lundi 16 juin 2014

1065... EN REMONTANT LE TEMPS

Cette page concerne l'année 1065 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

ÉDOUARD III LE CONFESSEUR DERNIER ROI SAXON D'ANGLETERRE

ÉDOUARD LE CONFESSEUR
Né à Islis, petit-fils de Richard Ier, duc de Normandie, et fils d'Éthelred II, Édouard est choisi comme roi du vivant de son frère aîné Hartha-Cnut (Canut), grâce à l'appui de Godwine, comte de Wessex. À la mort de son frère, en 1042, il est « reconnu roi par tous », mais n'est couronné qu'en 1043, cependant, malgré l'appui qu'il a manifesté au roi, Godwine, est en butte à l'hostilité de favoris Normands, et banni par Édouard dernier grand roi Saxon de l’Angleterre (1042-1066).

A la mort du roi Édouard le Confesseur, le 6 janvier 1066, se pose une douloureuse question... Qui de Guillaume de Normandie, son cousin,ou d'Harold Godwin, son beau-frère lui succédera sur le trône d’Angleterre ? Cette question trouvera réponse quelques mois plus tard, le 14 octobre 1066, au soir de la bataille de Hastings...
Édouard ce fils de Ethelred II dit « le mal avisé », (ou Æthelraed II l’indécis, roi des Anglo-Saxons de 978 à 1016), et de Emma de Normandie, fille de Richard Ier duc de Normandie en Angleterre, vers l’an 1005, Imprégné de culture Normande, profondément religieux, séjourne à deux reprises en Normandie. La première fois de 1013 à 1014, avec ses parents en l’exil, suite au massacre de la Saint Brice. Puis pour échapper à une Angleterre en proie aux ambitions Danoises avec son frère Alfred. Il y demeure même après que sa mère eut épousé le roi Canut de Danemark. Sous le règne de Harold Ier, dit Harefoot (« Pied de lièvre »), roi d’Angleterre de 1037 à 1040, son frère Alfred, en visite en Angleterre, est arrêté par le comte de Wessex Godwine et, avec ou sans sa complicité, on lui crève les yeux et on le met à mort. Au fond de son cœur, Édouard ne pardonnera jamais ce crime à Godwine.
Emma s’étant remariée avec Cnut le Grand, roi d’Angleterre et de Norvège, Édouard quitte l’Angleterre. En 1035, à la mort de Cnut, Édouard voit la Couronne d’Angleterre lui échapper au profit de son demi-frère Harthacnut, fils de Cnut et de Emma, qui lui demande de rentrer en Angleterre en 1041 tout en lui promettant de l’accueillir parmi ses conseillers. Quand Harthacanut, son demi-frère, monte sur le trône, Godwine fait venir Édouard, lui témoigne sa faveur et reconnaît, semble-t-il, son droit à la succession.
Édouard III répondant à cette invitation emmène avec lui un certain nombre de fidèles et de conseillers qu’il a connu lors de son long exil Normand.
Un an plus tard, le 8 juin 1042, Harthacnut meurt de manière soudaine abandonnant le trône d’Angleterre à son demi- frère dont le couronnement est célébré le 3 avril 1043 dans la cathédrale de Winchester. Il est obligé de se mettre en bons termes avec Godwine et épouse même sa fille Édith. Une fois en possession du pouvoir, Édouard se débarrasse de la tutelle de Godwine, et se tourne alors vers les Normands, invitant le duc Guillaume à venir en Angleterre et lui promettant la succession au trône. La reine Edith est exilée dans un couvent... L'année suivante Godwine regagne pourtant l’Angleterre et reprend le pouvoir, Édouard III préférant se plier à sa volonté plutôt que de prendre les armes...
A peine arrivé au pouvoir, Édouard III tombe sous l’emprise de Godwine, comte de Wessex, un des plus puissants personnages du royaume... Au fil des ans le pouvoir de Godwine ne cesse de croître. Édouard, conscient d’avoir contribué à l’ascension de Godwine et se sentant menacé, la rupture entre le roi et le comte de Wessex devient dès lors inévitable.

En 1051, la politique pro-Normande d’Édouard III ravive les tensions. Godwine s’étant rebellé contre le pouvoir royal, ses proches et lui sont condamnés à l'exil cette peine sera de courte durée puisqu’il reviennent en Angleterre en juin 1052 contraignant le Confesseur à écarter du pouvoir bon nombre de Normands nommés par ses soins à des postes clés...
En 1052, Godwine et ses fils lèvent des hommes en Irlande et en Flandre, dévastent l'ouest de l'Angleterre, et, arrivent à Londres... Le roi se réconcilie avec Godwine et la puissance de ce dernier et de sa famille ne fait que croître.
Le triomphe de Godwine sera éphémère puisqu’il décède subitement au cours du mois d’avril 1053, son fils Harold II lui succède à la tête de son comté, sa fille, Édith, revient à la cour... Édouard III fait preuve de douceur et d’affabilité envers tous. Il mène une vie pieuse et austère, donnant aux pauvres avec générosité...
SAINT ÉDOUARD
Après bien des querelles pour le pouvoir en Angleterre, la situation n'est pas bien claire. Les Danois avec le roi Canut règnent sur l'est du pays, la Norvège et le Danemark. Edmond « Côte de Fer » prince d'Angleterre a été assassiné et sa femme s'est réfugiée en Normandie. Édouard, son demi-frère, revient en Angleterre et y rétablit la couronne par sa sagesse, son humilité et sa compétence. Il cherche toujours l'entente et la réconciliation là où c'est possible. Les expéditions Danoises échouent. Le royaume connaît une période moins troublée...
COURONNEMENT D’ÉDOUARD III
C’est probablement à cette période qu' Édouard III reçoit son cousin Guillaume de Normandie à la cour d’Angleterre et qu’il fait de lui son successeur légitime, promesse réitérée, semble t-il, au printemps 1064, lors de la venue de Harold en Normandie. En effet, Édouard III ayant fait vœu de chasteté, son mariage avec Édith, fille de Godwine, est un échec et laisse planer le doute quant à sa succession. Excellent homme mais piètre roi, puisque les avances qu’il fait aux Normands préparent la voie à la conquête Normande, Édouard le Confesseur, connu aussi comme « le bon roi Édouard » procure à son pays une période de prospérité et de stabilité. Pourtant les guerres continuent de se succéder entre Gallois et Anglais, entre les partisans d'Harold et ceux de Malcolm en Écosse, ce qui n'empêche pas Saint Édouard de légiférer pour son royaume afin d'y établir une meilleure justice et une plus une grande attention aux pauvres.
[C'est le dernier roi à régner sur l'Angleterre avant la conquête de ce pays par les Normands de Guillaume le Conquérant... Il avait horreur du sang versé, son peuple le chérissait, aussi éminent par sa piété que par sa générosité, il sut se faire l'ami des petites gens et fut vite l'objet d'un culte populaire, mais il n'était pas fait pour être roi.]...
Pieux, exempt d’ambitions, bien plus préoccupé du bien-être d’autrui et de son salut devant l’éternel que de son royaume, le règne d’Édouard le Confesseur n’en sera pas moins marqué par la prospérité et une paix quasi ininterrompue à l’exception d’une incursion au Pays de Galles pour prêter main forte au roi Malcolm III d’Écosse. Après plus de 23 ans de règne, le vieux roi décède le 6 janvier, après avoir, semble-t-il, offert sur son lit de mort la couronne d’Angleterre à son beau-frère Harold, fils de Godwine …
...[ Une légende est associée au Roi, à la fin de sa vie, Edward qui se trouve dans l’Essex se voit demander l’aumône par un vieil homme. Comme le Roi n’a pas d’argent à lui donner, il lui offre une des énormes bagues qu’il porte aux doigts... Quelques années plus tard, deux pèlerins qui se promènent sur les terres sacrées se perdent. Ils sont aidés par un vieil homme qui (quand il sut que les pèlerins venaient d’Angleterre) se présente comme étant l’apôtre Jean. Ce dernier demande aux voyageurs de ramener la bague appartenant au Roi et de lui dire que dans 6 mois, il sera appelé au paradis...]...
Ayant fait le vœu de se rendre en pèlerinage à Rome, mais, l’instabilité de son royaume, oblige le pape à consentir à le délier de ce vœu, en reconnaissance, Édouard III réside à Londres et à Westminster où il fait construire sa cathédrale, restaure et embellit l’abbaye de Westminster, le jour où cette abbaye est consacrée (28 décembre 1065), Édouard III est absent.... Il meurt quelque temps après sa dédicace, ayant contracté une grave maladie, dont il meurt, le 5 janvier.
À la mort d'Édouard le Confesseur, c'est Harold, fils de Godwine, qui lui succède, Édouard III l'avait désigné au Conseil comme son héritier, malgré de sombres pressentiments suscités par les ambitions de Guillaume de, et, malgré le serment que Harold avait été contraint de prêter en 1065 de laisser la couronne au duc Normand... Harold est vaincu par Guillaume de Normandie, l'année suivante...


Le 13 Octobre 1163, le corps de Saint Édouard est transféré dans un tombeau conçu spécialement pour lui et c’est à ce moment là qu’on lui retire sa bague pour la déposer avec les autres reliques de l’abbaye. Le Roi Henry III porte une grande admiration à Edouard III et décide de reconstruire son Abbaye dans un magnifique style gothique. Il érige aussi un nouveau tombeau avec des mosaïques venant d’Italie. le malades viennent en pèlerinage sur le tombeau et prie pour leur guérison, beaucoup de personne voue un culte à Saint Edouard et le considère comme le Saint Patron de l’Angleterre. Cependant, après la mort d’Henri III, le culte décline et finalement, c’est Saint Georges qui devient le Saint Patron de l’Angleterre.

Puis le monastère de Westminster est dissout par Henri VIII en 1540 et le tombeau pillé. Le corps de Saint Édouard est relégué dans un sombre endroit de l’Abbaye... Plus tard, Marie Ier restaure le cercueil et remplace les bijoux volés par de nouveaux. Le tombeau est maintenant au centre de l’Abbaye... 5 rois et 4 reines reposent dans sa Chapelle.

On a souvent du mal à cerner le rôle tenu par l’abbaye de Westminster, tout simplement parce qu’elle représente un monument dont l’histoire est largement liée avec celle de la ville de Londres. Aujourd’hui davantage un lieu historique que religieux, l’abbaye de Westminster est prestigieuse grâce aux événements qui s’y sont déroulés.
LE TRÔNE DES ROIS D'ANGLETERRE
L’histoire de cet édifice remonte à 1050 alors qu’Édouard le Confesseur décide de construire une abbaye dédiée à l’apôtre Saint Pierre. Consacrée en 1065, elle connaît rapidement des transformations sous le règne du roi Henri III au XIIIe siècle, lequel décide de la reconstruire dans le style architectural gothique.
Au début du XVIe siècle, on assiste à la construction d’une chapelle annexe décidée par le roi Henri VII dans un style renaissance, faisant appel à des artistes Italiens.
L’aspect religieux de cet édifice est suspendu sous le règne du roi Henri VIII qui provoque la séparation de l’Angleterre avec le Pape, ce qui oblige les moines bénédictins y logeant à quitter les lieux. Ce n’est que sous le règne d’Élisabeth Ière que l’abbaye retrouve sa fonction religieuse.
L’Abbaye de Westminster tient le rôle de lieu de couronnement de la monarchie Britannique. Le premier roi à y être sacré est Guillaume le Conquérant en 1066, et pour le moment la reine Élisabeth II est le dernier monarque à y avoir été couronnée.
Elle est depuis le XVIe siècle le siège de l’Église anglicane instaurée par la reine Élisabeth Ière, mais elle sert aussi de nécropole royale où on compte pas moins de 3 000 tombes et cénotaphes...
La renommée de l’abbaye prend un tournant en devenant un lieu d'émotion au XXe siècle Le développement des technologies audiovisuelles permettent ainsi à tout le pays, mais aussi au monde entier d’assister aux événements comme l’inhumation du soldat inconnu ou le couronnement la reine reine Élisabeth II.
C’est là aussi que la dépouille de Winston Churchill fut posée avant sa mise en terre.
Dans l’abbaye on peut voir le trône des rois qui est utilisé depuis 1308 pour les couronnements, la somptueuse nef où il y a de nombreux tombeaux, mais aussi le cloître et la chapelle Henri VII, communément appelée « Lady Chapel » un vitrail représente la bataille d’Angleterre...
ABBAYE DE WESTMINSTER ( le mariage de Catherine et William)


Explication de la tapisserie de Bayeux :
En cette année 1064, Édouard le Confesseur roi d'Angleterre reçoit en son palais (vraisemblablement celui de Winchester) son beau-frère le comte de Wessex Harold Godwinson, principal représentant du parti anglo-saxon à la succession au trône. Au cours de cet entretien, il le charge de se rendre en Normandie avertir son cousin, le duc Guillaume, qu'à défaut d'héritier direct, il l'a choisi comme successeur. Il confirme ainsi la promesse formelle que le roi a faite au duc de Normandie plusieurs années auparavant, en 1051.
Mais le navire du comte Harold dérive. Au lieu d'aborder sur les côtes Normandes, ses compagnons et lui accostent près de l’embouchure de la Somme sur les terres inhospitalières du comte Guy de Ponthieu. Ce dernier entend bien profiter de son droit seigneurial de bris de naufrage.

Le comte Guy 1er de Ponthieu gouverne son comté depuis la mort de son frère Enguerrand II, tué en 1053 en luttant contre Guillaume de Normandie. A la suite de cet épisode, ce comté devient vassal du duché Normand.

Le duc de Normandie est contraint de négocier la libération d’Harold, retenu au château de Beaurain dans la région d’Abbeville, contre rançon : un beau château en bordure du duché et les terres qui en relèvent ! Scènes 7 à 13.

Le comte Harold est maintenant l'hôte du duc de Normandie, qui l'invite dans son château de Brionne. Il lui accorde une audience solennelle très animée. Le comte raconte peut-être son naufrage et parle de la mission dont l'a chargé le roi Édouard. Quant à Guillaume, on imagine qu’il lui fait part de sa décision de ceindre la couronne d’Angleterre.
Pour compenser habilement la déception possible du comte Harold, on assure que Guillaume lui offre sa fille aînée en mariage. Sous un portique une adolescente reçoit d'un clerc tonsuré un léger soufflet, signe éventuel de confirmation de fiançailles... Par la suite, le duc convie le comte à participer à l’expédition militaire qu’il va mener contre Conan II duc de Bretagne. Franchissant la baie du Mont-Saint-Michel, reconnaissable à son église construite sur le roc, les troupes assiègent Dol, Rennes puis Dinan. Enfermé dans les fortifications de bois vulnérables de cette ville, Conan ne tarde pas à capituler et remet de la pointe de sa lance les clefs de la ville à son vainqueur

Durant cette campagne, le duc Guillaume tient à rendre hommage au comte Harold pour sa vaillance et lui donne les armes. Nouveau chevalier Normand, il est désormais l'homme lige de Guillaume. Scènes 14 à 21.

Enfin, le comte de Wessex prête serment de fidélité au duc de Normandie sur les reliques de la cathédrale de Bayeux. Les témoins de cette scène, très attentifs, soulignent par l’expression de leurs visages et leurs index levés, la gravité de cet engagement sacré. Scènes 22 à 24.

Lié par ce fatal serment, le comte Harold regagne l'Angleterre où il rencontre le vieux roi Édouard III, qui fatigué par la maladie décède dans la nuit du 4 au 5 janvier. Celui-ci est inhumé dans l'abbaye de Westminster tout juste terminée et consacrée à Saint-Pierre apôtre le 28 décembre 1065.
ABBAYE DE WINTMINSTER
Au lendemain même des funérailles, le Witangemot, l’assemblée des notables, décide d’offrir au comte Harold la couronne d’Angleterre. En dépit de son serment, il accepte et règne sous le nom de Harold II. Il est couronné par Stigant, Archevêque de Cantorbéry, le 6 janvier.
Mais bientôt, un signe de mauvais présage apparaît dans le ciel : le passage d’une étrange étoile à la chevelure étincelante. Il s’agit de la comète de Halley visible une semaine entière du 24 avril au 1er mai 1066. Scènes 25 à 33.
Apprenant la nouvelle, le duc de Normandie sollicite les conseils de son demi-frère Odon de Conteville, évêque de Bayeux, qui lui suggère de préparer une flotte et de se rendre en Angleterre afin de punir le parjure.

A la mi-août 1066, le regroupement de la flotte s’effectue à l’embouchure de la Dives et dans les ports environnants. Mais la traversée est reportée jusqu’au soir du 27 septembre 1066.
Au cours de cette nuit-là, près de 400 navires prennent le large avec près de 15 000 hommes et deux mille chevaux à bord. Parmi les bateaux se distingue le Mora, navire ducal offert par la duchesse Mathilde, qui porte au sommet de son mât un fanal béni par le pape, le fameux vexillum sancti Petri. Scènes 34 à 38.
Au matin du 28 septembre 1066, la flotte accoste au petit port de Pevensey dans le Sussex et les Normands se dirigent vers Hastings où ils prennent position. Scènes 39 à 47.
Les troupes de Harold, quant à elles, viennent de remporter dans la région de York la victoire sanglante de Stamford Bridge le 25 septembre 1066 sur les Norvégiens alliés à Tostig, le propre frère du roi. Elles rejoignent donc Hastings, réduites et épuisées, au matin du 14 octobre 1066, la bataille décisive s’engage. Conformément aux usages du temps Guillaume armé du bâton de commandement, prononce l’habituelle harangue du chef.
Précédés par des archers, les cavaliers Normands galopent en une longue chevauchée et fondent sur les fantassins Anglais protégés par un mur de boucliers. Au cours du combat, les frères du roi, Lewine et Gyrd sont tués. Les morts sont si nombreux qu’ils envahissent la bordure inférieure de la Tapisserie. Mais la lourde cavalerie Normande s’effondre au pied d’une colline entourée d'un marécage renforcé de pieux pointus. Ce ravin sanglant sera prénommé plus tard la Malfosse. C’est sur cette colline que se sont regroupés les Anglais. Les Normands se replient dans le désordre. L’issue du combat reste indécise. Afin de rassurer les siens, le duc Guillaume est contraint de relever son casque et de se faire reconnaître de ses soldats. Auprès de lui, Eustache de Boulogne, tenant entre ses mains le gonfanon ducal, confirme qu'il s'agit bien du duc Guillaume en le désignant du doigt. Les Normands reprennent alors courage et se lancent dans un assaut final. Malgré la protection de ses troupes d’élite, Harold est atteint mortellement d’une flèche dans l’œil droit. La retraite des troupes Anglaises prend alors la forme d’une véritable débandade. Scènes 48 à 58.
 LA PREMI7RE SC7NE DE LA TAPISSERIE DE BAYEUX
Ainsi s’achève brutalement le récit brodé sur la Tapisserie, au soir du 14 octobre 1066...

Les ducs de Normandie et les rois de France: 911-1204

books.google.fr/books?isbn=2851571532
Alain de Sancy - 1996 - ‎France
En l'honneur de Saint-Pierre auquel Edouard voue un culte particulier, le roi fait ... seront consacrés le 28 décembre 1065, Edouard malade n'assistera pas à la ... Heureusement Edouard le Confesseur n'oublie pas ses liens familiaux avec ...

Edouard le Confesseur - Normandie Héritage

www.normandie-heritage.com/spip.php?article129
A la mort du roi Edouard le Confesseur, le 6 janvier 1066, se pose une ... normand, et qui avait été consacrée, quelques jours auparavant, le jour de Noël 1065.

Édouard le Confesseur | Martyrs et Saints

www.martyretsaint.com/edouard-le-confesseur/
21 mai 2009 - Saint Édouard le Confesseur Roi des Anglo-Saxons (1042-1066) ... de Westminster fut consacrée, le 28 décembre 1065, Édouard était absent.

Site Officiel de la Tapisserie de Bayeux :Au cœur du récit

www.tapisserie-bayeux.fr/index.php?id=408&no_cache=1&id...
En cette année 1064, Edouard le Confesseur roi d'Angleterre reçoit en son palais ... tout juste terminée et consacrée à Saint-Pierre apôtre le 28 décembre 1065.


1 commentaire:

  1. La grandeur de l'Angleterre perdure, et nous, nous nous ridiculisons avec des trolls qui se prennent très au sérieux et ne font rien de sérieux hélas. A bientôt amie historienne.

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