle joue auprès de son mari un rôle d’aide et de conseil, ainsi lui suggère-t-elle de donner la terre de Corme-Royal, tenue en seigneurie par Geoffroy Martel et gardée par Geoffroy de Pons, et signale à son mari qu’une terre voisine nommée les Arsis ne lui appartient pas et obtient que le possesseur l’abandonne à leur fondation commune.
Sa qualité de fondatrice, au même titre que le comte, est souvent rappelée dans le cartulaire.
Peu après, Geoffroy Martel la répudie, entre 1049 et 1052.
ABBAYE DE SAINT JEAN D'ANGELY
Elle fonde à Poitiers vers cette époque, l'église Saint-Nicolas desservie par un collège de chanoines, mais n’oublie pas Sainte-Marie de Saintes, et demande à son fils Guy-Geoffroy (1058-1086) de confirmer les donations de Geoffroy Martel et les siennes... en particulier l’île de Vix, que Guy-Geoffroy a reprise pour la concéder à un soldat, et de donner la part qu’elle reçoit à Poitiers sur les ventes et le change, appuie également de son autorité de fondatrice une demande de l’abbesse Constance au pape Nicolas II tendant à la confirmation des possessions de l'abbaye, demande satisfaite par privilège daté du 29 avril 1061.
vers la fin de sa vie, elle se retire à Sainte-Marie l’historien des « comtes de Poitou » a en effet publié un acte du 13 mai 1061 où Agnès de Bourgogne figure en compagnie de Guy-Geoffroy, qualifiée alors « sanctimoniale » cet acte suivant de très près le privilège papal, on peut, supposer la comtesse effectivement retirée à Sainte-Marie.
Cependant, le privilège ne la qualifie pas moniale et l’acte du 13 mai 1061 est très vraisemblablement passé, non à Saintes mais dans l’abbaye de Saint-Maixent.
Aucune moniale de Saintes n’y est désignée, le nom de l’abbesse Lethburgis y figure, mais seulement comme élément chronologique. Par contre on remarque les souscriptions d’un prêtre et de 4 moniales de la Sainte Trinité de Poitiers. Agnès, dont le nom suit dans l’acte celui de la comtesse Mathilde, sa bru, est donc alors à Poitiers, dans l’abbaye de la Trinité. Les vignes qui font l’objet de la donation sont présentées comme situées en un lieu nommé la Forêt, qui n’a pas été identifié... or l’abbaye de la Trinité possède une église « Sainte-Marie de la Forêt ».
Il est probable que l'abbaye de Saint-Jean-d’Angély tiennent les vignes de celle de la Trinité et, que la comtesse est alors retirée en ce couvent, ce qui explique son rôle dans la donation. L’acte, qui ne comporte pas de date, est situé en 1060 par l'abbé Grasilier, éditeur du cartulaire, il est certainement postérieur au 29 avril 1061, date du privilège du pape Nicolas II en faveur de l'abbesse Constance, précédant Lethburgis. Un retrait d’Agnès à la Trinité s'accorde mieux avec son intérêt pour l’église Saint-Nicolas qu’elle a fondée à Poitiers et où elle a été inhumée, qu’une éventuelle retraite à Sainte-Marie de Saintes. Cette retraite n’a d’ailleurs dû être que temporaire pendant quelques années.
Par la suite on rencontre la comtesse auprès de son fils, à Saint-Maixent, en 1064 et, à peu près dans le même temps, parmi une affluence de soldats et de prélats, probablement en Bas-Poitou.
COMTE DE BOURGOGNE
Vers 1107 est ordonnée une abbesse Sibylle, qui succède à Florence ordonnée vers 1100, c'est la tante maternelle de la comtesse de Poitiers Philippie, fille du comte de Toulouse Guillaume et d’Emme de Mortain, femme du comte de Poitiers Guillaume le Jeune... Le jour où elle a été reçue dans la congrégation, Guillaume le Jeune a restitué une terre au couvent, en déposant solennellement sur l’autel un couteau dans sa gaine de peau de cerf.
C'était une contribution familiale s’apparentant à une dot, l’acte précise en effet que Sibylle est la « tante maternelle de la comtesse ». Philippie et l’épouse de Guillaume le Jeune depuis 1094. (Sibylle est encore à la direction du couvent le 14 juin 1131), puis on perd sa trace...
Du premier trimestre de 1135 à l’an 1153 au moins, une Agnès gouverne la congrégation. On l’identifie comme moniale dans un acte qui ne peut être daté que « après 1121 ». Vers 1127, le comte Guillaume le Toulousain est dans sa « chambre », à Saint-Jean-d’Angély, quand viennent le rejoindre l’abbesse Sibylle, qu’il désigne comme sa tante, et Agnès elle-même, simple moniale, qu’il désigne aussi comme sa tante.
Ces dames sont accompagnées par « la comtesse de Toulouse », c’est-à-dire Emme de Mortain, que le comte présente comme sa grand-mère.... Les 3 femmes sont venues lui demander de confirmer en faveur de Sainte-Marie la possession des églises Saint-Julien de l’Escap et Sainte-Marie de la Clie.
Les moniales sont aussi accompagnées de chapelains de leur église, dont un certain Bernard de Toulouse, qui doit être une créature de l’abbesse. Guillaume appose sa croix.
Sa tante Sibylle est en fait sa grand-tante, sœur de sa grand-mère.
Sa tante Agnès est la sœur de son père Guillaume le Jeune, fille du comte Guy-Geoffroy.
ABBAYE DE SAINT JEAN D'ANGELY
Sa qualité de fille de Guy-Geoffroy est rappelée dans un acte de 1174, qui la dit « fille du comte Guy ».
Agnès de Bourgognefr.wikipedia.org/wiki/Agnès_de_Bourgogne
Duchesse d'Aquitaine ... Agnès de Bourgogne ou Agnès de Mâcon, (vers 990/995 - † 1068) (Dynastie des Unrochides), fille ... de certains seigneurs qui se rallient à la comtesse Agnès. Son beau-fils, Guillaume VI d'Aquitaine, ... Le Poitou revient alors au fils aîné d'Agnès, Pierre, qui prend le nom de Guillaume VII Aigret.

L'ENTOURAGE FÉMININ DES COMTES DE POITIERS

duguet.pagesperso-orange.fr/NDSaintes.htm
Trois femmes en relation plus ou moins directe avec les comtes de Poitiers ... et le milieu du XIIe siècle : Agnès de Bourgogne, veuve du comte de Poitiers ..... à Saint-Nicolas, à la date du 9 novembre 1068 (Comtes de Poitou, tome I, p. ... étude intitulée " Agnès de Bourgogne, duchesse d'Aquitaine puis comtesse d'Anjou.

Agnès de Bourgogne (c.995 - 1068) - Genealogy - Geni

www.geni.com/.../Agnes.../6000000003827181035Traduire cette page
27 nov. 2013 - Genealogy for Agnès de Bourgogne (c.995 - 1068) on Geni with over 100 million profiles of ancestors and living relatives. Page updated ...

2 commentaires:

  1. J'ai toujours été étonnée par les querelles qui pouvaient exister entre ce que sont aujourd'hui des régions, voir des départements ! Il est vrai que le royaume de France se limitait à L'Îles de France, ce royaume avaient ses vassaux qui bien souvent étaient plus puissants que lui. Mais les alliances et les traités ont permis de faire de la France ce qu'elle est aujourd'hui, un bel hexagone et nous n'avons pas attendu l'époque contemporaine pour le construire l'aide extérieure comme a pu le dire Aurélie Felippetti que l'immigration a été la chance, est, et sera la chance du pays,.....comme si nous les avions attendu pour exister et construire, défendre la France !

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  2. Ma chère Lys pourquoi vous étonner de l'inculture de ce ministre... elle part de bien trop loin pour connaître notre culture et encore moins notre histoire... Elle fait partie de ces gens qui occultent sciemment tout ce qui pourrait les déranger dans leur ronron bien pensant.

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