mardi 17 juin 2014

1064... EN REMONTANT LE TEMPS

Cette page concerne l'année 1064 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LA DESTINÉE D'ANI VILLE ARMÉNIENNE

L’ARMÉNIE BAGRATUNI
 La ville d’Ani occupe une place particulière dans l’imagination populaire des Arméniens, comme des non Arméniens. La célèbre métropole est proclamée capitale du royaume d’Arménie en 961 par les souverains Bagratides au pouvoir, qui la dotent à profusion d’innombrables églises, monastères, palais et hostelleries, en faisant un centre culturel et commercial florissant, lequel rivalise avec Constantinople et Bagdad, à la même époque. Son statut de ville prééminente dans la région demeure incontesté, même après sa prise et son pillage par les Turcs seldjoukides en 1064. Mais, au cours des siècles suivants, le sort d’Ani se mit à décliner lors des invasions Turciques Mongoles et des guerres interminables qui sévissent entre les empires Ottoman et Séfévide, et au XVIIe siècle, la ville dépeuplée est abandonnée.
L'histoire d'Ani (Turquie) est mouvementée et la ville a connu de nombreuses invasions. Il faut dire que sa situation géographique peut attiser les convoitises, d'une part parce qu'elle est située sur la route de la soie, d'autre part parce qu'elle bénéficie de protections naturelles (deux ravins ferment partiellement la ville, dont un sert aujourd'hui de frontière avec l'Arménie. Elle vivait principalement du commerce.
En 961, Ani est choisie par le roi Ashot III comme capitale, en remplacement de Kars.
En 1045, la ville est prise par les Byzantins.
En 1064, par les Seldjoukides d'Iran, elle fait ensuite du royaume de Géorgie.
en 1239 les Mongols prennent la ville.
Par la suite, divers facteurs affaiblissent Ani, jusqu'à son extinction complète.
En 1319 un tremblement de terre en détruit une bonne partie, mais, on attribue aussi son déclin à une modification du tracé des routes commerciales, la privant ainsi de ses revenus.
Du temps de l'URSS, le site d'Ani se trouve dans le no man's land entre la Turquie et l'Union Soviétique. Elle existe aujourd'hui dans le no man's land Turco-Arménien.
En 1999, la visite s’effectue obligatoirement en compagnie de militaires, en charge de la surveillance des lieux... Un poste militaire est installé ici car on se trouve à la frontière entre la Turquie et l'Arménie, et certains principes doivent être strictement respectés, comme par exemple de ne pas pointer d'appareil photo en direction de la frontière (Turcs et Arméniens se retrouvent alors tous les 15 jours pour renouveler ce protocole)... les militaires veillent donc à ce que les touristes ne posent pas de problèmes.
ANI
Récit d'un touriste :
« En discutant avec eux, nous avons su que ces militaires n'arrivent pas là par hasard. Malgré le climat rude, ils ont malgré tout de la chance, loin des manœuvres, car l'armée en Turquie ne semble pas être une partie de plaisir... Les militaires d'Ani sont choisis en fonction de leur niveau d'étude et de leurs capacités à parler les langues étrangères, ils servent aussi de guides aux visiteurs. Le nôtre parlait couramment le français et a pu nous donner tous les détails concernant l'histoire du site...
Passés les remparts, on découvre ce qui reste de la cité : d'une ville que l'on disait habitée par 100 000 personnes, il ne reste que quelques édifices religieux, éparpillés ça et là. Tout semble abandonné, au gré des intempéries. Il y a quelque chose de mystérieux quand on parcours un tel site, qui n'est pas (encore ?) aménagé pour le tourisme. Il semble que personne n'ait parcouru cette cité depuis des siècles...

On peut encore voir quelques édifices :

L'église du Rédempteur - XIe siècle, facilement reconnaissable car il ne reste qu'une moitié de l'église, coupée en deux par la foudre.

MONASTÈRE HRIPSIMIAN
La cathédrale - Xe siècle, est le plus grand édifice restant. Le même architecte a conçu celle-ci est a effectué les réparations du dôme de l'église Sainte-Sophie à Constantinople (Istanbul) après le tremblement de terre de 989. Selon les invasions, la cathédrale fut transformée successivement en mosquée ou en église.

L'église Saint-Grégoire de Honentz - début XIIIe siècle, en bon état de conservation renferme des murs intérieurs couverts de peintures illustrant des scènes de la Bible, relativement bien conservées. On trouve aussi de nombreux détails de sculptures sur les façades extérieures.

La forteresse (Kale), Elle n'a rien de fantastique en elle-même. Par contre, ses ouvertures (fenêtres) offrent un panorama sans égal. De là, on peut admirer le Couvent de la  Vierge (encore interdit aux visiteurs en 1999), les restes du pont enjambant la rivière Arpaçay (porte de l'Anatolie sur la route de la soie), et bien sûr quelques miradors Arméniens.

ARAKELOTS APOSTOLES D'ANI
L'église Saint-Grégoire d'Aboughamrentz - début XIe siècle, sur laquelle on ne possède que peu d'informations celle-ci domine une vaste plaine semi-désertique et semble posée au milieu de nulle part.
Il subsiste bien sûr d'autres éléments remarquables, dont le double mur d'enceinte, le caravansérail, les restes d'une mosquée, etc... 
En 1892 les premières fouilles ont lieu sous l’égide de l’Académie des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Malgré plusieurs demandes Russes, puis Arméniennes, le site demeure au sein de la Turquie alors qu’il n’est qu’à quelques centaines de mètres de la frontière.
Les principaux vestiges d’Ani sont la double enceinte et les nombreuses églises Arméniennes.
Ani possède également d’autres lieux de culte appartenant à d’autres religions.
L’ÉGLISE SAINT GRÉGOIRE
On y trouve la mosquée Menüçer Camii qui est érigée par les Seldjoukides en 1072. La bichromie de ses matériaux retient l’attention. Un temple zoroastrien du feu atteste de l’ancienneté d’Ani car, il est antérieur à la présence Arménienne. Il sera transformé en chapelle par les chrétiens.
Enfin, une église Géorgienne est bâtie au XIe siècle. Elle conserve des bas-reliefs de l’Annonciation sur sa façade. Elle s’est effondrée en 1840...»
Les immigrés sont souvent des marchands transportant avec eux d'importants capitaux. C'est ainsi que s'affirme au XIe siècle, particulièrement à Mélitène et à Édesse, un puissant patriciat urbain qui participe aux échanges entre l'Irak et les ports de Syrie. Les monastères, quant à eux, sont non seulement des foyers culturels importants lesquels au XIIe siècle, vont être les artisans de la Renaissance Syriaque, mais aussi des centres d'exploitation pour des campagnes environnantes, grâce à une paysannerie nombreuse et laborieuse.
La défense de la frontière, c'est l'immigration Arménienne, source d'un peuplement s'étendant sur l'arc Taurique, depuis le Taurus Cilicien jusqu'au secteur occidental du Taurus Arménien, qui joue ce rôle essentiel.
Vers l’an mille, Ani compte environ 100 000 habitants. Le roi Gagik Ier inaugure la cathédrale en 1001.
 
A l'opposition traditionnelle entre royaume Bagratide d'Ani, au nord, et le royaume Artzrounide du Vaspourakan, au sud, s'est ajouté à la fin du Xe siècle, un mouvement centrifuge, avec la constitution d'apanages (création des royaumes bagratide de Kars et de Tachir, et du royaume de Siounik').
Entre 1020 et 1040, deux frères Bagratides exercent une co-royauté sur le royaume d'Ani, permettant ainsi aux maisons féodales, comme les Pahlawouni, de mettre plus ou moins en tutelle la famille régnante. Mais c'est surtout l'expansionnisme Byzantin qui cause la ruine des royaumes Arméniens. Aux incursions des Turcs et des Daylamites, dans l'émigration (1023) du roi Hovhannês-Sének'érim en Cappadoce.
En 1045, si les émirs, Kurdes de Dwin sont mobilisés contre le royaume Bagratide, c'est cependant la capture par trahison de Gagik II, appelé à Constantinople, qui détermine la capitulation d'Ani, le dernier roi d'Ani, véritable proscrit, est alors assigné à résidence en Cappadoce, dans les deux décennies qui suivent, les Turcs se déchaînent... C'est pourtant en Cappadoce autant pour payer le prix de la restauration du patriarcat Arménien, supprimé pendant quelques années, que pour trouver un refuge Gagik- Abas, souverain de Kars, cède son royaume (1065).
Dès 1040, le palais devient un un lieu de contestations impliquant beaucoup de participants, dont les filles de Basile II, Zoé et Théodora...
Michel IV et Zoé entretiennent une relation amoureuse aux dépens de Romain III, alors empereur. Romain III est trouvé mort dans son bain le 11 avril 1034, et Michel IV devient empereur le 12 avril.
Les attaques des Serbes, des rebelles Bulgares, des principautés indépendantes du Levant, des tribus Turques, ainsi que des Latins en Italie ponctuent son règne, avec l’impopularité des hausses de taxes mises en place par son frère Jean. Finalement il meurt en 1041. Avant de mourir, il convainc Zoé d’adopter son neveu Michel V, qui lui succède.
 
Michel V ne perd pas de temps et exile Jean l’Orphanotrophe (qui élève des orphelins) dans un monastère et expulse Zoé du trône, ce qui lui coûte la révolte populaire de Constantinople. Fléchissant sous la pression des foules en colère, Michel ramène Zoé sur le trône, mais il est arrêté quelques mois plus tard, et meurt en 1042 dans un monastère, castré et aveuglé.
En 1048 commence réellement le déferlement des Seldjoukides en Arménie
En 1053, le sac de la ville royale de Kars, en 1057-1059, le débordement à l'ouest de l'Euphrate (menace de Kamakh, et sac de Mélitène).
Constantin IX Monomaque est ensuite choisi comme successeur par Zoé. Son règne s’étire de 1042 à 1055. Celui-ci entreprend une réforme administrative à deux volets dès 1043 et aussi pendant les rébellions de Maniakès et Tornikios, d’abord, il créer un nouveau ministère appelé l’epi ton kriseon, (Juge qui présidait un tribunal tout comme le droungarios tes viglas, le questeur et l’éparque. Il devait régler les problèmes juridiques présentés par les juges des thèmes lorsque ceux-ci n’avaient pas une connaissance suffisante de la loi). De plus il réorganise l’éducation supérieure légale.
Ces réformes se concrétisent par une grande amélioration du pouvoir des juges dans les thèmes (circonscription militaire et territoriale), la démobilisation de l’armée thématique de l’Ibérie (lire Caucase) et une ingérence impériale accrue dans les thèmes au dépend des strategos.
A partir de 1059, la Cappadoce, puis la Phrygie et la Galatie sont parcourues par des bandes de nomades Turcomans qui, simultanément à leurs campagnes vers l'ouest, lancent des incursions de moindre importance vers le sud et la Syrie.
En 1064, la prise d'Ani, ex-capitale des Bagratouni.
Après sa mort et 1055, Théodora choisit le logothètes (responsable des taxes pesant sur les soldats de l’armée) Michel Bringas, qui devient empereur en 1056 sous le nom de Michel VI Stratiotikos, règne un an avant d’être renversé par une rébellion menée par Isaac Comnène, qui se voit refusé la faveur impériale quand il mène une délégation de chefs militaires des thèmes Anatoliens à Constantinople.
Isaac élimine vite le patriarche Michel Cérulaire et entreprend vite de nouvelles réformes, il limite les donations de terres, réduit les salaires et pensions des fonctionnaires de la cour, et fait en sorte que les taxes en retard affluent dans le trésor impérial. Isaac Comnène génère de ce fait très vite des opposants (les membres de l’aristocratie militaire ou civile) concernés par ses coupures budgétaires.
Constantin X le remplace peu après, renverse les politiques d’Isaac, son règne est donc bien calme, malgré l’empiétement de plus en plus visible des tribus Turques dans les marches de l’empire qui culminent en 1064 avec la prise d’Ani.
 PONT DETRUIT
En 1064 Thughril Beg, à la tête de ses armées, dévaste l'Arménie dans la région du lac de Van, mais les forces Byzantines, bien retranchées derrière les murailles de leurs forteresses résistent et empêchent que la ville de Malâzgerd (Mantkizert) ne tombe entre ses mains.
A toutes ces villes, l'arrivée de la Première Croisade (1097) permet de rejeter la tutelle Turque. Si les Francs d'Édesse, gênés en Euphratèse par le maintien du pouvoir Arménien, s'en débarrassent assez vite, en revanche, ceux d'Antioche s'appuient sur les princes de Cilicie, précieux alliés contre l'irrédentisme de Byzance (annexion fédérative de pays de même culture) Totalement émancipés, les anciens districts du sud-est de l'Empire, désormais imbriqués dans les États Croisés septentrionaux, dessinent une nouvelle géographie chrétienne celle de l'époque des Croisades, où sont juxtaposées principautés Arméniennes et principautés Franques.
Ani est cédée à la famille Kurde des Cheddalides de Ganjak.
En 1161, ses habitants se soulevant contre les Cheddalides et demandent l’aide du royaume de Géorgie.
Malgré un retour des Seldjoukides en 1163, Ani est intégrée au royaume Géorgien vers 1174.
En 1199, les Zakarian, princes Arméniens, réussissent à rendre la cité à nouveau indépendante.
CATHÉDRALE D'ANI
En 1231 son déclin débute avec la prise de la ville par les Mongols. Ani devient alors la capitale d’une dynastie Turcomane : les Qara Qoyunlu.
La ville est abandonnée après le passage de Tamerlan (1400-1403)...
En 1198, les armées de Tamar, reine de Géorgie, enlèvent définitivement aux émirs cheddadides, installés par Alp Arslan en 1072, la métropole d'Ani, ancienne résidence des rois Bagratides Arméniens,
Jusqu'à l'arrivée des Mongols, en 1239, la ville connaît une période relativement paisible marquée par le succès des armées Géorgiennes, qui dominent l'ensemble de la Transcaucasie et aident même Alexis Comnène à fonder l'empire de Trébizonde en 1204, après la prise de Constantinople par les Croisés.
Si les routes caravanières, qui mènent, à l'époque Bagratide, de la Perse à Byzance, par Ani et Duin, a travers la plaine de l'Araxe, sont concurrencées, au début du XIIIe siècle, par des itinéraires plus méridionaux traversant la Syrie, la ville demeure un centre de négoce important, d'où rayonnent de nouveaux courants commerciaux vers Tbilisi, le Caucase, le sud de la Russie,la Crimée, et, le littoral oriental de la mer Noire.
Tandis que Zakare fait édifier deux tours supplémentaires au nord et au sud de l'enceinte, en rehaussant systématiquement les murailles, et construisant une magnifique église à l'extrême sud de la cité, dans la forteresse d'Aljkaberd, qui est la partie la plus ancienne du site, le négoce continue de prospérer dans le quartier commercial du Sahastan, la ville nouvelle, entre le rempart d'Asot et la muraille de Smbat, de part et d'autre de la rue principale, qui s'étire depuis la mosquée de Menuçehr jusqu'à la Porte principale.
Quiconque a visité ou jeté un coup d’œil sur des photos d’Ani, qui se trouve maintenant à l’intérieur des frontières de la Turquie, face à l’Arménie, sait que la ville n’est plus que l’ombre d’elle-même, car dévastée et à l’état de ruines, peu de choses ont survécu de la période médiévale, mis à part la double enceinte de murailles qui jadis entourait la ville, quelques églises, une mosquée et la citadelle. Il existe, de même, peu de signes de présence humaine, hormis quelques touristes et villageois locaux, visitant ce site à l’occasion. Il serait toutefois illusoire de penser que cette situation ait prévalu sans discontinuer, depuis 3 siècles. Même si les conditions d’existence deviennent impossibles le long de la frontière volatile Ottomano-Séfévide, les perspectives d’avenir d’Ani s’améliorent grandement, lorsque le sandjak (district) de Kars, où se trouve Ani, est annexé par l’empire Russe, après la fin de la guerre Russo-Turque de 1877-1878.
Bien que la domination impériale Russe sur l’Arménie Orientale ne bénéficie pas entièrement aux sujets Arméniens du tsar, elle amène une certaine stabilité dans la région. Un des développements culturels les plus remarquables qui eut lieu est la décision de l’Académie Impériale des Sciences de Russie en 1892 d’inaugurer la première de plus d’une dizaine d’expéditions archéologiques à Ani, laquelle est dirigée par Nikolaï Y. Marr, archéologue et historien Russe de renom.
L'EMPIRE DE BIZANCE EN 1045
L’imposition de la domination Russe procure un certain niveau de sécurité aux villageois Arméniens, tandis que le renouveau de la vie culturelle Arménienne est saisi de manière poignante par Artashes Vruyr (né en 1897) dans son livre...
«  Ani, une étude semi-biographique publiée en 1964. Avec son père Aram Vruyr (1863-1924), né Mak’achtchyan), photographe au service de Marr, Artashes Vruyr, qui poursuit ensuite une carrière d’acteur en Arménie Soviétique, visite Ani à intervalles réguliers et observe non seulement les fouilles, mais aussi une ville, auparavant donnée pour morte et qui, soudain, reprend vie. L’histoire de ses années d’enfance dans l’ancienne capitale médiévale compose un riche abrégé de récits personnels et de rencontres avec de hautes figures de la société Arménienne. Un texte où l’humour se mêle au chagrin, lorsque l’auteur se lamente sur l’expulsion de la population Arménienne locale et les nouvelles destructions qui frappent cette ville de légende, après sa prise par les forces Turques sous Mustafa Kemal en 1920. »
Kars, située dans le nord-est de la Turquie, est une petite ville où de nombreuses curiosités méritent un détour. La cité peut servir de point de départ pour une journée de visite à Ani. Ce site archéologique est situé à la frontière entre la Turquie et la république d’Arménie...
Visiter la forteresse de Kars permet d’avoir un point de vue sur la ville. La citadelle est reconstruite à l’époque du sultan Ottoman Mourad III, en 1579. Elle serale siège de nombreux combats qui opposeront les armées Ottomanes à celles du tsar de Russie.
DOUBLE ENCEINTE NORD
L’église des Apôtres (Kumbet Camii) est une construction étonnante, elle est construite comme une église Arménienne. Lors de l’occupation Russe, au XIXe siècle, elle devient orthodoxe. Un porche est ajouté.
En 1998, elle est transformée en mosquée, mais conserve néanmoins son aspect d’église Arménienne. Dans le centre de Kars, il y a aussi une église Russe orthodoxe qui a été transformée, à l’intérieur, en mosquée.
Le petit musée archéologique renferme une collection d’objets provenant de la région, on y trouve des bronzes urartéens (1er millénaire avant notre ère), des monnaies Romaines et Byzantines et de nombreux objets Arméniens.

Persée : Les Arméniens sur la frontière sud-orientale de ...

persee.cines.fr/web/ouvrages/.../mom_0766-0510_1993_sem_21_1_180...
(prise définitive de Mélitène sous Romain Lécapène), on trouve constamment dans les ...... Un flux migratoire important est déterminé par la prise d'Ani en 1064.



www.persee.fr/web/revues/.../crai_0065-0536_2001_num_145_3_1634...
de JP Mahé - ‎2001
Sur la chronologie générale d'Ani, voir H. Vahramian, 1984, p. ...... sultan salguqide Alp Arslan et la prise d'Ani en 1064 », Revue des Études arméniennes 2, p.

The God-Borne Days of Ani / Les temps bénis d'Ani

armeniantrends.blogspot.com/.../god-borne-days-of-ani-les-temps-benis....
17 déc. 2011 - Ani, Eglise Saint-Grégoire de Gaguik, photographie prise en 1906 ... même après sa prise et son pillage par les Turcs seldjoukides en 1064.



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